Journal de Pierre Vernant (mai 2025) II
16-31 mai 2025
publié le samedi 31 mai 2025


Samedi 31 mai 2025

 

À Bologne, à la Cineteca commence une Rétrospective Lars von Trier (31 mai-2 juin 2025).

Ce soir :

* À 22h15, au Modernissimo : Dogville de Lars von Trier (2003).


 

Faites votre progamme.


À Londres, à la Tate Modern se tient The Genesis Exhibition : Do Ho Suh : Walk the House (1er mai-19 octobre 2025).


 

Do Ho Suh est d’origine coréeenne, il est basé à Londres.
Cette exposition est une sorte de bilan de son œuvre (installations, sculptures, vidéos et dessins à grande échelle). Il y explore l’énigme du foyer, de l’identité et de la façon dont nous nous déplaçons et habitons l’architecture, avec nos souvenirs, à travers des répliques grandeur nature de maisons passées et présentes, à Séoul, New York et Londres.


 



Vendredi 30 mai 2025

 

À Brooklyn, commence le BRKLN Film Festival 2025 (BFF), 28e édition (30 mai-8 juin 2025).


 

Au programme :

* Narrative Feature.

* Narrative Short.

* Documentary Feature.

* Documentary Short.

* Animation.

* Experimental.


 

Ce soir, Opening Night :

* À 19h00 : This Will Never Work de Marina Tempelsman & Niccolo Aeed (2024).


 

Faites votre programme.


À Zurich, au FilmPodium, commence un cycle
Nick Cave : Poet of Loss and Ruination (30 mai-5 juillet 2025).


 

Nick Cave va donner 3 concerts à Zurich (10-12 juin 2025).
À cette occasion le FilmPodium programme un cycle qui montre les nombreuses facettes artistiques de cet artiste pluridisplinaire, et notamment son côté moins connu en tant que compositeur de musique de film et scénariste.

Ce soir :

* À 20H45 : 20 000 jours sur Terre (20’000 Days on Earth) de Iain Forsyth & Jane Pollard (2014).


 

Faites votre programme.



Jeudi 29 mai 2025

 

À Paris, à la Cinémathèque, commence la rétrospective Le cinéma chinois au féminin (29 mai-2 juin 2025).

Présentation par Violet Wang  : Elles se construisent en créant.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Henri-Langlois : Woman Demon Human (Rén guǐ qíng) de Huang Shuqin (1987).
Présentation par Jinhua Dai.


 

Faites votre programme.


À New York, au Lincoln Center et au MoMA, commence le festival de cinéma italien Open Roads : New Italian Cinema 2025, 24e édition (29 mai-5 juin 2025).


 

Au programme, des premières de cinéastes, débutants ou reconnus, et des débats avec 14 cinéastes présents

Aujourd’hui :

*À 15h30 : Diamonds (Diamanti) de Ferzan Özpetek (2024).


 

* À 19h00 : Prima la vita (Il tempo che ci vuole) aka The Time It Takes de Francesca Comencini (2024).
En présence de Fabrizio Gifuni.


 

Faites votre programme.


À Paris, commence Ciné Palestine Paris 2025, 11e édition (29 mai-8 juin 2025).


 

En 2025, le festival a débuté avec Ciné Palestine Marseille, 4e édition (22 mai-25 mai 2025).

L’ouverture parisienne se tient au Luminor Hôtel de Ville (29 mai-1er juin 2025). La programmation se poursuivra en Île-de-France à Fontenay-sous-Bois (Kosmos), à Saint-Denis (L’Écran), à Stains (Espace Paul-Eluard).
Et s’achèvera à Ivry-sur-Seine (Le Luxy).

Ce soir, ouverture, à 20h00, au Luminor :

* À 20h00, au Luminor : Some Strings : Round Image & Sound, 1901-2024. The cinema of solidarity de Sarah Wood (2024) ; Morts pour la Palestine de Mamoun Bonni (1974) ; Vidéotracts pour la Palestine du collectif Video Tract For Palestine (2025).

En présence de Mamoun Bonni et de membres du collectif Urgence Palestine.

Faites votre programme.


À Paris, au Saint-André des arts, commence le festival international de courts métrages de cinéma expérimental CosmiX 2025, 4e édition (29-31 mai 2025).


 

Ce soir :

* À 20h00 : Aggro Dr1ft de Harmony Korine (2023).
Présentation par Théodore Anglio-Longre.


 

Faites votre programme.



Mercredi 28 mai 2025

 

À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective John M. Stahl (28 mai-29 juin 2025).

Présentation par Hala Habache : Œuvre de vies et de silences.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Henri-Langlois : Images de la vie (Imitation of Life) de John M. Stahl (1934).


 

Faites votre programme.


À Paris, dans plusieurs cinémas

à L’Arlequin, au Mk2 Quai de Seine, au Pathé Convention et à l’UGC Gobelins, c’est la reprise des films de la section Un Certain Regard du Festival de Cannes 2025 (28 mai-3 juin 2025).

