2025 : Journal de Pierre Vernant
* Pierre Vernant-édito 2025 ; 1er-15 janvier 2025 ; 16-31 janvier 2025 ; 1er-15 février 2025 ; 16-28 février 2025 ; 1er-15 mars 2025 ; 16-31 mars 2025 ; 1er-15 avril 2025 ; 16-30 avril 2025 ; 1er-15 mai 2025 ; 16-31 mai 2025 ; 1er-15 juin 2025 ; 16-29 juin 2025 ; 1er-14 juillet 2025 ; 16-30 juillet 2025 ; 1er-15 août 2025 ; 16-29 août 2025 ; 1er-15 septembre 2025 ; 16-30 septembre 2025 ; 1er-15 octobre 2025 ; 16-31 octobre 2025 ; 1er-15 novembre 2025
Impossible d’y échapper c’est Halloween partout.
* Sur Arte : Les Mystères d’Halloween de David Ryan (2025).
Documentaire disponible jusqu’au 23 janvier 2026.
* À Paris, au Palais de la Porte dorée :
Ce soir, pour les familles :
* À 18h30 : Soirée spéciale de la Fête des morts et des vivants.
Et au cinéma, notamment :
À Paris, au Luminor,
* À 15h00 : Les Noces funèbres (Corpse Bride) de Tim Burton (2005).
Et ce soir, on y va déguisé, à partir de 18h30.
* À 20h00 : Jennifer’s Body de Karyn Kusama ( 2009).
À Paris, au Nouvel Odéon, :
Ce soir :
* À 20h50 : La Féline (Cat People) de Jacques Tourneur (1942).
À Paris, à l’Institut du monde arabe,
Ce soir :
* À 20h00 : La Damnée de Abel Danan (2024).
À Bruxelles, à la Cinematek, Trick or treat ? :
Ce soir :
* À 19h00 : Halloween III : Le Sang du sorcier de Tommy Lee Wallace ( 1982).
À Lausanne, à la Cinémathèque suisse, c’est toute l’année, tous les deux mois : Les vendredis de la peur, les soirées de cinéma de genre qui font la part belle aux thrillers, films horrifiques et fantastiques.
Ce soir, spécial Halloween
* À 21h00 : La Nuit des masques (Halloween) de John Carpenter (1978).
À Nantes, commence le festival de science-fiction Les Utopiales 2025, 25e édition (30 octobre-2 novembre 2025).
Au programme :
* Thématique : Singularités.
* Compétitions internationales :
Longs-métrages ; Courts-métrages.
Et Jurys.
Aujourd’hui, inauguration, à partir de 14h00 : Découverte des expositions artistiques et scientifiques ; les 70 ans de Godzilla de Ishirō Honda (1954), par Roland Lehoucq ; Les Cromosaures de l’espace, par Wladimir Anselme ; Présentation de la thématique Harmonie
par le comité littéraire des utopiales ; La leçon du Président : Maitrisons l’équilibre avec Star Wars de George Lucas (1977).
Ce soir, Cinéconcert :
* À 20h30, salle 2001 : Robocop de Paul Verhoeven (1987).
Accompagnement musical du groupe Fragments avec Benjamin Le Baron (claviers, machines), Tom Beaudouin (guitare, synthés) & Antoine Gandon (batterie, machines).
À New York, au MoMA commence le cycle Sofia Coppola : A Tribute (20 octobre-16 novembre 2025).
Ce soir, à 19h00, un court et un long métrage :
* Lick the Star de Sofia Coppola (1998).
* The Virgin Suicides de Sofia Coppola (1999).
À Paris, aux Trois Luxembourg, en collaboration avec le Centre culturel irlandais on fête Halloween avec un mini-festival de 4 films films irlandais écossais et gallois, Celtic Horrors.
Ce soir, jeudi 30 octobre 2025 :
* À 19h00 : The Mill Killers de Aled Owens (2025)
* À 21h00 : Oddity de Damian McCarthy (2024).
Et demain, 31 octobre 2025 :
* À 19h00 : Fréwaka de Aislinn Clarke (2024).
* À 21h00 : Kill de Rodger Griffiths (2023).
À Paris, au Luminor, c’est le cinéclub Toujours plus gore.
Ce soir, à 20h00, deux films :
* Chew de Félix Dobaire (2024).
* Le Blob de Chuck Russel (1988).
À Paris, aux Écoles Cinéma Club, une avant-première.
Ce soir :
* À 19h30 : Grafted de Sasha Rainbow (2024).
Présentation de Gilles Esposito.
À Paris, au Louxor, un cinéconcert.
Ce soir :
* À 20h00, salle Youssef-Chahine : Trafic de Jacques Tati (1971).
Accompagement musical par le trio Temps Calme avec Olivier Desmulliez (guitare, synthé, banjo, voix), Samuel Allain (Synthé, basse, voix) & Nicolas Degrande (batterie et électronique).
À Paris, la Fondation Cartier-Bresson a rouvert hier ses portes au public, avec deux expositions :
* François-Xavier Gbré. Radio Ballast (29 octobre 2025-11 janvier 2026).
* Sibylle Bergemann. Le Monument (29 octobre 2025-11 janvier 2026).
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence le cycle annuel, la sélection du festival de Pordenone 2025, Le Giornate del Cinema Muto (29 octobre-18 novembre 2025).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : La Dame au masque (Die Dame mit der Maske) de Wilhelm Thiele (1928).
Accompagnement au piano par Matthieu Lecoq.
* À 16h30 : Les Aventures d’un sou (Pryhody Poltynnyka) de Aksel Lundin (1929).
