2019 : Journal de Ellis & Neck
* Ellis & Neck-édito 2019 ; * 1er-15 janvier 2019 ; * 16-31 janvier 2019 ; * 1er-15 février 2019 ; * 16-28 février 2019 ; * 1er-15 mars 2019 ; * 16-30 mars 2019 ; * 6-15 avril 2019 ; * 16-30 avril 2019 ; * 1er-15 mai 2019 ; * 16-31 mai 2019 ; * 1er-15 juin 2019 ; * 17-29 juin 2019 ; * 2-15 juillet 2019 ; * 16-31 juillet 2019 ; * 1er-15 août 2019 ; * 16-31 août 2019 ; * 2-15 septembre 2019 ; * 16-30 septembre 2019 ; * 1er-15 octobre 2019 ; * 16-31 octobre 2019 ; * 1er-15 novembre 2019 ; * 16-30 novembre 2019 ; * 2-15 décembre 2019 ; * 16-31 décembre 2019
(2-15 juillet 2019)
À Naples, Jan Fabre est partout, avec une petite rétrospective de ses œuvres des années 70 à nos jours et des inédits : Jan Fabre. Oro rosso (30 mars-15 septembre 2019).
On sait bien qu’il se tient mal. Comme tant d’artistes et de chefs de troupe - la liste des malfaisants s’est largement allongée avec les réseaux sociaux. Et ce n’est pas ses fricotages avec les pietas et les églises (et les coléoptères) qui l’absoudront.
Mais quand on a vu son théâtre dès les années 1980, à Gand, et suivi, ensuite, son travail de plasticien, on sait son importance.
* Au Museo e Real Bosco Capodimonte : Sculpture d’oro e corallo, disegni di sangue (30 mars-15 septembre 2019).
Les sculptures en or et sanguines et une nouvelle série de sculptures en corail rouge sont présentées en dialogue avec une sélection de peintures de la collection permanente du musée.
Musée et vrai Bosco di Capodimonte, via Miano 2, Naples.
* Dans l’église du Pio Monte della Misericordia : L’uomo che sorregge la croce (30 mars-30 septembre 2019).
De man die het kruis draagt est une sculpture grandeur nature en bronze poli installée depuis 2015 dans la Cathédrale d’Anvers. La version de Naples, réalisée en cire, est en dialogue avec le chef-d’œuvre du Caravage, Sept œuvres de la Miséricorde (1606-1607).
Pio Monte della Misericordia Via dei Tribunali 253, Naples.
* Au Musée Madre : L’uomo che misura le nuvole (30 mars-30 septembre 2019).
De man die de wolken meet date de 1998. Cette version, en marbre blanc de Carrare, date de 2018. La version en bronze avait déjà été exposée, en 2008, sur la Piazza del Plebiscito et, en 2017, sur la terrasse de Madre.
Musée Madre, Via Luigi Settembrini 79, Naples.
* Au Studio Tri sorio : Tribute to Hieronymus Bosch in Congo (29 mars-30 septembre 2019).
Les deux séries Tribute to Hieronymus Bosch in Congo (2011-2013) et Tribute to Belgian Congo (2010-2013) ont célébré le 500e anniversaire de Hieronymus Bosch en 2016 en confrontant son Enfer et l’histoire violente de la colonisation du Congo belge.
Studio Trisorio, Riviera di Chiaia 215, Naples.
D’ailleurs, cette année, Jan Fabre est aussi à Venise, à Murano exactement, à la Fondazione Berengo où il fait ce qu’on fait à Murano, du verre, dans une exposition collective avec Prune Nourry, et Sudarshan Shetty : Glasstress (9 mai-24 novembre 2019).
En 2017, une rétrospective de ses sculptures sur verre et os (1977-2017) avait déjà été exposée à l’abbaye de San Gregorio à Venise.
Fondazione Berengo, Campiello Della Pescheria, Murano.
À San Diego, au MOPA : Defining Place / Space : Contemporary Photography from Australia (6 mars-22 septembre 2019).
Treize artistes, dont quatre autochtones, pour évoquer l’Australie autrement qu’en stéréotypes : Hoda Afshar, Polly Borland, Pat Brassington, Michael Cook, Rosemary Laing, Ricky Maynard, Tracey Moffatt, Polixeni Papapetrou, Trent Parke, Patrick Pound, Jacky Redgate, James Tylor et Justine Varga.
Museum of Photographic Arts, 1649 El Prado, San Diego, CA 92101.
À Carcassonne, dans le cadre du Festival (2-31 juillet 2019, la tournée d’adieu de Joan Baez (2018-2019), après quinze soirées à l’Olympia à Paris, continue à se faire à guichets fermés.
On pensera aux happy few du Théâtre Jérôme-Deschamps, ce soir, à 21h30.
À Odessa, il n’y a pas seulement un escalier majestueux et historique, il y a le Festival international du film (OIFF), 10e édition (12-21 juillet 2019).
