2021 : Journal de Wayne Hays
* Wayne Hays-édito 2021 ; 1er-15 janvier 2021 ; 16-31 janvier 2021 ; 1er-14 février 2021 ; 16-28 février 2021 ; 1er-13 mars 2021 ; 16-31 mars 2021 ; 1er-15 avril 2021 ; 17-29 avril 2021 ; 1er-15 mai 2021 ; 18-31 mai 2021 ; 1er-15 juin 2021 ; 16-30 juin 2021 ; 2-15 juillet 2021 ; 16-31 juillet 2021 ; 3-14 août 2021 ; 17-28 août 2021 ; 1er-15 septembre 2021 ; 16-30 septembre 2021 ; 1er-15 octobre 2021 ; 17-31 octobre 2021 ; 2-15 novembre 2021 ; 16-30 novembre 2021 ; 1er-15 décembre 2021 ; 16-31 décembre 2021
À Pessac, commence le Festival international du film d’histoire 2021, 31e édition (15-22 novembre 2021).
Au programme 2021 : Le 19e siècle à toute vapeur, avec des invités, la Compéttion fiction, la Compétition documentaire, le Panorama du documentaire 2021,
et les Séances spéciales.
Aujourd’hui, le festival commence dès 10h40, avec des films et des rencontres.
Ce soir, ouverture au Cinéma Jean-Eustache :
* À 18h00 : Où va le 19e siècle ?
Conférence inaugurale par Sylvain Venayre.
* À 20h30 : L’Événement de Audrey Diwan (2021).
À Paris, à la Cinémathèque, commence la Rétrospective Nicole Garcia (15-26 novembre 2021).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Amants de Nicole Garcia (2021).
En sa présence, avec l’équipe du film
À Paris, le Centre Wallonie-Bruxelles (CWB), participe au Mois du film documentaire, et on a y rendez-vous chaque lundi.
Ce soir, on choisit le récit d’une rencontre exceptionnelle : Marguerite Yourcenar et André Delvaux pour la réalisation du film, L’Œuvre au noir, à partir du livre.
* Marguerite Yourcenar, L’Œuvre au noir, Paris, Gallimard, 1968.
Marguerie Yourcenar chez Bernard Pivot.
* L’Œuvre au noir de André Delvaux (1988).
* À 20h00 : Zénon l’insoumis de Françoise Levie (2019).
À Paris, au MK2 Bibliothèque, l’EHESS propose son cycle Sciences sociales et cinéma 2021, 6e édition (11 octobre 2021-13 juin 2022).
Cette année, la thématique : Les représentations cinématographiques des formes d’inégalités dans le monde.
Les séances sont mensuelles, et le cycle s’est ouvert le 11 octobre 2021, avec "Le capitalisme face à ses inégalités" :
* Le Capital au 21e siècle de Justin Pemberton & Thomas Piketty (2019).
Ce soir, on parle de La violence des opprimés :
* À 19h45 : A Touch of Sin (Tiān zhù dìng) de Jia Zhangke (2013).
Avec Isabelle Thireau.
À Paris, Bordeaux et Marseille, commence la Quinzaine culturelle du Pérou en France, Quipu 2021, 4e édition (15-30 novembre 2021).
Cette année, on célébre les deux cents ans d’indépendance du Pérou.
À Paris, à la Maison de l’Amérique latine(MAL), on note tout de suite le rendez vous proposé par Claire Luna, le 25 novembre 2021 à 19h00, avec Christian Bendayán, Florence Goupil, Kay Zevallos Villegas : Certains corps d’Amazonie.
La COP26, de la dernière chance, se prolonge un peu, dernier effort, se termine.
Comme dit Le Canard enchaîné, "IIs sont tous d’accord pour se donner rendez-vous l’année prochaine, à la COP27".
On sait que, parfois, la lutte paie, et que c’est toujours une question de rapport de force.
Pour l’instant, dans la rue, on surveille, on manifeste plus ou moins gentiment.
Ou on attend que ça passe.
Les artistes, eux, rêvent d’arbres, des vrais et des imaginaires.
* À Rome, au MAXXI, : Sebastião Salgado. Amazônia (1er octobre 2021-13 février 2022).