Ce soir, à l’Arlequin :

* À 18h00 : Lumière pâle sur les collines (Tôi Yama-nami no Hikari) de Kei Ishikawa (2025).


 

* À 20h30 : L’Inconnu de la Grande Arche de Stéphane Demoustier (2025).


 

Faites votre programme.


À New York, au MoMA commence le cycle Queer and Uncensored (28 mai–27 juin 2025)

Ce cycle est une célébration cinématographique de la sexualité, de l’amour et du militantisme lesbien, gay et transgenre qui présente sept décennies de films pionniers et marquants, ainsi que des œuvres moins connues ou marginalisées.

Aujourd’hui, à16h30, deux films :

* Salomé de Charles Bryant & Alla Nazimova (1922).


 

En entier sur Internet.

* Fuses de Carolee Schneemann (1965).


 

Faites votre programme.


Les sorties sur les grands écrans

* Monsieur Constant de Alan Simon (2023).

* Chime de Kiyoshi Kurosawa (2024).

* Another End de Piero Messina (2024).

* The Phoenician Scheme de Wes Anderson (2025).

* Hot Milk de Rebecca Lenkiewicz (2025).

* Shimla, une fugue des temps modernes de Johan Reboul & Victoria Guillomon (2025).

Les ressorties en versions restaurées

* Lili Marleeen de Rainer Werner Fassbinder (1981).

* Le Peuple migrateur de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud & Michel Debats (2001).



Mardi 27 mai 2025

 

À Argelès, au cinéma Jaurès, commencent les Rencontres Cinémaginaire 2025, 40e édition (27 mai-1er juin 2025).


 

Au programme, une thématique : Vive le cinema !

Aujourd’hui :

* À 14h00 : Une pointe d’amour de Maël Piriou (2025).


 

Ce soir :

* À 18h30 : Les 40 ans du festival. Inauguration des nouveaux aménagements du cinéma Jaurès avec prises de paroles.

* À 19h30 : Inauguration de l’exposition à la médiathèque 40 ans du Festival et hommage à Nadya Bazas

* À 21h00 : Tornarem de Felip Solé (2011).
En sa présence.


 

Faites votre programme.


À Cannes, commence le Festival international du film écologique et écocial 2025 (FIFES), 5e édition (27 mai- 1er juin 2025).


 

Au programme :

* Thématique  : L’eau notre source d’inspiration.

* Compétition internationale.
Et Jury.

* Section jeunesse.

* Courts métrages hors compétition.

* Films des Territoires.

* Village des initiatives.

* Artistes créateurs de trophées.

* Exposition de Celyne Roy.

Aujourd’hui, ça commence dès le matin :

* À 9h30, Olympia : Moon, le panda de Gilles de Maistre (2025).


 

* À 14h00, Miramar : Il était une fois dans la forêt (Havumetsän lapset) de Virpi Suutari (2023).


 

* À 18h00, Miramar : Les courts métrages intergénérationnels.

Demain 28 mai 2025, cérémonie d’ouverture :

* À partir de 16h30, en plein air sur la Place de la Castre : Marché des Créateurs, Aubade au Marché Forville, Aubade et danse traditionnelle sur la Place de la Castre, Cérémonie d’ouverture et cocktail dînatoire, Conférence de Nelly Pons, Spectacle de danse de la Compagnie Les Somatonautes.

* À 21h30 : L’Appel de la forêt (The Call of the Wild) de Chris Sanders (2020).


 

Faites votre programme.


À Francfort, en coopération avec la Japan Foundation,
la JaDe Foundation et le Kulturfonds Frankfurt RheinMain, commence le Nippon Connection Film Festival 2025, 25e édition (27 mai-1er juin 2025).


 

C’est le plus grand festival mondial dédiée au cinéma japonais. Il se déroule chaque année pendant six jours au début de l’été dans différents lieux de Francfort-sur-le-Main. Son programme cinématographique et culturel unique couvre un large éventail d’événements, incluant des aspects traditionnels et modernes de la culture japonaise, avec des raretés historiques du Japon au Deutsches Filminstitut & Filmmuseum.


 

Ce soir, cérémonie d’ouverture :

* À 19h00, au Arthouse Kino : 90 Years Old - So What ? (Kyu Ju Sai. Nani ga Medetai) de Tetsu Maeda (2024).


 

À partir de demain, 28 mai 2025 au Deutsches Filminstitut & Filmmuseum (DFF)

* À 18h00 : Le Fil blanc de la cascade (Taki no shiraito) aka The Water Magician de Kenji Mizoguchi (1933).


 

Faites votre programme.


À Paris, à l’Institut du monde arable (IMA), se tient l’exposition Trésors sauvés de Gaza. 5000 ans d’histoire (3 avril-2 novembre 2025).