Avec trois compétitions principales, internationale (12 longs métrages), nationale de films ukrainiens (13 courts métrages, 5 longs métrages) et documentaires européens (8 films), des rétrospectives, des master classes, un marché du film, et un red carpet réputé comme le plus long d’Europe.
Hier soir, a eu lieu la cérémonie d’ouverture avec La Belle Époque de Nicolas Bedos (2019).
Ce soir, sur les marches de l’escalier Potemkine, restauré en 2016 :
* The Cossacks de George W. Hill & Clarence Brown (1928).
Business Center "Olimpiyskiy" 72, Velyka Vasylkivska st., 9th floor, office 1, Kyiv, Ukraine, 03150.
À Amsterdam, depuis la semaine dernière, le Rijksmuseum a commencé l’Opération Night Watch, pour restaurer, et préserver sur le long terme, le tableau de Rembrandt, La Ronde de nuit, la dernière restauration datant de 1947.
On peut suivre en ligne les travaux de 2019.
On doit revoir le film somptueux de Greenaway.
* La Ronde de nuit (Nightwatching) de Peter Greenaway (2008).
En DVD.
Rijksmuseum, Museumstraat 1, 1071 XX Amsterdam.
À Paris, on va danser avec les Amis du Diplo, la LDH, ATTAC 12, la Commune Libre d’Aligre, et d’autres camarades venus de toutes parts, au Bal du souvenir et des libertés, 2e édition, en hommage aux victimes de la répression du 14 juillet 1953.
Avec notamment Catherine Barrati-Elbaz, Nicolas Bonnet, Jean-Luc Deryckx, Sadek Hadjeres, Daniel Kupferstein, Gilles Manceron, Nadjid Sidi Moussa, Rosa Moussaoui.
* À 18h30, place de l’ile de la Réunion : Dépôt de gerbes et hommages.
* À 19h30, place de la Nation : Repas citoyen et rencontre. Projection d’un extrait du film Les Balles du 14 juillet de Daniel Kupferstein (2014).
* À 22h00, autour du kiosque face au lycée Arago : Bal avec toutes les musiques et toutes les danses.
Bonne lecture :
* Daniel Kupferstein, Les Balles du 14 juillet 1953. Le massacre policier oublié de nationalistes algériens à Paris, préface de Didier Daeninckx, Paris, La Découverte, 2014.
Place de la Nation, 75012 Paris.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 13 au 19 juillet 2019.
À Londres, c’est le British Summer Time 2019 (BST, 5-13 juillet 2019).
Et ce soir, à Hyde Park, malgré la mauvaise humeur de Neil Young :
* À 18h00 : Neil Young + Promise of the Real.
* À 20h30 : Bob Dylan and his Band.
En première partie, à partir de 14h00 : Sam Fender, Cat Power et Laura Marling.
Inutile d’épiloguer ni d’augurer, le concert ne peut que devenir légendaire.
Et si on n’a pas trouvé de place à Hyde Park, il faudra monter vers le Nord, à Kilkenny en Irlande, au Nowlan Park, dimanche 14 juillet 2019. Cela dit, les billets ont été mis en vente en décembre 2018, alors...
Toutes les recommandations sur le temps et les fringues adaptées au plein air, et sur les trucs prohibés (genre substances ilégales, canettes, armes par destination, mâts de drapeau, skateboards, caméras professionnelles, et grosses valises).
Hyde Park, Bayswater, London, United Kingdom W2 2UH
À New York, Metrographcélèbre un documentariste sarcastique et influent, grand connaisseur de la culture américaine : Secret Histories : The Films of Kevin Rafferty & Friends (12-14 juillet 2019).
Kevin Rafferty, né en 1948, s’est fait connaître par Atomic Cafe, Prix Flaherty 1983 de la British Academy of Film and Television Arts, salué comme l’un des meilleurs films de la guerre froide de tous les temps, qui passe demain.
Il a aussi appris le métier à Michael Moore (pour son Roger & Me, 1989).
Aujourd’hui :
* À 18h30 : Blood in the Face de Anne Bohlen, Kevin Rafferty & James Ridgway (1991).
* À 20h30 : Feed de Kevin Rafferty & James Ridgway (1992).
Metrograph, No.7 Ludlow Street, New York NY 10002.
À New York, au Metrograph : Pier Paolo Pasolini : A Future Life Part 2 (5-25 juillet 2019).
Grand classique et méconnu, incompris, haï, torturé et assassiné, Pasolini (1922-1975) revient sur le devant de la scène, hors de son contexte originel.
Et dans œuvre (cinéma, théâtre, poèmes, écrits polémiques et politiques), on trouve de multiples pépites pour notre temps.
Aujourd’hui :
* À 16h30 : Porcile de Pier Paolo Pasolini (1969).
* À 19h00 : Œdipus Rex de Pier Paolo Pasolini (1967).
Metrograph, No.7 Ludlow Street, New York NY 10002.
À Nantes, le Château des Ducs de Bretagne accueille une exposition du Musée d’ethnographie de Genève (MEG), qui conserve l’une des plus importantes collections amazoniennes d’Europe : Amazonie. Le chamane et la pensée de la forêt (15 juin 2019-19 janvier 2020).