Accompagnement au piano par Matthieu Lecoq.
Toujours à la Fondation Seydoux, a commencé la nouvelle exposition temporaire L’œil de Roger Corbeau : photographies de cinéma (23 octobre 2025-31 janvier 2026).
À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétropsctive Sacha Guitry (29 octobre-30 novembre 2025).
Présentation par Pierre Eugène : Sacha Guitry l’un dans l’autre.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Le Diable boiteux de Sacha Guitry (1948).
À Madrid, la Cineteca, en collaboration avec le festival Instar,
présent la première Rétrospective espagnole du duo devenu inséparable, le Brésilien Adirley Queirós et la Portugaise Joana Pimenta (29- 31 octobre 2025).
Ce soir, deux films, à 19h30, sala Plató :
* As Figuras Gravadas Na Faca Com a Seiva Das Bananeiras de Joana Pimenta (2014).
* Branco Sai, Preto Fica de Adirley Queirós (2015)
Les sorties sur les grands écrans
* Une vie ordinaire de Alexander Kusnetsov (2024).
* Ce que cette nature te dit (Geu jayeoni nege mworago hani) de Hong Sang-Soo (2024).
* On Falling de Laura Carreira (2024).
* L’Étranger de François Ozon (2025).
* La Femme la plus riche du monde de Thierry Klifa (2025).
* Un poète (Un Poeta) de Simón Mesa Soto (2025).
* La Légende de Baahubali, l’épopée (Baahubali : The Epic) de S.S. Rajamouli (2025).
Les ressorties en versions restaurées
* L’Enfant du diable (The Changeling) de Peter Medak (1980).
* Amours chiennes (Amores perros) de Alejandro González Iñárritu (2000).
À Paris, au Publicis Cinéma, commence le Festival du film coréen 2025, 20e édition (28 octobre-4 novembre 2025).
Au programme :
* Invités.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle 1 : My Daughter Is a Zombie (Zombiddal) de Pil Gam-sung (2025).
À Paris, au Centre Wallonie Bruxelles (CWB) c’est le Rendez-vous des cinéastes et des avant-premières.
Ce soir :
* À 20h00 : Six Jours, ce printemps-là de Joachim Lafosse (2025).
En sa présence avec Eye Haïdara.
Au Mexique, le Día de Muertos - la Fête des Morts -, c’est les 1er et 2 novembre de chaque année. Les morts reviennent et les vivants les accueillent avec des danses, des offrandes et des banquets.
À Paris, cette tradition revit chaque année grâce au Collectif culturel Nadieshda, qui organise le Festival de la Fête des Morts 2025, 23e édition (20 octobre-2 novembre 2025).
Dans ce cadre, à la Maison de l’Amérique latine, on fait la fête.
Ce soir :
* À 19h00 : Inauguration des autels et concert.
Björn Andrésen (1955-2025) est mort samedi dernier, le 25 octobre 2025.
Son nom ne dit pas grand chose, si on ne précise pas qu’il fut Tadzio, dans Mort à Venise de Luchino Visconti (1971).
Ce fut son deuxième film.
Une fois qu’on l’a identifié, comme éternel jeune homme, on se demande comment il a pu vieillir, jusqu’à 70 ans quand même, puisqu’il joua le rôle d’un vieillard, en 2019, dans Midsommar de Ari Aster.
L’image de son personnage fut si emblématique d’une beauté du diable mortelle, connue mondialement, qu’elle finit par effacer l’acteur. Björn Andrésen déclara d’ailleurs, qu’elle lui avait collé à la peau au point de le gêner toute sa vie.
Il faut aussi noter son premier film, Une histoire d’amour suédoise de Roy Andersson (1970), avant que le génie de ce dernier ne s’épanouisse dans son extraordinaire trilogie Chansons du deuxième étage (2000), Nous, les vivants (2007) et Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence (2014).
Björn Andrésen fut aussi musicien et devint même une pop star au Japon, y compris dans les mangas japonais.
Mais sa carrière au cinéma, essentiellement suédoise, demeura limitée, avec des petits rôles dans 33 films et téléfilms, entre 1970 et 2022, dont peu sont sortis en France.
En 2021, deux documentaristes suédois réalisèrent un film sur sa vie : L’Ange blond de Visconti (Världens vackraste pojke) de Kristina Lindström & Kristian Petri.
Il avait eu une enfance traumatisante, avec la mort accidentelle de son père, suivie du suicide de sa mère quand il a eu 10 ans. Il fut élevé par sa grand-mère qui le poussa vers le manequinat et le cinéma. Et le coup de chance fut sa rencontre, à 14 ans, avec Luchino Visconti, et en même temps un cauchemar. Comme si celui-ci l’avait usé à jamais, et cela dès le bout d’essai, puis à la conférence de presse au Festival de Cannes 1971, où il le décrivit comme "The most beautiful boy in the world".
À la sortie du documentaire, l’acteur avait 66 ans et il avait déclaré à Variety : "I wasn’t prepared for that. I remember when he posed me with one foot against the wall, I would never stand like that. When I watch it now, I see how that son of a bitch sexualized me".
Le film a été sélectionné au Festival de La Rochelle 2021, 50 ans après Mort à Venise, mais est resté inédit en salle en France.
À Tokyo, commence le Festival international du film 2025 (TIFF), 38e édition (27 octobre-5 novembre 2025).
Au programme :
* Compétition.
Et Jury.
* Hors compétition : Asian Future. ; World Focus. ; Nippon Cinema Now. ; Animation ; Women’s Empowerment ; Youth.
* Asian Students’ Film Conference.
