Jeune Cinéma en ligne directe
Et pour Frédérique.
Hier, au bistrot, devant nos laits-orgeat, on s’est soudain souvenu que c’était les grandes marées.
Folle envie d’y aller voir.
On ne ferait ni une ni deux et et on s’y précipiterait, à Erquy par exemple (*).
Comme autrefois, quand les sacs étaient toujours prêts, (passeport, brosse à dents, écharpe et Kway), just in case. On vous parle d’un temps…
Et puis, on a constaté qu’on ne pouvait pas, trop de liens à Paris, justement ces jours-ci. Alors on est retourné devant les écrans, et pour se consoler, on s’est affiché les coefficients.
Et puis, on s’est revu Le Tempestaire de Jean Epstein (1947).
Et vous savez quoi ? Il y avait du vent et ça sentait l’iode.