* À Bruxelles, au Bozar, : David Hockney. L’arrivée du printemps, Normandie, 2020 (8 octobre 2021-23 janvier 2022).
Une chose est sûre, c’est que "l’hiver viendra", celui du pauvre corps de Fréhel, comme celui de Richard III, celui de Thomas Reverdy comme celui de Paul Valéry.
À La Plaine Saint-Denis, à la Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, a commencé hier la Rencontre des Lanceurs d’alerte 2021, 6e édition (12-14 novembre 2021).
Au programme, le climat, les pesticides, la santé publique, la surveillance, la déficience des services de l’État, la banlieue, une carte blanche à Erri de Luca, les droits de l’homme, la nécessité et la protection des "lanceurs d’alerte" dans une démocratie biaisée par un 4e pouvoir de moins en moins indépendant.
Aujourd’hui, à l’auditorium 300, on privilégie :
* À 13h30 : Hacking Justice - Julian Assange de Clara López Rubio & Juan Pancorbo (2021).
En leur présence, avec Olivier Azam.
TEASER HACKING JUSTICE JULIAN ASSANGE from lesmutins.org on Vimeo.
Le film sort en salles mercredi prochain, le 17 novembre 2021, à l’Espace Saint-Michel, avec des débats.
Il est déjà en coffret DVD chez nos amis Les Mutins de Pangée.
On en profite pour faire, chez eux, ses emplettes.
À Paris, la Fondation Seydoux, propose une séance spéciale avec l’association Kinétraces :
* À 16h30 : Le Capitaine Fracasse de Alberto Cavalcanti (1929).
On en profite pour voir l’exposition Henri Caruel. Stéréoscopie
de cinéma (1942-1953) (7 octobre 2021-1er janvier 2022).
À Paris, à la Clef Revival, à 19H30 : Carte blanche au Festival international du documentaire émergent (FIDÉ) :
* Stéréotypie (Estereotipia) de Inés Espinosa López (2019).
En sa présence.
* Blakata de Camille Varenne (2019).
En sa présence.
* Observation de faucons dans le ciel de Daniel Asadi Faezi (2016).
À Corte, commence le festival Sinecime 2021, 2e édition (13-19 novembre 2021)
Ce soir, à 18h30, ouverture avec une Soirée montagne, animée par Jean-Michel Asselin.
* Les Belles Envolées de Anne Benoît-Janin (2018).
* Finding Tyler de Chris Brannan & Diana Reichenbach (2020).
Demain, dimanche 14 novembre 2021
* À 19h00 : Palleca tandu (C’était Palleca) de Rina Sherman (2021).
En sa présence.
On fait connaissance avec l’ethnologue Rina Sherman.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 13 au 19 novembre 2021.
À Amiens, commence le Festival d’Amiens 2021 (FIFAM), 41e édition (12-20 novembre 2021).
Au programme, outre la Compétition internationale (fiction et documentaires) :
* La célébration de l’anniversaire de l’année blanche 2020 : 40 ans, le bel âge.
* Les invités : Jacques Perrin, Macha Méril, et Swann Arlaud, à qui on offre une carte blanche.
* Hommage à Bertrand Tavernier, l’ami américain.
* Femme(s) de cinéma.
Les femmes, c’est tendance, le jour où on ne soulignera plus l’événement, on aura franchi une étape décisive.
On note aussi des rendez-vous avec trois cinémathèques majeures : La Cineteca di Bologna, la Cinemateca Portuguesa à Lisbonne et Eye Film Museum à Amsterdam.
Ce soir, ouverture, à la Maison de la culture d’Amiens, séance gratuite :
* À 19h00 : L’Événement de Audrey Diwan (2021).
À Noisy-le-Sec, commence le Festival du film franco-arabe 2021 (FFFA), 10e édition (12-23 novembre 2021).
Parrainé par Costa-Gavras, le festival se déroule en collaboration, notamment, avec l’Institut français de Jordanie à Amman et la Royal Film Commission de Jordanie, et il est donc, en quelque sorte "le petit frère" du Festival du film franco-arabe de la ville d’Amman, qui, lui, en est à sa 24e édition.
