Ce soir, deux films :

* À 20h00 : Manuela Trasobares : Color y dolor de Lola Merchán (2021).

Suivi de :

* Ocaña, retrato intermitente de Ventura Pons (1978).

Samedi 24 février 2024

CÉSARS 2024, une cérémonie bien propre diffusée en différé.

Ce qui reste, outre les femmes en majorité et l’absurde redondance des deux prix, meilleure réalisation et meilleur film : le surgissement de Ella Rumpf et de Raphaël Quenard ; la ressemblance de Andrea Laszlo De Simone avec Frank Zappa ; la voix dans le désert, ovationnée en surface, de Judith Godrèche ; la pertinence de la déclaration à propos de Gaza de Arieh Worthalter ; l’émotion Agnès Jaoui  ; la singularité Christopher Nolan  ; la progression de la coiffure mulet ; l’inquiétant ridicule de la robe à queue de Diane Kruger.

La solidarité avec le peuple palestinien.>

Le Palmarès.

 <br /

Centenaire du Surréalisme 1924-2024.

Calendrier des expositions dans le monde.

À Vienne, au Kunstforum, commence l’exposition Matta (24 février-2 juin 2024).

À Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts, se tient une exposition itinérante conçue en collaboration avec le Centre Pompidou : Imagine ! 100 years of International Surrealism (21 février-21 juillet 2024).

Le principe est que chaque musée partenaire accueille le noyau dur de l’exposition itinérante et le décline en mettant l’accent sur son propre patrimoine.
Les MRBAB font une lecture élargie du Surréalisme dans une perspective symboliste, à travers plus de 130 œuvres d’art (peintures, œuvres sur papier mais aussi sculptures, objets, assemblages et photographies).
Et ils organisent des conférences-rencontres le dimanche.

Demain dimanche 25 février 2024, une conférence-rencontre :

* À 15h00, Auditorium B : Surréalistes (femmes) : des artistes qui comptent.
Avec Lyse Vancampenhoudt.

On note tout de suite les prochains dimanches : le 17 mars 2024 : René Magritte : un tableau peut en cacher un autre, avec Catherine Defeyt et Étienne van Vyve ; le 26 mars 2024 : Révélation ! Pour une approche intime et intense de l’art, avec Christine Ayoub ; le 26 mai 2024 : Vous avez dit pervers ? Sexe et surréalisme.

Vendredi 23 février 2024

À Bruxelles, commence le festival international du film d’animation Anima 2024, 43e édition (23 février-3 mars 2024).

Au programme : le genre de la science-fiction.

* Les invités.

* Sept sections : Focus Sci-Fi, Futuranima, Longs métrages, Courts métrages, Specials, Kids, Extras, Master class.

Ce soir, salle Flagey :

* À 20h00 : Mars Express ! de Jérémie Périn (2023).

Faites votre programme Anima.

À partir de demain, samedi 24 février 2024, la Cinematek s’en mêle avec un choix de 8 films.

* À 17h00, salle Ledoux : Astro Boy de David Bowers (2009).

Faites votre programme Cinematek.

À New York, au MoMA, commence Doc Fortnight 2024, son festival annuel de documentaires avec des découvertes inédites (23 février-7 mars 2024).

Aujourd’hui :

* À 16h30, deux films : The Axis of Big Data de Zhou Tao (2023).

Précédé par :

Terminal Island de Sam Drake (2024).

* À 19h00 : Preemptive Listening de Aura Satz (2024).

Faites votre programme.

À Paris, à la Film Gallery, on honore Peter Kubelka (né en 1934), admiré par son contemporain Stan Brakhage (1933-2003) et par son aîné Jonas Mekas (1922-2019).

Ce soir, à 18h30, 3 films en 16 mm :

* Adebar de Peter Kubelka (1956-1957)

* Schwechater de Peter Kubelka (1957-1958)

* Arnulf Rainer de Peter Kubelka (1958-1960).

Bonne lecture :

* Enrico Camporesi et Jonathan Pouthier éds, L’Histoire d’une histoire du cinéma, Paris Expérimental, 2023.