Ce soir, ouverture :
* À 19h15, Tokyo Takarazuka Theater : Climbing for Life (Teppen no mukou ni anata ga iru) de Sakamoto Junji (2025).
Médiacritiques, la revue trimestrielle de Acrimed vient de paraître.
Médiacritiques n°56, Les médias contre la rue (automne 2025).
* On la trouve dans les bonnes librairies.
* On consulte les numéros précédents en accès libre.
À Paris, au Grand Action, c’est le cinéclub mensuel de l’Association des chefs décorateurs de cinéma, Du décor à l’écran, 8e saison.
Ce soir, dans le cadre de l’International Production Designer Week 2025. :
* À 18h00, en 35mm : La Guerre des mondes (War of the Worlds) de Steven Spielberg (2005).
En présence de Rick Carter, qui a surtout travaillé avec Steven Spielberg, Oscar des meilleurs décors à la 67e cérémonie des Oscars, pour Forrest Gump de Robert Zemeckis (1994) avec qui il a aussi beaucoup travaillé. C’est également lui qui a fait les décors de Avatar de James Cameron (2009).
À Paris, au Luminor, le Goethe Institut présente une avant-première.
Aujourd’hui :
* À 16h15 : L’Étage Secret à Bad Gastein (Das geheime Stockwerk) de Norbert Lechner (2025).
On connaît KulturBretagne (KuB), la plateforme en accès libre et son programme étourdissant d’œuvres pour interpréter le monde, dont la vocation est de démocratiser la culture et ses pratiques, engagé dans un monde en pleine mutation, pour une transition écologique et sociale, pour une société moins inégalitaire et plus solidaire.
Au programme, de la musique, du théâtre, des expositions, des livres, des podcasts, des clips, des vidéos exclusives, et notamment des films longs et courts :
On aime bien les coups de cœur de la rédaction, avec, par exemple, deux films dont la date de péremption approche.
* Mimi de Douarnenez de Sébastien Betbeder (2023).
À voir jusqu’à demain, 27 octobre 2025.
* Kaolin de Corentin Lemetayer Le Brize (2020).
À voir jusqu’au 12 novembre 2025.
Il y a bien sûr les nouveaux films sélectionnés, par exemple : Ça finira aux prud’hommes de Julie Talon (2019), à voir jusqu’au 15 octobre 2026 ; Les Écoutants de Dorothée Lorang & David Beautru (2022), à voir jusqu’au 10 octobre 2026 ; Les Joyeux Compagnons ou La Corde sensible de Xavier Liébard (2007), à voir jusqu’au 21 octobre 2026.
KuB participe aussi à la Fête de l’animation 2025 (11-31 octobre 2025).
Avec les films de Bruno Collet :
Le Jour de gloire (2007) ; Calypso Is Like So (2003) ; Le Dos au mur (2001) ; Mémorable (2019).
Et les films de Héloïse Ferlay : Yola (2017) ; Geôlier (2016) ; À la mer poussière (2020).
À Brooklyn, dans le cadre de l’exposition Seydou Keïta : A Tactile Lens (10 octobre 2025-8 mars 2026), en partenariat avec African Film Festival, commence un cycle de films Film Series : Beyond Keïta’s Frame qui présente des classiques du cinéma malien et d’ailleurs, et qui approfondit les récits introduits dans les portraits emblématiques de Seydou Keïta (1921-2001), considéré comme l’un des plus grands photographes de la deuxième moitié du 20e siècle.
* À 15h00 : Keïta La de Mamadou Tapily, Catherine E. McKinley & Marc Lesser (2025) ; Jojolo de Lebert Bethune (1966) ; Mr. Gele : The Man. The Story. The Craft de Gladys Edeh (2016) ; La Vie sur terre de Abderrahmane Sissako (1998).
Introduction de Catherine E. McKinley.
À New York, au Metrograph, on prépare déjà Halloween, avec The Gothic Visions of Juraj Herz (25 octobre-8 novembre 2025)
Ce soir :
* À 17h30 : Morgiana de Juraj Herz (1972).
À Paris, au Grand Action, c’est la séance mensuelle de Écrans d’Afrique.
Ce soir :
* À 19h30 : Yaaba de Idrissa Ouedraogo (1989).
À Paris, le Musée du jeu de Paume présente, en avant-première, un film primé cette année au Festival international du film de la Roche-sur-Yon
Aujourd’hui :
* À 17h00 : The New West (East Of Wall) de Kate Beecroft (2025).
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA), en écho à l’exposition Trésors sauvés de Gaza - 5000 ans d’histoire prolongée jusqu’au 7 décembre 2025, propose une soirée de courts métrages autour de la Palestine, Cour(t)s en liberté.
Ce soir, à 18h00, 5 films :
* Gaza Atelier de Montaser Al Sabe (2022).
* Born a Celebrity de Luay Awwad (2024).
* Vibrations from Gaza. de Rehab Nazzal (2023)
* Une orange de Jaffa de Mohammed Almughanni (2023)
* Upshot de Maha Haj (2024)
À Paris, toujours à l’IMA) commence une nouvelle exposition Tenter l’art pour soigner - À l’hôpital psychiatrique de Blida-Joinville dans les années 1960 (22 octobre 2025-28 juin 2026).
En 2021, l’IMA reçoit une généreuse donation : un ensemble d’archives, de céramiques peintes et de nombreuses planches dessinées à la gouache, exécutées à la fin des années 1960 au cours d’ateliers de socialthérapie menés à l’hôpital psychiatrique de Blida-Joinville, fondé en 1933. Frantz Fanon (1925-1961) y a officié en tant que médecin-chef entre 1953 et 1956, et il portera son nom à l’indépendance du pays.