 

Depuis 2007, le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH) est devenu le musée-refuge d’une collection archéologique de près de 529 œuvres appartenant à l’Autorité nationale palestinienne et qui n’ont jamais pu retourner à Gaza : ces amphores, statuettes, stèles funéraires, lampes à huile, figurines, mosaïque..., datant de l’âge du bronze à l’époque ottomane, forment un ensemble devenu une référence au vu des destructions récentes.


 

Ce soir, un film :

* À 20h00 : Pour l’honneur de Gaza (Once Upon a Time in Gaza) de Iyad Alastall (2025).


 


En Corse, à Corte, l’Università di Corsica célèbre le tricentenaire de la naissance de Pasquale Paoli (1825-1907).


 

À Bastia, à cette occasion, Casa di e Lingue et Arte Mare organisent une soirée cinéma avec la projection de deux films en plein air, à 21h00, entrée gratuite.

* Paoliwood de Lionel Dumas Perini (2023).


 

* James "Corsica" Boswell de Lionel Dumas Perini (2024).
En sa présence.


 

Sur France Culture.


À Paris, au Majestic Bastille, c’est le cinéclub des Scénaristes de cinéma associés Intérieur/Nuit #6.

Ce soir :

* À 20h15  : Omar m’a tuer de Roschdy Zem (2010).
En présence du co-scénariste Olivier Gorce, avec Hedi Sassi.
Rencontre sur le thème de l’écriture de film sur un fait judiciaire.


 


À Paris, au Forum des images
dans le cadre de 100% doc saison 2024-2025 chaque mardi (24 septembre 2024-6 juillet 2025), le Centre Simone-de-Beauvoir, présente un documentaire sur la première femme océanographe française, Anita Conti, embarquée en 1952 sur un chalutier de pêche à la morue en Atlantique.

Ce soir :

* À 21h00 : Voyage de documentation de Madame Anita Conti de Louise Hémon (2023).
En sa présence.


 


À Lyon, aux Théâtre des Célestins Philippe Torreton a adapté et joué le long poème de Jean Genet en s’entourant d’un acrobate et d’un musicien : Le Funambule de Jean Genet (6-10 mai 2025).


 

Aujourd’hui, il revient à l’Institut Lumière

Ce soir :

* À 18h30 : Souvenirs de Bertrand Tavernier par Philippe Torreton.
Lecture de passages de Mémoires interrompus de Bertrand Tavernier (Institut Lumière/Actes Sud, 2024).


 

* À 20h30 : Capitaine Conan de Bertrand Tavernier (1997).
Présentation de Philippe Torreton.


 

Bonne lecture :

* Philippe Torreton Un cœur outragé, Paris, Calmann-Lévy, 2024.


 



Lundi 26 mai 2025

 

Marcel Ophuls (1927-2025) est mort samedi dernier, le 24 mai 2025.


 

On connaît Marcel Ophuls pour deux raisons principales : son haut fait d’arme avec Le Chagrin et la Pitié (1969), et à cause de la célébrité de son père, Max Ophüls (1902-1957). Il en a toujours eu bien conscience d’ailleurs, puisque, quand il écrit son autobiographie, en 2014, à 87 ans, il l’intitule Mémoires d’un fils à papa.

Et, en effet, toute son œuvre (23 films, dont 8 téléfilms entre 1958 et 2013) est une sorte de reflet de son histoire tourmentée.
Cette histoire commence vraiment en 1933, à Berlin. Cette année-là, après avoir été l’assistant de Anatole Litvak en 1931 et réalisé un court et un long métrage en 1932, son père, Max Ophüls, a réalisé deux nouveaux longs métrages, Lachende Erben, et Liebelei qui est à l’affiche et est un succès prometteur. L’incendie du Reichstag a lieu la nuit du 17 février 1933. La famille est juive et ses parents sont des personnage publics, au théâtre puis au cinéma, depuis 1926 - sa mère est l’actrice Hildegard Wall. Ils doivent quitter le pays natal de façon urgente, et ils le font à regret. Marcel Ophüls a 6 ans.

Ils s’installent d’abord en France, y acquièrent la nationalité française. Et Max Ophuls y reprend une carrière, en France et en Italie, avec une douzaine de films entre 1934 et 1940. En 1940, la défaite française et l’occupation allemande obligent à un nouveau départ, interrompant le tournage d’un film en cours avec Louis Jouvet et Madeleine Ozeray, L’École des femmes. Ils repartent cette fois pour l’Espagne, puis le Portugal, avant de s’embarquer vers les États-Unis, où son père est encore obligé de recommencer. Entre 1946 et 1949, sur les cinq films qu’il réussit à y tourner, seul Lettre d’une inconnue (1948) est vraiment demeuré dans les mémoires. C’est à partir de 1950, de retour en France qu’il va tourner ses chefs d’œuvre, La Ronde (1950), Le Plaisir (1952), Madame de... (1953), Lola Montès (1955), son dernier films. Il meurt jeune, à 54 ans.