Les tristes tropiques de la forêt recèlent des secrets perdus.
Pas seulement des humains différents, des choses et des modes de vie autres.
Mais surtout des visions du monde qu’il nous faut non seulement observer et préserver (sans les contaminer), comme l’ont toujours fait les anthropologues, mais se réapproprier, comme le feraient les sages - s’il en existe encore sur la Terre.
Château des ducs de Bretagne, 4 place Marc-Elder, 44000 Nantes.
À Londres, à la Tate Modern, en collaboration avec le Musée Guggenheim de Bilbao : Olafur Eliasson In Real Life (11 juillet 2019-5 janvier 2020).
Dans le monde de Olafur Eliasson, il y a des reflets, des ombres, des brumes, des pluies fines, des soleils radieux, des arc-en-ciels, des couleurs, des glaces, toute une Nature dans laquelle on s’engouffre pour en prendre conscience.
Car les temps ont changé : il ne s’agit plus de la contempler, mais de participer à son sauvetage.
Tate Modern, Bankside, London SE1 9TG.
À New York, au New Museum : Mika Rottenberg : Easypieces (26 juin-15 septembre 2019).
Mika Rottenberg, née en 1976 à Buenos Aires, vit et travaille à Brooklyn. Avec ses installations, elle dénonce l’absurdité du capitalisme, qu’elle appelle "Social Surrealism".
On l’avait découverte, dès 2009, à la Maison rouge à Paris.
On l’avait suivie, notamment, à la Biennale de Venise 2015, au MET la même année, au Palais de Tokyo à Paris en 2016, et au Mambo de Bologne au début de l’année 2019.
* Cosmic Generator de Mika Rottenberg (2017).
Au New Museum, une nouvelle installation vidéo, en avant-première : Spaghetti Blockchain (2019).
New Museum, 235 Bowery, New York, NY 10002.
À Paris, au CNAM, une rétrospective inédite du chef-d’œuvre dessiné de Edgar P. Jacobs : Scientifiction. Blake et Mortimer (26 juin 2019-5 janvier 2020).
Musée des arts et métiers, 60 rue Réaumur, 75003 Paris.
À Metz, au Centre Pompidou-Metz : Rebecca Horn. Théâtre des métamorphoses (8 juin 2019-13 janvier 2020), et à Bâle, au Musée Tinguely : Rebecca Horn. Körperphantasien (5 juin-22 septembre 2019).
* Théâtre des métamorphoses à Metz.
* Fantasmagories corporelles à Bâle.
Centre Pompidou-Metz, 1 parvis des Droits-de-l’Homme, 57000 Metz.
Musée Tinguely, Paul Sacher-Anlage 2, 4002 Bâle.
Les sorties sur les grands écrans
* L’Ospite (The Guest) de Duccio Chiarini (2016).
* Vita & Virginia de Chanya Button (2018).
* Joel, une enfance en Patagonie (Joel) de Carlos Sorín (2018).
* Face à la nuit (Xing Fu Cheng Shi - Cities of Last Things) de Wi-ding Ho (2018).
* Inna de Yard - The Soul of Jamaica de Peter Webber (2018).
Les ressorties en versions restaurées
* Deux ou trois choses que je sais d’elle de Jean-Luc Godard (1967).
Et une cure de Charlie Chaplin en 11 films :
* Charlot s’amuse (1915-1917) : Charlot au music-hall (A Night in the Show, 1915) ; Charlot et le comte (The Count, 1916) ; Charlot fait une cure (The Cure, 1917).
* Le Kid (The Kid, 1921).
* L’Opinion publique (A Woman of Paris : A Drama of Fate, 1923).
* La Ruée vers l’or (The Gold Rush, 1925).
* Le Cirque (The Circus,) 1928).
* Les Lumières de la ville (City Lights, 1931).
* Les Temps modernes (Modern Times, 1936).
* Le Dictateur (The Great Dictator, 1940).
* Monsieur Verdoux (1947).
* Les Feux de la rampe (Limelight, 1952).
* Un roi à New York (A King in New York, 1957).
À Marseille, commence le FID 2019, 30e édition (9-15 juillet 2019).
Ce soir, cérémonie d’ouverture, à 21h30, au Théâtre Silvain, en entrée libre :
* Remise du Grand Prix d’honneur du festival à Sharon Lockhart et à Bertrand Bonello
* Le Miracle du saint inconnu de Alaa Eddine Aljem (2019).
En sa présence.
FID Marseille, 14 allée Léon-Gambetta, 13001 Marseille.
À Paris, pour terminer en beauté la saison et le programme L’Homme et la mer,
on passe l’après-midi et la soirée à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé (réouverture le mercredi 28 août 2019).
* À 14h00 : Léonce aux bains de mer de Léonce Perret (1913) ; Morgane la sirène de Léonce Perret (1927).
* À 16h00 : The Black Pirate (Le Pirate noir) de Albert Parker (1926).
