Journal de Adja Cissokho (décembre 2024) I
1er-15 décembre 2024
publié le samedi 14 décembre 2024


Samedi 14 décembre 2024

 

À Bruxelles, à la Cinematek c’est le week-end Âge d’or, consacré au cinéma subversif et expérimental : Exprmntlfilmfestival (14-15 décembre 2024).


 

Aujourd’hui :

* À 16h00 : Reframing Violence : Oraib Toukan.

* À 17h45 : Crossroads : Stefano Miraglia.

* À 21h00  : Crossroads : Transformers.

Faites votre programme.


À Paris, au Centre culturel de Chine, le cinéma en entrée gratuite sur réservation.

Aujourd’hui :

* À 15h00 : Les Éternels (Jiang hu er nü) aka Ash Is Purest White de Jia Zhangke (2018).


 


À Paris, au Nouvel Odéon, chaque mois l’association Cinéma(s) d’Iran propose Les samedis du cinéma iranien.

Aujourd’hui :

* À 11h00 : Lantouri de Reza Dormishian (2016).
En présence de Agnès Devictor et Assal Bagheri.


 


À Paris, à la librairie Quilombo, on clôt le cycle Étoiles Noires 2024.

* À 19h30 : Rencontre avec Marina Touilliez.

Bonne lecture :

* Marina Touilliez, Parias. Hannah Arendt et la "tribu" en France (1933-1941), préface de Martine Leibovici, Paris, Éditions L’échappée, 2024.


 


Centenaire du Surréalisme (1924-2024).


 

À Paris, à la Halle Saint-Pierre c’est la séance des Rencontres en surréalisme organisées par Françoise Py, dans le cadre de l’Association pour la recherche et l’étude du surréalisme (APRÈS).

Aujourd’hui :

* À 15h00, entrée libre : "Pas même un tison, sa brûlure".
Conférence par Jean-Pierre Silbermann.
Projection d’extraits de son film Mais qui a salé la salade de céleri ? (2018).


 


La revue bimestrielle Socialter, on la trouve en kiosque ou on l’achète en ligne.


 

Vient de paraitre : Socialter, n°67, décembre 2024-janvier 2025 : Résistances rurales : Comment lutter contre l’extrême-droite depuis les campagnes ?

* On consulte les n° précédents.

* On s’abonne.



Vendredi 13 décembre 2024

 

À Paris, au Reflet Medicis, avec Météore films, on est solidaire du peuple syrien.

Ce soir (et demain à 11h20) :

* À 19h10 : Eau argentée, Syrie autoportrait de Ossama Mohammed & Wiam Simav Bédirxan (2014).
En présence de Ossama Mohammed.


 

Le film passe aussi au Cinéma des cinéastes (11-16 décembre 2024).


À New York, le Lincoln Center programme une rétrospective Robert Siodmak : Dark Visionary (11-19 décembre 2024).

Ce soir :

* À 18h30 : The Suspect de Robert Siodmak (1945).


 

* À 20h30 : The Killers de Robert Siodmak (1946).


 

Faites votre programme.


À Paris, à l’Entrepôt, c’est le cinéclub Ciné-psy.

Ce soir :

* À 20h00 : Miséricorde de Alain Guiraudie (2024).
Avec Pascal Laethier et Emmanuel Brassat.


 


À New York, au MET Fifth Avenue, les expositions de l’automne 2024 continuent jusqu’en 2025.

* Floridas : Anastasia Samoylova and Walker Evans (14 octobre 2024-11 mai 2025).


 



Jeudi 12 décembre 2024

 

À Paris, à Beaubourg, en partenariat avec le Goethe-Institut, commence une rétrospective Werner Herzog. Les années 2010 et 2020 (12-22 décembre 2024).


 

C’est un prolongement de la grande rétrospective qui lui avait été consacrée en 2009, Werner Herzog : Vérité et démesure (10 décembre 2008-2 mars 2009), avec une sélection de ses films réalisés depuis lors.

Au programme, célébration de l’anniversaire des 30 ans de la découverte de la grotte Chauvet en décembre 1994, ainsi que l’ensemble de son travail depuis 2009, cinq fictions et dix documentaires dont la plupart sont inédits.

Ce soir, ouverture, en entrée libre :

* À 19h00 : La Grotte des rêves perdus (The Cave of Forgotten Dreams) de Werner Herzog (2010).
En sa présence, avec Éric Valette.


 

Faites votre programme.


À New York, le MoMA, en toute fin d’année, s’occupe aussi du centenaire de Marcello Mastroianni (1924-1996) avec Cinecittà, Marcello and Chiara Mastroianni, A Family Affair (12 décembre 2024-5 janvier 2025).

Il invite l’actrice Chiara Mastroianni à présenter une sélection des films de son père, ainsi que quelques-uns de ses propres films.

