2021 : Journal de Wayne Hays
* Wayne Hays-édito 2021 ; 1er-15 janvier 2021 ; 16-31 janvier 2021 ; 1er-14 février 2021 ; 16-28 février 2021 ; 1er-13 mars 2021 ; 16-31 mars 2021 ; 1er-15 avril 2021 ; 17-29 avril 2021 ; 1er-15 mai 2021 ; 18-31 mai 2021 ; 1er-15 juin 2021 ; 16-30 juin 2021 ; 2-15 juillet 2021 ; 16-31 juillet 2021 ; 3-14 août 2021 ; 17-28 août 2021 ; 1er-15 septembre 2021 ; 16-30 septembre 2021 ; 1er-15 octobre 2021 ; 17-31 octobre 2021 ; 2-15 novembre 2021 ; 16-30 novembre 2021 ; 1er-15 décembre 2021 ; 16-31 décembre 2021
À Paris, le Musée Carnavalet a rouvert un peu plus tard que les autres, le 29 mai 2021.
Ouvert au public le 25 février 1880, il est le plus ancien musée de Paris et a une belle histoire. Lui, il est resté fermé pendant 4 ans, il avait besoin d’importants travaux de rénovation et d’agrandissement.
On va visiter l’exposition d’ouverture : Henri Cartier-Bresson. Revoir Paris (15 juin-31 octobre 2021).
Pour mémoire, sur l’actualité de Henri Cartier-Bresson, en ce moment, chez lui dans sa fondation et à la BNF, cf. infra, le 3 juin 2021.
À Paris, la Maison européenne de la photographie (MEP) a rouvert, avec deux expositions :
* Moriyama - Tomatsu : Tokyo (19 mai-29 août 2021).
En écho, la MEP propose des Soirées Ciné en ligne, disponibles gratuitement et pendant une semaine, autour des classiques du cinéma japonais.
Cette semaine, avec Carlotta :
* Le Piège (Shiiku) de Nagisa Õshima (1961).
Visible en ligne du 17 au 24 juin 2021, avec le mot de passe #SoireeCineMEP.
C’est une des conséquences sympathiques - il y en a eu - des confinements successifs qu’on a endurés, la mise en ligne généreuse de films gratuits, par des institutions intelligentes.
L’autre exposition à la MEP :
* Yasuke Kurosan. Le samouraï noir au Japon (19 mai-29 août 2021).
Les podcasts de la MEP, c’est tous les quinze jours, en ligne, une pépite : Une œuvre, une minute
Par exemple Yasumasa Morimura, Doublenage (Marcel) (1988).
À Paris, dans le bruit et la fureur de nos modernités, il y a des niches et des refuges d’un autre temps plus lent, ce 19e siècle qui s’éloigne à toute allure, et, de loin, semble paisible et nous est apaisant.
* Le musée d’Orsay : Les origines du monde. L’invention de la nature au 19ème siècle (19 mai-18 juillet 2021).
* La Maison Victor-Hugo : Victor Hugo Dessins. Dans l’intimité du génie (10 juin-21 novembre 2021).
En réalité, les temps de l’humanité, depuis qu’elle a été chassée du Paradis terrestre, ne furent jamais pacifiques, chaque siècle a apporté ses tourments, "naturels" et sociaux. Mais parce que les violences y furent d’une autre espèce que celles du présent, elles sont devenues belles.
* Le Musée de la vie romantique : Tempêtes et naufrages. De Vernet à Courbet (19 mai-12 septembre 2021).
À Annecy, commence le Festival du film d’animation, 45e édition (14-19 juin 2021).
Il a été créé en 1960, au début, il était biennal et n’est devenu annuel qu’en 1997. Il aurait dû fêter ses 60 ans en 2020. Il l’a fait, avec un palmarès, mais en ligne, et c’est toujours moins joyeux.
En 2021, il se rattrape, avec une vraie fête.
D’abord on lui (re)souhaite ses 60 ans.
Et puis, on enchaîne avec une édition spéciale. En version hybride, puisque les jauges des salles sont réduites, et parce que tout le monde ne peut pas être à Annecy et disponible. On a donc le choix entre les salles et le plein air à Annecy et le online, qu’on a beaucoup pratiqué, par défaut, depuis plus d’un an et demi, qui se révèle finalement un élément de diffusion plus efficace.
Au programme de cette édition particulière, outre la sélection officielle, et les programme spéciaux, on note que le cinéma du continent africain est de nouveau à l’honneur, sur le dynamique Marché international du film d’animation (MIFA) qui a pour marraine Marguerite Abouet, et pour invité spécial William Kentridge, avec une rétrospective.
Aujourd’hui, jour d’ouverture, le programme est chargé, avec des expositions, des conférences et les projections qui commencent dès 9h00.
