2024 : Journal de Adja Cissokho
* Adja Cissokho-édito 2024 ; 1er-15 janvier 2024 ; 16-31 janvier 2024 ; 1er-15 février 2024 ; 16-29 février 2024 ; 1er-15 mars 2024 ; 16-31 mars 2024 ; 1er-15 avril 2024 ; 16-30 avril 2024
Au fil du temps, tous les éditos
À San Francisco et à Berkeley, commence le Festival international du film 2024 (SFFILM), 67e édition (24-28 avril 2024).
Au programme, 47 programmes de 40 pays.
* Tribute to Chiwetel Ejiofor.
* Documentaries international.
* Shorts.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, Premier Theater : Dìdi de Sean Wang (2024).
En sa présence.
À Bruxelles et à Ixelles, commence le Brussels Short film Festival 2024 (BSFF), 27e édition (24 avril-4 mai 2024).
Au programme :
* Compétitions : internationale ; nationale ; Next Generation.
Et jurys.
* Hors compétition : Focus Belgique ; Musts ; Rock’n’roll ; Youth ; Nuit du court.
Ce soir, cérémonie d’ouverture, 19h00, salle Flagey :
* Ice Merchants de João Gonzalez (2022)
* À l’arraché de Emmanuelle Nicot (2016)
A l'arraché / Snatched from Hélicotronc on Vimeo.
* L’Acteur de Raphaël Quenard & Hugo David (2023)
* Drijf de Levi Stoops (2023).
TRAILER - Drijf (Levi STOOPS, 2023) from Miyu Distribution on Vimeo.
À Paris, au Forum des images commence le le festival de création numérique et mondes virtuels, en entrée libre et gratuite NewImages Festival 2024, 7e édition (24-28 avril 2024).
Aujourd’hui, ça commence à 10h00.
Ce soir :
* À 18h30, salle 300 : La vie méconnue de Claudette Colvin en réalité augmentée, une immersion dans l’Alabama des années 50, au cœur de la lutte pour les droits civiques.
Autour de Colored (Noire) de Stéphane Foenkinos & Pierre-Alain Giraud.
En leur présence avec Tania de Montaigne.
À Paris, à l’Archipel, c’est le cinquantenaire de la Révolution des œillets.
Ce soir :
* À 20h00 : Scenes from the Class Struggle in Portugal de Robert Kramer & Philip J. Spinelli (1977).
Présentation de Diana Vidrascu.
À Paris, aux Écoles, c’est le cinéclub du Goethe Institut : Kopfkino.
Ce soir :
* À 20h00 : Tous les autres s’appellent Ali (Angst essen Seele auf) de Rainer Werner Fassbinder (1974).
Débat avec Malika Mansouri.
À Paris, à la Gaîté lyrique, on fête les 15 ans de COAL avec une grande exposition pluridisciplinaire en accès libre : Coalition. 15 ans d’art et d’écologie (24 avril-2 juin 2024).
Cette exposition dresse le panorama d’une génération d’artistes engagés, 50 artistes représentant la richesse et la variété des approches de la scène artistique de l’écologie, depuis le témoignage jusqu’à l’activisme en passant par la constitution de communautés.
Les sorties sur les grands écrans
* Bushman de David Schickele (1971).
* Occupied City de Steve McQueen (2022).
* Un jeune chaman (Ser ser salhi) de Lkhagvadulam Purev-Ochir (2023).
* Le Temps du voyage de Henri-Francois Imbert (2023).
* Le Brame de la Licorne de Arnaud Romet (2023).
* Indivision de Leïla Kilani (2023).
* L’Échappée (Drift) de Anthony Chen (2023).
* Sky Dome 2123 (Müanyag égbolt) de Tibor Bánóczki & Sarolta Szabó (2023).
* Que notre joie demeure de Cheyenne Carron (2023).
* Frères de Olivier Casas (2024).
* Le Mangeur d’âmes de Julien Maury & Alexandre Bustillo (2024).
* Back To Black de Sam Taylor-Johnson (2024).
* Le Déserteur (The Vanishing Soldier) de Dani Rosenberg (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* Robocop de Paul Verhoeven (1987).
* Les Maîtres du temps de René Laloux (1982).
À Zürich, commence le festival Pink Apple 2024, 27e édition (23 avril-2 mai 2024), puis à Frauenfeld (3-5 mai 2024).
Au programme, une sélection internationale de 80 films de fiction et documentaires queer.