Il a lieu principalement au Trianon, situé à la frontière de Romainville et de Noisy-le-Sec, ce cinéma magnifique, décor de La Dernière Séance de Eddy Mitchell, et dont l’équipe participe à l’organisation, ainsi qu’à la Médiathèque Roger-Gouhier, La Galerie, et au Théâtre des Bergeries.
Ce soir, ouverture au Trianon :
* À 20h00 : Entre Ciel et Terre (Between Heaven and Earth) de Najwa Najjar (2020).
En présence de Costa-Gavras et Lina Soualem.
En première partie, deux courts-métrages jordaniens primés au FFFA d’Amman 2021 :
Touchline de Mohammed B Saffouri (2020) et Hidden pronouns de Rahmed Deeb Alshammas & Amal Ali Alodaini (2020)
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence le festival Histoires de cinéma 2021, 5e édition (12-21 novembre 2021).
Au programme :
* Les sections : Recycled cinema, (Carte blanche à l’Austrian Film Museum de Vienne), Films de montage, Détournements / retournements, Mashup, remix d’images,
Found Footage, le cinéma sans caméra.
* Les invités : Simone Dompeyre, Cécile Fontaine, Julien Lahmi, Matthew Lee, Emmanuel Lefrant, Boris Lehman, Michael Loebenstein, Yves-Marie Mahé, Bill Morrison, Matthias Steinle, David Walsh.
Ce soir, à 20h30 ouverture avec deux films :
* Light Is Calling de Bill Morrison (2004).
En sa présence.
* The Village Detective : A Song Cycle de Bill Morrison (2021).
En sa présence.
À Paris, au Forum des images, commence le festival Cinéma en débat(s) 2021, 12e édition : Un état du monde (12-21 novembre 2021).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : L’Homme qui a vendu sa peau (The Man Who Sold His Skin) de Kaouther Ben Hania (2020).
En visio depuis Tunis et en sa présence de Yahya Mahayni et Dea Liane.
À Milan, à la Cineteca (MIC) : Hommage à Jessica Lange (9 novembre-5 décembre 2021).
Aujourd’hui :
* À 15h30 : Music Box - Prova d’accusa (Music Box) de Costa-Gavras (1989).
* À 17h45 : Il postino suona sempre due volte (The Postman Always Rings Twice) de Bob Rafelson (1981).
À Mannheim, commence le Festival international du film de Mannheim-Heidelberg 2021 (IFFMH), 70e édition (11-21 novembre 2021).
C’est un des festivals préférés de Jeune Cinéma, dont le programme a toujours été orienté vers le cinéma d’auteur et indépendant, ainsi que les mouvements de droits civiques, donc les cinéastes aux points de rupture historiques. Les films qu’on y a découverts n’ont souvent jamais été distribués en France. La revue l’a suivi dès sa 5e édition en 1967 (Jeune Cinéma n°29 de mars 1968, et, un jour ou l’autre, tous les compte-rendus seront mis en ligne sur le site.
Le festival se déroule toujours à la Stadthaus, et dans tous les cinémas de Mannheim et de Heidelberg, et, depuis 2020, online aussi.
Pour célébrer dignement son anniversaire, le festival a programmé :
* Une rétrospective : Breaks and Turning Points. Parmi les milliers de films, le choix n’a pas été facile. Cette rétrospective n’est donc pas un échantillon représentatif de 70 ans de programmation, mais une sélection des divers tournants, sociopolitique ou artistique, qui ont émaillé sa longue histoire.
* Un spotlight : From Burkina Faso to Jerusalem : Around the World with Festivals
Au programme 2021, plus de 90 films de 53 pays :
* Des invités d’honneur : Andrea Arnold, Bettina Brokemper, Claude Lelouch et Guillaume Nicloux.
* La Compétition, consacrée aux trois premiers films de fictions de jeunes cinéastes : On the rise
* Les Sections, dont notamment : Pushing the boundaries, et la dernière née Film Experience 2021.
Ce soir, cérémonie d’ouverture au Cinemaxx :
* À 20h00 : You Resemble Me de Dina Amer (2021).
On peut le voir en ligne à partir de 22h00 et jusqu’à la fin du festival.