Ce soir, la cérémonie d’ouverture, à Bonlieu, est sur invitation, avec deux films, présentés par Marcel Jean :
* À 20h00 : Josée, le tigre et les poissons (Josee to Tora to Sakana-tachi) de Tamura Kotaro (2020)
Précédé par le court métrage Tomorrow’s Leaves de Yoshiyuki Momose (2021).
À Albi, le Festival du film francophone Les Œillades, 24e édition, qui pensait se maintenir, a finalement été annulé l’automne dernier (24-29 novembre 2020).
Alors l’Association Ciné Forum, propose de rattraper quelques films de sa sélection 2020 pendant l’été en attendant la 25e édition (16-21 novembre 2021).
Ce soir, salle Arce :
* À 20h30 : Vers la bataille de Aurélien Vernhes-Lermusiaux (2019)
En sa présence.
À Bruxelles, la Cinematek (Cinématèque royale de Belgique) a rouvert le 9 juin 2021,après avoir fait peau neuve : Nouveau site, rénovation des salles Plateau et Ledoux et des espaces d’exposition, programmes bichonnés, hommages à André Delvaux et à E.T. Cf. nos annonces les jours précédents. C’est que, cette année, elle célèbre le centenaire de Jacques Ledoux (1921-1988), son patron, conservateur de 1948 à 1988, et fondateur du Musée du cinéma de Bruxelles en 1962.
Aujourd’hui, elle inaugure un cycle : Michel Piccoli, régisseur (14-27 juin 2021).
Il a réalisé 5 films, dont un court métrage, et le segment d’un film collectif de Amnesty international, 30 réalisateurs pour fêter ses 30 ans Contre l’oubli (1991) : "Pour Nasrin Rasooli, Iran."
Ce soir :
* À 21h30 : Contre l’oubli de 30 réalisateurs pour Amnesty International (1991).
À Luxembourg, le Musée d’art contemporain (MUDAM), comme le Festival du film d’animation, célèbre William Kentridge : More Sweetly Play the Dance (13 février-30 août 2021).
Le MUDAM présente aussi un programme de projections en ligne, une sélection d’œuvres de sa collection de films et de vidéos d’artistes : Contact Tracing (11 juin-6 septembre 2021).
Dans une démarche contrastée, le musée se reconnecte en ligne avec les visiteurs éloignés pendant tous ces mois, en présentant les œuvres qui, justement, ont mis en valeur les phénomènes de convergence et de séparation qui caractérisent nos rapports à nous-mêmes, au monde et aux autres. Toutes les vidéos ont une étonnante fraîcheur.
Les artistes : Helena Almeida, Marie Cool Fabio Balducci, Beatrice Gibson, Jack Goldstein, João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Eva Kot’átková, Mark Lewis, Valérie Mréjen, Agnieszka Polska, Pedro G. Romero, Julika Rudelius, Su-Mei Tse, David Zink-Yi.
À Biarritz, commence le festival international du film documentaire, le Fipadoc 2021 (12-17 juin 2021).
Au programme, des compétition dotées de 14 prix : documentaire international ; documentaire national documentaire musical ; documentaire impact (droits humains, environnement, justice sociale).
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Indes galantes de Philippe Béziat (2020).
En sa présence.
À Montpellier, ont commencé les Rencontres du cinéma d’animation 2021, 1ère édition (9 juin-31 juillet 2021).
On est toujours heureux de saluer les premières éditions, d’autant que ces nouvelles rencontres, préparées par l’association Brand à part, sont riches de perspectives.
Au programme, une grande Rétrospective Jean-François Laguionie qui sera présent au Musée Fabre pour diverses rencontres, vendredi 18 et samedi 19 juin 2021. On note spécialement la traditionnelle table-ronde, mais aussi une présentation des premières images de son prochain long-métrage, Slocum, et une master class du compositeur Christophe Héral. Et, le vendredi soir, à 21h30, une projection en plein air de Le Tableau (2011).
Hier soir, on a retrouvé avec plaisir les grands soirs d’été, avec une séance en plein air :
* À 21h30, au parc Dioscoride : L’Île de Black Mor de Jean-François Laguionie (2004).
Ce soir, on rentre en salle, au cinéma Nestor-Burma :
* À 18h30 : Louise en hiver de Jean-François Laguionie (2016).
À Noisy-le-Sec, en 2020, le Festival du film franco-arabe, 9e édition (6-17 novembre 2021) a été annulé.
En partenariat avec Côté Court, le festival a pu présenter, en ligne, une sélection de courts-métrages, ce qui a permis de décerner les prix du public et du jury (9-13 décembre 2020).
Ce soir, au Trianon de Romainiville, en entrée libre :
* À 19h00 : Remise des Prix du Public et du Jury, et projection des films primés.
En présence des équipes des films.
* Grand Gaillard de Hicham & Samir Harrag (2020). Prix du public fiction.
GRAND GAILLARD VOST from ACIDULÉE Productions on Vimeo.