Ce soir :

* À 19h00 : Le notti bianche de Luchino Visconti (1957).
Présentation par Chiara Mastroianni.


 

En entier sur Internet.

Faites votre programme.


À Madrid, à la Cineteca, commence le festival international d’animation contemporaine, Animario 2024, 7e édition (12-15 décembre 2024).


 

Au programme :

* Panorama de animación española.

* Competición internacional de cortometrajes.

* Polonia, la animación quimérica.

* Sesiones especiales.

* Animario pro 2024.

* Animario en familia.


 

Ce soir, ouverture, à 20h00, sala Azcona.
En présence de Ana Collado et Marta Gil.

* Le Tableau de Michele Lemieux (2024)


 

* Rock Bottom de María Trénor (2024).


 

Faites votre programme.


À Madrid, à la Filmoteca española, commence le cycle Indomables de Hollywood (12-28 décembre 2024).


 

Ce soir :

* À 17h30, cine Doré : Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon) aka Tarde de perros de Sidney Lumet (1975).


 

Faites votre programme.


À Paris, à l’occasion de la sortie de Noël à Miller’s Point (2024), le Grand Action, programme un minicycle Tyler Taormina, avec ses deux premiers films (12-17 décembre 2024).

Ce soir :

* À 18h20 : Ham on Rye de Tyler Taormina (2019).


 

Le film sur Jeune Cinéma.

Faites votre programme.


À Paris, au Musée Carnavalet, se tient une exposition historique d’actualité Paris 1793-1794. Une année révolutionnaire (16 octobre 2024-16 février 2025).


 

Ce soir :

* À 19h00 : Surveiller la population. Contrôle des papiers, maintien de l’ordre et conflits dans l’espace public.

Table ronde avec Clyde Plumauzille, Vincent Denis, Fabien Jobard et Philippe Charnotet.


 



Mercredi 11 décembre 2024

 

Le Festival de Locarno nous fait un cadeau. Il nous offre la comédie sociale brésilienne qui a remporté le concours de restauration 2023 de Locarno Pro, jugé par un jury d’experts comme le titre le plus digne d’être restauré, visible en entier du 10 décembre 2024 au 10 janvier 2025.

* Mulher de Verdade (A Real Woman) de Alberto Cavalcanti (1954).


 


 

On regarde le film en version restaurée.


À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Karel Reisz (11-18 décembre 2024).

Présentation par Bernard Benoliel  : Rêves de révolution.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Henri-Langlois : Le Flambeur (The Gambler) de Karel Reisz
(1974).


 

Faites votre programme.


À Madrid, à la Filmoteca española, a commencé le cycle Nosferatu. Las sombras del vampiro (5-19 décembre 2024).

Aujourd’hui :

* À 17h30, Cine Doré : Nosferatu, vampiro de la noche (Nosferatu : Phantom der Nacht) de Werner Herzog (1979).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Nouvel Odéon, c’est le cinéclub des Monteurs associés

Ce soir :

* À 20h15 : Rewind & Play de Alain Gomis (2022).
En sa présence avec Matthieu Deniau.


 


À Paris, la librairie de cinéma du Panthéon, Cinélittéraure, est en grand danger, au point de déclarer le "clap de fin ou presque".
Elle met en vente ses archives : une importante collection d’affiches, de dossiers de presse, de revues, magazines, de photos, cartes postales, de livres.


 

Ce soir, on s’y retrouve pour découvrir la collection Focus, de l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC).

Présentation par les directeurs de la collection Valérie Pozner & Laurent Guido et les auteurs Francis Bordat et Claire Demoulin.

* Francis Bordat & Frédéric Cavé, Le Code Hays, Paris, Éditions AFRHC, 2023.


 

* Valérie Pozner, Gorki au cinématographe, Paris, Éditions AFRHC, 2023.


 

* Claire Demoulin, Émigration et jazz à Hollywood, Paris, Éditions AFRHC, 2024.


 

* Fabian Schmidt & Alexander Zöller, Les Images criminelles sous le nazisme, Paris, Éditions AFRHC, 2024.


 


À Paris, au Grand Palais, en avant-première de la réouverture de l’ensemble de ses galeries en juin 2025, s’ouvre une nouvelle exposition Chiharu Shiota. The Soul Trembles (11 décembre 2024-19 mars 2025).


 

Chiharu Shiota née au Japon en 1972, vit à Berlin.
Son œuvre est composée de performances et d’installations immersives. Ses expositions personnelles datent du début des années 2000. On l’a vraiment découverte au Pavillon japonais de la Biennale de Venise de 2015.
L’exposition du Grand Palais est une rétrospective de ses œuvres depuis ses débuts dans les années 1990, inaugurée en 2019, au Mori Art Museumde Tokyo.