 

Pendant la difficile période américaine de son père, Marcel Ophuls joue quelques petits rôles, avec Frank Capra & Anatole Litvak, Prélude à la guerre (1942) ou Michael Curtiz, dans Passage to Marseille (1944), puis il est enrôlé dans l’armée, et envoyé au Japon. Il racontera ces aventures dans son dernier film, autobiographique, Un voyageur (2013), sélectionné au Festival de Cannes, mais inédit en salle en France.


 

C’est en France, alors que son père s’est stabilisé, qu’il peut enfin devenir plus autonome, avec des débuts classiques en tant qu’assistant de Jean Dréville, de Julien Duvivier ou de son père, sur Lola Montès. Après la mort de son père en 1957, il réalise quelques courts métrages pour la télévision signés avec le nom de sa mère, Marcel Wall. Puis à partir de 1960, cinq films : un documentaire sur Matisse, une "saynette" dans L’Amour à vingt ans (Berlinale 1962), aux côtés Shintarō Ishihara, Renzo Rossellini, François Truffaut, Andrzej Wajda, et trois fictions qui ne rencontrent guère de succès.


 

Ce n’est qu’en 1969, à 31 ans, qu’il connaît la célébrité avec son documentaire Le Chagrin et la pitié, réalisé avec comme scénaristes André Harris & Alain de Sédouy. Cette chronique d’une ville française sous l’occupation (Clermont-Ferrand) mêle archives et entretiens, où l’image de la France résistante dans son ensemble se révèle relever de la légende. Diffusé à la télévision allemande (coproductrice) dès 1969, le film connaît une virulente controverse en France, et des critiques de tous bords. Il est refusé par l’ORTF, notamment à cause de Simone Veil. Du coup, il sort en salle, au Saint-Séverin, en avril 1971, puis, devant son succès public, dans d’autres salles. Il est présenté dans des festivals internationaux, et, en 1972, il reçoit finalement le Prix Meilleur Programme télévisé étranger au BAFTA (Diffusion Allemagne, Suisse, Pays-Bas et États-Unis). Et il est nommé à l’Oscar du meilleur film documentaire en 1972.


 

Marcel Ophuls ne rencontrera plus jamais une renommée aussi historique, mais il faut noter spécialement un autre de ses films, Hôtel Terminus (1988), sous-titré "Klaus Barbie, sa vie et son temps", sélectionné officiellement par le Festival de Cannes 1988 dans la section Un certain regard, Meilleur documentaire à la Berlinale 1989 et Oscar 1989 du meilleur film documentaire. Dans l’entretien réalisé par Jeune Cinéma à propos de ce film, il parle aussi de lui et des escapades familiales heureuses en Suisse, pendant la guerre, grâce au statut privilégié de son père.


 

Entre 1972 et 2013, il a réalisé une série de documentaires, tous plus ou moins liés à son histoire, la guerre et l’Allemagne. Avec des sujets brûlants : le conflit en Irlande du Nord (A Sense of Loss, 1971) ; la façon dont les violences commises en temps de guerre peuvent et doivent être jugées (L’Empreinte de la justice, 1976) ; ou encore une ambitieuse réflexion sur le journalisme en temps de guerre (Veillées d’armes, 1994), César du meilleur documentaire 1995.

À son crédit, aussi, une dizaine de téléfilms etre 1957 et 1990, dont le dernier sur la chute du mur de Berlin et ses conséquences avec November Days (1990).

À chaque fois, Marcel Ophüls part à la recherche de témoins, qu’il ne ménage pas, confirmant ou infirmant leurs dires avec des images d’archives. Son œuvre est un cinéma d’enquête, qui ne s’est jamais revendiqué comme objectif.

Bonne lecture :

* Marcel Ophuls, Mémoires d’un fils à papa, Paris, Calmann-Lévy, 2014.


 

Sur France culture.


À Paris, aux 7 Parnassiens au Balzac et au Pathé Les Fauvettes, commence le Festival du cinéma chinois de Paris 2025, 16e édition (26 mai-14 juin 2025).


 

Au programme :

* Invités d’honneur : Wang Chao ; Ning Jingwu ; Hu Mei ; Liu Miaomiao ; Dai Wei ; Lin Peng.

* Sélection officielle.

* Colloques, au Centre culturel chinois.

* Projections exceptionnelles.

Ce soir, cérémonie d’ouverture :

* À 20h00, au Balzac : Le Rêve dans le Pavillon rouge (Hong lou meng) de Hu Mei (2024).
En sa présence, avec l’équipe du film.


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, une ciné-rencontre gratuite :

Ce soir :

* À 20h00 : The Heart is a Hungry Hunter de Sandra Prechtel (2013).
En sa présence.


 



Dimanche 25 mai 2025

 

Mohammed Lakhdar-Hamina (1934-2025) est mort à Alger, ce mardi 23 mai 2025.


 

On appris sa mort au Festival de Cannes au moment où Cannes Classics célébrait le 50e anniversaire de la palme d’or qu’il avait obtenue, en 1975, pour Chronique des années de braise, l’unique Palme d’or africaine. Il n’avait pas pu se déplacer et c’est son fils qui assistait à cette célébration.