L’exposition interroge le contenu de ces peintures en mettant en avant la dimension humaine des pensionnaires qui les ont réalisées ainsi que leur contexte historique.
À Paris, la Fondation Cartier pour l’art contemporain inaugure ses nouveaux locaux (Jean Nouvel), place du Palais-Royal, en face du Louvre, avec un week end d’ouverture pour découvrir gratuitement ses espaces et l’Exposition Générale, avec les œuvres majeures de sa collection (près de 600 œuvres de plus de 100 artistes qui ont jalonné sa programmation de 1984 à aujourd’hui).
Aujourd’hui :
* À partir de 11h00 : Exposition générale (25 octobre 2025-23 août 2026).
À Villerupt, commence le Festival du film italien 2025, 48e édition (24 octobre-11 novembre 2025).
Au programme :
* À l’honneur : Andrea Segre.
* Compétition.
Et Jury.
Aujourd’hui, ça commence à 15h00.
* À 15h00, L’Arche Cinéma : Ciao Bambino de Edgardo Pistone (2024).
* À 17h00, L’Arche Cinéma : L’albero de Sara Petraglia (2024).
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 20h30, L’Arche Grande salle : Pain, tulipes et comédie (Pane e tulipani) de Silvio Soldini (2000).
À Jihlava, en République tchèque, commence le festival international du film documentaire Ji.hlava IDFF 2025, 29e édition (24 octobre-2 novembre 2025).
C’est le plus grand festival du film documentaires en Europe centrale et orientale.
Au programme :
* Compétition : Opus Bonum ; First Lights ;Testimonies ; Czech Joy ; Fascinations ; Fascinations : Exprmntl.cz ; Short Joy ; Virtual Reality.
* Hors compétition : Constellations ; Special Event ; Docu.Reality ; Siren Test ; Students Present ; Czech Television Documentaries ; My Street Films ; Into History ; Food and Epoch ; Collective Film ; Fascinations : Food ; Inspiration Forum ; Masterclass.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Virtual Girlfriends (Virtuální přítelkyně) de Barbora Chalupová (2025).
* À 22h30 : Orwell : 2+2=5 de Raoul Peck (2025).
À San Francisco, au 4 Star Theater, commence, organisé par le San Francisco IndieFest, le festival de cinéma environnemental, Green Film Festival 2025, 6e édition (24-30 octobre 2025).
C’est un festival militant qui espère sensibiliser le public aux solutions durables des problèmes de la planète, comme en réponse à tous les climatosceptiques du pays.
Au programme des documentaires, des films d’aventure, des fictions narratives.
Ce soir, Opening Night, à 18h00 :
* Transamazonia de Pia Marais (2024).
Précédé de :
* Intangible Zone de Greg Méndez López (2025).
À Paris, l’Institut du monde arabe (IMA) rend Hommage à Claudia Cardinale, née en Tunisie, à travers des témoignages, de la musique et un film.
Ce soir :
* À 20h00 : Un Cardinale Donna de Manuel Maria Perrone (2023).
En présence de Claudia Squitieri, Mehdi Ben Attia, Antonin Stahly-Vishwanadan, Salim Kechiouche et Driss Ramdi, Abdellah Taïa, Ayman Abdel Hafez.
À Perpignan, la Cinémathèque / Institut Jean-Vigo célèbre les 50 ans de la mort de Franco (1892-1975). (24 et 28 octobre 2025).
Ce soir :
* À 19h00 : Maman a cent ans (Mamá cumple cien años) de Carlos Saura (1979).
Et le mardi 28 octobre 2025 :
* À 19h00 : Dans les ténèbres (Entre tinieblas) de Pedro Almodóvar (1983).
À Marseille, au Gyptis commence, proposé par Meriem Rabh, un hommage au genre Wu Xia Pian (arts martiaux), Wu Xia Pian & Cie (24 octobre 2025-30 mai 2026).
Ce soir :
* À 19h30 : L’Hirondelle d’or (Da zui xia) de King Hu (1966).
À New York, au Metrogaph, commence un cycle consacré aux monteurs de cinéma Filmcraft : American Cinema Editors (24 octobre-14 novembre 2025).
Ce soir :
* À 19h15 : Les Griffes de la nuit (A Nightmare on Elm Street) de Wes Craven (1984).
À Paris, à Beaubourg, on n’en finit plus de faire "la fête avant fermeture pour travaux".
Ce soir et demain, deux jours de fête, de 11h00 à 18h00 : Because Beaubourg (24-25 octobre 2025).
À Zurich, au Kunsthaus commence une nouvelle exposition Ô homme ! Wilhelm Lehmbruck - les dernières années (24 octobre 2025-18 janvier 2026).
Dans cette exposition, Wilhelm Lehmbruck (1881-1919) rencontre Yves Netzhammer, né en 1970, qui lui offre une mise en scène immersive pour ses sculptures, ses dessins, ses eaux-fortes et ses peintures, qui sous la dictature nazie (1933-1945), ont été désignés comme représentatifs de l’art dégénéré.
À Paris, au Muséum national d’Histoire naturelle et à l’Institut de physique du globe de Paris, commence le festival international du film scientifique Parisciences 2025, 21e édition (23-27 octobre 2025). Une édition pour les scolaires a eu lieu du 3 au 17 octobre 2025.
Au programme :
* Thématiques : Biodiversité, ; Enjeux climatiques et écologiques ; Focus Eau et océans ; Portraits de femmes scientifiques ; Santé mentale ; Histoire, géologie, archéologie ; Nouvelles technologies ; Sciences de l’espace.
