2019 : Journal de Ellis & Neck
* Ellis & Neck-édito 2019 ; * 1er-15 janvier 2019 ; * 16-31 janvier 2019 ; * 1er-15 février 2019 ; * 16-28 février 2019 ; * 1er-15 mars 2019 ; * 16-30 mars 2019 ; * 6-15 avril 2019 ; * 16-30 avril 2019 ; * 1er-15 mai 2019 ; * 16-31 mai 2019 ; * 1er-15 juin 2019 ; * 17-29 juin 2019 ; * 2-15 juillet 2019 ; * 16-31 juillet 2019 ; * 1er-15 août 2019 ; * 16-31 août 2019 ; * 2-15 septembre 2019 ; * 16-30 septembre 2019 ; * 1er-15 octobre 2019 ; * 16-31 octobre 2019 ; * 1er-15 novembre 2019 ; * 16-30 novembre 2019 ; * 2-15 décembre 2019 ; * 16-31 décembre 2019
(16-31 mai 2019)
À New York, le Metrograph programme une rétrospective : Jim Jarmusch in person (31 mai-13 juin 2019).
À l’occasion de son dernier film, qui a ouvert le Festival de Cannes 2019, The Dead Don’t Die, il faut revenir sur la courte et atypique filmographie d’un cinéaste "imprégné d’Americana et pourtant incontestablement citoyen du monde".
Aujourd’hui :
* À 12h30 : Down By Law de Jim Jarmusch (1986).
* À 17h45 : Dead Man de Jim Jarmusch (1995).
Dans le même temps, toujours au Metrograph, focus sur l’Irlande du Nord.
Aujourd’hui :
* À 13h00, 19h00 et 21h30 : The Image You Missed de Dónal Foreman (2018).
Metrograph, No.7 Ludlow Street, New York NY 10002.
À Bruxelles, au Palais des Beaux-Arts, on accueille Alain Cavalier.
Son dernier film, Être vivant et le savoir (2019), a été sélectionné en séance spéciale au Festival de Cannes 2019.
Au programme des Bozar, La Rencontre, un "premier film" tardif où il avait inauguré une nouvelle période de son œuvre, le journal intime : l’examen minutieux de son présent et de ses détails, où il ne trouve pas le diable mais un certain bonheur.
* À 19h00 : La Rencontre de Alain Cavalier (1996).
En sa présence.
Studio, rue Ravenstein 23, 1000 Bruxelles.
À Londres, à la Tate Modern, un week-end avec 30 ans de vidéos révolutionnaires : Tony Cokes : Sound Systems (31 mai-2 juin 2019).
Aujourd’hui, l’ouverture avec une vidéo gratuite :
* À 18h00 : Could You Visit Me in Dreams ?
Dimanche 2 juin 2019, la clôture :
* À 17h30 : Lecture de l’artiste.
Tate Modern, Starr Cinema, Bankside, London SE1 9TG.
À Bordeaux, au tout jeune Musée Mer marine (MMM) : Sempé en liberté, avec 300 de ses dessins originaux (29 mai-6 octobre 2019).
Musée Mer Marine, 89 rue des Étrangers, 33300 Bordeaux.
Le Monde Diplomatique de juin 2019 est paru.
À Paris, à la Cinémathèque, Rétrospective John Cassavetes (30 mai-22 juin 2019).
Ce soir, à 20h00 :
* John Cassavetes (Hollywood 1965-Paris 1968) de Hubert Knapp & André S. Labarthe (1998).
* Shadows de John Cassavetes (1959).
Avec trois rencontres, dont la première, dès demain, vendredi 31 mai à 19h00 :
* Meurtre d’un bookmaker chinois (The Killing of a Chinese Bookie) (1976).
Dialogue avec Nicole Brenez et Bernard Benoliel.
Cinémathèque française, 51 rue de Bercy, 75012 Paris.
À New York, le MoMA, célèbre la documentariste Julia Reichert surnommée la "marraine du cinéma indépendant américain" : Julia Reichert, 50 Years in Film (30 mai-8 juin 2019).
Son premier film, Growing Up Female (1970) est considéré comme un des éléments de la fondation du Women’s Lib.
Ce soir, en ouverture, son dernier film :
* À 19h00 : American Factory de Julia Reichert & Steven Bognar (2019).
The Museum of Modern Art, 11 West 53 Street, New York, NY 10019.
À New York toujours, au Lincoln Center, commence le New York African Film Festival (30 mai-4 juin 2019).
Ce soir, opening night :
* Hero de Frances-Anne Solomon (2018).
Lincoln Center, 64th Street , New York, NY 10023.
À New York encore, le MET présente la dernière installation vidéo de Ragnar Kjartansson, Death Is Elsewhere (30 mai-2 septembre 2019).
Ragnar Kjartansson, né en 1976 à Reykjavík, représentait l’Islande à la Biennale de Venise 2009.
À celle de 2013, il enchantait l’Arsenale avec sa performance musicale SS Hangover.
Metropolitan Museum of Art, Gallery 963, Robert Lehman Wing court, 1000 5th Ave, New York, NY 10028.
Freddy Buache (1924-2019) vient de mourir, brutalement, sans prévenir les amis, là, hier matin, mardi 28 mai 2019.
En 1981, déjà, Jean-Luc Godard lui disait qu’il y avait urgence.
On s’habitue pas. Nos cœurs saignent.
À Argelès, commencent les Rencontres Cinémaginaire, 34e édition (29 mai-2 juin 2019).
Le thème 2019, c’est Vivre l’utopie, comme le titre du beau film de Juan Gamero, Vivir la utopía (1997) programmé samedi 1er juin 2019.