* Golden Apple Award à Elene Naveriani.
* Rétrospective intégrale Elene Naveriani (25-28 avril 2024), avec une masterclass au Filmpodium.
* Compétition courts métrages.
Ce soir, ouverture :
* À 20h15, au Kino Arthouse Le Paris : Young Hearts de Anthony Schatteman (2024).
En sa présence.
À Nanterre, la Contemporaine ex-BDIC, à l’initiative de la délégation française de la Fondation Callouste-Gulbenkian avec le Pixel et le CRILUS célèbrent le cinquantenaire de la Révolution des œillets (1974-2024), avec un cycle d’événements en entrée libre et gratuite, colloque, rencontres et projections (13 février-30 mai 2024).
Ce soir :
* À 18h00, amphithéâtre B2 du bâtiment Grappin de l’Université Paris-Nanterre : Les Mains invisibles (Invisible Hands) de Hugo dos Santos (2022).
En sa présence.
À Lyon, l’Institut Lumière propose une nouvelle exposition à la Galerie Cinéma : Hollywood, la cité des femmes (23 avril-16 juin 2024).)
Bonne lecture :
* Antoine Sire, Hollywood, la cité des femmes. Histoires des actrices de l’âge d’or d’Hollywood (1930-1955), préface de Bertrand Tavernier & Thierry Frémaux Arles, Éditions Institut Lumière / Actes Sud, 2016.
À Lyon, la Tomaselli Collection, en partenariat avec l’association Brouill’Arts Lyonnais, présente sa nouvelle exposition La Modernité à Lyon-1900-1925 (23 avril-7 septembre 2024).
L’exposition couvre la période du début du 20e siècle depuis la création du Salon des artistes lyonnais en 1901 (rebaptisé plus tard Salon d’automne) jusqu’à la création du Salon du Sud-Est en 1925. Elle met particulièrement en valeur les Ziniars, un groupe qui exposa à Lyon de 1920 à 1924 et qui représentait alors le courant moderne de la peinture lyonnaise, et créa les revues d’avant-garde Promenoir (1921-1922) et Manomètre (1922-1928).
Bonne lecture :
* Alain Vollerin, Marjolaine Nardone & Charles Gourdin, Les Ziniars ou la vocation de la modernité, Lyon, Mémoire des Arts, 2001.
À Brooklyn, au Musée se tient une exposition Hiroshige’s 100 Famous Views of Edo (feat. Takashi Murakami) (feat. Takashi Murakami) (5 avril-4 août 2024).
Utagawa Hiroshige (1797-1858), aussi célèbre que Katsushika Hokusai (1760-1849), a réalisé plus de 5 400 estampes, en plusieurs séries, notamment sur le mont Fuji et sur Edo, le nom de Tōkyō, avant sa transformation à l’ère Meiji (1868-1912).
Takashi Murakami (né en 1962) a créé 120 nouvelles œuvres pour accompagner la présentation de l’ensemble complet des 100 vues célèbres d’Edo.
Et pour ceux qui ne peuvent se déplacer, le Musée de Brooklyn offre une vue d’Edo, à chacun des 12 signes astrologiques, en fonction de sa saison.
* Printemps (bélier, taureau, gémeaux).
* Été (cancer, lion vierge).
* Automne (balance, scorpion, sagittaire).
* Hiver (capricorne, verseau, poissons).
Aujourd’hui, c’est le Jour de la Terre, 54e édition.
La première fois qu’on l’a célébré, c’était le 22 avril 1970, dans le Wisconsin, une manif d’étudiants avec le sénateur de l’État, Gaylord Nelson (1916-2005). En 1971, l’ONU a déclaré officiellement chaque 22 avril "Jour de la Terre".
* Bilan du Jour de la terre 2023.
* Sur France Culture : L’hypothèse Gaïa.
Quelques merveilles de notre planète malmenée, cette Terre "qui est quelquefois si jolie" :
* Les Chants de la terre (Fedrelandet) de Margreth Olin (2023).
Sur Arte jusqu’au 19 mai 2024.
Et puis les animaux. Pas nous, animaux doués de conscience, de raison et de perversité, et nos sociétés où les mâles dominants pratiquent l’abus de pouvoir, et ne tuent pas seulement pour se nourrir, mais par plaisir. Non, les autres animaux, tous les autres, étranges, extraordinaires, inconnus, qui nous entourent et animent notre planète, et qui, pour l’instant, survivent alors que leur monde nous sert de poubelle.