* Layla de Coralie Gourdon (2020). Prix du public documentaire.
* Jeûne d’été de Abdenoure Ziane (2020). Prix du jury fiction.
* Souvenir Souvenir de Bastien Dubois (2020). Prix du jury animation.
Trailer SOUVENIR SOUVENIR de Bastien Dubois from bastiendubois on Vimeo.
Prévue au printemps 2020 et reportée à plusieurs reprises, la Saison Africa 2020 est en retard.
Mais elle est enfin ouverte depuis le 19 mai 2021, dans 130 lieux partout en France, et prolongée jusqu’au 30 septembre 2021.
Par exemple :
* À Paris, le Musée du Quai Branly y conssacre tout ce week end, en ligne ou au musée, de 15h00 à 20h00 : Africa Mix (11-13 juin 2021).
Le programme complet du week end.
* À Toulouse, aux Abattoirs qui ont rouvert : Au-delà des apparences. Il était une fois, il sera une fois (16 décembre 2020-29 août 2021).
Avec les œuvres de Meriem Bennani, Julia Grosse et Yvette Mutumba, Amira Hanafi, Nicène Kossentini, Betelhem Makonnen, Bhavisha Panchia, Fatimah Tuggar, Emma Wolukau-Wanambwa.
* À Marseille, au Gyptis,à partir de demain, tous les dimanches, sur la terrasse (13 juin-29 août 2021).
Demain, dimanche 13 juin 2021 :
* Cabascabo de Oumarou Ganda (1969).
* Et on note tout de suite les rendez-vous à la Cinémathèque de Toulouse (17-30 juin 2021), avec les invitations de Dyana Gaye, Newton Aduaka, Sol de Carvalho Raja Amari Mohamed Challouf à qui elle donne carte blanche.
Voir les projections.
À Bruxelles, la Cinematek invite les parents et les enfants à retrouver E.T. et ses descendants tous les samedis de cet été : An Amblin Summer (12 juin-28 août 2021).
Aujourd’hui :
* À 15h00 : E.T. l’Extra-terrestre (E.T. : The Extra-Terrestrial) de Steven Spielberg (1982).
La semaine télé de Jeune Cinéma du 12 au 19 juin 2021.
À Huesca, commence le Festival internacional de cine, 49e édition (11-19 juin 2021).
Au programme, les sections habituelles, la sélection officielle de courts métrages, des longs métrages, et la section parallèle.
Et aussi deux événements majeurs :
* Un Hommage à Segundo de Chomón (1871-1929), qui aura 150 ans le 17 octobre 2021.
Rendez-vous le 19 juin 2021 pour célébrer ce pionnier espagnol du cinéma fantastique, débauché par Pathé Frères, rival de Georges Méliès (1861-1938) qui, lui, fêtera ses 160 ans, le 8 décembre 2021, avec un grand ciné concert en plein air de 8 courts métrages triés sur le volet parmi 232 petits chefs d’œuvre, jauge réduite mais séance gratuite :
* À 22h00, plaza general Alsina : El hotel eléctrico Revisitado : Le Scarabée d’or (1907) ; Le Spectre rouge (1907) ; Kiriki, acrobates japonais (1907) ; Théâtre électrique de Bob (1909) ; Le Voyage vers Jupiter (1909) ; Métamorphose (1912) ; Le pickpocket ne craint aucun obstacle (1909) ; L’Hôtel électrique (1908).
Accompagnement de Juanjo Javierre et Justo Bagüeste.
* Le Prix Luis-Buñuel attribué à Gonzalo Suárez, et on a rendez-vous le 16 juin 2021 avec :
* Alas de tiniebla de Gonzalo Suárez (2021).
TRAILER Alas de tiniebla - Gonzalo Suárez Morilla [2021] from Distribution with Glasses on Vimeo.
* El sueño de Malinche de Gonzalo Suárez (2019).
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 20h30, au Teatro Olimpia : A casa del caracol de Macarena Astorga (2021).
À Montpellier, le festival Cinémed, qui se tient chaque année en octobre, a dû annuler sa "sacro-sainte nuit en enfer" en 2020. On espère que ça ira mieux cet automne pour la 43e édition (15-23 octobre 2021).
En attendant, Cinémed propose une consolation, avec deux grands classiques, une mini nuit de l’apocalypse :
Ce soir, à 18h30, à l’Utopia :
* Les Révoltés de l’an 2000 (¿Quién puede matar a un niño ?) de Narciso Ibáñez Serrador (1976).
* Apocalypse 2024 (A Boy and His Dog) de L.Q. Jones (1975)
À Paris, le cinéma jamonais est à l’honneur.
* Au Champollion : Voyage à travers le cinéma japonais (19 mai-15 juin 2021).
* À la Cinémathèque : Rétrospective Hiroshi Shimizu (26 mai-20 juin 2021).