Aujourd’hui, l’ouverture du festival est gratuite et ouverte à tous :
* À 18h30, au Cinéma Jaurès : Vitha de François Bierry (2017) et Aqui y Alli de Emma Fariñas (2019).
* À 19h30, Galerie Marianne : Vernissage de l’exposition du Collectif Zarbo de Toulouse : Marie-Hélène Carcanague, Bernard Gonzalez, Valy Husson, Pascale Labia, Gérard Loustau, Jean-Pierre Vignard.
Habité par les fantômes de la Retirada, juste à côté, au Foyer Jean-Jaurès, on va voir les créations photographiques de Victor Simal, sur le tournage du film Camp d’Argelès de Felip Solé (2009).
* À 20h45, Espace Liberté : Hommage à Anémone.
Soirée d’ouverture en plein air et gratuite, avec les éclats musicaux du groupe Red Shoes, et un film : Pour 100 briques, t’as plus rien de Édouard Molinaro (1982).
Cinémaginaire, 71 rue de la Paix, 66700 Argelès-sur-Mer.
À Paris, à la Cinémathèque : Otar Iosseliani (29 mai-22 juin 2019).
En sa présence
* À 20h00 : La Chasse aux papillons de Otar Iosseliani (1991).
On note tout de suite deux rencontres :
* Samedi 1er juin à 15h00 : Adieu, plancher des vaches ! (1998).
Suivi d’un dialogue entre Otar Iosseliani et Martine Marignac.
* Dimanche 2 juin à 14h30 : Les Favoris de la lune (1984).
Suivi d’une discussion avec Pascal Aubier et Bernard Eisenschitz.
Cinémathèque française, 51 rue de Bercy, 75012 Paris.
À Bologne, la Cineteca ouvre son auditorium à Human Rights Nights, 19e édition avec la Fondation Mast de Bologne (29 mai-2 juin 2019).
Au programme, plus de 30 films dont des avant-premières, des débats et des rencontres avec les réalisateurs et des militants sur les thèmes brûlants du présent : changement climatique, exploitation minière et pétrolière, déforestation, pollution, racisme, migrations.
Aujourd’hui :
* À 18h00 : Anote’s Ark de Matthieu Rytz (2018).
* À 21h30 : Scenes From a Dry City de François Verster & Simon Wood (2018) https://africa.film/scenes-from-a-dry-city-a-simon-wood-francois-verster-documentary/
et Paani. Of Women and Water de Costanza Burstin (2018).
Présentation par Costanza Burstin et Luca Jourdan.
PAANI.Of women and water - Official Trailer from Costanza Burstin on Vimeo.
Cineteca, Via Azzo Gardino, 65, 40122 Comune di Bologna BO.
À Paris de nouveau, à la Librairie du Panthéon (Cinélittérature)
* À 19h00 : Rencontre avec Monica Jahan Bose et Leena Jayaswal, autour de leur projet Rising up to Climate Change : Storytelling with Saris.
Trois courts métrages, dédicace du livre et bon vin.
Bonne lecture :
* Monica Jahan Bose, Rising Up to Climate Change : Storytelling with Saris, Primedia eLaunch LLC, 2018.
Librairie du Panthéon, 15 rue Victor-Cousin, 75005 Paris.
À Paris toujours, à Beaubourg : Bernard Frize. Sans repentir (29 mai-26 août 2019).
Un parcours semé d’embûches et de hasards à travers 70 œuvres depuis 1976, et 6 stations : Avec déraison, Sans effort, Avec système, Sans système, Avec maîtrise, Sans arrêt.
Centre Pompidou, Galerie 3, place Georges-Pompidou, 75004 Paris.
À Paris encore, sous les auspices de Beaubourg, la toute première rétrospective Guillaume Dustan, des films - inédits - projetés en boucle (1965-2005).
William Baranès, alias Guillaume Dustan (1965-2005), écrivain, admirateur de Duras, éditeur et haut fonctionnaire, fut aussi un cinéaste.
Ce soir, au Luminor-Hôtel de ville :
* À 19h30 : Pop Life (2000) ; Songs in the Key of Moi (2000) ; Film perdu sans titre (2000).
Présentation par Philippe Joanny et Tim Madesclaire.
Lettre de Virginie Despentes à Guillaume Dustan.
Treize, 24 rue Moret, 75011 Paris.
Luminor Hôtel de ville, 20 rue du Temple, 75004 Paris.
Centre Pompidou, Place Georges-Pompidou, 75004 Paris.
Les sorties sur les grands écrans
* Joyce de Martin Ziegler (2018).
* Rocketman de Dexter Fletcher (2019).
Les ressorties en versions restaurées
* Un enfant attend (A Child is Waiting) de John Cassavetes (1963).
* Dernier Tango à Paris (Ultimo tango a Parigi) de Bernardo Bertolucci (1972).
* Qui a tué le chat ? (Il gatto) de Luigi Comencini (1977).
À Paris, à la Librairie du Panthéon (Cinélittérature), focus sur Ingmar Bergman :
* À 19h00 : Rencontre avec Joëlle Varenne.
Dédicace, goûter et vins du Domaine Rouge Garance vignoble de Jean-Louis Trintignant, Claudie et Bertrand Cortellini & Thé des écrivains.
Bonne lecture :
* Joëlle Varenne, Fårö, une nuit avec Ingmar Bergman, Paris, Éditions Balland, 2019.
Et juste à côté, au cinéma Le Panthéon, rappel : Reprise des courts-métrages présentés au Festival de Cannes 2019 :
* À 18h00 : Les films primés de la Cinéfondation.
* À 20h30 : Les courts-métrages de la Sélection officielle. http://www.cannescourtmetrage.com/fr/
En présence de Panos H. Koutras, membre du jury.
Librairie du Panthéon, 15 rue Victor-Cousin, 75005 Paris.