* Compétitions : Biodiversité ; Courts métrages étudiants ; E-toiles de science ; Empreinte ; Grand écran ; Science télévision ; Upside.
Et Jurys.
Aujourd’hui séance spéciale :
* À 14h00, Institut de physique du globe de Paris : La Théorie du boxeur de Nathanaël Coste (2023), Lauréat du Prix Campagne d’Impact 2024.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, Amphithéâtre Verniquet : How Deep Is Your Love de Eleanor Mortimer (2025).
Avec Pierre-Marie Sarradin, Jérémie Brugidou, Jacob Thomas, Muriel Rabone, Mathieu Nowak.
En même temps, en Suisse, à Basel, Bern, Davos & Zurich, commence le Global Science Film Festival 2025, 7e édition (23-26 octobre 2025).
À Bruxelles, la Cinematek présente Artist in focus : Annik Leroy (23 octobre-30 novembre 2025).
Ce soir, à 19h00, un court et un long métrage :
* Ferne Stimmen de Annik Leroy & Julie Morel (2023)
* Berlin de l’aube à la nuit (In der Dämmerstunde) de
Annik Leroy (1980).
À Paris, au Grand Action c’est le cinéclub Al-Adab à l’écran.
Ce soir :
* À 20h00 : La Voix de Hind Rajab (Sawt Hind Rajab) de Kaouther Ben Hania (2025).
À Marseille, Vidéodrome2présente un documentaire tourné pendant six mois près de la ligne de front en Ukraine parmi les ruines de la guerre, en soutien à des enfants ukrainiens.
Ce soir :
* À 20h30 : Strawberry Field de Alexandra-Roberta Șerban (2025).
En sa présence.
À Paris, au Luminor, le Centre Simone de Beauvoir présente Respirez bien, respirez lesbienne
En présence de Clara Jeany et Annouk Bazile.
Ce soir, à 20h00, trois films :
* Ferro’s Bar de Aline A. Assis, Fernanda Elias & Nayla Guerra (Cine Sapatão) (2022).
* Ma vie est ici de Clara Jeany (2024).
* Une pièce où tu redeviens entière de Annouk Bazile (2024).
À Paris, initié par la Ville et organisé par l’association Enfance au cinéma, avec la participation de six bibliothèques de la Ville de Paris, commence, dans 18 salles de 13 arrondissements parisiens, Mon Premier Festival 2025, 21e édition ( 22-28 octobre 2025).
Au programme :
* Une thématique : Les yeux plus gros que l’écran.
Aujourd’hui, ouverture :
* À 15h00, Forum des images : L’Odyssée de Céleste de Kid Koala (2025).
En présence de Alysson Paradis et Guillaume Gouix.
À Paris, à la Cinémathèque, se tient une Rétrospective Hafsia Herzi (20 octobre-2 novembre 2025). Le 20 octobre a eu lieu une ouverture au cours d’une soirée privée.
Présentation par Solène Monnier : Hafsia Herzi, libre et sensible.
Ce soir :
* À 21h00, salle Georges-Franju : L’Apollonide. Souvenirs de la maison close de Bertrand Bonello (2011).
En sa présence.
À Madrid, à la Cineteca commence une Retrospectiva Raúl Ruiz (22 octobre-9 novembre 2025).
Ce soir :
* À 20h00, sala Azcona : La telenovela errante de Raúl Ruiz & Valeria Sarmiento (2017).
À Paris, le Musée des arts décoratifs célèbre le centenaire de l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925, qui s’est tenue sur l’esplanade des Invalides, les quais rive gauche et rive droite et les alentours du Grand Palais et du Petit Palais (28 avril-30 novembre 1925) : 1925-2025. Cent ans d’Art déco (22 octobre 2025-26 avril 2026)
L’exposition est un voyage au cœur de la création des Années folles et de ses chefs-d’œuvre patrimoniaux (mobilier sculptural, bijoux précieux, objets d’art, dessins, affiches et pièces de mode avec près de 1 000 œuvres. Elle s’ouvre de façon spectaculaire sur le mythique Orient-Express, véritable joyau du luxe et de l’innovation. Une cabine de l’ancien train Étoile du Nord ainsi que trois maquettes du futur Orient Express, réinventé par Maxime d’Angeac, investissent la nef du musée.
À Paris, le Palais de Tokyo, inaugure sa nouvelle saison, avec deux expositions en entrée libre et sans réservation, pendant deux jours (22 et 23 octobre 2025).
* Echo Delay Reverb. Art américain, pensées francophones (22 octobre 2025-15 février 2026).
* Melvin Edwards. (22 octobre 2025-15 février 2026).
Les sorties sur les grands écrans
* Pet Shop Days de Olmo Schnabel (2023).
* The Neon People de Jean-Baptiste Thoret (2024).
* Imago de Déni Oumar Pitsaev (2025).
* La Petite Dernière de Hafsia Herzi (2025).
* Springsteen : Deliver Me From Nowhere de Scott Cooper (2025).
* L’Homme qui rétrécit de Jan Kounen (2025).
* La Disparition de Josef Mengele (Das Verschwinden des Josef Mengele) de Kirill Serebrennikov (2025).
Les ressorties en versions restaurées
* Sept films de Raymond Depardon : San Clemente de Raymond Depardon & Sophie Ristelhueber (1982) ; Faits divers (1983) ; Délits flagrants (1994) ; Urgences (1988) ; Muriel Leferle (1999) ; 10e chambre – Instants d’audience (2004) ; 12 Jours (2017).