* Et le Festival Kinotayo Matsuri qui se déroule à la Maison de la culture du Japon (MCJP) (8-12 juin 2021) et au Musée Guimet qui a rouvert le 19 mai 2021.
Aujourd’hui :
* À 19h30 : True Mothers de Naomi Kawase (2020).
Prochaine étape : la Rétrospective Hiroshi Shimizu à la MCJP (22 juin-31 juillet 2021).
À Paris, l’Institut finlandais reprend ses bonnes habitudes avec le programme IF Screening n°25, une séance gratuite à 20h00 et deux films.
* The Other Side of Mars (Mars kuvien takaa) de Minna Långström (2015).
The Other Side of Mars (Mars kuvien takaa) Official Trailer from napafilms on Vimeo.
* Patent Nr. 314805 de Mika Taanila (2020).
Patent Nr. 314805 [trailer] from Testifilmi on Vimeo.
À New York, le Tribeca Film Festival annulé en 2020 et reporté en 2021, fête son 20e anniversaire en version hybride (9-20 juin 2021).
À Berlin, la Berlinale 2021, 71e édition comme beaucoup d’autres festivals, s’est scindée en 2 parties.
La partie estivale, avec des projections en salles et plein air, a commencé hier (9-20 juin 2021).
À Saint-Nazaire et dans la région, après l’annulation de l’édition de 2020, revient Zones portuaires 2021, 6e éditon, en formule hybride, au cinéma Jacques-Tati et 5 autres cinémas, et en ligne, gratuit sur la plateforme (9-15 juin 2021).
Au programme des avant-premières nationales et internationales.
Ce soir, ouverture au cinéma Jacques-Tati :
* À 19h00, un programme de courts-metrages dakarois : Dakar 2022.
En présence de Mamadou Khouma Gueye.
Avec :
* Un transport en commun de Dyana Gaye (2010) ;
* Samedi Cinema de Mamadou Dia (2016) ;
* Contras’ City de Djibril Diop Mambety (1969).
À Toulouse, après la première partie en ligne du 19 au 28 mars 2021, commence Cinélatino, 33e édition IIe dans les cinémas habituels, quel plaisir (9-13 juin 2021).
Au programme, le Brésil, le Chili, le Mexique, l’Argentine et Cuba.
Aujourd’hui, le Chili à la Cinémathèque :
* À 16h30 : Tony Manero de Pablo Larraín (2008).
En présence de Alfredo Castro.
* À 19h00 : Rencontre avec Alfredo Castro, entrée libre.
* À 20h30 : Tengo miedo torero de Rodrigo Sepúlveda (2020).
À Bruxelles, la Cinematek rouvre, après de longs mois de fermeture, avec le grand André Delvaux (1926-2002) et des projections gratuites de la dernière restauration numérique de son premier film.
Aujourd’hui :
* À 19h00 et 21h30 : L’Homme au crâne rasé (De man die zijn haar kort liet knippen) de André Delvaux (1965).
Faites votre programme des cycles prévus.
À Paris, à la Cinémathèque, commence la Rétrospective Wang Bing (9-24 juin 2021).
Ce soir :
* Madame Fang de Wang Bing (2017).
Les sorties sur les grands écrans
* Juliana de Fernando Espinoza & Alejandro Legaspi (1989).
* Un printemps à Hong-Kong (Suk Suk) de Ray Yeung (2019).
* 17 Blocks de Davy Rothbart (2019).
* Nomadland de Chloé Zhao (2020).
* L’ Oubli que nous serons (El olvido que seremos) de Fernando Trueba (2020).
* The Last Hillbilly de Thomas Jenkoe & Diane-Sara Bouzgarrou (2020).
* 200 mètres (200 Meters) de Ameen Nayfeh (2020)
* May B de David Mambouch (2020).
Les reprises après interruption
* Le Père de Nafi de Mamadou Dia (2019).
* Vaurien de Peter Dourountzis (2020).
Les ressorties en versions restaurées
* La Mère (Okaasan) de Mikio Naruse (1952).
* La Fille à la valise (La ragazza con la valigia) de Valerio Zurlini (1962).
* Tom Foot de Bo Widerberg (1974).
* Close-Up de Abbas Kiarostami (1990).
À Valence, commence Valence Scénarios, le festival des scénaristes et compositeurs, 24e édition (8-12 juin 2021).
Au programme :
* Hommage à Jean-Claude Carrière (1931-2021).
* Hommage à Bertrand Tavernier (1941-2021).
* La Compétition officielle, qui est double : la Compétition Création
présente des scénarios en développement sans producteur et la Compétition Écrans qui présente des films et des séries de format court projetés pour la première fois sur grand écran.
* L’atelier Tout est scénario, cette année, est animé par Olivier Lorelle.
Ce soir :
* À 18h00, Médiathèque Simone de Beauvoir : La Princesse de Montpensier de Bertrand Taverrnier (2010).