Cinéma Le Panthéon, 13 rue Victor-Cousin, 75005 Paris.
À Paris, au ciné-club de l’ENS :
* À 20h30 : Ouvrir la voix de Amandine Gay (2017).
Ciné-club de l’ENS, salle Dussane, 45 rue d’Ulm, 75005 Paris.
C’est à Paris que commence un grand hommage à Félix Fénéon.
Félix Fénéon (1861-1944), anarchiste, critique d’art, éditeur, directeur de galerie, collectionneur passionné, est méconnu.
Au mieux, on le connaît pour ses illustres "brèves", ces nouvelles en trois lignes publiées dans Le Matin, entre mai et novembre 1906.
Il fut pourtant un revuiste exceptionnel, un fin militant aux nombreux et prestigieux amis, notamment dans sa génération, ceux qui eurent dix ans au moment de la Commune, et parmi eux, Maximilien Luce (1858-1941)..
Bref, un acteur majeur du monde artistique du tournant du 20e siècle.
Sa notice dans le Maitron en témoigne.
Quatre musées se sont réunis et partagé le travail en trois parties, ce printemps le Musée du Quai Branly, cet automne ce sera Orsay et l’Orangerie, et l’année prochaine, le MoMA.
* À Branly d’abord, avec Fénéon le collectionneur : Les arts lointains(28 mai-29 septembre 2019).
Fénéon avait publié un texte remarquable en 1920 - Seront-ils admis au Louvre ? - qui fait figure de texte fondateur du Musée du Quai Branly.
* À Orsay et à l’Orangerie : Félix Fénéon. Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse (16 octobre 2019-27 janvier 2020).
* Au MoMA, l’année prochaine : Félix Fénéon : The Anarchist and the Avant-Garde. From Signac to Matisse and Beyond (22 mars-25 juillet 2020).
Bonne vision :
* Debout Fénéon ! de Jean-François Dars & Anne Papillaut (2000).
Bonne lecture :
* Joan Ungersma Halperin, Félix Fénéon. Art et anarchie dans le Paris fin de siècle, traduction de Dominique Aury, avant-propos de Germaine Brée, avec la collaboration de Nada Rougier, Paris, Gallimard, 1991.
La citation du jour :
Si vous ne voulez pas parler du capitalisme, vous n’avez rien à dire sur le fascisme.
Max Horkheimer (1938).
À New York, la Gallery Wendi-Norris de San Francisco présente, hors les murs : Leonora Carrington. The Story of the Last Egg (23 mai-29 juin 2019).
Leonora Carrington (1917-2011), depuis longtemps figure historique, est morte le 25 mai 2011, il y a seulement 8 ans.
Gallery Wendi Norris, 926 Madison Avenue, New York, NY.
À Zürich, la Kunsthaus célèbre le 50e anniversaire des premiers pas humains sur la Lune : Fly me to the Moon (30 juin 2019).
Kunsthaus, Heimplatz 1, 8001 Zürich.
À Bâle, la Fondation Beyeler a ouvert son exposition d’été, une rétrospective Rudolf Stingel (26 mai-6 octobre 2019).
On se souvient de sa somptueuse exposition au Palazzo Grassi, dans le cadre de la Biennale de Venise 2013 (7 avril 2013-6 janvier 2014).
Fondation Beyeler, Baselstrasse 101, CH-4125 Riehen/Basel.
C’est à Amsterdam, au Rijks, qu’on fête l’anniversaire du site de Jeune Cinéma (né le 27 mai 2014 vers 16h00), avec l’une des collections de Mattie Boom, ses bécanes : Bike
Le nouveau numéro de la revue Terrestres est en ligne.
On en est au numéro 5.
On commence par s’abonner à la newsletter.
À 20h30, on a le Palmarès de cette 72e édition du Festival de Cannes 2019.
(Jury présidé par Alejandro G. Iñárritu).
* Palme d’or : Gisaengchung (Parasite) de Bong Joon-Ho (2019).
* Grand Prix : Atlantique de Mati Diop (2019).
* Prix de la mise en scène : Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre & Luc Dardenne (2019).
* Prix du jury ex-æquo : Les Misérables de Ladj Ly (2019) et Bacurau
de Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles (2018).
* Prix d’interprétation masculine : Antonio Banderas dans Dolor y Gloria de Pedro Almodóvar (2019).
* Prix d’interprétation féminine : Emily Beecham dans Little Joe de Jessica Hausner (2019).
* Prix du scénario : Céline Sciamma pour Portrait de la jeune fille en feu (2019).
* Mention spéciale : Elia Suleiman pour It Must Be Heaven (2019).
* Palme d’or du court métrage : The Distance Between Us and The Sky de Vasilis Kekatos (2019).
* Mention spéciale du Jury courts métrages : Monstruo Dios de Agustina San Martín (2019).
* Caméra d’or : Nuestras madres de César Díaz (2019), sélectionné à la Semaine de la critique.
* Prix CST de l’Artiste-Technicien 2019 : Flora Volpeliere pour le montage et Julien Poupard pour le cadre et la lumière dans Les Misérables de Ladj Ly (2019).
À Cannes, fin de partie.
©Nicolas Villodre
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Les Prix Un certain regard(18 films dont 9 sont des premiers films), décernés par le jury présidé par Nadine Labaki :
* Prix Un certain regard : A vida invisível de Eurídice Gusmão (La Vie invisible d’Eurídice Gusmão) de Karim Aïnouz (2019).
* Prix du jury : O que arde (Viendra le feu) de Oliver Laxe (2019).
* Prix d’interprétation : Chiara Mastroianni pour Chambre 212 de Christophe Honoré (2019).
* Prix de la mise en scène : Kantemir Balagov pour Beanpole (Une grande fille) (2019).