À Paris, à la Maison européenne de la photographie (MEP), c’est la nouvelle saison qui commence :
* Rétrospective Samuel Fosso. 50 ans de carrière (10 novembre 2021-13 mars 2022).
Et au Studio :
* Bárbara Wagner & Benjamin de Burca. Swinguerra (10 novembre 2021-16 janvier 2022).
C’est la première fois qu’on peut voir ce film-installation depuis la Biennale d’Art de Venise en 2019, où il était présenté dans le pavillon brésilien.
À Paris, au Musée des arts décoratifs (MAD), il faut découvrir les expositions de l’automne :
* Histoires de photographies (19 mai-12 décembre 2021).
* L’architecture de Claude-Nicolas Ledoux (1er septembre-15 novembre 2021).
* Thierry Mugler, Couturissime (30 septembre 2021-24 avril 2022).
* Edmund de Waal. Lettres à Camondo (7 octobre 2021-15 mai 2022).
* Cartier et les arts de l’Islam. Aux sources de la modernité (21 octobre 2021-20 février 2022).
À Stockholm, commence le Festival international du film 2021, 31e édition en version hybride, avec la possibilité On demand (10-21 novembre 2021).
D’abord, avant le palmarès de l’édition 2021, une distribution des prix :
* Le Stockholm Visionary Award, est décerné à Joachim Trier pour le dernier volet de sa trilogie d’Oslo, Julie (en 12 chapitres) (Verdens verste menneske) (2021).
* Le Stockholm Achievement Award est partagé par Kenneth Branagh, pour son film Belfast (2021)
et Robin Wright, pour son premier long-métrage, Land (2021).
* Le Stockholm Lifetime Achievement Award est décerné à Jane Campion pour l’ensemble de son œuvre. Cette année : The Power of the Dog (2021).
Au programme :
* Les Compétitions : Fictions, Documentaires et Courts métrages.
* Les sections : Americans Independents, Discovery, Icons, Open Zone, Twilight Zone.
Aujourd’hui, les projections commencent dès 10h30.
Ce soir, ouverture, en accord avec la thématique de cette édition : Spotlight Motherhood.
* À 18h00 : Madres paralelas de Pedro Almodóvar (2021).
À Bruxelles, commence le Festival du film d’art 2021 (BAFF), 21e édition (10-14 novembre 2021).
En 2000, ce n’était qu’un week end proposé par l’Institut supérieur pour l’étude du langage plastique (ISELP), qui présentait pour la première fois au public des films sur l’art. En 2011, ces week-ends sont devenus un vrai festival, avec une compétition nationale, et à partir de 2012, il a trouvé des partenaires de choix, le Centre du film sur l’art et le BOZAR.
Les festival est accueilli par le Palace et, après l’interruption de 2020, à nouveau, par la Cinematek pour la 5e fois, à partir de demain, avec Bakolo Music International de Tom Vantorre & Benjamin Viré (2020).
Au programme, la Compétition, le Panorama international, et, comme partout, le fourre-tout à surprises et découvertes, les événements spéciaux.
Ce soir, l’ouverture est au Palace :
* À 19h00 : The Painter and the Thief de Benjamin Ree (2020).
À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Jacques Rozier (10-28 novembre 2021).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Du côté d’Orouët de Jacques Rozier (1969).
À Paris, à la Clef Revival, carte blanche à Diane Anaud :
Ce soir :
* À 19h30 : La Tour de Nesle de Noël Herpe ( 2020).
En leur présence.
Les sorties sur les grands écrans
* Empathie (Empatía) de Ed Antoja (2017).
* Baracoa de Pablo Briones, Jace Freeman & Sean Clark (2019).
* Partir ? de Mary-Noël Niba (2019).
* Tre Piani de Nanni Moretti (2020).
* La Déesse des mouches à feu de Anaïs Barbeau-Lavalette (2020).
* Haute couture de Sylvie Ohayon (2020).
* Cry Macho de Clint Eastwood (2021).
* Marcher sur l’eau de Aïssa Maïga (2021).
Les ressorties en versions restaurées
* On murmure dans la ville (People Will Talk) de Joseph L. Mankiewicz (1951).
* Derniers Chrysanthèmes (Bangiku) de Mikio Naruse (1954).