* Le Peuple des océans de Jacques Perrin & Jacques Cluzaud (2011).
Sur Arte jusqu’au 21 mai 2024.
À Paris, la Fondation Calouste-Gulbenkian célèbre le cinquantenaire de la Révolution des œillets, déclenchée le 25 avril 1974, qui a mis fin à la dictature salazariste qui régnait depuis 1933 (20 avril-13 mai 2024).
Tout le week-end dernier a été à la fête avec le Théâtre de la Ville. avec une exposition gratuite.
La Fondation Maison des Sciences de l’Homme, (FMSH) dans le cadre de son cycle de 5 conférences Parcours d’intellectuels en exil : un humanisme sans frontières, et la Fondation Calouste-Gulbenkian convient à une troisième conférence sur la figure politique de Mário Soares (1924-2017), qui comme des milliers d’opposants à la dictature, a vécu en exil à Paris (1969-1974).
Ce soir :
* À 18h00, dans le hall de la MSH : Mário Soares : l’exil d’un démocrate pro-européen.
Avec Isabel Soares, Edgar Morin, Cristophe Araújo, Guilherme d’Oliveira Martins et Álvaro de Vasconcelos.
À Paris, au MK2 Quai de Seine, se tient la soirée mensuelle parisienne de l’Université populaire d’ACID, ACID POP, 5e saison : une masterclass, un film, un débat.
Ce soir, à 20h00 :
* Comment créer un personnage romanesque dans un film documentaire ?
* Caiti Blues de Justine Harbonnier (2023).
En sa présence avec Emmanuelle Millet.
Médiacritiques n°50, avril-juin 2024, le le journal de l’association Acrimed vient de paraître.
* On le trouve en librairie ou on l’achète en ligne.
* On consulte les anciens numéros en accès libre.
* On s’abonne et/ou on adhère à l’association.
À Venise, s’ouvre officiellement la Biennale d’art contemporain 2024, 60e édition (20 avril-24 novembre 2024).
Elle avait lieu les années impaires, les années paires avait lieu la Biennale d’architecture. En 2020, celle-ci a été annulée et reportée à 2021, en raison de la pandémie de Covid-19 en Italie, repoussant d’un an la Biennale d’art.
Cette année, le thème est Stranieri Ovunque (Foreigners Everywhere / Étrangers partout). Le commissaire Adriano Pedrosa, directeur artistique du Museu de Arte de São Paulo (MASP) la définit comme "une célébration de l’étranger, du lointain, de l’outsider, du queer et de l’indigène et présentant des artistes eux-mêmes étrangers, immigrés, expatriés, réfugiés. En particulier de ceux qui se sont déplacés entre le Sud et le Nord du monde."
Comme d’habitude la Biennale officielle se déroule principalement aux Giardini (avec les pavillons nationaux et le Pavillon central), et aussi à l’Arsenale.
La Biennale d’art contemporain de Venise est toujours un reflet de l’état de la "Communauté internationale".
La Fédération de Russie a un très beau pavillon, à l’entrée des Giardini. En 2022, il est resté fermé, par décision des équipes d’artistes russes en signe de protestation contre l’agression militaire de leur pays en Ukraine. En 2024, la Russie est absente de la sélection officielle et il n’y a eu aucun communiqué officiel. Cependant le pavillon est ouvert et accueille l’exposition d’une vingtaine d’artistes boliviens, Qhip Nayr Uñtasis Sarnaqapxañani (En regardant le futur-passé, nous avançons). Selon le journal économique Il Sole 24 Ore, il semble que ce soit le résultat d’un arrangement financier entre les deux pays, sur l’exploitations du lithium dans le désert de sel de Pastos Grandes.
Quant à l’Ukraine, cette année, elle est présente, comme en 2022, sans pavillon, mais avec un espace d’exposition permanent au sein du pavillon central des Giardini et à l’Arsenale. En attendant la création d’un pavillon permanent, une Piazza Ucraina.
Au début de l’année, en février 2024, deux demandes d’exclusion ont été publiées :
* Pour l’exclusion d’Israël, avec une lettre ouverte du collectif Art Not Genocide Alliance (ANGA).
* Pour l’exclusion de la République islamique d’Iran, avec une pétition Woman Life Freedom Europe et Woman Life Freedom Italy.