 


 

Mohammed Lakhdar-Hamina était un fils de paysans des hauts plateaux du Nord-Est de l’Algérie. Il avait d’abord rejoint l’école d’agriculture, et avait continué ses études en France. Son père fut torturé et tué pendant la guerre. Appelé sous les drapeaux de l’armée française à 24 ans, en 1958, il avait choisi de rejoindre le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) qui venait de se former à Tunis, sous la présidence de Ferhat Abbas. C’est là qu’il avait d’abord appris le métier de cinéaste sur le tas, aux actualités tunisiennes, réalisant des courts métrages et des documentaires et avait ensuite intégré l’Académie du cinéma de Prague.


 

À l’indépendance, il avait créé l’Office des actualités algériennes (OAA), qu’il a dirigé de 1963 à sa dissolution en 1974. En 1981, il avait la direction de l’Office national pour le commerce et l’industrie cinématographique (ONCIC) qu’il avait quitté en 1984.
À son actif, comme artiste, il n’a que 13 films, réalisés entre 1959 et 2014, ses cinq premiers courts métrages compris. Mais dès son premier long métrage de fiction, réalisé en 1966, il a été reconnu : Le Vent de Aurès (Rih al awras), est sélectionné en compétition au Festival de Cannes, et reçoit le Prix de la première œuvre en 1967.


 

En entier sur Internet.


 


 


 

Deux autres de ses films, Vent de sable (1982) et La Dernière Image (1986) y ont été sélectionnés en compétition.


 

Toute son œuvre, qui ne comprend qu’un seul documentaire - Mais un jour de novembre (1964) - son premier long métrage en 1964, est imprégnée de son histoire, celle de sa famille, celle de son pays.
Et tout particulièrement son chef d’œuvre, Chronique des années de braise (Waqai sinin al-djamr, 1975).
En 6 chapitres, il y raconte la guerre d’Algérie, avec des faits précis, depuis les premiers mouvements de résistance jusqu’à l’insurrection la Toussaint rouge en 1954, quand il a eu 20 ans.
Il dira : "J’avais envie d’expliquer pour la première fois comment est arrivée la guerre d’Algérie. Cette révolte, qui est devenue la révolution algérienne, est non seulement contre le colonisateur, mais aussi contre la condition de l’homme. Mais mon film n’est qu’une vision personnelle".

Il dira aussi : "Je n’ai pas la prétention d’écrire l’histoire du peuple algérien".
Pourtant, c’est ce qu’il a fait, avec humilité. Son fils, à Cannes cette année a déclaré : "À travers ce film, Mohamed Lakhdar-Hamina a tendu la main pour rassembler et non diviser. Il a fait du cinéma une terre d’accueil".


 



Samedi 24 mai 2025

 

Sebastião Salgado (1944-2025) est mort hier, le 23 mai 2025 à Paris.


 

Brésilien, réfugié politique en France, grand "reporter" de la forêt amazonienne, il était plutôt un citoyen du monde, grand témoin de l’état de la planète, avec ses voyages du Rwanda à l’Indonésie, du Guatemala au Bangladesh, ou, aussi, à la cité des 4000 à La Courneuve, à la demande du Parti communiste.


 


 

"L’un des plus grands et meilleurs photographes que le monde ait connus", a salué le président Lula.


 

À Rovereto, au Musée d’art moderne (MART) et à Trente au MUSE à l’occasion de l’année internationale consacrée aux glaciers, se tient actuellement une exposition Sebastião Salgado. Ghiacciai (12 avril-21 septembre 2025).


 

Elles ont été organisées à partir d’une idée du Trento Film Festival, le plus ancien festival international du film consacré à la montagne, à l’aventure et à l’exploration.


 


Bon anniversaire à Bob Dylan, 84 ans aujourd’hui.


 


À Cannes, pendant que le jury du Festival, présidé par Juliette Binoche délibère, pendant toute la journée, c’est la reprise des films de la compétition officielle.


 

Faites votre programme.


 

Ce soir, malgré la panne d’électricité qui a frappé tout l’est des Alpes maritimes, suite à des "actes de malveillance" (deux incendies volontaires d’un poste électrique dans le Var et plusieurs pylônes sciés), et grâce à son groupe électrogène, la cérémonie de clôture, aura bien lieu, présentée par Laurent Lafitte, avec la grande distribution des prix.
À partir de 18h40 en direct sur France 2, puis en replay.


 


À Marseille, au Vidéodrome2, on fête les 80 ans de Peuple et Culture (et 22 ans pour l’antenne marseillaise) ce week-end : Cycle Ce qui nous tient (24 mai-2 novembre 2025).


 

Ce soir :

* À 20h00 : Fréquence Julie de Mia Ma (2021).


 

Et demain, dimanche 25 mai 2025, à 20h00 :

* Clichy pour l’exemple de Alice Diop (2006).


 

* Kindertotenlieder de Virgil Vernier (2020).


 

Faites votre programme.