En version intégrale sur Internet.
* À l’approche de l’automne (Aki tachinu) de Mikio Naruse (1960).
* Out of the Blue de Dennis Hopper (1980).
À Sarlat, commence le Festival du film 2021, 30e édition (9-13 novembre 2021).
Au programme :
* Une Rétrospective Fritz Lang.
* La Sélection officielle, et aussi les sections Tour du monde, Jeunes regards, Séances spéciales, Courts métrages.
Ce soir, ouverture au Rex :
* À 19h00 : La Vraie Famille de Fabien Gorgeart (2021).
En présence de Fabien Gorgeart, Mélanie Thierry et Lyes Salem.
À Paris, c’est le ciné-club mensuel Cinécaro.
Ce soir :
* À 19h30 : Incendies de Denis Villeneuve (2010).
Débat avec Gilles Sacuto et Luciano Rispoli.
À Paris, au Saint André des arts, les Amis du Monde diplomatique invitent :
* À 20h00 : La Bataille de la Plaine de Nicolas Burlaud, Sandra Ach & Thomas Hakenhotz (2021).
Tous les rendez-vous en France des Amis du Monde diplomatique.
À Paris, au MK2 Odéon, avec l’Agence du court métrage, la séance mensuelle : C’est déjà demain.
Ce soir, à 20h00 :
* Titan de Valéry Carnoy
(2021).
En présence de Arnaud Guez.
* Homme sage de Juliette Denis
(2021).
En sa présence.
* Les Mauvais Garçons de Élie Girard
(2020).
En sa présence.
À Paris, au Studio des Ursulines, au Grand Action et à la Fondation Seydoux, la coopérative de cinéma expérimental Cinédoc organise un cycle de projections autour des Avants-gardes cinématographiques des années 20 (8-23 novembre 2021).
En attendant le colloque sur l’avant-garde qui, ayant été reporté en 2020, se tiendra à l’INHA, les 22 et 23 novembre 2021, c’est l’occasion de voir sur un grand écran, ces merveilles qu’on ne connaît souvent que par Internet.
Ce soir, à 20h00, aux Ursulines, ouverture :
* La Croissance des végétaux de Jean Comandon (1929).
* Opus I de Walter Ruttmann (1919-1921).
* Filmstudie de Hans Richter (1926).
* Le Ballet Mécanique de Fernand Léger & Dudley Murphy (1924).
* Combat de boxe de Charles Dekeukeleire (1927).
* Disque 957 de Germaine Dulac (1929).
* Jeux des reflets et de la vitesse de Henri Chomette (1923-1925).
* Fait-divers de Claude Autant-Lara (1926).
* Le Retour à la raison de Man Ray (1923).
Bonne lecture :
* Claudine Eizykman, Le Film-après-coup, recueil de textes (1970-2018), Presses Universitaires de Vincennes, 2019.
À Paris, à Clef Revival, tous les soirs, il y a une séance à prix libre :
Ce soir :
* À 19h30 : Filmer en Tunisie.
En présence de Nina Khada.
Deux films :
* I Bit my Tongue de Nina Khada (2019).
* Ce jour ne durera pas de Mouaad el Salem (2020)
À Paris, on célèbre toujours les 150 ans de la Commune.
L’année se termine et la clôture se fait avec une exposition, dans le Salon d’honneur de la Mairie du 20e, en entrée gratuite : Dessiner la Commune (6 novembre-18 décembre 2021).
Tout le monde connaît Éloi Valat, mais une nouvelle exposition de lui, de temps en temps, ça réveille les sens, les nostalgies, et, pourquoi pas, le nécessaire plaisir des utopies.
Bonne lecture :
* Éloi Valat, Dessiner la Commune, Saint-Pourçain-sur-Sioule, Éditions Bleu Autour, 2021.
Le climat change, on le sait depuis plus de 40 ans, on le sait de plus en plus précisément, les preuves s’accumulent partout dans le monde, on sait que c’est la mort annoncée. Ce sont les plus fragiles qui ont commencé à écoper, mais l’été dernier, les dangers se sont rapprochés des plus puissants. Sans les inquiéter plus que ça. "Après nous le déluge", comme aurait dit Madame de Pompadour, née Jeanne-Antoinette Poisson, la brave femme.