Et ce soir, Lancement d’un nouveau rendez-vous, en collaboration avec Revus & Corrigés : La Cinémathèque Pathé. Un mardi par mois, on redécouvrira les grands classiques restaurés du catalogue Pathé, des origines jusqu’à la fin des années 60.
* À 19h00 : Verre d’accueil dans le jardin et rencontre avec l’équipe de Revus & Corrigés.
* À 19h30 : La Fête à Henriette de Julien Duvivier (1952).
Version restaurée en 4K sous la supervision de Pathé au laboratoire l’Immagine Ritrovata, à la Cinémathèque de Bologne.
Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, 75013 Paris.
À Paris, à L’Archipel, c’est la dernière séance de la saison du cycle Futur antérieur (en lien avec le travail d’édition de Re:Voir).
Ce soir, à 20h00 :
* La Cicatrice intérieure de Philippe Garrel (1972).
https://vimeo.com/342987324
La Cicatrice intérieure - Philippe Garrel from Re:Voir Video on Vimeo.
* Positano de Pierre Clémenti (1969).
Présentation par Fabien Boully et Balthazar Clémenti.
Cinéma l’Archipel, 17 boulevard de Strasbourg, 75010 Paris.
À Villeneuve d’Asq, au LaM : Les Muses insoumises. Delphine Seyrig entre cinéma et vidéo féministe (5 juillet-22 septembre 2019).
En coproduction avec le Musée Reina Sofia de Madrid et en collaboration avec le Centre audiovisuel Simone-de-Beauvoir, à Paris, avec pour commissaires, Nataša Petrešin-Bachelez et Giovanna Zapperi.
Tout le monde connaît Delphine Seyrig (1932-1990), l’actrice.
Toutes les féministes et tous les cinéphiles connaissent aussi Carole Roussopoulos (1945-2009), et le Centre Simone-de-Beauvoir, qu’elles ont fondé en 1982 avec Iona Wieder.
Tout le monde n’est pas "féministe" (tout le monde devrait), tout le monde n’est pas cinéphile, mais tout le monde, un jour, pourrait devenir vidéaste. Il ne faut pas rater cette exposition.
* Delphine et Carole, insoumuses de Callisto Mc Nulty (2018).
Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut, 1 allée du Musée, 59650 Villeneuve d’Ascq.
À Paris, au Musée de l’homme, le Comité du film ethnographique Jean-Rouch propose son dernier rendez-vous mensuel de la saison de Ciné-débat Homme et environnement (entrée libre).
* À 18h00 : Pékin assiégé par les ordures (Beijing Besieged by Waste) de Wang Jiuliang (2011).
Comité du film ethnographique, Musée de l’Homme, 17 place Trocadéro, 75016 Paris.
À Avignon, une exposition collective de SOS Méditerranée, en entrée libre :
Sauver, protéger, témoigner (8-19 juillet 2019).
Avec près de 20 000 morts depuis 2014, la Méditerranée est devenue la route migratoire la plus dangereuse au monde, l’axe Libye-Italie étant le plus meurtrier.
Aux côté des marins-sauveteurs et des rescapés recueillis à bord, les photographes embarqués témoignent : Patrick Bar, Narciso Contreras, Susanne Friedel, Anthony Jean, Hara Kaminara, Karpov Karpov, Yann Levy, Kevin McElvaney, Sinawi Medine, Fabian Mondl, Isabelle Serro, Laurin Schmid, Maud Veith.
Aujourd’hui :
* À 12h30 : Inauguration de l’exposition,
En présence de Olivier Py et Paul Rondin, des équipes de SOS Méditerranée, de photographes et des membres du comité de soutien : Charles Berling, Patrick Boucheron, Laurent Gaudé...
On note tout de suite le programme du week-end : Pour une République de l’hospitalité.
* Samedi 13 juillet 2019, à 14h00 : Un temps pour changer de regard.
Table ronde en présence notamment de la photographe Maud Veith.
* Dimanche 14 juillet 2019, à 11h00 : Un temps pour parler de fraternité.
Table ronde en présence notamment de Sophie Beau, et d’un marin sauveteur.
Ateliers de la pensée, 33 rue Louis-Pasteur, 84 000 Avignon.
À Londres, à la Tate Modern : Takis (3 juillet-27 octobre 2019).
Le Grec Takis, né en 1925, un des grands maître de l’art cinétique, s’est installé à Paris, dès les années 50.
Tate Modern, Bankside, London SE1 9TG.
À Biot, dans le délicieux Musée Fernand-Léger : Vis-à-vis. Fernand Léger et ses ami.e.s, 3e volet (1er juin-2 septembre 2019).
Fernand Léger a toujours semblé légèrement marginal par rapport aux grands courants de son temps. Il avait, en fait, non seulement des contemporains, mais aussi de nombreux amis.
Cette exposition 2019 est le troisième volet d’une trilogie (2017-2019), projet du musée en partenariat avec la Réunion des musées nationaux-Grand Palais, qui trouve cette année son accomplissement.
