Semaine télé du 13 au 19 mars 2021
Salut les câblés !
publié le samedi 13 mars 2021

Jeune Cinéma en ligne directe


 

Justes proportions.
Merci à Didier Husson

Humeurs de Lucien Logette


 

Samedi 13 mars 2021

 

20.40 : Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part d’Arnaud Viard (2019), OCS Max
Inédit. La gageure consistait à faire un scénario à partir d’un recueil de nouvelles. En même temps, Anna Gavalda n’est pas James Joyce et son univers n’est pas trop délicat à adapter. Résultat correct, qui n’a pas dû décevoir ses lecteurs, mais qui n’a pas suffi à rassembler les allergiques. Le film (avec des acteurs convaincants, Jean-Paul Rouve, Alice Taglioni, Benjamin Lavernhe, Aurore Clément), sorti fin janvier 2020, n’a connu qu’un mois et demi d’exploitation. On peut le rattraper.

20.50 : Soirée Jean-Pierre Bacri, Premier
Pour mémoire, car ce ne sont pas des inédits, loin de là. Dans l’ordre, à 20.50, Didier de Alain Chabat (1997), suivi de Cherchez Hortense de Pascal Bonitzer (2012). On persiste à penser que Chabat réalisateur a fait là son film le plus réussi.

20.50 : Smiley Face de Gregg Araki (2007), Club
Inédit. Pas vu à la sortie, car après avoir regardé les quelques titres précédents du réalisateur, on n’avait pas voulu prolonger cette expérience peu plaisante. La vision plus tardive de Kaboom (2010), n’a fait que confirmer notre peu de goût pour ce produit branché qui fit rêver un temps Les Inrocks. Araki semble s’être depuis consacré à la télévision.

22.10 : Red Fields de Keren Yedaya (2019), OCS City
Inédit. Pas de sortie française après une présentation en octobre 2019 au festival de Montpellier. On sait simplement qu’il s’agit de l’adaptation d’un opéra rock ; une comédie musicale israélienne, c’est une rareté. Comme tout ce qu’a tourné la cinéaste depuis sa Caméra d’or de 2004, Mon trésor, s’est révélé intéressant, tant Jaffa (2009) que Loin de mon père (2014), on est curieux d’apprécier la tentative.

22.40 : Maddalena de Jerzy Kawalerowicz (1971), Classic
Inédit doublement, sur le câble et en salle. Seconde apparition sur le bouquet Ciné+ du nom de JK, après Mère Jeanne des Anges (1961), seul passage le 12 février 2015). La découverte du soir.

22.45 : Faux témoin de Curtis Hanson (1987), TCM
Inédit. TCM plonge dans ses archives et en ressort ce film presque oublié, le deuxième du futur réalisateur de L.A. Confidential (1997) et de Wonder Boys (2000). Bon thriller, d’après un roman (inconnu) d’Anne Holden, avec Steve Guttenberg et Elizabeth McGovern - et Isabelle Huppert, dans son second film américain de la décennie, après La Porte du Paradis de Cimino (1980).

00.00 : Hold-up à la milanaise de Nanni Loy (1959), France 5
Patrick Brion toujours. Cf. note du 18 mars 2016.

 

Dimanche 14 mars 2021

 

20.40 : Still Alice de Richard Glazer & Wash Westmoreland (2014), OCS Max
Pas tout à fait inédit, mais pas programmé depuis le 30 juillet 2016. Le numéro de Julianne Moore en intellectuelle confrontée à la maladie d’Alzheimer est remarquable, comme tout ce qu’elle fait. Et ses deux filles qui l’aiment tant sont Kirsten Stewart et Kate Bosworth, raison supplémentaire pour revoir le film.