Ces jours-ci, alors que la COP26 ronronne depuis une semaine, dans le plus parfait cynisme, les grands du monde y font les mêmes promesses qu’ils font depuis des années, de plus en plus insuffisantes au fur et à mesure que le temps passe, et que, de toute façon, ils ne tiendront pas.
Les plus mauvais élèves, épinglés pour leur inaction depuis l’Accord de Paris sur le Climat, en 2015, parlent le plus fort. D’autres ne font même pas l’effort de l’hypocrise, en utilisant manifestement leurs jets privés hyper polluants. D’autres enfin mentent ostensiblement dans leurs déclarations publiques. À la limite, moralement parlant, on pourrait dire que ce sont les plus grands pollueurs, absents de cette clownerie, qui sont, sinon les plus vertueux, du moins les plus cohérents.
"Ce n’est plus une conférence climat. C’est un festival de greenwashing des pays riches. Une célébration de deux semaines du business as usual et du bla bla", comme dit Greta Thunberg.
La rue se mobilise tous les vendredis, depuis 2019, partout.
Ce samedi aussi, dans le monde entier, à l’appel de ATTAC et d’une multitude d’organisations qui défendent l’environnement, l’avenir de la planète donc celui de l’espèce humaine.
Extinction Rebellion apppelle même à rester mobilisé, demain dimanche et les prochains jours, jusqu’à la fin de la COP26.
À Paris, le rendez-vous, aujourd’hui, c’est sur la parvis de l’Hôtel de ville à partir de midi.
On rejoint le point de rassemblement selon sa ville.
De New York, un cadeau du MET, en guise de consolation éphémère :
* Hommage à Magritte de Anita Thacher (1974).
René Magritte (1898-1967) disait : "For me reality is not easily attained".
La semaine télé de Jeune Cinéma du 6 au 12 novembre 2021.
À Arras, commence le Festival du film 2021, 22e édition (5-14 novembre 2021).
Le festival est ouvert aux cinématographies européennes avec une prédilection pour les pays d’Europe de l’Est et du Nord.
Au programme :
* Deux invités d’honneur : Fanny Ardant et Claude Lelouch.
* Outre la Compétition européenne, des sections attrayantes : Découvertes européennes, Visions de l’Est, Cinémas du Monde, et notre préférée Du Titanic à la Tour infernale ... l’imaginaire du chaos.
Ce soir, ouverture au Casino d’Arras :
* À 20h00 : C’est magnifique ! de Clovis Cornillac (2020).
En sa présence.
À Amsterdam, et aussi à Rotterdam et La Haye, commence le Spanish Festival 2021, (ASFF) 7e édition (5-14 novembre 2021).
Entre les Pays-Bas et l’Espagne, c’est une vieille histoire de près de 500 ans, qui se prolonge : le festival est une vitrine des nouvelles tendances du cinéma espagnol grand public et se concentre sur les films espagnols indépendants, artistiques et expérimentaux.
Au programme, des invités et des événements spéciaux, et l’inauguration d’une nouvelle section qui célèbre le patrimoine, la culture et les contributions de la communauté LGBTIQ+, avec deux films :
* Le 12 novembre 2021 à 21h00 : Donde caben dos de Paco Caballero (2021).
Et la série télévisée :
* Le 7 novembre 2021, à 17h00 : Maricón perdido (Queer You Are), Alejandro Marín (2021) créée par Roberto Enríquez ("Bop Pop") and directed by
Ce soir, ouverture :
* À 21h00 : La boda de Rosa (Rosa’s Wedding) de Icíar Bollaín (2020).
À Séville, commence le Festival européen du film 2021, 18e édition (5-13 novembre 2021).
Cette année, le festival se rattrape de ses frustrations de 2020, avec 226 titres, six sections de compétition et une trentaine d’activités.
La ville de Séville décerne deux Prix, celui de 2020 à Emmanuelle Béart, et celui de 2021 à Daniel Brühl à l’occasion de son premier film comme réalisateur, sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 2021 :
* Le 11 novembre 2021 à 13h15 : La puerta de al lado (Nebenan) aka Next Door de Daniel Brühl (2021).