* Prix spécial du jury : Liberté de Albert Serra (2019).
* Coup de cœur du jury (ex-aequo) : La Femme de mon frère de Monia Chokri (2019) et The Climb de Michael Angelo Covino (2019).
* Mention spéciale du jury : Jeanne de Bruno Dumont (2019).
Le Prix de la citoyenneté 2019 a été attribué par Clap Citizen Cannes, à
* Les Misérables de Ladj Ly (2019).
Toute la journée, pendant que le jury de la compétition délibère, on essaye de rattraper les films de la compétition qu’on a ratés. Ou on contemple la paix retrouvée de la plage.
©Nicolas Villodre
Ce soir, la "Dernière Séance", alias cérémonie du palmarès (visible sur Canal+ à partir de 19h00).
On a même la liste des "remettants" - le terme est audacieux, mais la liste est chic : Catherine Deneuve, Michael Moore, Valeria Bruni-Tedeschi, Sylvester Stallone, Gael Garcia Bernal, Claire Denis, Reda Kateb, Zhang Ziyi, Viggo Mortensen, Nadine Labaki, Rithy Panh.
* Hors normes de Olivier Nakache & Éric Toledano (2019).
À New York, avec Aperture, Tilda Swinton médite sur les métamorphoses, et donc sur le chemin de l’éternité.
Après le roman de Virginia Woolf, Orlando (1928), dans le film de Sally Potter elle interprétait le rôle de Orlando (1992).
Elle prolonge la vision avec une exposition de onze artistes et un numéro spécial du magazine : Orlando (24 mai-11 juillet 2019).
Photographies de Zackary Drucker, Lynn Hershman Leeson, Paul Mpagi Sepuya, Jamal Nxedlana, Elle Pérez, Walter Pfeiffer, Sally Potter, Viviane Sassen, Collier Schorr, Mickalene Thomas et Carmen Winant.
303 Gallery, 555 W 21 Street New York NY.
À Paris, expo : Philip Pearlstein(25 mai-20 juillet 2019).
Galerie Templon, 30 rue Beaubourg, 75003 Paris.
À Paris, expo : Renato d’agostin. Harmony of Chaos (25 mai-31 août 2019).
Galerie Thierry-Bigaignon, 9 rue Charlot, 75003 Paris.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 25 au 31 mai 2019.
Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend !
C’est le jour de la Grève mondiale et intergénérationnelle pour le climat.
La couche humaine de la planète, inhérente à la planète, se met en mouvement contre la 6e extinction de masse programmée par la grande gueule du Capital (et ses "laquais").
Les climatosceptiques ricanant se servent des mauvais printemps des dernières années pour nier le "réchauffement" (au lieu du "dérèglement"). Ils sont de moins en moins nombreux mais de plus en plus pathétiques et criminels.
* À Paris, rendez-vous sur les marches de l’Opéra à 12hh30 pour le point presse, et départ à 14h00, en passant par les grands boulevards, vers la République.
Concert à l’arrivée.
Bonnes lectures :
* La Gueule ouverte, le journal précurseur qui annonçait la fin du monde et qui a arrêté de paraître dès qu’il a été trop tard pour y remédier (1972-1980).
* Diane Veyrat, Fournier face à l’avenir, Les Cahiers dessinés (2019).
Bon anniversaire Bob Dylan !
78 balais aujourd’hui, bon pied bon œil, pas content quand les flashes l’empêchent de chanter, dessinateur et peintre, ça tout le monde le sait.
Sculpteur aussi, on le sait moins.
Amateur de whisky et entrepreneur, on l’apprend.
Vous connaissiez la distillerie de Nashville, Heaven’s Doors, et la vieille église de Elm Street ?
Pas si surprenant que ça : c’est le même dieu, Neptune, qui supervise toutes les cames l’alcool, la religion et la musique.
Bonus :
* Pour qui a raté, à Londres, la dernière expo - Mondo Scripto. Lyrics and Drawings (9 octobre-23 décembre 2018) - de sa galerie favorite, la Halcyon Gallery.
* Pour qui ne connaît pas ses relations avec le surréalisme.
* Et pour qui ne l’a pas vu au Grand Rex ce printemps 2019.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Les Prix de la Cinéfondation, 22e édition, ont été décernés par le jury présidé par Claire Denis.
* Premier Prix : Mano a mano de Louise Courvoisier (2018).
* Deuxième Prix : Hiếu de Richard Van (2018).
* Troisième Prix ex aequo : Ambience de Wisam Al Jafari (2019) et Duszyczka de Lucia Bulgheroni (2019).
On attend les Prix Un certain regard dans la journée.
Aujourd’hui, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* It Must Be Heaven de Elia Suleiman (2018).
* Sybil de Justine Triet (2018).
Cannes classics :
* Les Silences de Johnny de Pierre-William Glenn (2019).
Le Festival de Cannes joue les prolongations.
À Paris, ce week-end, quatorze films de la sélection officielle, avec Cannes à Paris, 7e édition, et pour la première année, aussi à Rennes, Nantes, Lyon et Toulouse (24-26 mai 2019).
Gaumont Opéra, 2 boulevard des Capucines, 75009 Paris.
On note tout de suite :
* La Cinéfondation, mardi 28 mai 2019, au Panthéon, à 18h00, la sélection, et à 20h30, les courts métrages.
Cinéma Panthéon, 13 rue Victor-Cousin, 75005 Paris.
* Un certain regard, au Reflet Médicis (29 mai-4 juin 2019), une sélection de UCR.
Reflet Médicis, 3 rue Champollion, 75005 Paris.
* ACID, cet automne (à Paris, au Louxor), les reprises.
Louxor, 170 boulevard de Magenta, 75010 Paris.
À Londres, au British Museum, : Manga (23 mai-26 août 2019).