À New York, au MET se tiennent deux expositions de printemps :

* Monstrous Beauty. A Feminist Revision of Chinoiserie (25 mars-17 août 2025).


 

* The New Art : American Photography, 1839–1910 (11 avril-20 juillet 2025).


 


 


À Paris, à l’Académie du climat, c’est un week-end Écologie et résistance (24-25 mai 2025).


 

Avec notamment le Nouvel Obs, la Fondation Jean-Jaurès, la

Fondation Edgar-Morin,

* À 14h00 : État des lieux du backlash écologique.
Avec Benoît Calatayud, Amélie Deloffre, Léonard Dermarkarian, Sébastien Billard.

* À 14h45 : Conversation sur les stratégies de résistance.
Avec Cyril Dion, Arnaud Gonzague.

* À 15h30 : Comment nos cerveaux réagissent au déni écologique ?
Avec Albert Moukheiber, Xavier de La Porte.

* À 16h30 : La géopolitique du backlash.
Conférence de Pierre Haski.

* À 17h00 : Conférence d’introduction à la complexité du monde contemporain.
Avec Fausto Fraisopi, Christopher Yggdre, Jean-Marc Loubet.

* À 17h30 : Empêcher la contagion des discours anti-écolos.
Table ronde avec Thomas Legrand.

* À 18h30 : Greenwashing Comedy Club.
Avec Anne Dupin, Ameziane, Le Roi Borgne, Claire Isirdi, Paul Scarfoglio.

Demain dimanche 25 mai 2025, des projections, à 15h30 : Climato-relativisme et backlash.

* Vivons-nous un backlash écologique ? Enquête sur les résistances à l’égard de la transition verte de Romane Levi (2025).

* La Guerre de l’info sur le climat de Zoé de Bussierre & Roberto Garçon (2025).


 



Vendredi 23 mai 2025

 

À Tarifa et à Tanger, sur les deux rives continentales du détroit de Gibraltar, commence le Festival de cinéma africain 2025 (FCAT), 22e édition (23-31 mai 2025).


 

À l’origine, simple Muestra de Cine Africano (2004-2006), créée à l’initiative de l’ONG Al Tarab, à Tarifa en 2004, elle est devenue un festival compétitif en 2007, puis, au long des années, a développé un large éventail d’activités associées (expositions d’art visuel, performances, ateliers, section jeune public, engagement auprès de l’industrie cinématographique africaine). Ile festival s’est tenu aussi à Cordoue (2012-2015). Il a actuellement des extensions à Algeciras, Cordoue, Madrid, Séville, et Los Toruños.

Au programme :

* Prix Perspectives africaines au cinéaste franco-marocain Saïd Hamich Benlarbi.

* Compétitions : Hipermetropía (longs métrages du Cameroun, Algérie, Maroc, Tunisie, Soudan, Égypte, Somalie, République démocratique du Congo, Rwanda, Afrique du Sud, Cap-Vert et USA) ; En breve (courts métrages de Maghreb, Mauritanie, Cap-Vert, Éthiopie, La Réunion, Île Maurice, Afrique du Sud, Haïti et Canada).
Et Jury.

* Hors compétition : La Tercera Raíz ; Miradas Españolas ; Ecos del Cuerno – Retrospectiva ; Sesiones especiales.

* Rencontres : Arbol de las Palabras ; Encuentros temáticos


 

Ce soir, cérémonie d’ouverture, à Tanger :

* À 19h00, cinéma Alcázar : Samia de Yasemin Şamdereli & Deka Mohamed Osman (2024).
En sa présence, avec le maire de Tanger, Mounir Laymuri et celui de Tarifa, José Antonio Santos Perea.
Présentation par Marta Jiménez.
Accompagnement musical : Javier Prieto (percussionniste) & Omar Bel Lahmar (violoniste)

À Tarifa :

* À 21h00, Teatro Alameda : Samia de Yasemin Şamdereli & Deka Mohamed Osman (2024).
Presentation par Marion Berger et Federico Olivieri.


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Cinémathèque, à l’occasion de l’exposition Wes Anderson (19 mars-27 juillet 2025), une leçon de cinéma.


 

Ce soir :

* À 18h00, salle Henri-Langlois : Robert Yeoman par Robert Yeoman.
Avec Laurent Mannoni et Isaac Gaido-Daniel.

Suivie de :

* The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson (2014).


 



Jeudi 22 mai 2025

 

À Marseille, en partenariat avec Films Femmes Méditerranée et La BaaM s’ouvre le Festival Ciné-Palestine 2025, 4e édition (22-25 mai 2025).


 

Créé en 2015, il se tient chaque année dans plusieurs lieux à Paris et en Île-de-France, et, depuis 2022, à Marseille.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, aux Variétés en présence de Marianne Barakat :

* If I forget thee, Gaza de Vincent Guilbert (2024).


 

* Mawtini de Marianne Barakat (2024).


 

* Familiar Phantoms de Larissa Sansour & Søren Lind (2023).