20.50 : Passion de Brian De Palma (2012), Club
Un De Palma inédit sur le câble, ça arrive encore, il reste même une bonne poignée de titres pas encore proposés. Il s’agit de son ultime période, son avant-dernier film, avant Domino (2019), sorti uniquement en DVD. Panne d’inspiration ? Cinq ans après Redacted, il nous offre un remake de Crime d’amour d’Alain Corneau (2010), remplaçant Kristin Scott Thomas par Rachel McAdams et Ludivine Sagnier par Noomi Rapace. Hormis le plaisir de voir les deux actrices, cela en valait-il la peine ? On peut en douter, mais il y a toujours la patte du cinéaste.

20.50 : Maigret et l’affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy (1959), Classic
Inédit. Le succès public et critique de Maigret tend un piège (1957) a conduit les producteurs à confier à Delannoy un nouvel épisode Maigret. Avec les mêmes scénaristes, Audiard et R.M. Arlaud, le résultat est un peu moins fort que l’adaptation précédente, mais tout à fait satisfaisant. Le roman de Simenon est curieux, car c’est l’un des seuls (le seul ?) où il offre un passé au commissaire, sous forme de souvenirs d’enfance, donnant à Maigret un petit plus. Gabin est dans la peau du rôle, évidemment, et Valentine Tessier - Delannoy venait de l’utiliser dans Notre-Dame de Paris (1956) - assure, en vieille routière.

21.00 : Mad Dog and Glory de John Mc Naughton (1993), OCS Géants
Inédit. On ne connaît de l’auteur que ce film et Henry, (1986) portrait d’un sérial-killer, et rien de la dizaine d’autres titres tournés entre 1984 et 2013. Quant à celui-ci, récemment réédité en DVD par Elephant Films, il avait eu un bon succès d’estime auprès des amateurs de films un peu barges. Scénario de Richard Price aux développements assez surprenants, photo de Robby Muller, musique d’Elmer Bernstein et sur l’écran, Robert de Niro, Bill Murray et Uma Thurman - et David Caruso, qui n’est pas n’importe qui non plus.

22.20 : Une mère incroyable de Franco Lolli (2019), OCS City
Inédit. Une confirmation de la Semaine de la Critique 2019, après la découverte de son premier film, Gente de bien (2014). Les cinéastes colombiens commencent à exister aux yeux du public européen. Sorti en février 2020, le film n’a pas eu le public qu’il méritait d’avoir.

02.15 : La Piste des éléphants de William Dieterle (1954), Paramount Channel
Strictement pour les insomniaques ou les graveurs d’images. C’est le genre de films qu’on aimerait voir plus souvent et que la chaîne passe parfois lors de ses matinées ou au cœur de la nuit. De l’aventure à l’ancienne, Ceylan, un planteur et sa jeune épouse, et une maison construite précisément sur l’ancien chemin que les éléphants empruntaient pour aller à la rivière. Que va-t-il se passer ? Avec Peter Finch, Elizabeth Taylor et Dana Andrews. Dieterle est vraiment un grand bonhomme.

 

Lundi 15 mars 2021

 

20.40 : Anne des mille jours de Charles Jarrott (1969), OCS Géants
Inédit. Pour son premier film, Jarrott (aucun des suivants ne vaut celui-ci) avait frappé fort : la cour d’Angleterre, Henry VIII, qui voudrait bien se débarrasser de son épouse Catherine, Anne Boleyn qui voudrait bien de lui s’il divorce, Wolsey qui négocie le divorce auprès du pape à Rome, la fondation de l’Église anglicane et la décapitation d’Anne qui n’a pas su fabriquer un héritier mâle. Du lourd. Richard Burton en King Henry, Geneviève Bujold en Anne B, Irène Papas en Queen Katherine. Et en faisant bien attention, on apercevra fugitivement Elizabeth Taylor, venu jeter un œil sur son mari.

20.50 : La même programmation que le 12 juillet 2018 !, Émotion
Chloé de Atom Egoyan (2009), suivi, à 22.20, de Nathalie… de Anne Fontaine (2003), c’est-à-dire le remake et l’original. L’inventivité des décideurs est moyenne.