Bonne lecture :
* Vis-à-vis. Fernand Léger et ses ami.e.s, catalogue des trois manifestations de 2017, 2018 et 2019, Éditions RMN-Grand palais-Flammarion, 2019.
Musée national Fernand-Léger, Chemin du Val de Pôme, 06410 Biot.
À Martigny, à la Fondation Pierre-Gianadda, on confronte deux grands sculpteurs de l’époque moderne : Rodin-Giacometti (27 juin-24 novembre 2019).
Le Parisien Auguste Rodin (1840-1917) est un des plus grands sculpteurs du 19e siècle, le Suisse Alberto Giacometti (1901-1966) appartient au 20e siècle. Le Musée Rodin et la Fondation Giacometti en font une approche thématique mettant en valeur les points communs, à travers le temps.
Fondation Pierre-Gianadda, 59 rue du Forum, 1920 Martigny.
À Sainte-Livrade-sur-Lot, commencent les Rencontres cinématographiques en Lot-et-Garonne, Cap aux bords, organisées par la Ligue de l’Enseignement (6-12 juillet 2019).
C’est un festival d’école buissonnière qui alterne les séminaires et les projections, dont la spécialité est l’examen des films en cours de réalisation. Cette année, les chantiers de François Guerch, Karine de Villers et Yvan Petit seront présentés par Patrick Leboutte et Vincent Dieutre.
On note tout de suite une soirée Wang Bing, mercredi 10 juillet 2019 à 21h00, où il parlera de ses processus créatifs et présentera ses chantiers en cours.
Avec des invités formidables, très connus et populaires comme Wang Bing ou Claire Simon, ou bien connus par les grands cinéphiles, comme Rosine Mbakam, Camille Courcy, Vincent Dieutre, Jean-Denis Bonan, Guy Jungblut ou Mario Brenta.
Aujourd’hui :
* À 16h30 : Soleil Noir de Camille Courcy & Charles De Kochko (2019).
En leur présence.
Soleil Noir - Teaser #1 VOSTFR from Charles de Kochko on Vimeo.
* À 21h00 : Chez Jolie Coiffure de Rosine Mbakam (2018).
En sa présence, avec Loïc Villiot.
Cinéma L’Utopie, 3 rue de la Duchesse, 47110 Sainte-Livrade-sur-Lot.
À Marseille, à la Friche Belle de Mai, au Gyptis, le cinéma en plein air, c’est Belle et toile 2019, avec le thème Encore humain, vraiment humain, toujours humains ?
Les soirées des dimanches de juillet 2019, c’est gratuit, on ouvre le toit à 20h00, et les projections (un long métrage précédé de courts métrages) ont lieu à la tombée de la nuit.
Demain, dimanche 7 juillet 2019 :
* À la nuit : Discount de Louis-Julien Petit (2013).
Gyptis, 136 rue Loubon, 13003 Marseille.
À Nice, au Musée de la photographie, l’exposition d’un cinéaste polyvalent, qui, dans toutes ses œuvres, déchiffre et défriche inlassablement les secrets des images : Alain Fleischer. L’image qui revient (14 juin-29 septembre 2019).
Musée de la photographie Charles-Nègre, 1 place Pierre Gautier, 06300 Nice.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 6 au 12 juillet 2019.
À Toulouse, à la nuit, le Cinéma en plein air, 15e édition, s’installe dans la cour de la Cinémathèque, avec une braderie (5 juillet-24 août 2019).
Ce soir :
* À 22h30 : Les Lumières de la ville (City Lights) de Charles Chaplin (1931).
Présentation par Cécile Nougaro dans le cadre de l’Hommage à Claude Nougaro.
Cinémathèque, 69 rue du Taur, 31000 Toulouse.
À Strasbourg, le cinéma en plein air, c’est tous les vendredis, dans tous les parcs de la ville (5 juillet-30 août 2019).
Ce soir, parc de la Citadelle :
* À partir de 18h00 : Apéro mix-géopolitique.
* À la tombée de la nuit : Soleil vert (Soylent Green) de Richard Fleischer (1973).
Peut-être le film le plus contemporain de toute la SF, réalisé en 1973, dont l’action se passe en 2022, nous y sommes. Qu’il faut voir et revoir : il existe en DVD.
Parc de la Citadelle, 67000 Strasbourg.
À Avignon, hier a commencé le Festival 2019, 73e édition, le plus grand festival de théâtre du monde (4-23 juillet 2019).
Cette année 2019, un thème d’actualité : l’Odyssée.
Aujourd’hui, commence aussi le Festival Off dans 133 lieux différents (5-28 juillet 2019).
Avec trois expositions :
* Le sommeil n’est pas un lieu sûr. Miryam Haddad (Collection Lambert).
©Fabrice Gousset.
* Trouble-fête, collections curieuses et choses inquiètes. Macha Makeïeff (Maison Jean-Vilar).
©Macha Makeïeff.
* Ecce Homo. Ernest Pignon-Ernest (Grande Chapelle du Palais des papes, 29 juin 2019-29 février 2020).