 

* Upshot de Maha Haj (2024).


 

À Paris et région parisienne, le Festival CinéPalestine 2025 en sera à sa 11e édition (29 mai-8 juin 2025).


 

Faites votre programme.


À Paris, c’est la reprise des films primés du Festival international Jean Rouch 2025, 44e édition (8-15 mai 2025).


 

Aujourd’hui au Musée de l’Homme :

* À 14h00 : Rashid, l’enfant de Sinjar (Rashid, the boy from Sinjar) de Jasna Krajinovic (2025).


 

* À 15h30 : La Saison perdue (The Lost Season) de Mehdi Ghanavati (2024).


 

* À 16h45 : Tongo Saa. Rising Up at Night de Nelson Makengo (2024).


 

Et samedi 24 mai 2024 au Reflet Médicis

* À 14h00 : We Are Inside de Farah Kassem (2024).


 

* À 18h00 : Nocturnes de Anirban Dutta (2024).


 

* À 20h00 : Marching in the Dark de Kinshuk Surjan (2024).


 


À Londres, au British Museum, s’ouvre une nouvelle exposition Ancient India, Living Traditions (22 mai-19 octobre 2025).


 

C’est l’une des premières grandes expositions au monde à examiner l’art dévotionnel primitif de l’Inde d’un point de vue multiconfessionnel, contemporain et mondial.


 


 


 

Elle explore les origines de l’art sacré hindou, jaïn et bouddhiste chez les esprits anciens et puissants de la nature de l’Inde, ainsi que sa diffusion au-delà du sous-continent.


 



Mercredi 21 mai 2025

 

À Paris, au Grand Action, commence un Cycle Wes Anderson, avec tous ses premiers films (21-27 mai 2025).

Aujourd’hui :

* À 14h00 : Asteroid City de Wes Anderson (2023).


 

* À 16h00 : L’Île aux chiens (Isle Of Dogs) de Wes Anderson (2018).


 

* À 18h00 : Fantastic Mr. Fox de Wes Anderson (2007)


 

* À 21h00 : Rushmore de Wes Anderson (1998).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Forum des images, la Cinémathèque du documentaire hors les murs présente une Soirée France Télévisions.

Ce soir :

* À 19h30 : Rashid, l’enfant de Sinjar de Jasna Krajinović (2024).
En sa présence, avec Cecile Lestrade et Élise Hug.


 


À Grenoble, au Cinéclub, se poursuit le cycle Comédies dejantées (7-28 mai 2025).

Ce soir :

* À 19h00 : Indiscrétions (The Philadelphia Story) de George Cukor (1940).


 


À Paris, au Louvre, se tiennent deux nouvelles expositions :

* Mamlouks (1250-1517) (30 avril-28 juillet 2025).


 

* Une passion chinoise. La collection de monsieur Thiers (14 mai-25 août 2025)


 


À Paris, au Maltais Rouge, la Société Louise-Michel invite à une conférence.

Ce soir :

* À 19h00 : Ce tour de bonneteau derrière ladite civilisation judéo-chrétienne.
Conférence de Sophie Bessis.

Bonne lecture :

* Sophie Bessis, La Civilisation judéo-chrétienne. Anatomie d’une imposture, Paris, Les liens qui libèrent, 2025.


 


Les sorties sur les grands écrans

* Libertate de Tudor Giurgiu (2023).

* Ollie de Antoine Besse (2024).

* Mission : Impossible – The Final Reckoning de Christopher McQuarrie (2025).

Et :

* La Venue de l’avenir de Cédric Klapisch (2025), le jeudi 22 mai 2025.

* Jeunes Mères de Luc & Jean-Pierre Dardenne (2025), le vendredi 23 mai 2025.

Les ressorties en versions restaurées

* Le Sang d’un poète de Jean Cocteau (1932).

* Le Testament d’Orphée de Jean Cocteau & Jacques Pinoteau (1960).

* Trois Hommes et un couffin de Coline Serreau (1985).



Mardi 20 mai 2025

 

À Paris, au Centre culturel coréen le Cinéclub Corée propose Taste Korea 2025 - Île de Jeju (20 mai-6 juin 2025).

Il s’agit d’une sélection spéciale autour de l’île de Jeju, mettant à l’honneur cinq longs-métrages et documentaires consacrés à cette île emblématique, pour accompagner l’exposition Île de Jeju, vivre avec la mer, qui va commencer (22 mai-6 septembre 2025).


 

Ce soir :

* À 19h00 : La Légende des fleurs de mer (Mulkkoch-ui jeonseol) de Koh Hee-young (2023).
En sa présence.


 


 

Faites votre programme.


À Paris, à l’Auditorium Charles-Brabant de la SCAM, on est invité à voir le dernier film de Manuela Morgaine (Envers Compagnie).

Ce soir, sur réservation :

* À 19h30  : Kintsugi de Manuela Morgaine (2025).


 


À Grenoble, au Cinéclub, se poursuit le cycle Henri-Georges Clouzot.