On note d’avance une soirée à Beaubourg avec Paris Expérimental le 28 février 2024, si le Centre n’est pas en grève.

À Marseille, à Vidéodrome2, c’est Doctorat Sauvage, une série de rendez-vous avec le monde de la recherche, en partenariat avec Échelle Inconnue.

Ce week-end : Quand le cinéma se souvient de la nature morte (23-25 février 2024).

Ce soir :

* À 20h00 : Le Diable probablement de Robert Bresson (1976).
Présentation par Marianne de Cambiaire.

Faites votre programme.

Jeudi 22 février 2024

Micheline Presle (1922-2024) est morte, hier, le 21 février 2024.

Elle a eu une longue vie, une longue carrière aussi, au théâtre (1941-2007), à la télévision (1961-2012), et surtout au cinéma (1937-2016). On lui prête plus de 150 films, mais IMDB en a décompté 186.
Les hommages se multiplient, surtout dans la presse française. Dans la presse étrangère, elle n’est évoquée que par le Hollywood Reporter. En effet, ce qui aura manqué à son parcours, irrégulier mais très brillant en fin de compte, c’est une carrière internationale.
La femme, restée vive et pétillante, jusqu’à la fin, semble n’avoir vieilli que physiquement, quand on lit les témoignages qui affluent. L’actrice, elle, même si elle a été présente publiquement jusqu’en 2016, appartenait quand même à une génération historique.

Elle a été extrêmement populaire pendant une demi-douzaine d’années grâce à une des premières séries télévisuelles, Les Saintes chéries (1965-1971).

Mais dans les mémoires des cinéphiles lambda, elle se réduit peut-être à trois héroïnes.

* Micheline Lafaurie dans Falbalas de Jacques Becker (1944).

* Élisabeth Rousset dans Boule de Suif de Christian-Jaque (1945).

* Marthe Grangier dans Le Diable au corps de Claude Autant-Lara (1947).

On aimerait revoir le film de Henry-Jean Servat & Pierrick Bequet, Les Trois Glorieuses (2010).
Il était passé sur France 5, et on se souvient d’archives rares et d’entretiens alertes avec Danièle Darrieux (1917-2017), Michèle Morgan (1920-2016) et Micheline Presle (1922-2024)
C’est avec cette distance de temps qu’on peut mesurer le poids et l’ambiance d’une époque.

Bonnes lectures :

* Serge Toubiana & Micheline Presle, L’Arrière-mémoire, Paris, Flammarion, 1994.

* Stéphane Lambert & Micheline Presle, Di(s)gressions, Paris, Stock, 2007.

* Henry-Jean Servat, Les Trois glorieuses. Danielle Darrieux, Michèle Morgan, Micheline Presle, Paris, Pygmalion, 2008. Réédition en 2010.

* Sur France Culture.

* Sur France Inter.

À Dublin, commence le Festival international du film 2024 (DIFF), 23e édition (22 février-2 mars 2024).

Au programme :

* Volta Award Career Achievement award à Isabelle Huppert.

* Tribute to James Flynn.

* Une sélection de films français en coopération avec l’Ambassade de France en Irlande.

Ce soir, gala d’ouverture :

* À 21h00, au Lighthouse Cinema : Twig de Marian Quinn (2024).

Faites votre programme.

À Zurich, le Filmpodium, présente une Rétrospective Terence Davies (23 février-29 mars 2024).

Terence Davies (1945-2023) est mort brutalement l’année dernière, à Liverpool, sa ville.
Son œuvre, largement plus ou moins autobiographique, n’est par immense (seulement 15 films en 47 ans), mais elle est unique et déchirante, à son image, un cinéaste discret et douloureux.

Aujourd’hui :

* À 15h00 : Emily Dickinson. A Quiet Passion de Terence Davies (2017).

Cf. aussi : "Emily Dickinson. A Quiet Passion", Jeune Cinéma n°380, printemps 2017.

Faites votre programme.

À Marseille, dans le cadre de la Rétrospective Jocelyne Saab (6 février-28 février 2024), au Gyptis on focalise sur Jocelyne Saab et la résistance palestinienne.