Aujourd’hui :
* À 18h30 : How manga can change the world : Captain Tsubasa in conversation.
British Museum, Great Russell St, Bloomsbury, London WC1B 3DG.
À Paris, et partout en France, on fête la Semaine de l’Amérique latine et des Caraïbes, 6e édition (23 mai-8 juin 2019).
Conférences, expositions, rencontres, et films.
On choisit le week-end du Chien qui aboie (El perro que ladra).
* À 18h00 : A sinfónica de los Andes (L’Orchestre des Andes) de Marta Rodríguez (2018).
Cinéma Christine 21, 4 rue Christine, 75006 Paris.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
La Semaine de la critique, 58e édition (15-23 mai 2019) s’achève et la distribution des prix a eu lieu hier soir.
Les prix décernés par son jury présidé par Ciro Guerra :
* Grand Prix Nespresso
: J’ai perdu mon corps de Jérémy Clapin (2019).
s
* Prix Découverte Leitz-Cine du court métrage
: She Runs de Qiu Yang
(2019).
* Prix Fondation Louis-Roederer de la révélation masculine : Ingvar E. Sigurðsson pour Hvítur, Hvítur Dagur (A White, White Day) de Hlynur Pálmason (2019).
Et puis, il y a les prix des partenaires de la Semaine de la critique :
* Prix Fondation Gan à la Diffusion : Vivarium de Lorcan Finnegan (2019).
* Prix SACD : César Díaz auteur de Nuestras Madres (2019).
* Prix Canal + du court métrage : Ikki Illa Meint (Sans mauvaise intention) de Andrias Høgenni (2019).
Le Festival de Cannes, lui, n’est pas fini.
Aujourd’hui, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Mektoub My Love : Intermezzo de Abdellatif Kechiche (2019).
* Il traditore (Le Traître) de Marco Bellochio (2019).
Un certain regard :
* Once in Trubschevsk (Odnazhdy v trubchevske) de Larisa Sadilova (2019).
Quinzaine des réalisateurs :
* Yves de Benoît Forgeard (2019).
ACID :
* Kongo de Hadrien La Vapeur & Corto Vaclav (2019).
À Brooklyn, le BAM, dans le cadre de son DanceAfrica Festival 2019, 42e édition (18-27 mai 2019) présente les meilleurs nouveaux films de fiction, documentaires de toute l’Afrique et de la diaspora, avec, cette année, un focus sur le Rwanda : FilmAfrica (23-27 mai 2019).
Ce soir :
* À 19h00 : Sew the Winter to My Skin de Jahmil X.T. Qubeka (2018).
BAM Rose Cinemas, Peter Jay Sharp Building, 30 Lafayette Ave., Brooklyn, NY 11217.
À New York, Manhattan, la Neue Galerie vernit sa nouvelle exposition : Eclipse of the Sun : Art of the Weimar Republic (23 mai-2 septembre 2019).
Neue Galerie, 1048 5th Ave, New York, NY 10028.
À Paris, le MAHJ a verni hier sa nouvelle expo : Adolfo Kaminsky. Faussaire et photographe (23 mai-8 décembre 2019).
Résistant dès l’adolescence et faussaire de génie, Adolfo Kaminsky a consacré trente ans de son existence à produire des faux papiers.
Bonnes lectures :
* Sarah Kaminsky, Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire, Paris, Calmann Lévy, 2009.
* Adolfo Kaminsky. Changer la donne, textes de Élisabeth de Fontenay, Sophie Cœuré et Amaury da Cunha, préface de Paul Salmona, Paris, Éditions Cent Mille Milliards, 2019.
Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, 71 rue du Temple, 75003 Paris.
À Paris, au Lieu-dit, les Amis du Monde diplomatique invitent à une rencontre citoyenne, en entrée libre :
* À 19h00 : Europe : paysage avant élection.
Avec Antoine Schwartz et Morvan Burel.
Bonnes lectures :
* François Denord & Antoine Schwartz, L’Europe sociale n’aura pas lieu, Paris, Éditions Raisons d’agir, 2009.
* Aurélien Bernier, Morvan Burel, Clément Caudront & al, La Gauche à l’épreuve de l’union européenne, Éditions du Croquant, 2019.
Lieu-dit, 6 rue Sorbier, 75020 Paris.
À Paris, Au fond de la cour, on découvre les bonnes recettes et les rues du vieux Paris, à travers les derniers textiles de Claire-Marie Neufville (23-26 mai 2019).
Au fond de la cour, 18 rue Chapon, 75003 Paris.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Compétition officielle :
* Roubaix, une lumière de Arnaud Desplechin (2019).
Un certain regard :
* Nina Wu (Zhuó rén mìmì) de Midi Z (2019).
Hors compétition :
* The Gangster, the Cop, the Devil de Lee Won-Tae (2019).
Quinzaine des réalisateurs :
* The Halt (Hang Hupa) de Lav Diaz (2019).
Semaine de la critique :
* Dwelling in the Fuchun Mountains (Chun jiang shui nuan) de Gu Xiaogang (2019).
À Paris, à la Fondation Seydoux, le nouveau programme : Comica et Nizza. Gags en série (22 mai-11 juin 2019).
Comica et Nizza désignent deux marques de films comiques produits par Pathé et tournés dans la ville de Nice.
Chaque programme du cycle est dédié à une figure de Comica et Nizza : Alfred Machin, Bigorno, Roméo Bosetti, Léontine, Rosalie, Little Moritz et Rosalie, Les héros s’amusent, De joyeux héros.
* À 14h30 : Programme Bigorno.
Séance accompagnée au piano par Emmanuel Birnbaum.
* À 16h00 : Programme Roméo Bosetti.
Séance accompagnée au piano par un élève de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel.