20.50 : Chambre 212 de Christophe Honoré (2019), Club
Inédit, et, selon les réfractaires à l’œuvre du réalisateur, aurait pu le rester. Tourné très vite après Plaire, aimer et courir vite (2018), qui n’était déjà pas brillant, le film, en forme de marivaudage distancié, mêlant passé et présent, se veut un hommage à Guitry. Les comédiens, Chiara Mastroianni, Benjamin Biolay, Camille Cottin, semblent parfois se demander ce qui doit leur arriver ensuite. Tout a été tourné rue Delambre, entre le Rosebud et Le Dôme. Du cinéma bien parisien.

20.50 : La Mission du commandant Lex d’André De Toth (1952), Classic
Pas neuf (dernier passage le 15 novembre 2017), mais pour une fois qu’il y a un film d’aventures traditionnelles sur le bouquet Ciné+, on ne va pas s’en priver. D’autant que parmi la dizaine de westerns signé par le quatrième borgne d’Hollywood, Springfield Rifle, s’il n’égale pas le chef-d’œuvre qu’est La Chevauchée des bannis (1959), est un des plus réussis. Avec ce grand maladroit de Gary Cooper et Phyllis Thaxter, très oubliée.

 

Mardi 16 mars 2021

 

20.40 : Belles mais pauvres de Dino Risi (1957), OCS Géants
Cf. note du 29 septembre 2017.

20.40 : Jimmy Hollywood de Barry Levinson (1994), Paramount Channel
Unique passage : 14 novembre 2014. Le film n’est sorti ici qu’en DVD, en 2007, ce qui ne le rend pas facile à trouver. On comprend mal pourquoi : depuis Good Morning, Vietnam (1987) et Rain Man (1988), Levinson avait la cote, et Toys (1992) avait fait un tabac. Joe Pesci et Victoria Abril ne formaient pas un couple de stars suffisantes pour mériter une exploitation en salles ? Rattrapage ce soir, pour ceux qui l’ont raté il y a cinq ans et demi.

20.50 : J’irai où tu iras de Géraldine Nakache (2019), Émotion
Inédit. Après Tout ce qui brille (2010), oui, et Nous York (2012), aïe, un nouvel épisode des aventures de Géraldine Nakache et Leïla Bekhti, devenues sœurs, avec leur gentil papa, Patrick Timsit. On navigue, comme d’habitude, entre rire et émotion. C’est de la comédie française féminine moderne, bien calibrée, pensant bien (nous ne sommes pas chez Dupieux ni chez Delépine-Kervern), consommable sans honte et avec un certain plaisir.

20.50 : La Vallée de la vengeance de Richard Thorpe (1951), Classic
Inédit. De Toth un soir, Thorpe le lendemain, la chaîne Classic cherche à attirer nos bonnes grâces. Du western tradi - mais Thorpe, en bon réalisateur de studio, n’a jamais songé à détourner les genres qu’il devait illustrer : il tourne cette même année, Le Grand Caruso, un biopic, et Le Droit de tuer, un polar qui ne sortent pas des règles. De même ici pour la rivalité des deux frères, Burt Lancaster, le bon, et Robert Walker, le méchant. On connaît ça par cœur, mais on ne boude pas son plaisir. Les femmes, bonnes : Sally Forrest et Joanne Dru. Les hommes, méchants : John Ireland et Ted de Corsia, tout un programme.

22.15 : La Lutte des classes de Michel Leclerc (2019), Émotion
Inédit. Leclerc a toujours mêler à ses scénarios une dose d’implication précise, que ce soit dans Le Nom des gens (2010), avec légèreté, ou dans Télé Gaucho (2012), avec moins d’aisance. Ici, il utilise une préoccupation connue, qui consiste à échapper à la mixité sociale scolaire en évitant à ses enfants de fréquenter un établissement "difficile". Lutte des classes dans tous les sens du terme. Objectif atteint, même si la charge est parfois un peu soulignée. Édouard Baer et Leïla Bekhti composent un couple de parents extrêmement crédibles. Un autoportrait, comme dans Le Nom des gens ?