Présentation par Olivier Lorelle.
À Paris, depuis 2005, The Film Gallery est la seule galerie dédiée au cinéma expérimental. Elle travaille avec les grrands musées d’art moderne.
En ce moment, il faut aller voir les photographies, les projections, les tableaux de sa dernière exposition : Peter Emanuel Goldman. Love and Longing in Greenwich Village and Paris, 1960-68 (19 mai-16 juin 2021).
Une excellente occasion, c’est demain soir, mercredi 9 juin 2021, couvre-feu à 23h00, un concert en entrée libre :
* À 19h00 : Eugene Blove et l’Altersgruppe, le "groupe que l’on ne décrit pas et qu’on n’écoute pas en ligne".
À Toulouse, le Muséum a rouvert le 19 mai 2021, comme tout le monde, en reprenant une exposition interrompue, donc prolongée : Magies et sorcelleries (19 décembre 2020-2 janvier 2022).
Il s’agit d’un grand projet, co-produit avec le Musée des Confluences à Lyon, une sorte de suite à l’exposition conçue et présentée à Lyon en 2017 : Venenum, un monde empoisonné. L’acte 2 de Magies et sorcelleries à Toulouse, ces sera Magiques, à Lyon, en 2022.
Au long de l’histoire du savoir humain, plus les sciences exactes ont progressé, plus les pratiques et croyances "magiques" ont été reléguées, méprisées, condamnées, dans un pêle-mêle de plus en plus confus.
Les sciences humaines sont venues plus tard, qui les ont récupérées pour les ranger, l’ordre et le classement étant les premières étapes de toute connaissance.
De nos jours à la fois désenchantés, mécréants, hyper technicisés et obscurantistes, les mots et les choses reviennent, notamment dans le langage commun. En français, dès que c’est bien, c’est "magique".
Il était bon qu’une sorte d’état des lieux pluridisciplinaire s’expose, les fantasmes, les frontières, les passerelles, les contrebandes, tout autant que les rigidités des scientismes, et qui laisse, une place à tout ce qui est ignoré, plus on en sait, plus il reste à apprendre.
* Toutes les vidéos Magies et sorcelleries.
À Paris, au Saint-André des arts, commence le Festival de cinéma péruvien, 12e édition (7-13 juin 2021).
Il se propose aussi en virtuel sur la plateforme La 25e heure, il faut réserver en géolocalisation.
Au programme :
* La compétition documentaires.
* La compétition longs métrages.
* La compétition courts métrages.
Ce soir :
* À 20h00 : Identidad de Jose Garcia & Carlos Granda (2019).
En leur présence avec Dorothée Delacroix.
À Paris, le Palais de la porte dorée, toujours aussi somptueux, a rouvert le 1er juin 2021.
Ses espaces patrimoniaux de 1931 se visitent librement, sans réservation et dans la limite des jauges imposées.
Mais pour la nouvelle exposition au Musée de l’immigration, il faut réserver : Ce qui s’oublie et ce qui reste (19 mai-29 août 2021).
L’exposition est née de la collaboration avec le Musée d’art contemporain africain de Marrakech, Al Maaden (MACAAL) et elle explore la notion de transmission à travers les œuvres de dix-huit artistes du continent africain et de ses diasporas.
Raoul Sangla (1930-2021) est mort le 1er juin 2021.
Nicolas Villodre avait rencontré, en 2020, entre 2 confinements, cet homme historique de la télévision, modeste et incomparable.
Raoul Sangla par Gérard Courant.
À Milan, la Cineteca Milano (MIC) est aussi un musée, le premier musée en Italie à proposer, sur 3 niveaux, et 1 250 mètres carrés, l’histoire du cinéma à la moderne, avec des dispositifs de haute technologie, bandes sonores, création d’affiches, armoires parlantes, tablettes, tables interactives, casques de réalité augmentée, bornes de réalité virtuelle, jeux vidéos, ce genre de choses.
Digression : À propos, en Amérique du Nord, dans 40 villes différentes et dans les réseaux sociaux, un engouement inédit se développe : Beyond Van Gogh, et on ne jure plus que par l’immersion.
Curieux phénomène, peut-être inéluctable, un "devenir robot" en période de transition ? Marre de l’abstrait virtuel qui gagne, accéléré depuis 1 an et demi, désir de corps et de chair, et impossibilité de retrouver le vrai physique, vivant, vibrant, émotif ?
Pour en revenir à Milan, la MIC a, plus traditionnellement, une salle de cinéma de 85 places, et aussi une terrasse aménagée pour des projections et des événements en plein air. En ce moment, elle fête dignement, avec 21 films entre culte et rareté, les cent ans de Nino Manfredi (1921-2004).
Aujourd’hui :
* Parlons des hommes (Questa volta parliamo di uomini) de Lina Wertmüller (1965).