On note, parmi tous les grands événements,
l’hommage à Ildikó Enyedi, qui reçoit le Prix d’honneur du Festival de Séville 2021.
Au programme, notamment : Sección Oficial, Las Nuevas Olas, Revoluciones permanentes, Historias extraordinarias, Panorama andaluz Ciclos y Retrospectivas.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : París, distrito 13 (Les Olympiades) de Jacques Audiard (2021).
À Paris, à la BPI, à la Cinémathèque du documentaire, en collaboration avec l’INA et dans le cadre du Mois du film documentaire, c’est l’ouverture du nouveau cycle : Voir grand avec la vie filmée (5-19 novembre 2021).
Il s’agit d’une série de sept films sur l’histoire des Français, réalisés à partir de films tournés par des amateurs entre 1924 et 1954, produite en 1975, par Jean-Pierre Alessandri et Jean Baronnet pour FR3.
Ce soir, projection du premier volet de la série :
* À 20h00 : La Vie filmée (1924-1930) de Claude Ventura & Michel Pamart (1975).
En présence de Jean-Pierre Alessandri.
À Paris, on va tous les soirs à la Clef revival où les séances sont à prix libre.
Ce soir :
* À 19h30 : Sophia Antipolis de Virgil Vernier (2018).
En sa présence.
On n’oublie pas que la Clef Revival est le dernier cinéma associatif de Paris et qu’il est toujours en lutte pour sa survie.
À New York, au MoMA, s’ouvre la série annuelle des films "les plus influents et innovants de l’année" : The Contenders 2021 (4 novembre 2021-22 janvier 2022).
Pas de récompense, pas de prix, pas de décompte des entrées dans un box-office personnel, le critère (l’honneur) est autre, plus proche du pari et du sentiment de l’époque. Il s’agit d’une sélection des films qui pourraient avoir une signification historique durable que tout vrai cinéphile voudra voir sur grand écran.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Spencer de Pablo Larraín (2021).
En sa présence, avec Kristen Stewart.
Hormis cet événement anuel, le MoMA est aussi une grande cinémathèque, avec un programme très éclairé, ongoing et online, avec ses "Film series" permanentes :
En ce moment, la vedette, c’est Tony Curtis. (29 septembre-26 novembre 2021).
Et aujourd’hui, on peut voir :
* À 13h00 : The Perfect Furlough (Vacances à Paris) de Blake Edwards (1958).
En ce moment, la carte blanche est à Mark McElhatten - "To The Lighthouse" (29 octobre-16 novembre 2021).
Et aujourd’hui, on peut voir :
* À 16h00 : L’Amour fou de Jacques Rivette (1969).
Le Monde diplomatique de novembre 2021 est paru.
Bon anniversaire à Charles Bronson (1921-2003), cent ans aujourd’hui.
En 50 ans, de 1949 à 1999, il a joué dans 164 films, mais il a mis du temps à apparaître sur le devant de la scène.
On aimait les films de Robert Aldrich, on avait adoré son Vera Cruz (1954) et le sourire ravageur de Burt Lancaster, mais on n’y avait pas remarqué la belle gueule de Charles Bronson, d’ailleurs il s’y appelait encore Charles Buchinsky. Et dans Les Douze Salopards (The Dirty Dozen, 1967), il était largement éclipsé par Lee Marvin, et la concurrence était rude avec Robert Ryan, Donald Sutherland, ou John Cassavetes.
Peut-être qu’on l’a découvert seulement avec Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven) de John Sturges (1960), en même temps que James Coburn (1928-2002). Il avait déjà 40 ans.
Dans Soleil rouge de Terence Young (1971), on le voyait mieux, mais le héros, c’était Toshirô Mifune, ni lui, ni Alain Delon.
À la vérité, il s’est définitivement installé dans nos cœurs avec l’homme à l’harmonica
de Il était une fois dans l’Ouest (Once Upon a Time in the West) de Sergio Leone (1968). Là, à côté de lui, même Henry Fonda, on s’en fichait un peu. Allez, on se remet l’ouverture et son arrivée "sur zone", frissons toujours garantis.
Deux ans plus tard, avec Le Passager de la pluie de René Clément (1970), il faisait partie de la famille.