 


Les sorties sur les grands écrans

* Les Femmes au balcon de Noémie Merlant (1954).

* No Nos Moveran de Pierre Saint Martin Castellanos (2024).

* Je ne veux plus y aller, maman de Antonio Fischetti (2024).

* Noël à Miller’s Point (Christmas Eve at Miller’s Point) de Tyler Taormina (2024).

* Vingt dieux de Louise Courvoisier (2024).

* Guérilla des FARC. L’avenir a une histoire de Pierre Carles (2024).

* Fotogenico de Marcia Romano & Benoit Sabatier (2024).

Les ressorties en versions restaurées

* Beyrouth fantôme (Ashbah Beyrouth) de Ghassan Salhab (1998).

* La Cité de Dieu (Cidade de Deus) de Fernando Meirelles & Kátia Lund (2002).

* Rédécouvertes et raretés du cinéma italien, part.2 :

* Pain, Amour et Fantaisie (Pane, amore e fantasia) de Luigi Comencini (1954).

* Le Disque rouge (Il ferroviere) de Pietro Germi (1956).

* Femmes entre elles (Le Amiche) de Michelangelo Antonioni (1957).

* Nuits blanches (Le notti bianche) de Luchino Visconti (1958).

* Meurtre à l’italienne (Un maledetto imbroglio) de Pietro Germi (1959).

* Les Garçons (La notte brava) de Mauro Bolognini (1959).

* Au nom du Pape Roi (In nome del papa re) de Luigi Magni (1977).

* L’Arbre aux sabots (L’albero degli zoccoli) de Ermanno Olmi (1978).



Mardi 10 décembre 2024

 

À Marseille, à l’initiative de l’association Polly Maggoo, commencent les Rencontres internationales Sciences & Cinéma 2024 (RISC), 15e édition (10-14décembre 2024).


 

Il s’agit d’un festival international à la croisée des disciplines, qui propose de découvrir une programmation de courts et longs métrages (documentaires, fictions, animation, expérimental), sélectionnés en raison d’une forte proximité avec des champs de la recherche scientifique incluant les sciences humaines et sociales.

Au programme :

* Section compétitive.
Les jurys.

* Séances scolaires.


 

Ce soir, cérémonie d’ouverture, à 20h00, à la Baleine, deux films :

* Les filles c’est fait pour faire l’amour de Cécile Rousset, Jeanne Drouet, Jeanne Paturle & Emmanuelle Santelli (2023).


 

* Ardenza de Daniela de Felice (2022).
En sa présence avec Stefano Magni et Sylvette Denèfle.


 

Faites votre programme.


À Lyon, à l’Auditorium, l’Institut Lumière programme un cinéconcert, en dehors de ceux du dimanche.

Ce soir :

* À 20h00  : Le Fantôme de l’Opéra (The Phantom of the Opera) de Rupert Julian (1925).
Improvisation à l’orgue par David Cassan.


 

En entier sur Internet.


À Poitiers, l’association Filmer le travail en dehors de son grand festival au mois de février, propose une programmation tout au long de l’année.


 

Aujourd’hui et demain, un événement en deux temps autour du thème Migration(s) : Solidarité(s).

Ce soir :

* À 20h00, au Dietrich, Migration(s) : Solidarité(s) – Projection de courts métrages : Persisting Dreams de Côme Ledésert (2015) ; Soury de Christophe Switzer (2016) ; O’Moro de Eva Offredo & Christophe Calisson (2009) ; La Voix des autres de Fatima Kaci (2023).


 

Demain soir, mercredi :

* À 18h00, au Toit du monde, entrée libre : Migration(s) : Solidarité(s) – Rencontre croisée.


À Paris, The Film Gallery invite à une soirée spéciale consacrée à la cinéaste et théoricienne Germaine Dulac (1882-1942), en collaboration avec les éditions Æncrages & Co.

Ce soir, à 19h00 :

* Thèmes et variations de Germaine Dulac (1928).

* Rencontre avec Prosper Hillairet et Mélanie Forret.

Bonne lecture :

* Germaine Dulac, Avez-vous peur du cinéma ? Chroniques (1919-1931), présentation de Prosper Hillairet, postface de Sandy Flitterman-Lewis, Baume-les-Dames, Æncrages & Co, 2024.
https://www.aencrages.com/2024/06/19/avez-vous-peur-du-cinema/


 


À Paris, au Majestic Passy, s’ouvre un nouveau cinéclub Du livre à la toile consacré aux adaptations littéraires.

Ce soir :

* À 20h00  : Edmond de Alexis Michalik (2018).
En sa présence, avec Stéphane Boudsocq.