Fondation Jérôme-Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, 75013 Paris.
À Saint-Ouen, à Commune Image, communauté innovante et solidaire de cinéma indépendant, à l’instigation de Nicolas Droin, on découvre deux films nocturnes inédits en projection gratuite (réservation nécessaire).
Ce soir, à 20h30 :
* Jusqu’à la nuit de Garance Rigoni (2019).
* Every Night Ends de Nicolas Droin (2019).
La nuit (et la discussion) se poursuivra au bar de Commune Image, ouvert jusqu’à minuit.
Commune Image, 8 rue Godillot, 93400 Saint Ouen.
À Marseille, à la Friche Belle de Mai, il se passe toujours quelque chose.
Par exemple, en ce moment, l’atelier du collectif Le Dernier Cri présente : Le mauvais Œil 48. Colin Raff (19 mai-17 juillet 2019)
On en profite pour aller au Gyptis, où Le cinéma passe à table (11 mai-16 juin 2019).
Avec des chefs-d’œuvre restaurés, des projos + dégustation, des week-ends gourmands.
Ce soir :
* À 20h00 : Les Épices de la passion (Como agua para chocolate) de Alfonso Arau (2015).
Suivi d’un échange avec Jacques Jacques Aubergy et d’un repas mexicain.
Cinéma Le Gyptis, 136 rue Loubon, 13003 Marseille.
À Lyon, au Musée des Confluences : À la rencontre des Indiens kayapo (22-26 mai 2019).
Les Kayapos vivent en Amazonie brésilienne. Ils sont reconnus pour leur maîtrise de l’art de la plume et leurs peintures corporelles très caractéristiques.
On fait connaissance à l’occasion de la venue exceptionnelle de Bepkamrek et Nhakti Kayapo, représentants de la communauté amérindienne Kayapo du village de Motukôre (Ėtat du Pará, Brésil).
Musée des Confluences, 86 quai Perrache, 69002 Lyon.
À Bruxelles, la Cinematek, dans le cycle Portraits de pays, propose un grand classique inépuisable (22 avril-31 mai 2019).
Ce soir :
* À 21h00 : Le Joli Mai de Chris Marker & Pierre Lhomme (1962).
Cinematek, 9 rue Baron-Horta, 1000 Bruxelles.
Les sorties sur les grands écrans
* Une part d’ombre de Samuel Tilman (2018).
* Les Plus Belles Années d’une vie de Claude Lelouch (2019).
* Le Jeune Ahmed de Luc et Jean-Pierre Dardenne (2019).
Les ressorties en versions restaurées
* Désirs volés (Nusumareta yokujô) de Shohei Imamura (1958).
* Filles et Gangsters (Buta to gunkan) de Shohei Imamura (1961).
* Shining de Stanley Kubrick (1980).
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino (2019).
* Parasite (Gisaengchung) de Bong Joon-Ho (2019).
Un certain regard, Cinéfondation :
* La Fameuse Invasion de la Sicile par les ours de Lorenzo Mattotti (2019).
Quinzaine des réalisateurs :
* Tlamess de Ala Eddine Slim (2019).
ACID :
* Solo de Artemio Benki (2019).
On note aujourd’hui, au Cinéma Olympia, une belle table ronde organisée par ACID :
* À 15h30 : Documenter les luttes sociales.
Avec Marcelo Barbosa et Aude Chevalier-Beaumel, pour Indianara & Lech Kowalski, pour On va tout péter. Modération par Laurent Bécue-Renard.
Cinéma Olympia, 5 rue d’Antibes, 06400 Cannes.
À Marseille, chez Vidéodrome2, en collaboration avec Antoine Coppola, : Révolution des bougies. Actualité du cinéma Sud-Coréen (21-26 mai 2019).
Ce soir :
* À 20h30 : The President’s Last Bang de Im Sang-soo (2005).
Vidéodrome 2, 49 cours Julien, 13006 Marseille.
À Paris, une exposition venue du Japon : Hikaru Fujii. Les nucléaires et les choses (18 mai-28 juillet 2019).
Après Fukushima en 2011, on a évacué les populations.
À Futaba, juste à côté de la centrale, il y avait le Musée d’histoire et des cultures.
On l’a fermé, et on a mis à l’abri les œuvres de valeur, qui demeurent désormais, parquées, invisibles.
Mais, dans cette "zone de retour difficile", le musée vide se remplit aujourd’hui de la mémoire vive des vivants, leurs souvenirs précieux, les choses de la vie.
Depuis 2015, Hikaru Fujii travaille sur la mémoire d’après la catastrophe.
Aujourd’hui, une table ronde dans l’Amphithéâtre de morphologie aux Beaux-Arts. Réservation nécessaire :
* À 14h00 : Mémoire et représentation de la catastrophe. Le Musée d’histoire de Futaba, un musée vide.
Avec Hikaru Fujii et le collectif Call it Anything ainsi que Marc Boissonnade, Élisabeth Claverie, Vinciane Despret, Patricia Falgiuères, Sophie Houdart, Mélanie Pavy, Stéphane Sautour, Élodie Royer, Valérie Sonnier et Jack McNiven, Alice Thomine-Berrada, Clélia Zernik.
Kadist Paris, 19bis-21 rue des Trois Frères, 75018 Paris.
À Paris toujours, au Centre culturel suisse, les nouvelles expos (18 mai-21 juillet 2019).
* L’Antichambre multimédias de Nives Widauer.
* Les orties et les ipomées de Reto Pulfer.
Centre culturel suisse, 38 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Le Jeune Ahmed de Luc et Jean-Pierre Dardenne (2019).
Un certain regard :
* Adam de Maryam Touzani (2019).
C’est le coup de cœur de Jeune Cinéma n°394, de mai 2019.