Ce soir, Cour d’honneur :
* À 22h00 : Architecture, texte, mise en scène et installation de Pascal Rambert.
Avec Emmanuelle Béart, Audrey Bonnet, Anne Brochet, Marie-Sophie Ferdane, Arthur Nauzyciel, Stanislas Nordey, Denis Podalydès et Pascal Rénéric (en alternance), Laurent Poitrenaux, Jacques Weber, Bérénice Vanvincq.
Festival d’Avignon, Cloître Saint-Louis, 20 rue du Portail Boquier, 84000 Avignon.
À Aix-en-Provence, parc Saint-Mitre, les Rencontres déconnomiques 2019 : Dans quel monde voulons-nous vivre ? (5-7 juillet 2019).
C’est là que, en 2015, on a vu apparaître pour la première fois, en chair et en os et plus seulement en livre, Pablo Servigne.
Chaque année, elles s’ouvrent à des associations ou à des collectifs qui construisent une société plus juste. En 2016, les Déconnomistes ont invité Nuit debout, puis, en 2017, La Roue, monnaie complémentaire d’Aix-en-Provence.
Cette année 2019, c’est la Coordination permanente des médias libres qui est à l’honneur.
Le Parrain de l’édition 2019, c’est Didier Porte.
Aujourd’hui et demain, en avant-première :
* Travail, salaire, profit de Gérard Mordillat & Bertrand Rothé (2019).
En deux parties (Travail et emploi ; Capital et marché)
En leur présence.
Bonne lecture :
* Bertrand Rothé & Gérard Mordillat, Il n’y a pas d’alternative. Trente ans de propagande économique, Paris, Seuil, 2011.
Parc Saint-Mitre, avenue Jean-Monnet, 13090 Aix-en-Provence.
Théâtre du Bois de l’Aune, Jas de Bouffan, 1 bis place Victor-Scholcher, 13090 Aix-en-Provence.
À Marseille, à la Friche Belle de mai, les expos de l’été : L’été contemporain(29 juin-29 septembre 2019).
* 40 ans après. La photographie contemporaine au Cambodge.
* Suspension volontaire de la crédulité. Emmanuelle Lainé.
Le Monde diplomatique de juillet 2019 est paru.
On rejoint les Amis du Monde diplomatique.
Siné Mensuel n°88 de l’été 2019 est paru.
À Paris, commence le Festival du film merveilleux et imaginaire, 10e édition (4-6 juillet 2019).
Ce soir :
* À 20h00 : Programme 1.
Devotion de Philémon Salerno, Marc-André Perez, Agathe Le Marchand, Emeline Mateus, Flavien Garnier & Morgane Coville ; Bug de Cédric Prévost ; Aripi de Dmitri Voloshin ; Nouvelle Cuisine de Manuel Reyes Halaby ; Balance de Raymond Limantara Sutisna, Liao Zhibin & Tracy Quek Kai Ning ; Caldeira de Julie Bousquet, Estelle Hocquet & Catherine Manesse ; I’ve just had a dream (Acabo de tener un sueño) de Javi Navarro.
* À 21h30 : Programme 2.
Rise Pathfinder de Chloé Dumoulin, Clémentine Dudreuilh, Gabriel Sepulchre, Alexandre Fruitet & Mégane Nousse ; Jericho de Sarah Andrews ; Moon Drops de Yoram Ever-Hadani ; Souvenir de Jade de Wenpei Song, Dong Lanyibo & Camille de Landtsheer ; Chioma de Paul Dzioba ; Le Passage de Clément & Pierre Labarre.
Théâtre Douze, 6 avenue Maurice-Ravel, 75012 Paris.
À Bruxelles, la Cinematek ne ferme jamais. Les esseulés de l’été y trouvent toujours leur bonheur.
Ce soir :
* À 19h00 : Reminiscences of a Journey to Lithuania de Jonas Mekas (1972).
Et on se programme tout de suite la séance de dimanche 7 juillet 2019, salle Flagey :
* À 15h30 : Ang Hupa (The Halt) de Lav Diaz (2019).
Cinematek, 9 rue Baron Horta, 1000 Bruxelles.
À Manchester, commence l’International Festival (4-21 juillet 2019).
Focus sur David Lynch at Home.
Ce soir, big free opening event and good vibrations, avec un orchestre populaire de cloches :
* À 18h00 : Bells For Peace de Yoko Ono.
Et ça nous rappelle quelque chose.
Et aussi Janelle Monáe, Tree de Idris Elba & Kwame Kwei-Armah et Invisible Cities.
Manchester International Festival, Blackfriars House, Parsonage, Manchester M3 2JA.
À New York, au MET Fifth : Apollo Moon (3 juillet-22 septembre 2019).
Le 20 juillet 1969, un demi milliard de téléspectateurs du monde entier regardaient l’alunissage d’Apollo 11 et les premières images des astronautes américains.
Happy Few.
En 1969, la population mondiale était de 3, 7 milliards. Peu de gens avaient la télé.