Et c’est en revoyant tardivement, sur DVD, tous les épisodes de la série de Rod Serling, La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) (1959-1964), quand on l’a vu dans l’un d’entre eux, dans un très beau personnage, en 1959, qu’on a pu mesurer la puissance de son talent alors largement méconnu.
"Ce que je suis devenu me déçoit", disait-il pourtant en 1975, alors même qu’il était enfin arrivé à la gloire dans son pays, avec le succès de Un justicier dans la ville (Death Wish) de Michael Winner (1974). Justicier à vie, ça peut lasser.
Il faut voir, sur Arte, le documentaire qui lui est consacré, disponible jusqu’au 14 décembre 2021 :
* Charles Bronson, le génie du mâle de Jean Lauritano (2019)
À Lübeck, commence le Nordische Filmtage 2021, 63e édition en version bybride (3-7 novembre 2021).
Créé en 1956, il est l’un des plus anciens festivals du film d’Europe. Il se consacre aux films du Nord de l’Europe - Danemark, Estonie, Finlande, Lettonie, Lituanie, Suède, Norvège et Islande, ainsi que l’Allemagne de la région de Hambourg et du Schleswig-Holstein.
Au programme 2021 :
* Hommage à Trine Dyrholm, c’est son année, elle a aussi été célébrée par exemple à Reykjavik en septembre 2021.
* Les Compétitions (fictions et documentaires), et les Sections : Nordic Shorts, Series, Children’s and Youth Films, Homage, Filmforum.
* La Retrospective : Sing a Song !
(comédies musicales nordiques et baltes et de musique pop au cinéma).
Aujourd’hui, des projections à partir de 16h15 (18 films) dont la cérémonie d’ouverture, ce soir :
* À 19h30 : Cop Secret (Leynilögga) de Hannes Þór Halldórsson (2021).
À Paris, à la Cinémathèque, une vraie fête : Tout Resnais (3-29 novembre 2021).
Ce soir :
*À 20h00 : On connaît la chanson de Alain Resnais (1997).
Les sorties sur les grands écrans
* Pingouin & Goéland et leurs 500 petits de Michel Leclerc (2019).
* Compartiment N°6 ((Hytti Nro 6) de Juho Kuosmanen (2020).
* Les Olympiades de Jacques Audiard (2021).
* Les Éternels (Eternals) de Chloé Zhao (2021).
* My Son de Christian Carion (2021).
Les ressorties en versions restaurées
* The Strange Affair of Uncle Harry de Robert Siodmak (1945).
En entier sur Internet.
* La Porte de l’enfer (Jigokumon) de Teinosuke Kinugasa (1953).
* Chromosome 3 de David Cronenberg (1979).
À Montréal, commence le festival de films francophones Cinémania 2021, 27e édition (2-14 novembre 2021).
Au programme :
* Trois compétitions : Documentaires, Courts métrages, et Visages de la francophonie.
* Des invités de marque, venus du monde entier, dont les Françaises, Valérie Lemercier, Catherine Corsini et Anaïs Demoustiers,
* À 18h00 : Une révision de Catherine Therrien (2021).
Depuis hier lundi 1er novembre 2021, partout en France, a commencé le Mois du film documentaire 2021, 22e édition, (1er-30 novembre 2021).
Ce mois spécial est organisé par Images en bibliothèques : 2000 événements autour du cinéma documentaire (projections, rencontres avec des cinéastes, débats, conférences, ateliers pratiques, expositions, etc), organisés en toute liberté par 2500 structures.
Le lancement national a eu lieu à Paris, à Beaubourg, le 26 octobre 2021, avec :
*À 20h00 : Retour à Reims (Fragments) de Jean-Gabriel Périot (2021).
En présence de Didier Eribon.
Les "soirées d’ouvertures" ont lieu par régions, à des dates variables.
Aujourd’hui, c’est à Tourcoing, en partenariat avec le Goethe Institut et le Fresnoy :
* À 18h00 : Heimat ist ein Raum aus Zeit de Thomas Heise (2019).
En sa présence avec Matthias Steinle.
Faites votre programme, par région, par thématique, ou par cinéaste.
Au fil du temps, tous les éditos