 


À Paris, aux Ursulines, c’est le cinéclub de Loïc Barché & Mathieu Farelly, Les films ont des secrets.

Ce soir :

* À 19h30 : Citizen Kane de Orson Welles (1941).


 


À Paris, au Carreau du temple, c’est le cinéclub mensuel CinéCaro.

Ce soir :

* À 19h30 : L’Ours de Jean-Jacques Annaud (1988).
En présence de Jean-Pierre Varin et Christiane d’Hotel.


 


À Paris, à l’Escurial, les Soirées de l’ACID.

Ce soir :

* À 20h15 : Mi bestia de Camila Beltrán (2024).
En présence de Sylvain Verdet.


 



Lundi 9 décembre 2024

 

À Paris, au Majestic Bastille, c’est le cinéclub des Scénaristes de cinéma associés, Intérieur nuit.


 

Ce soir :

* À 20h00 : Rabia de Mareike Engelhardt (2024).
En sa présence avec le co-scénariste Samuel Doux et Guillaume Fabre-Luce.


 


À Paris, à la faveur de l’exposition Chantal Akerman Travelling présentée au Musée du Jeu de Paume, le Centre Wallonie-Bruxelles, en collaboration avec la Fondation Chantal Akerman propose Chantal Akerman passionnément (9-12 décembre 2024).


 

Ce soir :

* À 18h30 : Chantal Akerman par Chantal Akerman (1996).


 

* À 20h00 : Le Frigidaire est vide. On peut le remplir de Chantal Akerman (2004).
Lecture par Natacha Régnier.


 

Faites votre programme.



Samedi 7 décembre 2024

 

À Paris, à la Cinémathèque, a commencé une Rétrospective Sergueï Paradjanov (5-15 décembre 2024).


 

Présentation par Daniel Bird : Sergueï Paradjanov, le cinéaste-poète.

L’ouverture s’est faite avec Les Chevaux de feu (Tini zaboutukh predkiv) de Sergueï Paradjanov (1965).


 

Aujourd’hui :

* À 14h30, salle Henri-Langlois : Sayat Nova : La Couleur de la grenade (Sayat-Nova. Tsvet granata) de Sergueï Paradjanov (1969).


 

* À 18h15, salle Georges-Franju : Rhapsodie ukrainienne (Oukrainskaïa rapsodia) de Sergueï Paradjanov (1961).


 

* À 20h45, salle Georges-Franju : Une petite fleur sur la pierre (Tsvetok na kamne) de Sergueï Paradjanov (1962).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Consulat Voltaire, Anticor co-organise, avec les associations de lutte contre la corruption Sherpa et Transparency International la journée-festival 2024, La Corruption en images, 2e édition.


 

Aujourd’hui :

* À 11h00 : Une affaire de principe de Antoine Raimbault (2024).
En présence de Antoine Rimbault et Kévin Gernier.

* À 14h30 : Malte au nom de Daphné de Jules Giraudat (2021).
En présence de Édouard Perrin, Jimmy Kandé et Chanez Mensous.


 

* À 16h40 : Le Président de Henri Verneuil (1961).
En présence de Benjamin Monnery et Florence Renggle.


 

* À 20h30  : Concert avec Sable Noir.


À Madrid, à la Filmoteca española, a commencé Marcello Mastroianni. Centenario (5-29 décembre 2024).

Ce soir :

* À 21h00, Cine Doré : Le Bel Antonio (Il belli Antonio) de Mauro Bolognini(1960).


 


À Marseille, au Gyptis le collectif Les Rosas, invite à une célébration de la réalisatrice martiniquaise Euzhan Palcy

Ce soir :

* À 17h00 : Rue Cases-Nègres de Euzhan Palcy (1983).
En sa présence.


 

* À 19h00 : Siméon de Euzhan Palcy (1992).


 


À New York, le Metrograph programme An alternate cinema. Five films from the deutsche Kinematek Archives at Berlinale (7-14 décembre 2024).


 

Aujourd’hui :

* À 16h40 : The Endless Night (Die endlose Nacht) de Will Tremper (1963).


 

En entier sur Internet.

* À 20h20 : Dark Spring de Ingemo Engström (1970).


 


 

Faites vote programme.


À Paris, au Cinéma du Panthéon, c’est la séance L’Italie à travers son cinéma.

* À 11h00 : Prima la vita (Il tempo che si vuole de Francesca Comencini (2024)
En présence de Paolo Modugno.


 



Vendredi 6 décembre 2024

 

À Bruxelles, la Cinematek, rend hommage à Ulrike Ottinger, née en 1942, avec une rétrospective intégrale et une carte blanche : Ulrike Ottinger. Théâtre du monde (6 décembre 2024-23 février 2025).

Ce soir, à 19h00, quatre films
En sa présence avec Marie Vermeiren.