* Quand Harry rencontre Sally (When Harry Met Sally) de Rob Reiner (1989).
À Amsterdam, à l’Eye Museum commence un cycle à la croisée du cinéma et des autres arts, Eye on Art (21 octobre-11 novembre 2025).
Ce soir :
* À 19h15 : Edward II de Derek Jarman (1991).
Introduction de William Sutton.
À Madrid, à la Cineteca commence, en collaboration avec le Centro de Cultura Conemporánea Condeduque, le cycle Nuevos imaginarios (21-26 octobre 2025)
Ce soir :
* À 19h30, 3 films de Lois Patiño, en sa présence, avec Marta Ramos-Yzquierdo et Miguel Ángel Delgado :
* El sembrador de estrellas (2022).
* Noite sem distância (2015).
* Fajr (2016).
À Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP), on s’occupe de l’animation, avec deux expositions :
* Isao Takahata. Pionnier du dessin animé contemporain de l’après-guerre au Studio Ghibli (15 octobre 2025-24 janvier 2026).
* L’univers des maquettes Bandai (21 octobre-15 novembre 2025).
Avec du cinéma, et une Rétrospective Isao Takahata (21 octobre-31 octobre 2025).
Aujourd’hui :
* À 14h00 : Le Roi et l’oiseau de Paul Grimault (1980).
* À 17h00, deux films : Ken, l’enfant-loup, épisode 14 de Isao Takahata (1963).
Et Gauche le violoncelliste de Isao Takahata (1982).
* À 19h30, 3 films : Lupin III de Isao Takahata & Hayao Miyazaki (1972).
Et Heidi, épisode 1 La montagne de Isao Takahata (1974).
Et Marco, épisode1, T’en va pas, Maman ! de Isao Takahata (1976).
À Paris, au Musée du Jeu de paume, il y a toujours une riche programmation de cinéma.
Aujourd’hui :
* À 14h30 : Invention de Courtney Stephens (2024).
* À 16h00 : Soundtrack to a coup d’État de Johan Grimonprez (2023).
À New York, au MoMA, vient de commencer la nouvelle exposition Ruth Asawa. A Retrospective (19 octobre 2025-7 février 2026).
Ruth Asawa (1926-2013) était la fille d’une famille japonaise immigrée en Californie. Pendant sa scolarité, elle fut remarquée pour se talents artistiques et remporta un concours de dessin pour avoir représenté la statue de la Liberté en 1939. Après l’attaque de Pearl Harbor en 1941, le gouvernement fédéral avait décrété l’internement obligatoire des résidents d’origine japonaise de la Côte ouest. Mais elle put reprendre des études au Black Mountain College à la fin des années 1940.
Elle réalisa de nombreuses commandes publiques - fontaines, fresques murales et monuments commémoratifs - dès la fin des années 1960 et se plaça à l’avant-garde de l’éducation artistique dans la baie de San Francisco et au-delà. Elle est la fondatrice de l’école publique supérieure d’enseignement artistique la Ruth Asawa San Francisco School of the Arts en 1982 et l’auteure de la Hyatt on Union Square Fountain, bâtie en 1973 à San Francisco.
L’exposition présente 300 œuvres qui retracent les explorations de l’artiste tout au long de sa vie, des matériaux et des formes, à travers divers médiums, dont la sculpture en fil de fer, les moulages en bronze, les dessins, les peintures, les gravures.
À Paris, au Little Africa Paris Village, se tient une exposition collective Pérou noir (16 octobre-15 novembre 2025).
C’est la première exposition interdisciplinaire consacrée à l’art visuel afro-péruvien contemporain. Elle réunit douze artistes afro-péruviens de différentes générations et apporte de nouvelles perspectives sur la diaspora africaine en Amérique latine, en affirmant aussi l’afro-andin comme une identité culturelle unique. Elle dialogue avec l’exposition du Centre Pompidou Paris Noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950-2000 (19 mars–30 juin 2025).
À cette occasion, à la Maison de l’Amérique latine (MAL), en partenariat avec l’École Internationale des métiers de la culture et du marché de l’art (IESA) dans le cadre de ses rencontres L’Œil pense, propose une soirée spéciale.
Ce soir :
* À 19h00 : Pérou noir. Latinité, afro-andinité et héritage africain.
Conversation entre les commissaires d’exposition Milena Carranza Valcárcel et Hafida Jemni Di Folco et les artistes afro-péruviens Joan "Entes" Jiménez Suero, Dedeé Mandros et César Octavio Santa Cruz.
À Paris, au cinéma Panthéon, c’est la séance mensuelle de L’Italie à travers son cinéma.
Aujourd’hui :
* À 11h00 : L’Oratore de Marco Pollini (2025).
En sa présence avec Patrizia Schiavo et Paolo Modugno.
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA), on peut encore voir l’exposition Trésors sauvés de Gaza-5000 ans d’histoire (3 avril-2 novembre 2025).
Dans ce cadre, c’est cinéma.
Ce soir :
* À 18h00 : Yallah Gaza de Roland Nurier (2023).
À Paris, au Musée du Quai Branly, commence le festival de cinéma jeune public Forêts et merveilles (18-26 octobre 2025).
Aujourd’hui :
* À 15h00 : Princesse Mononoké (Mononoke-hime) de Hayao Miyazaki (1997).
Présentation par Lola Devant.
À New York, le Whitney, célèbre le centenaire de l’une des œuvres les plus emblématiques de Alexandre Calder (1898-1976), High Wire : Calder’s Circus (1925-1931).