50 ans plus tard, nous sommes environ 7,7 milliards de personnes dont environ 4 milliards branchés sur Internet.
Projection des Nations Unies : plus de 11 milliards en 2100.
Pour le branchement, c’est plus difficile de faire une projection, des fois que des hackers malveillants fassent sauter le système.
Ne pas épiloguer sur la prolifération des êtres humains en soi, le problème est évidemment la surpopulation de consommateurs et les inégalités entre eux.
Quoiqu’il en soit, ce fut un beau moment, ces premiers pas, et rétrospectivement, hautement symboliques des innovations techniques et de la nouvelle vision du vaste monde des Terriens. Peut-être est-ce ce jour-là qu’ils devinrent tous des frères de Prométhée.
Ici et maintenant, toutes les photographies, les dessins, les estampes, les peintures, les films, les instruments astronomiques et autres appareils photo volants sont au MET.
Metropolitan Museum of Art, 1000 5th Ave, New York, NY 10028.
Les Cinémas indépendants parisiens (CIP) présentent Avant-premières ! #4 (3-10 juillet 2019)
BANDE ANNONCE_AVP#4 from Cinémas Indépendants Parisiens on Vimeo.
Ce soir, ouverture au Grand Action :
* À 20h00 : Papicha de Mounia Meddour (2019).
Grand Action, 5 rue des Écoles, 75005 Paris.
À Paris, à la Cinémathèque, commence la Rétrospective Mario Bava (3-28 juillet 2019).
Ce soir :
* À 20h00 : Les Trois Visages de la peur (I Tre volti della paura) de Mario Bava (1963).
On note tout de suite deux rendez-vous :
* Vendredi 5 juillet 2019, à 19h00 : Mario Bava. L’image qui saigne.
Conférence de Jean-François Rauger.
Puis, à 21h30 : L’Île de l’épouvante (Cinque bambole per la luna d’agosto) de Mario Bava (1970).
* Samedi 6 juillet 2019, à 14h30 : Mario Bava, un cinéaste rouge profond.
Dialogue avec Gérald Duchaussoy et Romain Vandestichele.
Puis, à 17h00 : Six Femmes pour l’assassin (Sei donne per l’assassino) de Mario Bava (1964).
Bonne lecture :
* Gérald Duchaussoy & Romain Vandestichele, Mario Bava, le magicien des couleurs, Éditions Lobster films, 2019.
Cinémathèque française, 51 rue de Bercy, 75012 Paris.
À Paris, au Forum des images, l’Agence du court métrage donne carte blanche à la revue Bref qui propose une sélection de films présentés au Festival international d’animation d’Annecy 2019.
* À 20h30 : Symbiosis de Nadja Andrasev (2019) ; Bridge de Di Liu (2018) ; Dum Dum (De De Bom) de Benjamin & Robin Hall (2018) ; Tio Tomás - A contabilidade dos dias de Regina Pessoa (2018) ; Mascot de Dohyung Kim (2019) ; Girl in the Hallway de Valerie Barnhart (2018) ; Story de Jolanta Bankowska (2019) ; Movements de Dahee Jeong (2019) ; Mémorable de Bruno Collet (2019).
Présentation par Christophe Chauville.
En présence de Bruno Collet.
Forum des images, 2 rue du Cinéma, 75001 Paris.
Les sorties sur les grands écrans
* La Grand-messe de Méryl Fortunat-Rossi & Valéry Rosier (2018).
* Rojo de Benjamín Naishtat (2018).
* Haut les filles de François Armanet (2018).
* So Long, My Son de Wang Xiaoshuai (2019).
* Yesterday de Danny Boyle (2019).
* Dario Argento. Soupirs dans un corridor lointain de Jean-Baptiste Thoret (2019).
Les ressorties en versions restaurées
* Cendres et Diamant (Popiół i diament) de Andrzej Wajda (1958).
* Trois films de Mario Bava : La Ruée des Vikings (Gli invasori, 1961) ; Les Trois Visages de la peur (I tre volti della paura, 1963) ; Six Femmes pour l’assassin (Sei donne per l’assassino, 1964).
* Deux films de Dario Argento : Quatre mouches de velours gris (Quattro mosche di velluto grigio, 1971) ; Ténèbres (Tenebrae, 1982).
* Les six premiers films de Jim Jarmusch (1980-1995) : Permanent Vacation (1980) ; Stranger Than Paradise (1984) ; Down By Law (1986) ; Mystery Train (1989) ; Night On Earth (1991) ; Dead Man (1995).
À Grenoble, à la Cinémathèque, commence le Festival du Film court en Plein air 2019, 42e édition (2-6 juillet 2019).
Il est né en 1978, c’est le plus ancien rendez-vous du film court en France.
Aujourd’hui, on peut découvrir :
* À 14h30 et à 17h00, au Cinéma Juliet-Berto : Alice Guy et les pionnières du cinéma.
Deux stages d’analyse de films animés par Béatrice de Pastre.
* À 14h00, à la Cinémathèque : La table de Mash up.
Atelier animé par Alice Blanc.