* Berlinfieber. Wolf Vostell de Ulrike Ottinger (1973).


 

* Superbia. Der Stolz de Ulrike Ottinger (1986).


 

* Usinimage de Ulrike Ottinger (1987).


 

* Ester. Ein Purimspiel in Berlin de Ulrike Ottinger (2002).


 

Faites votre programme.


À Amsterdam, Eye a commencé le cycle Meesterwerk of Mislukking. Films die hun tijd vooruit zijn ? (Chef-d’œuvre ou échec. Des films en avance sur leur temps ?) (5 décembre 2024-8 janvier 2025).


 

Le cycle a commencé hier avec Synecdoche, New York de Charlie Kaufman (2008).


 

Aujourd’hui :

* À 11h45 et 20h30  : Megalopolis de Francis Coppola (2024).


 

Faites votre programme.


À Toulouse, aux Abattoirs commence une nouvelle exposition Le Musée imaginaire d’Oli (6 décembre 2024-4 mai 2025).


 

Le rappeur Oli investit les quatre grandes salles du musée, en mettant en lumière des œuvres d’artistes renommés tels que JR, Joan Miró et Andy Warhol. Avec des concerts, des ateliers et des performances.


À Paris, au Musée de Arts décoratifs (MAD) se tient l’exposition La mode en modèles. Photographies des années 1920-1930 (6 novembre 2024-26 janvier 2025).


 

Et aussi à la bibliothèque, en accès libre : Les dessous chics ou la mode intime (1919-1939).


 

Toutes les expositions du MAD.



Jeudi 5 décembre 2024

 


 



Mercredi 4 décembre 2024

 

À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Marlon Brando (4 décembre 2024-2 janvier 2025).

Présentation par Arthur Cerf : Une touche de vert.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Henri-Langlois : La Vengeance aux deux visages (One-Eyed Jacks) de Marlon Brando (1961).


 

En entier sur Internet.

Faites votre programme.


À Madrid, à la Filmoteca española, aujourd’hui, commencent deux cycles.

* Un cycle Anne-Marie Miéville. Espacios compartidos (4-28 décembre 2024).

Ce soir :

* À 19h00, Cine doré : Comment ça va ? de Anne-Marie Miéville & Jean-Luc Godard (1976).


 

Faites votre programme.

* Un cycle Reserva India. Revolución y contracultura de los nativos americanos (4-28 décembre 2024).

Ce soir :

* À 21h00, Cine Doré : Los exiliados (The Exiles) de Kent MacKenzie (1961).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Forum des images, commence le cycle Elles sont là pour rester (4 décembre 2024-6 avril 2025).


 

10 réalisatrices aujourd’hui en France : projections et rencontres.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00 : Jouer avec le feu de Delphine & Muriel Coulin (2024).
En leur présence.


 

Faites votre programme.


À Paris, au Centre culturel de Chine on peut voir des films rares, en entrée gratuite sur réservation

Aujourd’hui :

* À 15h00 : Chongqing Hot Pot de Yang Qing (2016).


 


À Paris, au Musée du Jeu de paume, c’est un jour cinéma.

Aujourd’hui :

* À 16h00 : E.1027, Eileen Gray et la maison en bord de mer (Eileen Gray and the House by the Sea) de Beatrice Minger & Christoph Schaub (2024).


 


Centenaire du Surréalisme (1924-2024).


 

À Turin, à l’Université, en collaboration avec les universités de Padoue, de Rome III, l’Arizona State University, l’Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle et le Centro Studi Arti della Modernità –CSAM Turin, commence le colloque international Fonctions du surréalisme (4-6 décembre 2024).


 


Les sorties sur les grands écrans

* Le Conte des contes (Skazka skazok) de Youri Norstein (1979).

* Limonov, la ballade (Limonov : The Ballad of Eddie) de Kirill Serebrennikov (2023).

* Cent mille milliards (100 000 000 000 000) de Virgil Vernier (2024).

* L’Esprit de l’Arcouest, raconté par Hélène Langevin-Joliot de Florence Riou (2024).

* Conclave de Edward Berger (2024).

* Wicked de Jon M. Chu (2024).

* Marmaille de Grégory Lucilly (2024).

* Shambhala, le Royaume des cieux (Shambhala) de Min Bahadur Bham (2024).

* Leurs Enfants après eux de Ludovic Boukherma & Zoran Boukherma (2024).

* La Vie des hommes infâmes de Gilles Deroo & Marianne Pistonne (2024).

Les ressorties en versions restaurées

3 films de Alexander Mackendrick : Whisky à gogo (Whisky Galore ! 1949) ; L’Homme au complet blanc (The Man in the White Suit, 1951) ; Tueurs de dames (The Ladykillers, 1955).