Admirée notamment par Marcel Duchamp (1887-1968), Joan Miró (1893-1983) ou Piet Mondrian (1972-1944), cette œuvre révèle la fascination précoce de Alexandre Calder pour le mouvement et l’éphémère, thèmes qui ont défini son invention du mobile.
L’exposition présente plus de 100 figurines miniatures, dont des acrobates, des clowns, des animaux et même un avaleur de sabres, qui prennent vie lors de performances circassiennes élaborées, agrémentées de narration, de musique et de lumière.
L’installation complète avec des dessins, des peintures, des sculptures en fil de fer, des abstractions anciennes, des films et des documents d’archives.
À Paris, à la Fondation Louis-Vuitton vient de commencer une rétrospective Gerhard Richter (17 octobre 2025-2 mars 2026).
L’exposition, qui se déploie dans toutes les salles de la Fondation, retrace chronologiquement près de 70 ans de création : les premières années où il extrayait ses peintures depuis des photos ; une réflexion autour de l’abstraction ; un retour sur l’histoire allemande ; une célébration du compositeur de musique concrète américain John Cage (1912-1992) ; le rejet puis le rabibochage récent avec la peinture. Ainsi qu’une explorations de sculptures, dessins et photographies.
À Paris, au Petit Palais, vient de commencer la nouvelle exposition Paname. Bilal Hamdad, en entrée libre (17 octobre 2025-8 février 2026).
Bilal Hamdad, né en 1987 à Sidi Bel Abbes, est un illusionniste. Tour à tour formé aux Beaux-Arts de Sidi Bel Abbes et de Paris, l’artiste algérien nous fait voir trouble : est-ce de la photo ? De la peinture ? En réalité, un peu des deux.
Le nouveau Socialter vient de paraitre, et on le trouve en kiosque.
* Socialter n°72, octobre-novembre 2025.
L’industrie de la destruction : comment les guerres accélèrent la catastrophe écologique
* On consulte les n° précédents.
À Montpellier, commence le festival du cinéma méditerranéen Cinémed 2025, 47e édition (17-25 octobre 2025)
Au programme :
* Le jeune cinéma syrien : état des lieux d’une reconstruction.
* Compétitions : Sélection officielle longs métrages ; Sélection officielle courts métrages.
Et Jury.
* Rétrospectives : Dino Risi (1916-2008) ; Raymond Depardon ; Fernando León de Aranoa ; Sabrina Ouazani.
* Les cents ans de Youssef Chahine (1926-2008).
* Série Los años nuevos de Rodrigo Sorogoyen.
* Hors cadre : une collection de courts métrages au musée Fabre.
* À 20h30, au Corum : L’Étranger de François Ozon (2025).
À Pontarlier, au Théâtre Bernard-Blier, a commencé, organisé par le Cinéclub Jacques-Becker, le festival de cinéma d’animation, Cinéopen 2025, 5e édition (13-26 octobre 2025).
La première semaine a été majoritairement consacrée aux séances scolaires (ouvertes au public dans la limite des places disponibles), et le festival pour adultes commence aujourd’hui.
Au programme : pays invités : les pays des Balkans ; Compétition internationale de courts métrages d’animation ; Avant-premières ; Rencontres avec des cinéastes, des comédiens ; Ateliers.
Ce soir :
* À 20h45 : La Plus Précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius (2024).
À Cognac, commence le festival polyvalent Polar 2025, 30e édition (17-19 octobre 2025).
Au programme :
* Invités.
* BD.
* Théâtre.
Ce soir, cérémonie d’ouverture, avec un film :
* À 19h30, au Centre des congrès La Salamandre : Cruel de Éric Cherrière (2014).
À New York, au Metrograph, commence le cycle The Many Lives of Youssef Chahine (17-26 octobre 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Gare centrale (Bab el-Hadid) aka Cairo Station de Youssef Chahine (1958).
Et aussi :
* Memories of a Vietnamese Cinema (17 octobre-2 novembre 2025).
Ce soir :
* À 18h15 : The Little Girl of Hanoi (Em bé Hà-Noi) de Hải Ninh (1974).
À Paris, au Centre culturel coréen, c’est la 2e séance du cinéclub Corée Spécial Animation.
Ce soir :
* À 19h00 : Kongjwi et Patjwi (Kongjwi and Patjwi) de Tae-ung Gang (1977).
À Marseille, après Aix-en-Provence (9-12 octobre 2025), ont commencé hier les Rencontres Image de ville 2025 (16-19 octobre 2025), qui valorisent la création cinématographique qui diffuse la culture urbaine, architecturale et écologique.
Dans ce cadre, Vidéodrome2, présente cinq films à prix libre (17-19 octobre 2025).
Ce soir :
* À 20h30 : Les Bruits de Recife (O Som ao Redor) de Kleber Mendonça Filho (2012).
En présence de Joëlle Zask et Océane Ragoucy.
À New York, au MET, dans la Gallery 002, Fuentidueña Chapel, ouvre une nouvelle exposition Spectrum of Desire : Love, Sex, and Gender in the Middle Ages (17 octobre 2025–29 mars 2026).
Située dans l’atmosphère saisissante des Cloîtres du Met, l’exposition explore les thèmes souvent négligés du désir, de la sexualité et du genre au Moyen Âge, à une époque où la plupart des productions artistiques étaient à vocation religieuse.
Elle présente plus de cinquante œuvres - bijoux en or et sculptures en ivoire aux vitraux, manuscrits enluminés et textiles tissés -, et met en lumière la richesse de l’expression visuelle en Europe occidentale des 13e et 14 siècles.
À Paris, au Palais de la porte dorée commence la nouvelle exposition, déployée dans l’ensemble de ses espaces, Musée et Aquarium, Migrations & climat. Comment habiter notre monde ? (17 octobre 2025-5 avril 2026).