La réponse officielle de la Biennale est de ne n’exclure personne : "En ce qui concerne la participation à l’exposition internationale d’art des pays présents dans les pavillons des Giardini, de l’Arsenale et de la ville, la Biennale di Venezia précise que tous les pays reconnus par la République d’Italie peuvent, de manière indépendante, demander à participer officiellement. La Biennale, par conséquent, ne peut considérer aucune pétition ou demande visant à exclure la présence d’Israël ou de l’Iran de la prochaine 60e exposition internationale d’art".
Il a également été précisé qu’en ce qui concernait la Palestine, elle n’était pas éligible à un pavillon national puisqu’elle n’était pas reconnue comme un État souverain, mais que, cette années, il y avait également des artistes palestiniens parmi les événements collatéraux, notamment South West Bank : Landworks, Collective Action and Sound dans l’ancienne cave à sel du Palazzo Contarini Polignac.
Dans le cas d’Israël, le pavillon est resté fermé, avec une pancarte : "L’artiste Ruth Patir et les commissaires du pavillon israélien ouvriront l’exposition quand un cessez-le-feu et un accord de relâche des otages seront trouvés".
Les jours de vernissage, les 17, 18 et 19 avril 2024, des manifestations ont eu lieu aux Giardini, devant les pavillons israéliens, américains, français et allemands.
Au programme, 331 artistes et 87 pays :
* Les participations nationales.
* Au Pavillon français : Julien Creuzet.
Aujourd’hui, c’est l’ouverture au public :
* À 11h00, Ca’ Giustinian : Cérémonie de remise des Lions d’or (I Leoni d’Oro alla carriera della Biennale Arte 2024) à Anna Maria Maiolino et à Nil Yalter, par un jury international.
Dans toute la ville :
* Palazzo Grassi : Julie Mehretu. Ensemble.
* Espace Louis-Vuitton : Ernest Pignon-Ernest. Je est un autre.
* Punta della Dogana : Pierre Huyghe. Liminal.
* Galleria dell’Accademia : Willem de Kooning et l’Italie.
* Peggy Guggenheim : Jean Cocteau. The Juggler’s Revenge.
À Paris, la Cinémathèque du documentaire de la BPI, rend hommage au catalogue du Centre audiovisuel Simone-de-Beauvoir.
On rappelle que l’association a été fondée en 1982, par Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig & Ioana Wieder, avec pour missions la création, la conservation et la diffusion d’un matrimoine audiovisuel.
Aujourd’hui, commence le cycle Contre-chant : luttes collectives, films féministes, (19 avril-4 juillet 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, Cinéma1 : Calamity Jane et Delphine Seyrig : A Story de Babette Mangolte (2020).
En présence de l’équipe du Centre audiovisuel Simone-de-Beauvoir.
À Paris, aux Sept Parnassiens, commence le festival indépendant européen ECU 2024, 19e édition (19-21 avril 2024).
Le festival se définit comme "attirant une bande de marginaux, de visionnaires et de gens terriblement créatifs".
Au programme
* Sélection officielle (films de tous genres européens et non européens).
* Jury.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, sept films : Wild Summon (Invocation sauvage) de Karni Arieli & Saul Freed (2023) ; It Turns Blue de Shadi Karamroudi (2023) ; Love Confession de Anna Filonenko (2021) ; John Adams - Get up the Yard de Jose Ángel Catalán Ruiz & Mario Barsony (2023) ; Mangata de Maja Costa (2023) ; Taxi de Constantinos Nikiforou (2024) ; Six Roasted Chickens de Jeremias Nussbaum (2023).
À Paris, au Musée de la marine, en collaboration avec la Cinémathèque française, se tient une exposition Objectif Mer : l’océan filmé (13 décembre 2023-5 mai 2024).
Des premières lanternes magiques du 18e siècle jusqu’au film Océans de Jacques Perrin & Jacques Cluzaud (2009), en passant par les œuvres de Étienne-Jules Marey (1830-1904), Auguste Lumière (1862-1954), Louis Lumière (1864-1948), Georges Méliès (1861-1938), jusqu’à La Grande Rencontre (Windjammer : The Voyage of the Christian Radich) de Bill Colleran & Louis De Rochemont III (1958) ou Titanic de James Cameron (1997), les cinéastes et les cinéphiles libres ont toujours chéri la mer.
L’exposition présente plus de 300 œuvres - costumes, affiches, peintures, machines, objets, photographies et extraits de films.