22.30 : River of Grass de Kelly Reichardt (1994), Club
Inédit. Le dernier film de la cinéaste ? Non, son tout premier, jamais parvenu en France avant l’été dernier, grâce au renom qui est désormais le sien - même si le succès public ne suit pas forcément ; la preuve : le film n’a recueilli que 3991 entrées. Il est vrai que la solitude, l’ennui, la pauvreté, la déprime, avec des comédiens inconnus, n’avaient pas de quoi rallier les foules. Et pourtant, c’est déjà du Reichardt, encore en brouillon, mais avec le même regard attentif et complice qu’elle posera ensuite sur ses héroïnes.

 

Mercredi 17 mars 2021

 

20.40 : The Professor end the Madman de Farhad Safinia (2019), OCS Max
Inédit et inconnu (sorti en DVD seulement). On n’en sait que peu de choses - un scénario signé John Boorman et Todd Komarnicki, la biographie d’un des rédacteurs de l’English Oxford Dictionary, Mel Gibson et Sean Penn au générique. La surprise du jour ?

20.50 : Douleur et gloire de Pedro Almodovar (2019), Premier
Inédit. Enfin, le dernier PA ! Autant ses films de la période movida étaient exaspérants, autant l’arrivée de la maturité a bonifié son inspiration et sa manière. De quand date cette mutation ? À partir de Volver (2006), sans doute. En tout cas, depuis, pas de dérapages, juste Les Amants passagers (2013), peut-être un peu trop facile. Antonio Banderas a obtenu le prix d’interprétation à Cannes, ce qui a empêché le film d’avoir d’autres récompenses.

20.50 : Stardust de Michael Apted (1974), Classic
Inédit. Apted vient de disparaître, après une trentaine de films et une cinquantaine de titres pour la TV qui ne lui ont pas donné le label auteur - il a tourné un James Bond, shame ! -, alors que tout ce qu’on connaît de lui révèle une personnalité curieuse, dans de multiples genres différents : Nashville Lady (1980), Gorilles dans la brume (1988), ou Cœur de tonnerre (1992). Dans ce deuxième film, il invente un groupe pop, The Stray Cats, qui donnera naissance, six ans plus tard, à un vrai groupe, The Stray Cats. La bande son est pleine de choses rares et oubliées, Bobby Vee, Bobby Darin, The Chiffons, Little Eva, Carole King, etc.

22.40 : Tout mais pas ça ! d’Edoardo Falcone (2015), Club
Inédit. Si le film est sorti en salles, ce ne fut qu’en 4 copies, ce qui explique ses 8000 spectateurs pour une comédie qui aurait pu en accueillir bien plus. Une découverte du festival d’Annecy, lorsque celui-ci avait encore figure humaine. Un premier film d’une belle drôlerie - un chirurgien de haut niveau découvre que son fils qu’il croyait gay, à la rigueur, veut devenir prêtre, ce qui est pire. Alessandro Gassman est remarquable en curé de choc et Laura Morante éblouissante, évidemment.

 

Jeudi 18 mars 2021

 

20.40 : Antigone de Sophie Deraspe (2019), OCS City
Inédit et inconnu (sortie en septembre 2020). Adapter les grands anciens, Sophocle, Euripide ou Plaute, à la sauce contemporaine n’est pas une trouvaille récente. L’histoire d’Antigone a l’avantage d’être ductile et de se couler dans tous les moules, comme ici, au Québec, avec son héroïne kabyle qui veut faire évader un de ses frères de prison alors qu’un autre a été tué. La jeune Nahéma Ricci (premier film) est étonnante.