Ce soir, à 19h00, 4 courts-métrages :
Avec Catherine Ruelle et Sélim Nassib.

* Les Femmes palestiniennes de Jocelyne Saab (1974).

LES FEMMES PALESTINIENNES, Jocelyne Saab, 1974 from Jocelyne Saab on Vimeo.

* Le Front du refus. Les commandos-suicide de Jocelyne Saab (1974).

LE FRONT DU REFUS, Jocelyne Saab, 1975 from Jocelyne Saab on Vimeo.

* Beyrouth, ma ville de Jocelyne Saab (1982)

* Le Bateau de l’exil de Jocelyne Saab (1982).

LE BATEAU DE L'EXIL, Jocelyne Saab, 1982 from Jocelyne Saab on Vimeo.

Mercredi 21 février 2024

À Paris, aujourd’hui, l’événement, c’est l’entrée au Panthéon de Missak Manouchian (1906-1944) et de sa femme Mélinée Manouchian (1913-1989).

Comme le dit Daniel Mermet, "Il aura fallu 80 ans, mais c’est une bonne nouvelle", dans son éditorial, en accès libre, qui pose les bonnes questions.

Ils étaient 23.

Et il y a longtemps qu’on les célébrait.

Mais c’est bien que ce soit officialisé. Aucun humain n’est "étranger" sur la Terre.

Sur France Culture :

* Manouchian au Panthéon : Missak, Thomas, Maurice et les autres.

* Missak Manouchian (1906-1944) : à l’apatride, la Patrie reconnaissante.

* Fuir les répressions et la récession.

À Tours, commence le festival Viva il cinema 2024, 10e édition (21-25 février 2024).

Au programme :

* Hommage à Giorgio Diritti.

* Les invités.

* La Compétition et son Jury.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Thélème : Siccità de Paolo Virzì (2022).

Faites votre programme.

À Paris, à la Cinémathèque, commence un Cycle Arthur Penn (21-29 février 2024).

Présentation de Bernard Benoliel.

Ce soir, ouverture salle Henri-Langlois :

* À 20h00 : Georgia (Four Friends) de Arthur Penn (1981).

En entier sur Internet.

Faites votre programme.

À Paris, la Filmothèque, propose une Rétrospective Éric Rohmer (21 février-5 mars 2024).

Aujourd’hui :

* À 13h30 : Conte de Printemps de Éric Rohmer (1990).

* À 15h40 : La Femme de L’aviateur de Éric Rohmer (1981).

* À 17h40 : Pauline à la plage de Éric Rohmer (1982)

Faites votre programme.

Ce soir, à la Librairie du Panthéon-Cinélittérature :

* À 19h00 : Rencontre avec Victor Daoût et Rosette.

Bonnes lectures :

* Victorien Daoût, Au travail avec Éric Rohmer. Entretiens avec ses collaborateurs, Paris, Capricci, 2024.

* Rosette, Éric. L’ami Rohmer, Éditions de Paris, 2024.

À quand l’ouverture de la Maison Rohmer à Tulle en projet depuis quelques mois ?

Les sorties sur les grands écrans

* Walk Up de Hong Sang-Soo (2022).

* Le Pion du Général (Autobiography) de Makbul Mubarak (2022).

* Il fait nuit en Amérique (E noite na america) de Ana Vaz (2022).

* Une vie (One Life) de James Hawes (2023).

* Bye Bye Tibériade de Lina Soualem (2023).

* Double foyer de Claire Vassé (2023).

* Sleep (Jam) de Jason Yu (2023).

* Le Successeur de Xavier Legrand (2024).

Les ressorties en versions restaurées

* Le Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud (1986).

* Une histoire vraie (The Straight Story) de David Lynch (1999).

Mardi 20 février 2024

À Rennes, commence le festival organisé par l’association Clair Osbcur, Travelling 2024, 35e édition (20-27 février 2024).

Chaque année, depuis 1990, le festival fait découvrir une nouvelle ville.

Au programme :

* Les invités : Singing Chen, Mimi Lee, et Midi Z.