Plus de 200 œuvres, photographies, vidéos et témoignages explorent les migrations du vivant - humains, animaux et végétaux - liées aux bouleversements climatiques.
Avec un grand week-end d’ouverture avec des débats et des rencontres avec des chercheurs, des ONG, des artistes et des personnalités engagées (18-19 octobre 2025).
À Paris, l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC) a créé, depuis 2017, un séminaire de recherche permanent, ouvert à tous, qui se tient à Paris, une fois par mois, et accessible à distance par visioconférence : Nouvelles recherches sur l’histoire du cinéma.
Le séminaire est organisé par Valérie Pozner et Guillaume Vernet et se tient à l’Institut national d’histoire de l’art (INHA).
Aujourd’hui :
* À 17h00 : Věra Chytilová (1929-2014), une cinéaste de son temps.
par Garance Fromont, avec François Albera.
À Lyon, au Musée des Confluences, en collaboration avec le Musée du Quai Branly, commence une nouvelle exposition Zombis, aux origines (17 octobre 2025-16 août 2026).
Le zombi haïtien, bien loin des clichés véhiculés par la culture populaire, puise ses origines dans les traditions africaines et caribéennes. En Amazonie, des communautés vivent en symbiose avec la forêt, tout en restant connectées aux réalités contemporaines. Les fonds marins ont leurs secrets que la science tente encore de comprendre. Au-delà de l’imaginaire des morts-vivants contagieux du cinéma et de la pop culture, l’exposition vous emmène en Haïti sur les traces du mythe. On y trouve, en marge de la culture vaudou, le zombi, un criminel non repenti jugé par une société secrète et condamné à une fin pire que la mort. Cette figure prend ses origines dans une association complexe entre religions d’Afrique subsaharienne, cultures des populations autochtones caraïbéennes et traumatismes engendrés par l’esclavage.
À New York, au MoMA commence le cycle João César Monteiro. Symphonies of a Libertine (16 octobre-6 novembre 2025).
João César Monteiro (1939-2003) est souvent cité, aux côtés de Manoel de Oliveira (1908-2015), comme l’un des réalisateurs portugais les plus influents du 20e siècle. Mais, alors que ce dernier a surtout été fasciné par les représentations religieuses et théâtrales de la vie, ce qui en a fait de lui un formaliste obsessionnel, João César Monteiro, lui, s’est inspiré du marquis de Sade et des mouvements littéraires symbolistes et surréalistes pour insuffler à ses films un esprit anarchiste et anticlérical.
Ce soir, à 19h00, deux films :
* Screen Tests de João César Monteiro (1966).
* Silvestre de João César Monteiro(1981).
À Paris, au Goethe Institut, dans le cadre de l’exposition Anna & Günter Grass. Les années parisiennes du couple d’artistes (15 septembre-28 octobre 2025), un film.
Ce soir :
* À 19h00, en entrée libre : Le Tambour (Die Blechtrommel) de Volker Schlöndorff (1979).
Introduction par Pierre Gras.
À Saint-Maur-des-Fossés, depuis 2022, l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC), avec l’Agence nationale pour le développement du cinéma en régions (ADRC) proposent une programmation spécifique autour de l’histoire du cinéma : Ciné Histoire (16 octobre 2025-21 mai 2026).
Cette année, la thématique du programme 2025-2026 est Le Cinéma et ses doubles.
Ce soir :
* À 19h00 : L’étudiant de Prague (Der Student von Prag) de Hanns Heinz Ewers, Stellan Rye & Paul Wegener (1913).
Présentation par Ada Ackerman.
À Paris, la Maison Heinrich-Heine à l’occasion du 100e anniversaire du réalisateur germano-russe Konrad Wolf (1925-1982), lui consacre son cinéclub (6 octobre-15 décembre 2025), alors même que le Festival Lumière 2025, lui consacre une rétrospective.
Ce soir, une séance spéciale :
* À 20h00 : Promenade cinématographique à travers l’œuvre de Konrad Wolf (1925-1982).
Dialogue entre Caroline Moine et Matthias Steinle, avec des projections d’extraits de ses films.
À Paris, à l’Aéro-Club de France, c’est la Soirée cinéphile, avec un grand film, les actualités de l’époque, des petites vidéos contextuelles, des cartoon et le pot de l’amitié.
Ce soir :
* À 19h00, salle du Conseil d’administration : La Ville écartelée (The Big Lift) de George Seaton (1950).
À Paris, au Musée de la musique-Philharmonie, en collaboration avec le Centre Georges Pompidou, vient de commencer une nouvelle exposition, Vassily Kandinsky et la musique (15 octobre 2025-1er février 2026).
Rarement la musique a joué un rôle aussi important dans l’œuvre d’un peintre que pour Vassily Kandinsky (1866-1944), qui était doté de la fascinante capacité de voir les sons en couleurs.
L’exposition présente 200 œuvres et objets de son atelier.
À Paris, la Maison des sciences de l’Homme, (MSH) dans le cadre de Livres en dialogues organise une soirée, à partir d’une enquête ethnographique au Cambodge,
autour de la question Comment une société peut-elle évoluer tout en portant la mémoire d’un génocide ?
Ce soir :
* À 18h30 : Puissance des lieux, présence des morts.
Avec Anne Yvonne Guillou et Caroline Broué.
Bonne lecture :
* Anne Yvonne Guillou, Puissance des lieux, présence des morts, Paris, Éditions de la Société d’ethnologie, 2025.
Au fil du temps, tous les éditos