Au programme aussi, l’expressionisme allemand en 18 films :
Aujourd’hui :
* La Rue sans joie (Die Freudlose Gasse) de G.W. Pabst (1925).
Pas de Biennale d’art contemporain à Venise cette année, mais à Büdelsdorf, traveling in the north country fair, where the winds hit heavy on the borderline, commence NordArt 2021, 22e édition (5 juin-10 octobre 2021).
Après la pause imposée de 2020, les 200 artistes sélectionnés au Kunstwerk Carlshütte animent les halls de fonderie (22 000 m²), les jardins (80 000 m²) et le bâtiment ACO Wagenremise...
... avec des visions du monde diverses.
Cette année, focus sur le Pavillon ukrainien, avec un thème : The Borders of Reality.
Avec une tendance de certains artistes au flirt chrétien.
* Identité. Art contemporain d’Asie centrale.
* Sculpture Line de Prague.
L’occasion, pour cette grande exposition internationale d’art contemporain, de donner un coup de chapeau à l’œuvre de Gilles T. Lacombe lauréat et habitué de NordArt.
Elle est moyennement optimiste, cette œuvre, au long des années, du coup, on apprécie particulièrement sa bonne humeur contagieuse.
* Tous les artistes de NordArt 2021.
* Les visites virtuelles de NordArt depuis 2009.
À Marseille, la Friche Belle de Mai a rouvert hier, comme quartier générale de Here comes Africa 17e édition (4 juin-11 juillet 2021).
On y mange bien, il y a des concerts, des rencontres littéraires, et des fêtes.
Deux expositions :
* Emeka Ogboh. Stirring the Pot (4 juin-24 octobre 2021).
* Pierrot Men. Photographies (11-27 juin 2021).
L’exposition ne dure pas longtemps. On va voir son site officiel, pour y découvrir des trésors.
Tous les dimanches, à partir de la semaine prochaine, c’est cinéma, Belle & Toile (13 juin-29 aout 2021).
La semaine télé de Jeune Cinéma du 5 au 11 juin 2021.
Le Festival de Cannes 2021 a été reporté du 6 au 17 juillet 2021.
Aujourd’hui, à 11h00, Thierry Frémaux et Pierre Lescure font une conférence de presse en ligne, en direct.
Le monde du cinéma retient son souffle.
L’édition de 2020 avait été supprimée, mais le festival fantôme avait quand même fait une sélection et décerné un label, ce qui est toujours prestigieux.
À Toulouse et dans la région, le festival Ciné-Palestine. Toulouse Occitanie, 7e édition nomade, après une première étape en ligne (1er-9 mars 2021), commence sa deuxième étape (3-6 juin 2021), partout dans les salles de la ville, en partenariat avec la Compagnie Ici, Là-bas et Ailleurs et avec de nombreux invités.
Ce soir, dans deux cinémas :
* 200 mètres de Ameen Nayfeh (2020).
À 18h45, à l’American Cosmograph, en présence de May Odeh et, à18h30, au Jean Marais-Aucamville en présence de Yasmin Haj.
Demain, vendredi 4 juin 2021, c’est à la Cinémathèque :
* À 18h30 : La Juge (The Judge) de Erika Cohn (2017).
Avec l’équipe du festival.
À Paris, Henri Cartier-Bresson (1908-2004) est partout.
* Dans sa propre maison qui rouvre aujourd’hui, où il accueille son ancêtre et maître Eugène Atget (1857-1927) avec une exposition : Eugène Atget. Voir Paris (3 juin-19 septembre 2021).
* À la BnF, Galerie 2 : Henri Cartier-Bresson. Le grand jeu (19 mai-22 août 2021).
* Au Musée Carnavalet, qui rouvre se portes après 4 ans de travaux : Henri Cartier-Bresson. Histoire de Paris (15 juin-31 octobre 2021).
À Rotterdam, le Festival international du film 2021 (IFFR), 50e édition, s’est déroulé en ligne (1er-7 février 2021).
Au début de son existence, à partir de 1972, le festival avait été non-compétitif, puis, à partir de 1995, il avait introduit le Tigre d’or et on s’était habitué.
Le Palmarès 2021 a été à la hauteur.
On retient particulièrement :
* Pebbles de PS Vinothraj (2021).
Grand prix Tigre.
* I Comete de Pascal Tagnati (2021).
Prix du Jury ex-aequo de la Compétition Tigre.
* Looking for Venera de Norika Sefa (2021).
Prix du Jury ex-aequo de la Compétition Tigre.
* El perro que no calla de Ana Katz (2020).
Grand prix Big screen.
Mais, en ligne, les compétitions, sont un peu solitaires, et notamment la Compétition Tigre, qui consacre chaque année un premier film. Pour compenser cet important anniversaire, qui s’est déroulé cet hiver et sans "cérémonie", l’IFFR avait promis un deuxième temps. C’est maintenant (2-6 juin 2021) et sur demande jusqu’au 9 juin 2021.