20.40 : La Fille à la valise de Valerio Zurlini (1961), OCS Géants
Inédit. En trois films, Été violent (1959), La Fille à la valise et Journal intime (1962), Zurlini a atteint des sommets qu’il ne retrouvera plus, même dans ses titres tardifs estimés, Le Professeur (1972) et Le Désert des Tartares (1976). Trois chefs-d’œuvre, donc, qui, après soixante ans, n’ont rien perdu de leur beauté. Claudia Cardinale n’a peut-être jamais été aussi bien filmée qu’ici et on comprend que Jacques Perrin ne s’en remette pas.

20.40 : Le Poney rouge de Lewis Milestone (1949), Paramount Channel
Une rareté sortie des placards de la Paramount. On se réjouit de découvrir ce film, scénario de John Steinbeck d’après son roman, avec Robert Mitchum et Myrna Loy + Louis Calhern et Margaret Hamilton (la méchante sorcière du Magicien d’Oz). Milestone était capable de bonnes choses en ces mêmes années, comme Le Commando de la mort (1946) ou L’Emprise du crime (1946).

20.50 : Greta de Neil Jordan (2018), Premier
Inédit. Dernier film de Jordan, après six ans d’interruption et Byzantium (2012). On a assez apprécié ce qu’il faisait jadis, au temps de The Crying Game (1992) ou de Michael Collins (1996). Depuis, on n’a guère de souvenirs de films marquants. Pas sûr que celui-ci laisse une grande trace, tant on a l’impression d’être sur des rails une fois posée la situation de départ, un sac trouvé restitué et ce qui s’ensuit. La manipulation d’un personnage par un autre est un poncif qui demande un grand doigté pour être crédible. Alors, dès que l’on sent le piège dans lequel Isabelle Huppert va faire tomber Chloé Grace Moretz, le tour est joué. Mais c’est correctement fait.

00.35 : A Chorus of Disapproval de Michael Winner (1989), TCM
L’inconnu du soir - aucune date de sortie retrouvée. Jeremy Irons et Anthony Hopkins, sur un scénario d’Alan Ayckbourn - l’auteur chez qui Resnais a trouvé les motifs pour Smoking/No Smoking, Cœurs, Aimer, boire et chanter. On demande à voir.

 

Vendredi 19 mars 2021

 

20.40 : Qui m’aime me suive ! de José Alcala (2019), OCS Max
Inédit. La situation serait vaudevillesque - un couple et un amant, le meilleur ami du mari, évidemment - si le film se prenait au sérieux. Mais les trois interprètes, Daniel Auteuil et Catherine Frot, les réguliers, et Bernard Le Coq, l’amant, ont manifestement pris un tel plaisir à jouer leur partition de retraités en goguette qu’on les suit avec le sourire.

20.50 : Fahim de Pierre-François Martin-Laval (2019), Premier
Inédit. Belle histoire d’un enfant de 11 ans, réfugié du Bangladesh, à qui sa victoire dans un championnat d’échecs a permis de ne pas être expulsé. C’est donc du feelgood, mais Pef a joué le jeu, sans trop insister sur l’émotion. Il faut reconnaître que Depardieu garde une présence écrasante, compensée par la gentillesse d’Isabelle Nanty.

20.50 : Good Kill d’Andrew Niccol (2014), Frisson
Cf. note du 22 août 2017.

22.30 : Convoi exceptionnel de Bertrand Blier (2019), Premier
Inédit. Blier avait-il vraiment besoin de revenir derrière la caméra, Le Bruit des glaçons (2010) constituant un remarquable galop d’adieu, méditation sur la mort qui concluait en beauté sa filmographie. Avec ce convoi, c’est un retour en arrière, très loin même, tant le dialogue entre les deux héros, Depardieu et Christian Clavier, et leurs interrogations sur le scénario qu’ils tournent ou ne tournent pas, nous renvoient à un pastiche de l’ancien théâtre de l’absurde. On le signale afin que les amateurs de BB complètent leur connaissance de l’auteur.



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