On note tout de suite le jeudi 2 mai 2024, une journée organisée par l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFHRC) et le programme de recherche CinEx (sur inscription).
* À 9h30, au musée : Visite guidée de l’exposition.
* À 14h00, à l’École nationale des chartes : Table ronde avec les commissaires d’exposition Vincent Bouat-Ferlier et Laurent Mannoni.
Modération par Roxane Hamery, Stéphanie-Emmanuelle Louis et Stéphane Tralongo.
À Paris, à la Cinémathèque, en collaboration avec le National Film Archive of Japan et la Kadokawa,
commence une Rétrospective Kenji Misumi (18 avril-26 mai 2024).
Présentation : L’art et la manière par Clément Rauger.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Heni-Langlois : La Légende de Zatōichi : Voyage meurtrier (Zatōichi kesshō-tabi) de Kenji Misumi (1964).
À Paris, aux Sept Parnassiens, la Ligue des droits de l’homme invite à découvrir le travail des contrôleurs des lieux d’enfermement, comme la maison d’arrêt de Versailles, la prison de Bourg-en-Bresse, la centrale de l’Île de Ré, l’hôpital psychiatrique d’Évreux.
Ce soir :
* À 20h00 : À l’ombre de la République de Stéphane Mercurio (2011).
En sa présence avec Maud Hoestlandt.
À Besançon, se tient aujourd’hui, la séance mensuelle de l’Université populaire de ACID où les cinéastes viennent partager avec le public leurs expériences de fabrication : ACID Pop 2023-2024 5e saison.
Ce soir, à 20h00, au Kursaal : Filmer est un jeu :
* Masterclass de Léo Couture, Mattéo Eustachon & Anton Balekdjian avec Clément Schneider.
* Mourir à Ibiza (Un film en trois étés) de Mattéo Eustachon, Léo Couture & Anton Balekdjian (2022).
À New York, le MoMA rend justice à un grand cinéaste : Frank Borzage and Man’s Castle (18-24 avril 2024).
Depuis des décennies, son grand film, très "pré-Code", Man’s Castle (1933), n’est disponible que dans un montage fortement censuré qui date de 1938, afin qu’on puisse tirer profit des victoires consécutives aux Oscars de sa star, Spencer Tracy.
Aujourd’hui, le film a été a été restauré dans un état assez proche de sa première version, par Rita Belda de Sony Pictures Entertainment, et il est accompagné d’une sélection d’autres restaurations récentes de Frank Borzage.
Aujourd’hui :
* À 16h30 : Ceux de la zone (Man’s Castle) de Frank Borzage (1933).
* À 19h00 : Bad Girl de Frank Borzage (1931).
À Istanbul, commence le Festival international du film 2024 (IKSV), 43e édition (17-28 avril 2024).
Au programme :
* Invités d’honneur : Wim Wenders ; Koji Yakusho.
* Prix d’honneur : Meral Orhonsay ; Engin Ayça
* Compétitions : internationale ; nationale (Turkish cinema 2023-2024).
Et Jurys.
* Hors compétition : Turkish classics revisited ; N Kolay galas ; Best of the Fests ; Young Masters ; Documentary Time ; Musicians ; Mined Zone ; Antidepressant ; Where are you my love ? ; No More Flowers ; Specter ; Hungarian Rhapsodies ; Cinemania.
IKSV // 43. İstanbul Film Festivali from DEPOfilm on Vimeo.
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence un nouveau cycle : L’architecture dans le cinéma muet (17 avril-14 mai 2024)
Ce cycle thématique a été élaboré par l’architecte Ehsan Khoshbakht, notamment co-directeur du festival de Bologne, Il Cinema Ritrovato, qui tient un blog sur l’architecture et le cinéma
Aujourd’hui, ouverture :
* À 14h30 : Monte là-dessus ! (Safety Last !) de Fred C. Newmeyer & Sam Taylor(1923).
* À 16h00 : Raskolnikov de Robert Wiene (1923).
À Paris, à la Cinémathèque, commence un Cyle William Friedkin (17 avril-5 mai 2024).
Présentation : William Friedkin, au théâtre de la déraison par Joachim Lepastier.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : French Connection de William Friedkin (1970 )
À Paris, aux 3 Luxembourg, commence une rétrospective de la Nouvelle Vague tchèque, Printemps tchécoslovaque (17-23 avril 2024).