Au programme de ce printemps, Rotterdam 2021, IIe, des projections en plein air, toujours des films en ligne, et le nouveau programme Harbour.
Demain, à partir de 12h00 :
* Au jour d’aujourd’hui de Maxence Stamatiadis (2021)
À Amsterdam, le grand Eye Museeum, qui fête son 75e anniversaire, soutient son compatriote l’IFFR, 50 ans seulement (28 mai-5 juin 2021).
Vendredi dernier, en ouverture, à 18h30, il programmait deux films révolutionnaires sur la vie mouvementée des femmes (section Cinéma Regained de l’IFFR) :
* Van de koele meren des doods (The Cool Lakes of Death) de Nouchka van Brakel (1982).
* Amorosa de Mai Zetterling (1986).
L’Eye Museeum va rouvrir samedi prochain, le 5 juin 2021, avec une exposition :
* Vive le cinéma ! (5 juin-5 septembre 2021).
À Angers, le Festival Premiers plans, 33e édition a eu lieu en ligne, gratuitement (25-31 janvier 2021).
L’Hommage à Chantal Akerman (1950-2015) était prévu au Forum des images à Paris.
Reporté, il commence aujourd’hui, avec 16 de ses films, majoritairement restaurés, et en présence de nombreux invités (2-6 juin 2021).
Ce soir, ouverture :
* À 18h00 : La Captive de Chantal Akerman (2000).
Présentation par Claire Atherton, Sylvie Testud et Stanislas Merhar.
Faites votre programme. https://www.premiersplans.org/festival/documents/2021-dossier-presse-estival-fr.pdf
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence un hommage à Spike Lee (2 juin-25 juillet 2021).
Spike Lee sera le président du jury du Festival de Cannes 2021, 74e édition.
Ce soir, ouverture :
* À 18h15 : Do the Right Thing de Spike Lee (1989)
Présentation par Fabrice Calzettoni.
On en profite pour découvrir la chaîne Youtube de l’Institut Lumière.
À Marseille, Vidéodrome est en phase avec les événements Abbas Kiarostami.
Il propose un cycle Nouvelles vagues du cinéma d’Iran (1er juin-6 juin 2021).
Hier, à 18h30, une belle ouverture :
* La Maison est noire (Khaneh siah ast) de Forough Farrokhzad (1962).
C’est à la poète Forough Farrokhzad que Abbas Kiarostami a emprunté le titre Le vent nous emportera (1999).
* Gabbeh de Mohsen Makhmalbaf (1996).
Aujourd’hui, à 18h30 :
* Mainline (Khoon bazi) de Rakhshan Bani Etemad & Mohsen Abdolvahab (2006).
Les sorties sur les grands écrans
* The Amusement Park de George A. Romero (1973).
* Mère et fille (Mater) de Jure Pavlović (2019).
* Des hommes de Lucas Belvaux (2020).
* Playlist de Nine Antico (2020).
* Billie Holiday, une affaire d’état (The United States vs. Billie Holiday) de Lee Daniels (2020).
* Villa Caprice de Bernard Stora (2021).
Les ressortie en versions restaurées :
* Juliette ou la Clef des Songes de Marcel Carné (1950).
Occasion de consulter le site de La Belle Équipe.
* Une grande rétrospective Abbas Kiarostami (1940-2016), avec des films inédits en France : Le Pain et la rue (Nan va Koutcheh, 1970) ; Expérience (Tadjrebeh, 1973) ; Le Passager (Mossafer, 1974) ; Le Costume de mariage (Lebassi Baraye Arossi, 1976) ; Le Chœur (Hamsarayan, 1982) ; Où est la maison de mon ami ? (Khane-ye doust kodjast ?, 1987) ; Devoirs du soir (Mashgh-e Shab, 1989) ; Et la vie continue (Zendegi va digar hich, 1992) ; Au travers des oliviers (Zire darakhatan zeyton, 1994) ; Le Goût de la cerise (A’m e guilass, 1997) ; Le vent nous emportera (Bad ma ra khahad bord, 1999) ; Ten (Dah, 2002).
Bonne lecture :
* Youssef Ishaghpour, Le Réel, face et pile : Le cinéma d’Abbas Kiarostami, Farrago, 2000 ; réédition augmentée Circé, 2007.
À Alès, commence Itinérances 2021, 39e édition, qui aurait dû se tenir au mois de mars (1er-9 juin 2021).
Au programme :
* Hommage à Yves Jeuland. avec notamment son dernier film :
* Charlie Chaplin, le génie de la liberté de François Aymé & Yves Jeuland (2020).
* Cartes blanches à Fabcaro, à Julie Gayet, à Jackie Berroyer.
* Rétrospective Passages secrets.
