* 1895 (1984 ➡)

L’histoire du cinéma par l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC). Trois livraisons par an.
Un nom : François Albera.
 

* 813 (1980 ➡)

Un éclairage particulier sur les littératures policières sous toutes leurs formes, contemporaines ou classiques. PS : le titre vient du roman de Maurice Leblanc (1910) avec Arsène Lupin, en super-héros.
Un nom : Jean-Louis Touchant.
 

* Article 11 (2010 ➡)

Le titre se réfère à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui dispose dans son article 11 : “La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme. Tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi".
Un nom : Formes vives & Pierre Tandille.
 

* Débordements

Les chefs : Raphaël Nieuwjaer, Romain Lefebvre, Florent Le Demazel, Gabriel Bortzmeyer. Une participation éblouissante.
 

* En attendant Nadeau ex-Quinzaine littéraire (1966-2015 & 2016 ➡)

La vraie Quinzaine littéraire, renaissante après une sale maladie, réfugiée en ligne, en attendant.
Un nom : Maurice Nadeau.
 

* Histoires littéraires (2000 ➡)

Elles sont nombreuses, peut-être même innombrables, les histoires littéraires des deux derniers siècles.
Un nom : Jean-Jacques Lefrère.
 

* Jeune Cinéma (1964 ➡)

Revue cinquantenaire, fondée par Jean Delmas en 1964, au sein de la fédération Jean-Vigo, qui refuse le mainstream et toute publicité.
Un nom : Lucien Logette.
 

* Monde diplomatique (1954 ➡)

"Monde" certainement. "Diplomatique", c’est moins sûr.
Le mensuel de la fronde qui fouine dans tous les "angles morts" de la presse, traduit en 19 langues dans une trentaine de pays.
Un nom : Ignacio Ramonet.
 

* Mouvement (1993 ➡)

Magazine culturel interdisciplinaire dédié à la création contemporaine.
Un nom : Jean-Marc Adolphe.
 

* Positif (1952 ➡)

Le mensuel de cinéma fondé à Lyon en 1952 par Bernard Chardère.
Un autre nom : Michel Ciment.
 

* Quinzinzinzili (2008 ➡)

Les "romans de détection" qui deviendront les "polars", la science-fiction, des genres qui, nés dans le second rayon, se sont épanouis à l’Université. Pas sûr que ce soit une success story, mais ça y ressemble. Merci qui ? les contre-utopies Quinzinzinzili (1935) et La Cité des asphyxiés (1937).
Deux noms : Régis Messac et Olivier Messac.
 

* Rhuthmos (2010 ➡)

L’étude des rythmes (objets ou concepts) dans les sciences humaines et sociales, les philosophies et les arts, et toutes les conséquences scientifiques, éthiques et politiques.
Un nom : Pascal Michon.
 

* Sédition (2014 ➡)

Pour une lecture idéologique du cinéma. L’idée d’une cinéphilie investie sur le champ du politique à travers un regard porté sur l’actualité des salles.
Deux noms : Steven et Warren Lambert.
 

* Temps noir (1998 ➡)

Une collection, et une revue semestrielle, consacrée au roman policier, qui s’est ouverte au cinéma en 2009.
Un nom : Franck Lhomeau.
 

* Trois Cerises et une sardine (1995 ➡)

Il ne mangeait pas de ce pain-là.
Un seul nom : Benjamin Péret.
 

* Vacarme (1997 ➡)

Chaque trimestre, à la croisée de l’engagement politique, de la création artistique et de la recherche, et en toute proximité des nouveaux mouvements sociaux.
Un nom : Philippe Mangeot.
 

Jeune Cinéma en ligne directe (mars 2016).