Ce soir :
* À 20h30 : Le Soleil dans le filet (Slnko v sieti) de Štefan Uher (1963).
En présence de Mathieu Lericq.
Ce sera également l’occasion de revoir :
* Un jour un chat (Až Přijde Kocour) de Vojtěch Jasný (1963).
* Trains étroitements surveillés (Ostře sledované vlaky) de Jiří Menzel (1966).
* Les Fruits du paradis (Ovoce stromu rajských jíme) de Vera Chytilová (1970).
À Marseille, Vidéodrome2 on se souvient de Chris Marker (1921-2012), du cimetière de chats de Sans Soleil (1982) au mausolée du Tombeau d’Alexandre (1993), des galeries souterraines de Level Five (1996) aux toits de Chats Perchés (2004).
Ce soir :
* À 20h30 : La Dixième Vie de Chris Marker (Ten Lives of a Cat : A film about Chris Marker) de Matthew O’Toole (2022).
En sa présence.
https://www.videodrome2.fr/la-dixieme-vie-de-chris-marker-dix-vies-dun-chat-de-matthew-otoole/
Les sorties sur les grands écrans
* Marin des montagnes (Marinheiro das Montanhas) de Karim Aïnouz (2021).
* Borgo de Stéphane Demoustier (2023).
* Riddle of Fire de Weston Razooli (2023).
* Amal - Un esprit libre (Amal) de Jawad Rhalib (2023).
* La Machine à écrire et autres sources de tracas de Nicolas Philibert (2023).
* L’Île de Damien Manivel (2023).
* Le Jour où j’ai rencontré ma mère (Kiddo) de Zara Dwinger (2023).
* L’Île sans fin (Knit’s Island) de Ekiem Barbier, Guilhem Causse & Quentin L’helgoualc’h (2023).
* Civil War de Alex Garland (2024).
La ressortie en version restaurée
* Les Cendres du temps (Dung che sai duk) de Wong Kar-Wai (1994).
À Bruxelles, la Cinematek, rend hommage au chanteur Arno (1949-2022), et on peut découvrir qu’il était aussi un acteur : Arno (16 avril-31 mai 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 22h00 : Arno. Dancing Inside My Head de Pascal Poissonnier ( 2016).
À Paris, à la Cité audacieuse le Centre audiovisuel Simone-de-Beauvoir suit la lutte de Tran To Nga, contre les firmes d’agrochimie ayant fourni à l’armée américaine le défoliant toxique responsable de millions de victimes depuis la guerre du Vietnam, ainsi que le travail de la documentariste Masako Sakata, dont le mari américain est mort des suites de son exposition à l’agent orange, il y a 20 ans.
Le 3 octobre 2017, le Centre avait invité Masako Sakata au Forum des images pour présenter son premier film : L’Agent orange. Un requiem personnel (Agent Orange : A Personal Requiem, 2007).
Ce soir :
* À 19h00 : Long Time Passing de Masako Sakata (2022).
En sa présence avec Tran To Nga.
À Los Angeles, au Getty Center, se tient une exposition dédiée au digne successeur de Nicéphore Niépce (1765-1833) et de Louis Daguerre (1787-1851), Hippolyte Bayard (1801-1887) : Hippolyte Bayard. A Persistent Pioneer (9 avril-7 juillet 2024).
Nicéphore Niépce, inventeur de la photographie, était un ingénieur, Louis Daguerre son associé et son successeur, fut d’abord peintre. Tous deux furent très connus de leur vivant, avec l’invention du daguerréotype sur métal en 1835, et son brevet en 1839.
Le bureaucrate du ministère des Finances, Hippolyte Bayard, qui s’intéressa aussi d’abord à la peinture, puis inventa la production des images sur papier, eut moins de chance. Alors que cette étape est capitale dans l’histoire de la photographie, avant l’innovation du calotype négatif par William Henri Fox Talbot (1800-1877) en 1841 (qui permit la reproduction), Hippolyte Bayard resta ignoré, malgré une exposition de ses photos (la première de l’histoire), en juillet 1839.
Ironiquement, il réalisa alors, en 1840, un autoportrait en noyé, avec un texte : "Le cadavre du monsieur que vous voyez ici, est celui de Monsieur Bayard, inventeur du procédé que vous venez de voir. Autant que je sache, cet expérimentateur ingénieux et infatigable s’est occupé depuis environ trois ans à perfectionner sa découverte. Le gouvernement, qui a beaucoup donné à M. Daguerre, a dit qu’il ne pouvait rien pour M. Bayard, et le pauvre diable s’est noyé. Oh les aléas de la vie humaine !"