Ne pas confondre avec le court métrage de la Cinéfondation, qui a le même titre, Adam de Shoki Lin (2019), ni, naturellement, avec Adam de Max Mayer (2009).
* La Vie invisible d’Euridice Gusmao (A vida invisível de Eurídice Gusmão) de Karim Aïnouz (2018).
Hors compétition :
* La Belle Époque de Nicolas Bedos (2019).
Semaine de la critique :
* Abou Leila de Amin Sidi-Boumédiène (2019).
* Tenzo de Katsuya Tomita (2019).
Parmi les fêtes de Cannes, Cannes Soundtrack, créé en 2010, met en lumière la musique de film et récompense les compositeurs en décernant l’Award de la meilleure musique originale, remis chaque année par un jury de journalistes. En 2019, c’est la 9e saison (14-25 mai 2019).
Au Palais des festivals, A Life in Soundtrack 2019, 2e édition.
Cette année, Hommage à Bertrand Tavernier :
* À 16h30 : Voyage à travers les musiques et chansons du cinéma français. (montage inédit).
Projection suivie d’un concert de Bruno Fontaine et Isabelle Georges.
À New York, le MoMA PS1 présente, après des expositions collectives en Australie (Sydney, Melbourne, Brisbane), à Berlin, Paris, Londres ou Kassel, la première exposition solo du Karrabing Film Collective (31 mars-27 mai 2019).
Fondé en 2013, le Karrabing regroupe une trentaine de cinéastes et d’artistes aborigènes, basés sur les terres du Nord-Ouest de l’Australie.
Ils réalisent leurs films avec des caméras et des téléphones portables, comme une résistance à l’histoire officielle, dénonçant la violence coloniale, le génocide de leurs ancêtres, les générations volées (jusqu’à 1969), la dévastation environnementale, les restrictions foncières et l’exploitation économique, et réanimant les ancienne relations avec la Terre et avec la vie humaine et non humaine.
L’exposition présente l’ensemble de la production cinématographique réalisée à ce jour par le collectif, qui comprend, notamment, neuf courts métrages.
"Le Karrabing n’est ni un clan, ni un groupe linguistique, ni une nation. C’est une aspiration", dit l’anthropologue Elizabeth Povinelli, qui a travaillé avec eux.
Elle avait été invitée à Paris le 11 avril 2019, par l’association Un lieu pour respirer
MoMA PS1, 22-25 Jackson Avenue, Long Island City, Queens.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Aujourd’hui, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Une vie cachée (A Hidden Life) de Terrence Malick (2019).
Hors compétition, Cinéfondation :
* Share de Pippa Bianco (2019)
Quinzaine des réalisateurs :
* The Lighthouse de Robert Eggers (2019).
* Perdrix de Erwan Le Duc (2019).
Rappel : Le projet avait été sélectionné par la Semaine de la critique, dans son programme Next Step en 2016.
Semaine de la critique :
* Ceniza negra de Sofía Quirós Ubeda (2019).
À Paris, à la BNF, une exposition qui nous remet à notre place d’ignorants tâtonnant : Le Monde en sphères (16 avril-21 juillet 2019).
La Terre n’a pas toujours été ronde, et elle ne l’est toujours pas forcément pour tout le monde.
L’exposition, conçue par la BNF, a d’abord été présentée au Louvre Abu Dhabi.
Avec 200 œuvres, elle retrace 2500 ans d’une histoire des sciences et des représentations du ciel et de la Terre.
Bibliothèque François-Mitterrand, Quai François Mauriac, 75013 Paris.
À Bourg-en-Bresse, le Printemps de Bourk était consacré aux femmes, avec une soixantaine de manifestations (8-12 mai 2018).
Louable initiative, "un sujet qui leur tient particulièrement à cœur"... témoignage de la relégation de cette moitié du ciel, toujours aussi "spécifique", dans la marge des damnées ou des égéries-catalyseurs. Imagine-t-on cinq jours consacrés aux hommes ?
Les optimistes diront que le 8 mars + 5 jours en mai, ça fait 6, et que c’est la tendance qui compte.
Heureusement, ce printemps, on y faisait des rencontres, par exemple Florence Cestac, auteure de l’affiche.
Quoiqu’il en soit de l’état des choses et des quotas, l’événement se prolonge avec une exposition : Sorcières ! (8 mai-28 juillet 2019).
Alexa Brunet, Annette Messager, Louise Bourgeois, Katia Bourdarel, notamment y aiment spécialement les sorcières, et au lieu de les brûler, les magnifient en célèbrant les secrets et les mystères des éternelles minoritaires. Entrée libre
H2M, Espace d’art contemporain, 5 rue Teynière, 01000 Bourg-en-Bresse.
C’est dimanche, on s’offre une gâterie.
Bonne lecture :
* Aurélie Petiot, Le Préraphaélisme, Éditions Citadelles et Mazenod, 2019.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Aujourd’hui, commence la série des quatre rencontres qui remplace la traditionnelle "Leçon de cinéma".
* À 16h00 : Nicolas Winding Refn avec Philippe Rouyer.
Demain, dimanche, 19 mai 20129, ce sera Alain Delon avec Samuel Blumenfeld, puis mercredi 22 mai 2019, Zhang Ziyi avec Yves Montmayeur, et enfin, vendredi 24 mai 2019, Sylvester Stallone avec Didier Allouch.
Ce samedi, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Le Lac aux oies sauvages (Nan Fang Che Zhan De Ju Hui) de Jinsong Dong (2019).
* Les Siffleurs (La gomera) de Corneliu Porumboiu (2019).
Hors compétition :
* Que sea ley ! de Juan Solanas (2019).
* Family Romance, LLC de Werner Herzog (2019).
Quinzaine des réalisateurs :
* Alice et le maire de Nicolas Pariser (2018).