* Noblesse oblige (Kind Hearts and Coronets) de Robert Hamer (1949).

* Vacances sur ordonnance (Last Holidays) de Henry Cass (1950).

* Chaussure à son pied (Hobson’s Choice) de David Lean (1954).

* Sans rien savoir d’elle (Senza sapere niente di lei) de Luigi Comencini (1969).

* Un paese di resistenza de Catherine Catella & Shu Aiello (2016).



Mardi 3 décembre 2024

 

À Paris, la librairie de cinéma du Panthéon Cinélittérature anciennement CinéReflet, est en grande difficulté, au point d’envisager un "clap de fin".


 

Il semble qu’il y ait eu beaucoup de vols, comme autrefois chez Maspéro. Mais aujourd’hui, tous les magasins ont des portiques antivol. Il semble aussi que "le modèle était compliqué à défendre face aux banques, aux algorithmes affolés, aux financiers"... Tous les habitués, tous les clients, tous les amis sont invités à l’aider de toutes les manières possibles.


 

La librairie met en vente ses archives, sa collection de vinyles 45T de musiques de films ; et même le magnifique Juke Box Wurtlizer Collector 45T bien connu.
C’est le moment d’aller y acheter ses cadeaux de fin d’année.


 


 

Mais on peut aussi proposer des idées pour repenser le modèle, trouver des partenaires, des mécènes, des événements porteurs. On y ont tant de bons souvenirs...


 


 


 


 

En tout cas, on s’abonne à la newsletter, pour être tenu au courant de la situation.
En attendant, la librairie est encore vivante, et il y a encore des rencontres :

Ce soir :

* À 19h00 : Rencontre avec Olivier Assayas & Sébastien Rongier.

Bonne lecture :

* Sébastien Rongier, Irma Vep, Olivier Assayas, Paris, éditions Atlande, 2024.


 


À Aix-en-Provence, commence le festival international de courts métrages Tous courts 2024 (FTC), 42e édition (3-7 décembre 2024).


 

Au programme :

* Compétitions ; Internationale ; Expérimentale.
Et Jurys.

* Hors compétition : Coups de cœur ; Femmes et cinéma ; Objets singuliers ; From Ground Zero.

* Vincent Barrot : Cinémamecque.

* Carte blanche à Oxfam.

* Carte Blanche au Festival des Cinémas d’Afrique du Pays d’Apt.

* Rencontres.

* Nuit du court : Mieux vaut en rire !


 

Ce soir, cérémonie d’ouverture en entrée libre :

* À 19h30, Amphithéâtre de la Manufacture : Lou de Tara Maurel (2024) ; Marée noire de Chantal Caron (2024) ; Valley Pride de Lukas Marxt (2023) ; Aux réformés de Lucas Palen (2024) ; Apnées de Nicolas Panay (2024) ; Les Belles Cicatrices de Raphaël Jouzeau (2024).


 

Faites votre programme.


À Madrid, à la Cineteca commence le cycle 1989. Puntos de vista. 35 años de la caída del comunismo (3-8 décembre 2024).

En 1989, a commencé le processus de démantèlement définitif du système de deux blocs idéologiquement opposés. Le cycle montre les changements démocratiques qui s’opéraient à cette époque, à travers les différentes expériences de l’Allemagne, de la Turquie, de la Hongrie, de la Lituanie, de la Pologne et de la Roumanie.

Ce soir :

* À 20h00, sala Azcona : Občan Havel de Pavel Koutecký & Miroslav Janek (2007).
Présentation par Jana Polivkova.


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP), commence le cycle Cinéma France-Japon (3-6 décembre 2024).

Ce soir :

* À 18h00 : Carnet secret des ninjas (Ninja bugei-chô) de Nagisa Oshima (1967).
En présence de Tomuya Endo.


 

Faites votre programme.

Et toujours l’exposition Affiches de films de France et du Japon (26 novembre-14 décembre 2024).


 


À Marseille, au Vidéodrome 2, commence Mémoires des sexualités 2024, 2e édition (3-8 décembre 2024).


 

Ce soir, ouverture :

* À 18h30, trois films : Pénis ailé de Lucile Vitrac, Imane Ammar, Olivia Sarr Desrosiers & Megan Yanez ( 2024) ; Baume au QR de Olfa Bouargoub, Soma & Sol Charr (2024) ; Pas de vol direct Marseille/New-York de Peter Friedman (1998).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Goethe Institut, une soirée particulière : En attendant la chute du Mur : prélude à la réunification ?

Aujourd’hui :

* À 16h00 : B-Movie : Lust & Sound in West-Berlin (B-movie : désir et musique à Berlin-Ouest) de Heiko Lange, Jörg A. Hoppe, Klaus Maeck & Miriam Dehne (2015).