Pour se consoler, et se prouver à lui-même qu’il existait bel et bien - il eut d’ailleurs ensuite une vie très pleine -, il fit ensuite de très nombreux auto-portraits, et, du coup, le Getty en fait l’ancêtre du selfie.
Son œuvre est considérable et reconnue désormais.
Les photos de Hippolyte Bayard en vente.
Au fil du temps, tous les éditos
par Anita Lindskog
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du Festival international du cinéma méditérranéen de Montpellier 2023
Sortie le mercredi 24 avril 2024
par Hugo Dervisoglou
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection Orizzonti de la Mostra de Venise 2023
Prix d’interprétation masculine pour Tergel Bold-Erdene
Sortie le mercredi 24 avril 2024
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma n°423, été 2023
Sélection officielle Séance spéciale du Festival de Cannes 2023
Sortie le mercredi 24 avril 2024
par Anita Lindskog
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 24 avril 2024
par Nicole Gabriel
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle au Festival de Cannes 1963
Sorties les mercredis 8 décembre 1965, 27 novembre 2013 et 1er décembre 2021
Jasny avant Le Chat
Rencontre avec Vojtěch Jasný (1925-2019)
À propos du Pèlerinage à la Vierge (1961) et de Touha (1958)
Jeune Cinéma n°3-4, décembre 1964
Rencontre avec Vojtěch Jasný (1925-2019)
À propos du Un jour, un chat... (1963)
Jeune Cinéma n°3-4, décembre 1964-janvier 1965
par Lucien Logette
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle hors compétition au Festival de Cannes 1967
Oscar 1968 du meilleur film étranger
Sorties les mercredis 22 novembre 1967, 12 novembre 2014 et 23 février 2022
Rencontre imaginaire avec Jiri Menzel
à propos de Trains étroitement surveillés (1966)
Jeune Cinéma n°26, novembre-décembre 1967
par Olivier Varlet
Jeune Cinéma n°274, mars-avril 2002
Sélection officielle Un certain regard du Festival de Cannes 2001
Sorties les mercredis 6 mars 2002 et 10 avril 2024
Rencontre avec Stanley Kwan (2002)
à propos de Lan Yu
Jeune Cinéma n°274, mars-avril 2002
par Nicole Gabriel
Jeune Cinéma n°427-428, mars 2024
Sortie le mercredi 10 avril 2024
par Heike Hurst
Jeune Cinéma n°259, janvier 2000
Sélection officielle en compétition de la Berlinale 1992
Ours d’argent et Prix de la meilleure actrice à Maggie Cheung
Sorties les mercredis 1er décembre 1999 et 10 avril 2024
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°423, été 2023
Sélection officielle Un certain regard du Festival de Cannes 2023
Sortie le mercredi 10 avril 2024
par Anita Lindskog
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle en compétition du Fespaco 2023
Inédit en France en salle
par Nicole Gabriel
Jeune Cinéma n°427-428, mars 2024
Sortie le mercredi 3 avril 2024
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle en compétition du Cinéma du Réel 2023
Sortie le mercredi 3 avril 2024
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du Festival du film international de Toronto 2023
Sortie le mercredi 3 avril 2024
par Hugo Dervisoglou
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle de la Mostra de Venise 2023
Sortie le mercredi 3 avril 2024
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°427-428, mars 2024
Sortie le mercredi 3 avril 2024
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma n°423, été 2023
Sélection officielle en compétition du Festival de Cannes 2023
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Francis Guermann
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°427-428, mars 2024
Sélection officielle Un certain regard du Festival de Cannes 2023
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Claudine Castel
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du Festival international du documentaire d’Amsterdam 2022
Prix du meilleur long métrage
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Sol O’Brien
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection Orrizzonte de la Mostra de Venise 2023
Sortie le mercredi 27 mars 2024
par Anne Vignaux-Laurent
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle de la Berlinale 2024
Sortie le mercredi 20 mars 2024
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°333-334, automne 2010
David di Donatello Awards 2007.
David Giovanni
Sorties les mercredis 6 octobre 2010 et 20 mars 2024
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°423, été 2023
Sélection ACID au Festival de Cannes 2023
Sortie le mercredi 20 mars 2024
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 20 mars 2024