À Mandelieu-La Napoule, commence, avec un autre ton, Visions sociales 2019, 17e édition (18-25 mai).
En marge du festival, à seulement 20 mn de Cannes, en partenariat avec toutes les sections du Festival de Cannes, et quelques autres d’autres villes, Premiers Plans d’Angers, Cinemed de Montpellier, Cinélatino de Toulouse, Music&Cinema d’Aubagne, Rencontres du moyen métrage de Brive, FIFAM d’Amiens, etc., Visions sociales rééquilibre les excès tape-à-l’œil du tapis rouge.
En 2019, la thématique, c’est Le jeune cinéma méditerranéen
et la marraine, c’est Claire Burger.
Ce soir, ouverture avec :
* À 21h00 : C’est ça l’amour de Claire Burger (2018).
En sa présence.
Visions sociales, Domaine Agecroft, Château de Mandelieu la Napoule, 318 rue du Capitaine de Corvette March, 06120 La Napoule.
Ce soir, c’est la Nuit des musées 2019, partout en Europe, des nocturnes gratuits.
Faites votre programme à Paris.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 18 au 24 mai 2019.
Avec un écran de Alain Cavalier, et de son beau film, Être vivant et le savoir (2019).
D’abord et avant tout, merci à Serge Jouanny, sauveur suprême.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Mercredi dernier, le 15 mai 2019, le Carrosse d’or de la Quinzaine des Réalisateurs a été attribué à notre bien aimé John Carpenter.
Aujourd’hui, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Little Joe de Jessica Hausner (2019).
Un certain regard :
* Papicha de Mounia Meddour (2019).
Hors Compétition :
* La Cordillère des songes (La cordillera de los sueños) de Patricio Guzmàn (2018).
Semaine de la critique :
* J’ai perdu mon corps de Jérémy Clapin (2019).
Et, en compétition officielle, avec montée des marches à 19h30, sortie sur tous les grands écrans :
* Douleur et Gloire (Dolor y gloria) de Pedro Almodóvar (2019).
À New York, pendant ce temps, à la Marlborough Gallery : Pedro Almodóvar : Waiting for the Light (30 avril-29 juin 2019).
Entretien avec Pedro Almodovar, photographe floral.
Marlborough Gallery, 40 West 57th Street, New York, NY 10019.
À Paris, à la BPI à la Cinémathèque du documentaire, les courts métrages des https://www.centrepompidou.fr/cpv/a...Contre-récits du présent.
Ce soir, Jean-Gabriel Périot :
* À 20h00 : Poor Little White Girls (2014) ; 200 000 fantômes (2007) ; Eût-elle été criminelle ? (2006) ; Les Barbares (2010) ; We’re winning don’t forget (2004) ; The Devil (2012) ; Nos jours absolument doivent être illuminés (2012).
Projection suivie d’une rencontre avec Jean-Gabriel Périot.
Bonne lecture :
* Jessica Macor, "Jean-Gabriel Périot, une histoire visuelle de la violence", in Images documentaires n°94/95 (mars 2019).
BPI, Cinéma 2, Centre Pompidou, 75004 Paris.
À Bruxelles, à la Cinematek, dans le cadre des 50 ans de la Quinzaine des réalisateurs un film recommandé par Sabzian
* À 21h00 : Tu imagines Robinson de Jean-Daniel Pollet (1968).
Cinematek, salle Ledoux, 9 rue Baron-Horta, 1000 Bruxelles.
À New York, commence la Whitney Biennial 2019, 79e édition (17 mai-22 septembre 2019).
De Arroyo (Eddie) à Woodgate (Agustina), 75 artistes américains et collectifs sélectionnés dans tous les États Unis : peintures, sculptures, installations, avec un programme de films et de performances.
Whitney Museum of American Art, 99 Gansevoort Street, New York, NY 10014.
Machiko Kyō (1924-2019) est morte dimanche dernier, le 12 mai 2019
Peut-être que son nom est inconnu, mais personne n’oubliera jamais Yang Kwei-Fei dans son bain, Mickey dans le rue, Sumiko l’actrice jalouse...
Machiko Kyō n’est pas de celles que l’on oublie.
Festival de Cannes 2019, 72e édition (14-25 mai 2019).
Cannes avant la cohue
©Sylvie Strobel
Aujourd’hui, le choix de Jeune Cinéma :
Compétition officielle :
* Atlantique de Mati Diop (2019).
* Sorry We Missed You de Ken Loach (2018).
Avec une montée des marches climat, préparant la journée de demain ?
Un certain regard :
* Une grande fille (Beanpole) de Kantemir Balagov (2019).
* Les Hirondelles de Kaboul de Zabou Breitman & Eléa Gobbé-Mévellec (2019).
Hors compétiton :
* Être vivant et le savoir de Alain Cavalier (2019).
Classics :
* 125 rue Montmartre de Gilles Grangier (1959).
Quinzaine des réalisateurs :
* On va tout péter de Lech Kowalski (2019).
À Paris, au Trois Luxembourg, on revient sur un super film :
Ce soir :
* À 20h00 : L’Époque de Mathieu Bareyre (2018).
En sa présence, avec Stéphane Rives et Jules Wysocki.
Trois Luxembourg, 67 rue Monsieur-le-Prince, 75006 Paris.
À Bologne, à la Cineteca : Omaggio a Ciro Guerra (président du jury de la Semaine de la critique au Festival de Cannes 2019) (16-26 mai 2019).
Ce soir :
* À 22h00 : Pájaros de verano de Cristina Gallego & Ciro Guerra (2018).
Cinema Lumière, Sala Mastroianni, Via Azzo Gardino, 65/b, 40122 Bologna.
Au fil du temps, tous les éditos