* TaïPei au cinéma.
En partenariat avec le FRAC Bretagne, le Festival de Clermont-Ferrand, le Centre franco-allemand de Rennes et en présence de Bastian Meiresonne du Festival de Vesoul.

On la découvre à travers des films de Hou Hsiao-Hsien, de Edward Yang, et de Tsai Ming-Liang

* Compétition courts métrages.

* Séances spéciales (avant-premières et inédits).

* Musique et cinéma.

* Mutations numériques.

* À l’Ouest.

* Les Rencontres.

Ce soir, ouverture au Cinéma Pathé :

* À 18h30 : Missing Johnny de Huang Xi (2017).

Faites votre programme.

À Rome, au Palazzo Braschi, Museo di Roma, commence la nouvelle exposition : Ukiyoe. Il mondo fluttuante. visioni dal Giappone (20 février-23 juin 2024).

L’exposition est un voyage dans l’art japonais de l’ère Edo, à travers une sélection de 150 chefs-d’œuvre du 17e au 19e siècle, notamment des peintures, des rouleaux, des éventails et des gravures, ainsi que des objets traditionnels japonais, tels que des kimonos et des instruments de musique.
Elle raconte aussi l’histoire de deux voyageurs italiens, le peintre Edoardo Chiossone (1833-1898 et le sculpteur Vincenzo Ragusa 1841-1927).

À Paris, à la Maison des sciences de l’Homme (MSH), au Comptoir, dans le cadre du cycle Parcours d’intellectuels en exil : un humanisme sans frontières, 2e édition, la Fondation Calouste- Gulbenkian et la Fondation Maison des Sciences de l’Homme convient à la première conférence du cycle (5 conférences).

Bassma Kodmani (1958-2023) était une intellectuelle franco-syrienne, exilée en France avec sa famille.

Ce soir :

* À 18h00 : L’exil familial. Bassma Kodmani.
Avec Salam Kawakibi, Hala Kodmani, Brigitte Curmi, Michel Duclos et Álvaro de Vasconcelos.

Bonnes lectures :

* Bassma Kodmani, La Diaspora palestinienne, Paris, PUF, 1997.

* Bassma Kodmani, Abattre les murs. Les Arabes et leurs craintes, Paris, Éditions Liana Lévi, 2008.

Lundi 19 février 2024

À Paris, aux Sept Parnassiens, c’est Ciné Attac, en partenariat avec l’Alliance écologique et sociale (AES).

La fermeture et le démantèlement d’une usine centenaire, c’est toujours une tragédie. La papeterie va être remplacée par un site de production d’hydrogène, et 217 salariés vont être à la rue. Comment résister, comment se battre ?

Ce soir :

* À 20h00 : L’Usine, le Bon, la Brute et le Truand de Marianne Lère Laffite (2023).
En sa présence, avec Julien Sénécal, Arnaud Dauxerre, Cyril Briffault, et des représentants de l’AES.

À Paris, à Beaubourg, la Cinémathèque du documentaire à la Bpi accueille les Rencontres de Images documentaires. Cette séance s’inscrit dans le prolongement du dernier numéro de la revue, Guerre, n°110/111, octobre 2023.

Ce soir, ça se passe à Gaza, avant la guerre totale actuelle :

* À 20h00, Cinéma2 : Samouni Road de Stefano Savona (2018).
En présence de Gabriel Bortzmeyer de la revue Débordements.

ATTENTION : On n’en parle pas dans les médias dominants, alors la grève s’enlise. Les grèves des secteurs culturels, ça gêne moins donc c’est moins visible et moins utile que les grèves des transports, par exemple, au hasard, surtout au moment sacré des vacances.
Depuis le 16 octobre 2023, les employés de Beaubourg sont en grève perlée. Le centre Pompidou s’apprête à fermer ses portes durant cinq ans afin de réaliser des travaux. Les syndicats n’ont toujours pas obtenu de la direction des solutions concrètes satisfaisantes sur leur devenir, pendant et après les travaux. Les enjeux sont pourtant capitaux.