 

* À 19h00 : Stilles Land (Calme Pays) de Andreas Dresen (1992).


 



Lundi 2 décembre 2024

 

Niels Arestrup (1949-2024) est mort hier, 1er décembre 2024.


 

Tous les médias ont largement parlé de lui, et c’est justice, insistant, comme il se doit, sur les récompenses, 3 Césars (dans des seconds rôles) et 4 Molières.


 


 

Et évoquant uniquement les films qui l’ont fait connaître du grand public, alors qu’il allait déjà sur sa soixantaine.

* De battre mon cœur s’est arrêté de Jacques Audiard (2005).


 

* Un prophète de Jacques Audiard (2008).


 

Et le délicieux Quai d’Orsay de Bertrand Tavernier (2013), où il avait le beau rôle, sinon le premier rôle.


 

Niels Arestrup n’était pas une "star" et et il n’a jamais voulu en être une, on ne concevait pas un film à partir de lui, il n’était pas "bankable", comme on dit. Il n’était pas du tout ignoré, mais son importance dans le cinéma français était spéciale, hybride, ambiguë, il était un acteur de poids, parfois, on ne retenait que lui et son personnage, mais il n’était pas une vedette, pas un premier rôle. C’est un peu comme si sa mort l’avait promu dans les chaumières.


 

Longtemps, à chaque nouveau rôle, au cinéma comme au théâtre, et aussi à la télévision, on pouvait se dire qu’il était une découverte à soi. C’est ainsi qu’on a pu flashé sur lui, dès ses débuts. Par exemple, il fut un inoubliable Lopakhine, dans La Cerisaie de Anton Tchekhov, sous la direction de Peter Brook, au début des années 1980, riche marchand parvenu, et toujours moujik. Rétrospectivement, maintenant qu’on en sait plus sur ses origines familiales, on comprend où l’acteur avait pu puiser en lui tant de sincérité et de puissance.
Ses origines ne sont pas anecdotiques. Son père était danois, en 1943, il avait fui son pays envahi par les Allemands, il pensait s’embarquer pour les USA, mais il avait rencontré une Française. Ils s’installèrent en banlieue parisienne et, après la naissance de leur fils unique, devinrent une famille ouvrière comme les autres. Niels Arestrup, lui, mauvais élève, fit quelques belles rencontres, dont Samy Pavel (né en 1944) et Tania Balachova (1902-1973), et commença, à 24 ans, en 1973, une longue carrière de 91 films. Pendant 50 ans, il n’aura jamais cessé de tourner, et n’aura eu aucune éclipse, avec des apogées, et, la plupart du temps, des films solides.


 

Cette carrière a été essentiellement française, la France aura été la destination finale de sa famille. Les USA ne furent pas pour lui, pas plus que pour son père, à part un tout petit rôle dans un film au succès d’estime de Steven Spielberg, War Horse (2011), ou de loin, avec Julian Schnabel, deux films, Le Scaphandre et le Papillon (2007) et At Eternity’s Gate (2018).


 

De temps en temps, il eut aussi des opportunités européennes, la Suisse avec Francis Reusser, en 1976 et 1981, l’Italie avec Marco Ferreri en 1984, la Hongrie avec István Szabó (1991) l’Allemagne avec Volker Schlöndorff en 2014 et 2017. Mais dans l’ensemble, professionnellement, il ne voyagea pas.


 

Et puis il y a eu le théâtre entre 1973 et 2021, et presque chaque année une création, avec les grands de la Décentralisation, particulièrement Roger Planchon (1931-2009), Peter Brook (1925-2022), Gabriel Garran (1929-2022), Maurice Bénichou (1943-2019), Andréas Voutsinas (1932-2010), Philippe Adrien (1939-2021)...
Il disait : "Le cinéma n’a jamais eu le caractère de gravité du théâtre. Sur scène, on est lâché pendant une heure et demie au minimum. Tout peut arriver, du trou de mémoire à la crise cardiaque. Le théâtre est plus martyrisant pour le comédien".
Il disait aussi : "Tourner un film est plus ludique que le théâtre. On part un mois ou deux avec plein de gens, on boit, on est ailleurs, on déconne..."
Il ne choisit pas, il fit les deux.


 

Curieusement, dès le début il travail aussi pour la télévision, en même temps, de 1974 à 2022. Chacune de ses apparitions était une surprise. On se souvient particulièrement d’une de ses dernières, Baron noir la série créée par Éric Benzekri & Jean-Baptiste Delafon, avec Kad Merad et Anna Mouglalis (2016-2022). Et aussi de la mini-série créée par créée par Bruno Merle & Olivier Abbou, Papillons noirs (2022), avec Nicolas Duvauchelle. Là, on a senti que quelque chose de lui, de son art, était en train de finir.