Ce soir :

* À 19h00, cinéma Juliet-Berto : Quai des orfèvres de Henri-Georges Clouzot (1947).


 



Lundi 19 mai 2025

 

À Paris, au Centre Pompidou se tient l’exposition Paris noir Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950-2000 (19 mars-30 juin 2025).


 

À l’Archipel, : Echos Paris Noir

Ce soir, à 20h00 :

* Zaptrap de Elsie Haas (1980).

* Nationalité Immigré de Sidney Sokhona (1975).
Présentation par Elsie Haas.

NATIONALITÉ : IMMIGRÉ (Sidney Sokhona, 1975) from Spectacle on Vimeo.


 


À Paris, après la banlieue, au Luminor, se poursuit, du 19 au 22 mai 2025, le Decolonial Film Festival 2025, 2e édition (12-25 mai 2025)


 

Ce soir :

* À 20h00  : Three promises de Youssef Srouji (2023).


 

Toute la programmation.


À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, c’est le ciné-club gratuit.

Ce soir :

* À 20h00 : Supermarkt de Roland Klick (1974).


 


À New York, au MET, commence l’exposition Lorna Simpson : Source Notes (19 mai-2 novembre 2025).


 

Née en 1960, elle est l’une des premières femmes afro-américaines à exposer à la Biennale de Venise (en 1990). Son œuvre est protéiforme (photographie, sculpture, collage, peinture et film). Sa première rétrospective européenne a été inaugurée au Jeu de Paume, à Paris en 2013.


 



Samedi 17 mai 2025

 

C’est la Nuit européenne des musées 2025, 21e édition.


 

Plus de 3 000 musées à travers la France et l’Europe participent à cet événement en ouvrant gratuitement leurs portes à des visiteurs de tous âges et horizons.

* Un vaste programme européen, avec des spectacles.

* Le programme à Paris et en Île de France.

Tout est gratuit.
Notamment au Louvre.


À Zurich, au Film Podium, : Pierre Koralnik : Zwischen Kunst und Pop (17 mai-11 juin 2025).


 

Une sélection éclectique de neuf films, entre art et pop, en hommage au cinéaste suisse, né en 1937.

Ce soir :

* À 18h30 : Anna de Pierre Koralnik (1967).


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Maison de la poésie une rencontre proposée par Céline Hersant & Fabrice Thumerel : Novarina, de A à Z (lecture, musique & projection).


 

Ce dont on ne peut parler c’est cela qu’il faut dire.

Ce soir :

* À 19h30 : La Dormition de Polichinelle de Raphaël O’Byrne & Valère Novarina (2010).
En leur présence avec Gilles Costaz, Jean-Pierre Thibaudat, Claude Buchvald, Céline Schaeffer, Marie-Laure Desjardins, Patrick Suter. Et Mathias Lévy au violon.


 


 

Bonne lecture :

* Céline Hersant & Fabrice Thumerel, éds., Dictionnaire Valère Novarina, éd. HDiffusion, 2025.


 



Vendredi 16 mai 2025

 

À Zurich, au FilmPodium, commence un nouveau cycle : Wes Anderson : Symmetrie aus den Fugen (16 mai-6 juillet 2025).

Ce soir :

* À 20h45 : Asteroid City de Wes Anderson (2023).


 

Faites votre programme.


Et aussi, demain, samedi 17 mai 2025 commence un autre cycle Inselfilme : Lichtspiele des Mittelmeers (17 mai-29 juin 2025).

Ces "Spectacles de lumière des îles de la Méditerranée" sont présentés comme trésor culturel et lieu de nostalgie, mais aussi comme une région secouée par les conflits géopolitiques, la crise des réfugiés et les conséquences du changement climatique.

Dès aujourd’hui :

* À 14h45 : La Terre tremble (La terra trema) de Luchino Visconti (1948).


 

Faites votre programme.


À New York, au Lincoln Center, commence une rétrospective Kira Muratova : Scenographies of Chaos (16-25 mai 2025).

Ce soir :

* À 18h00, Walter Reade Theater : Le syndrome asthénique (Astenicheskiy sindrom) aka The Asthenic Syndrome de Kira Muratova (1989).
Présentation par Marta Kuzma et Ivan Kozlenko.


 

Faites votre programme.


À Madrid, à la Cineteca, comence une rétrospective Chris Marker. Recuerdos del futuro (16-31 mai 2025).

Ce soir :

* À 20h30, sala Azcona : Sans soleil de Chris Marker (1983).


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Filmothèque du Quartier Latin, c’est la séance du Ciné-Mélo Club, avec deux conférences et film.


 

* À 17h00, Séminaire entrée gratuite :
Marguerite Duras, le mélodrame à l’épure.
Conférence de Christophe Pellet.
Delphine Seyrig, une actrice de mélodrame ?
Conférence de Alexandre Moussa.

* À 19h30 : India Song de Marguerite Duras (1975).


 



Au fil du temps, tous les éditos
 

Voyage dans le temps.
 



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