À Paris, au Palais de Tokyo, pendant le week-end, ont commencé les nouvelles expositions :

* Signal. Mohamed Bourouissa (16 février-30 juin 2024).

Mohamed Bourouissa, un plasticien de Blida à Gennevilliers, en passant par Philadelphie jusqu’à Gaza.

* Dislocations (16 février-30 juin 2024).

Quinze artistes, de générations et origines différentes (Afghanistan, France, Irak, Iran, Liban, Libye, Myanmar, Palestine, Syrie, Ukraine) parlent de l’expérience déchirante de l’exil.

* Toucher l’insensé. (16 février-30 juin 2024).

La psychothérapie institutionnelle pense que qu’il ne faut pas isoler le trouble mental de son contexte social et institutionnel : les différentes manières de transformer des lieux d’isolement en lieux de protection.

* Passé inquiet. Musées, exil et solidarité. (16 février-30 juin 2024).

Les artistes et les musées ont souvent été solidaires du mouvement anti-impérialiste des années 1960-1980 et des luttes d’émancipation de peuples, notamment en Palestine, au Nicaragua, au Chili et en Afrique du Sud. Les archives institutionnelles manquent. Deux chercheuses, Kristine Khouri et Rasha Salti, ont travaillé à en constituer à partir d’archives privées et d’une cinquantaine d’entretiens. Leur référence : l’Exposition internationale d’art pour la Palestine qui a eu lieu en 1978 à Beyrouth.

À Paris, à la Maison de l’Amérique latine (MAL), l’Association des ex-prisonniers politiques chiliens en France. organise une rencontre sur les années décisives de l’histoire du Chili, le passé pour éclairer le présent.

Ce soir :

* À 19h00 : Les mouvements sociaux au Chili 1973-1993
En présence de Patrick Guillaudat.

Bonne lecture :

* Patrick Guillaudat & Pierre Mouterde, Les Mouvements sociaux au Chili (1973-1993), préface de Michael Löwy, Paris, L’Harmattan, 1996. Réédition en 2023.

Vendredi 16 février 2024

À Pézenas, commencent les Rencontres Cinéma 2024, 61e édition (16-22 février 2024).

Au programme :

* Les invités.

* Le Cinéma coréen.

* Chad Chenouga.

* Passeur de Cinéma en Occitanie.

* Mémoire de pellicule.

* Le cinéma indépendant et sa diffusion.

Ce soir, ouverture :

* À 17h30, à la Médiathèque : Inauguration de l’exposition Griggio fait son cinéma. Serge Griggio par lui-même.

* À 20h30 : JSA-Joint Security Area (Gongdong gyeongbi guyeok JSA) de Park Chan-wook (2000).
Présentation par Bastian Meiresonne.

Faites votre programme.

À Toulouse, à la Cinémathèque, commence le festival Extrême Cinéma 2024, 25e édition (16-24 février 2024).

Avec deux expositions monographiques, Laura Zanti et Jean Pommiès, en entrée libre, proposées par Lieu-Commun : Extrême Cinéma. L’ivresse du vertige (16-24 février 2024).

Ce soir, ouverture, ciné-concert :

* À 21h00 : Dementia de John Parker (1955).
Accompagnement à la guitare par Marc Sens.

Faites votre programme.

À New York, le Lincoln Center, à l’occasion de la sortie de Dune : Part Two, (2024), présente une Rétrospective de mi-carrière Denis Villeneuve huit longs métrages de lui ainsi qu’une sélection de 14 films qui ont nourri sa créativité choisis par lui (16-28 février 2024).

Aujourd’hui, ouverture :

* À 15h15 : Incendies de Denis Villeneuve (2010).

* À 18h00 : Polytechnique de Denis Villeneuve (2009).

Faites votre programme.

Médiacritique n°49, janvier-mars 2024, la revue de Acrimed, vient de sortir. On la trouve en librairie, mais pas en kiosque.

* On la commande en ligne.

* On s’abonne.

* On consulte, en accès libre, tous les anciens numéros.

Au fil du temps, tous les éditos
 

Voyage dans le temps.