 


 

Maintenant qu’il est mort, nous reviennent aussi toutes sortes d’images, des silhouettes, des petits rôles de ses premiers films, pendant la trentaine d’années qui a précédé sa célébrité. Par exemple, le camionneur de Je, tu, il, elle de Chantal Akerman(1974).


 


 

Ou bien on est étonné de voir figurer dans sa filmographie Stavisky de Alain Resnais (1974). Il faut dire que, dans le film, le secrétaire de Trotski, on ne le voyait guère. En revanche, on se souvient de l’avoir carrément découvert, avec sa beauté et sa jeunesse, dans Demain les mômes de Jean Pourtalé (1976), aux côtés de Brigitte Roüan.


 

En entier sur Internet.

Dans les années 2010, il tourna pratiquement 2 ou 3 films par an. On n’a pas oublié Tu seras mon fils de Gilles Legrand (2011).


 

Et pas non plus À perdre la raison de Joachim Lafosse (2012).


 

Son dernier film, Divertimento de Marie-Castille Mention-Schaar (2022), tient une place particulière. Comme souvent, il y a à la fois un rôle référent et marginal, et c’est peut-être le film où il se ressemble le plus.


 

On adore cette anecdote : En 2014, il disait que chaque acteur était placé dans un couloir. Lui, il avait hérité de celui du méchant complexe. Et qu’il se verrait bien, plutôt, dans l’univers de Albert Dupontel. Ce sera fait en 2017, avec Au revoir là-haut.


 

Du marchand Lopakhine au chef d’orchestre Sergiu Celibidache, il était lourd, lent, calme, dur aussi, mauvais parfois. Derrière son regard triste, on croyait percevoir une attention particulière au monde, une sorte de tendresse, un secret. C’est cette incertitude que nous aimions.


À Paris, au Centre culturel canadien, au Musée du Quai Branly, puis à Nantes, au cinéma Le Concorde, commence le festival Ciné Alter’Natif 2024, 10e édition (2-8 décembre 2024).


 

Créé en 2009, il est organisé par l’association De la Plume à l’Écran. Il programme des films faits et/ou produits par des autochtones des Amériques

Au programme :

* Thématique : Sports. Autochtonie. Fiertés.

* Invités.

* Rencontres littéraires.

* Fierté des origines.

* Humour gagnant.

* Hall of fame. Le Temple de la renommée autochtone.

* Sur le podium : Portraits de champion·nes.

Ce soir, Top départ :

* À 20h00, au Centre culturel canadien : Les Grizzlies de Miranda de Pencier (2018).


 

Précédé par Inuit High Kick de Alethea Arnaquq‐Baril (2009).


 

Rencontre avec Céline Petit.

Faites votre programme.



Dimanche 1er décembre 2024

 

À Clermont-Ferrand, commence Traces de Vies 2024, 34e édition (1er-7 décembre 2024).


 

Le festival propose chaque année un état du cinéma documentaire de création.

Au programme :

* Thématique : Documenter les mondes de demain ?

* Invitée pour la Leçon de cinéma : Julie Bertuccelli.

* Compétition.

* Art du présent.

* Séances spéciales.

* Coursives.

Aujourd’hui, ça commence dès 11h00.

Ce soir, cerémonie d’ouverture :

* À 18h00, salle Jean-Cocteau : Le Veilleur de Lou du Pontavice & Victoire Bonin Grais (2024).


 


 


 

Faites votre programme.


À Bruxelles, à la Cinematek, commence une Rétrospective Alfred Hitchcock (1er décembre 2024-26 février 2025).

Ce soir :

* À 20h15 : Le Jardin du plaisir (The Pleasure Garden) de Alfred Hitchcock (1925).


 

Faites votre programme.


À New York, le Metrograph propose une sélection de la cinéaste indienne Mira Nair, née en 1957 à Bhubaneshwar vivant à New York, sur le cinéma indien moderne : Mira Nair’s Take on Modern Indian Cinema (1er-5 décembre 2024).

Aujourd’hui :

* À 16h45 : Boong de Lakshmipriya Devi (2024).


 


 

* À 19h15 : All That Breathes de Shaunak Sen (2022).


 

Faites votre programme.


Centenaire du Surréalisme (1924-2024).


 

À Paris, à la librairie Publico

* À 16h00 : Rencontre avec le groupe surréaliste de Paris.

Bonne lecture :

* Revue Alcheringa n°5, été 2024 : Le surréalisme aujourd’hui.


 


Le Monde diplomatique de décembre 2024 est paru.


 

* On l’achète en kiosques.

* On le feuillette.

* On s’abonne.



Au fil du temps, tous les éditos
 

Voyage dans le temps.
 



Revue Jeune Cinéma - Mentions Légales et Contacts