Ce soir, cérémonie d’ouverture en entrée libre, en deux parties :
* À 20h00, Programme 1, au cinéma Juliet-Berto : Pierre Rouge de Gabriel Buret (2018) ; Girl in the Hallway de Valérie Barnhart (2018) ; Carlito part pour toujours de Quentin Lazzarotto (2018) ; A Kiss de Nima Mohaghegh (2018) ; Le Roi des Démons du vent de Clémence Poésy (2018).
* À 22h00, Programme 2, place Saint-André : Five Minutes to Sea de Natalia Mirzoyan (2018) ; Le Chant d’Ahmed de Foued Mansour (2018) ; Per Aspera Ad Astra de Franck Dion (2019) ; Je vais là-bas aussi de Antoine Cuevas (2019) ; A Priori sauvage de Romain André (2018) ; Fatiya de Marion Desseigne Ravel (2018).
Cinémathèque de Grenoble, 4 rue Hector-Berlioz, 38000 Grenoble.
Cinéma Juliet-Berto, Passage de l’Ancien Palais de Justice, 38000 Grenoble.
À Marseille, à Vidéodrome 2 : Cadre clinique pour plaies sociales. Un cinéma autrichien (2-4 juillet 2019).
Ce soir :
* À 20h30 : Dog Days de Ulrich Seidl (2002).
Dog Days by Ulrich Seidl - Trailer from Coproduction Office on Vimeo.
Vidéodrome 2, 49 cours Julien, 13006 Marseille.
À Bruxelles, à la Cinematek, dans le cadre du cycle Anthologie du cinéma muet (4 juin-26 août 2019).
Ce soir :
* À 19h00 : La donna nuda de Carmine Gallone (1914).
Cinematek, 9 rue Baron-Horta, 1000 Bruxelles.
À Paris, le Collège d’études mondiales, organise, avec Bernard Stiegler, un séminaire à la Maison Suger : Disruption, destruction massive et organisation d’une "internation" au sens de Marcel Mauss (2-3 juillet 2019).
Il s’agit d’un avant-goût de l’automne : un colloque en décembre 2019 et, au Centre Pompidou, Cosmopolis #2 (23 octobre-23 décembre 2019).
Au delà de ce titre hyper savant - sous-titre : De la guerre économique globale à la guerre nucléaire totale ? - on constate que ce ne sont pas seulement les activistes en sit in pacifique (si radicaux qu’il faut les gazer, les lacrimo en plein dans la gueule ouverte) qui se préoccupent d’un avenir de moins en moins radieux, mais aussi les scientifiques et les artistes. Et cela depuis, longtemps.
Ces travaux se font autour de trois pensées fondatrices et de deux intuitions de grands précurseurs :
* le Rapport Meadows au Club de Rome [Donatella Meadows (1941-2001) ; Denis Meadows (né en 1942) ; Jørgen Randers (né en 1945) ; William W. Behrens III (né en 1940)] ;
* L’œuvre de l’historien Arnold J. Toynbee (1889-1975).
* L’œuvre de l’économiste Nicholas Georgescu-Rœgen (1906-1994).
* Le chimiste Vladimir Vernadski (1863-1945).
* Le mathématicien Alfred Lotka (1880-1949).
Bonnes lectures :
* Donella Meadows, Dennis Meadows, Jørgen Randers & William W. Behrens III, The Limits to Growth, Universe books, 1972. Halte à la croissance ?, préface de Robert Lattès, présentation du Club de Rome par Janine Delaunay, Paris, Fayard, 1972.
Lire en ligne.
* Arnold J. Toynbee, Mankind and Mother Earth : A Narrative History of the World, 1st Edition, Oxford University Press, 1976. Arnold J. Toynbee, La Grande Aventure de l’humanité, traduction de Guy Bunnens, Gérard Colson & Paul Kinnet, Paris, Payot, 1994.
Dans le Monde diplomatique (avril 1978).
* Nicholas Georgescu-Rœgen, The Entropy Law and the Economic Process, Harvard University Press, 1971. Nicholas Georgescu-Rœgen, Demain la Décroissance - Entropie - Écologie - Économie, présentation et traduction par Jacques Grinevald & Ivo Rens, Éditions Sang de la terre, 1979.
Lire en ligne.
* Alfred Lotka, "The law of evolution as a maximal principle" in Human Biology, vol. 17, no. 3, 1945, pp. 167–194, 1945.
* Wladimir Vernadski, Biosfera, Leningrad, Nauchno-techn. Izd., 1926 ; Rééd. : Moscou, 1967 ; Biosfera i Noosfera, Moscou, Airic Press, 2003. Wladimir Vernadski, La Biosphère, 2e édition revue et augmentée, Paris, Librairie Félix Alcan, 1929 ; Rééd. avec une préface de Jean-Paul Deléage, Paris, Seuil, 2002.
Cf. aussi notre bibliographie.
Maison des sciences de l’Homme, 54 boulevard Raspail, 75006 Paris.
Maison Suger, 16-18 rue Suger, 75006 Paris.