Aujourd’hui, des films inédits ou des avant-premières toute la journée dans les 3 cinémas Cinéplanet, Cratère et Capitole, ça commence à 9h30, avec Huit et demi de Federico Fellini (1963) au Cratère, et ça finit à 18h45 - couvre-feu à 21h00 oblige jusqu’au 9 juin 2021 - avec Chasse à l’homme (Man Hunt) de Fritz Lang (1941) au Cinéplanet 8.
Ce soir, à 18h00, l’ouverture c’est avec un film surprise.
On choisit :
* À 14h00 à la Médiathèque : Errance sans retour de Mélanie Carrier & Olivier Higgins (2020).
À Paris, au Centre Wallonie-Bruxelles, commence Le Court en dit long, 29e édition (1er-5 juin 2021).
Après l’édition 2020 mutée en cyberspace, l’édition 2021 occupe les espaces réels.
Le Centre Wallonie-Bruxelles reste le cœur du festival, avec la projection de la sélection des courts métrages inédits en compétition.
La Cité internationale des arts accueille des installations, l’atelier professionnel et la journée de clôture.
On ne néglige pas pour autant les nouvelles habitudes : en ligne, on diffuse les web-séries belges francophones sur Youtube.
Ce soir, ouverture en présence du jury.
* À 18h00, le programme1 : Sur le rivage de Camille Mol (2021) ; Mosaic de Imge & Sime Ozbilge (2020) ; Juillet 96 de Michèle Jacob (2020) ; Chiennes de Julie d’Hennezel (2021) ; Suave de Aurian de Wouters (2020).
L’Italie tout entière, toute l’année, fête Dante Alighieri (1265-1321), dont c’est le septième centenaire de la mort. On ne sait pas trop quand il est né à Florence, entre la mi-mai et la mi-juin 1265, mais on est sûr qu’il est mort le 14 septembre 1321 à Ravenne.
Alors on a fixé Le Dantedi au 25 mars 2021, la date du début du voyage dans l’au-delà dans la Divine Comédie.
* À Bologne, la Cineteca a restauré le premier "blockbuster" de l’histoire du cinéma, visible sur sa plate-forme avec la bande-son électroacoustique composée et interprétée par Edison Studio, référence internationale pour son travail sur les BO du cinéma muet (24 mars-19 juillet 2021).
* L’Inferno de Francesco Bertolini, Adolfo Padovan & Giuseppe De Liguoro (2011).
La Cineteca de Milan a présenté le film restauré, ainsi que Dante e Beatrice de Mario Caserini (1912) et Il Conte Ugolino (Le comte Ugolino) de Giuseppe de Liguoro (1908).
Même à À Rimini : Les Américains avaient proposé à Federico Fellini de faire un film sur l’Enfer de Dante, en vain. On trouve, dans son œuvre, des références fréquentes, plus ou moins explicites, à la Divine Comédie. C’est Fellini et Dante.
* À Pise, le Palazzo Blu la joue autrement, en présentant une exposition qui évoque Dante Alighieri à travers les œuvres graphiques de Tom Phillips.
* Tom Phillips Dante’s Inferno (24 mars-18 juillet 2021).
Tom Phillips, né en 1937, a traduit L’Enfer de Dante, dans une édition limitée et privée, illustrée par ses propres estampes, publiée en 1983. Ce qui a donné lieu à une mini série et à une suite, avec John Gielgud, Bob Peck et Joanne Whalley-Kilmer.
* A TV Dante de Tom Phillips & Peter Greenaway (1986).
* A TV Dante de Raul Ruiz (1991).
À Venise, l’année dernière, la Biennale d’architecture devait ouvrir le 22 mai 2020. Elle a été reportée d’un an, décalant l’alternance avec la Biennale d’art contemporain, qui aura lieu en 2022.
En 2021, c’est donc la 17e édition qui vient de commencer (22 mai-21 novembre 2021).
Étant donnée la crise sanitaire mondiale inédite que la planète est encore en train de vivre, de façon extrêmement inégale, étant donné l’avenir incertain et les politiques mouvantes, la Biennale d’architecture 2021 pose LA bonne question du monde post-covid : Comment vivrons-nous ensemble ?
Aux Giardini, à l’Arsenal et à Forte Marghera, des réponses variées de 46 pays, et des œuvres de 112 participants, avec partout, la conscience du désastre : fonte des glaces, extinction des espèces, ségrégation économique, raciale, de genre, destruction des habitats traditionnels, surdensité urbaine, etc.
Pendant ce temps, à Paris, le Pavillon de l’Arsenal a rouvert.
Il pose une autre question, moins tragique et tout aussi pertinente : Qu’est-ce qui fait la beauté d’une ville ? (26 mai-26 septembre 2021).
Le Monde diplomatique de juin 2021 est paru.
Avec un dossier : La ville défigurée.
Au fil du temps, tous les éditos