2019 : Journal de Ellis & Neck
* Ellis & Neck-édito 2019 ; * 1er-15 janvier 2019 ; * 16-31 janvier 2019 ; * 1er-15 février 2019 ; * 16-28 février 2019 ; * 1er-15 mars 2019 ; * 16-30 mars 2019 ; * 6-15 avril 2019 ; * 16-30 avril 2019 ; * 1er-15 mai 2019 ; * 16-31 mai 2019 ; * 1er-15 juin 2019 ; * 17-29 juin 2019 ; * 2-15 juillet 2019 ; * 16-31 juillet 2019 ; * 1er-15 août 2019 ; * 16-31 août 2019 ; * 2-15 septembre 2019 ; * 16-30 septembre 2019 ; * 1er-15 octobre 2019 ; * 16-31 octobre 2019 ; * 1er-15 novembre 2019 ; * 16-30 novembre 2019 ; * 2-15 décembre 2019 ; * 16-31 décembre 2019
(16-28 février 2019)
À Paris, à Beaubourg, à la cinémathèque de la Bpi
avec Images documentaires, on (re)découvre le cinéma poétique de Artavazd Péléchian.
Ce soir, à 20h00, avec Étienne Caire :
* Artavazd Péléchian, le cinéaste est un cosmonaute de Vincent Sorrel (2018).
* Nous (Menq) de Artavazd Péléchian (1969).
C’est l’occasion de rappeler que, à la BPI, tous les vendredis, à midi, le ciné c’est gratuit : Les yeux doc à midi.
Demain, vendredi 1er mars 2019 :
* À 12h00 : La Balade d’Oppenheimer Park (La Balada del Oppenheimer Park) de Juan Manuel Sepulveda (2016).
Centre Pompidou, Niveau -1, Cinéma 2, entrée principale, rue Saint-Martin (Piazza), 75004 Paris.
À New York, au Lincoln Center, on a rendez-vous avec le Cinéma français, 24e édition (28 février-10 mars 2019).
Les Américains balayent pas trop mal la production récente, rien à dire.
Sans omettre, naturellement, François Truffaut, qualité française oblige (le 2 mars 2019 à 13h00).
Ce soir, Opening Night :
* À 18h30 : The Trouble with You (En liberté) de Pierre Salvadori (2018).
Présentation par Pierre Salvadori et Pio Marmaï.
Lincoln Center, 10 Lincoln Center Plaza, New York, NY 10023.
À Bruxelles, à la Galerie Templon le Jean-Michel Alberola nouveau est arrivé : Exposition de groupe (28 février-17 avril 2019).
Depuis près de 40 ans, il "figure libre" un monde morcelé, naviguant d’île en île, muni de références, de lumières, de peintures, reconstituant, au moins, un archipel, à défaut d’une utopique unité.
Galerie Templon, 13 Veydtstraat, 1060 Brussels.
À Madrid, a commencé hier, la Feria internacional de Arte contemporáneo, 38e édition (ARCO), l’équivalent, pour le monde hispanique, de la FIAC, à Paris (27 février-3 mars 2019).
Cette année, invité d’honneur, le Pérou.
ARCOmadrid, Feria de Madrid, Av. Del Partenón, 5, 28042 Madrid.
À Lyon, commence le Festival Sport, littérature et cinéma, 6e édition (27 février-2 mars 2019).
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Hommage à Ada Hegerberg, Première lauréate du Ballon d’or féminin, en sa présence.
* À 20h00 : L’Enfer du dimanche (Any Given Sunday) de Oliver Stone (2000).
Discussion : La figure de l’entraineur, en présence de Gérard Houllier et Pierre Mignoni.
On note tout de suite, demain, jeudi 28 février 2019, le colloque Le ballon et la plume. Dire, raconter, commenter le football, organisé par Plumes et crampons (28 février-1er mars 2019).
Institut Lumière, 25 rue du Premier-Film, 69008 Lyon.
À Lyon encore, au Théâtre Kantor, une soirée cinéma organisée par ENS éditions : Carte blanche à Jean-Louis Comolli, à 19h00 en entrée libre.
* Les Fantômes de Mai 68 de Jean-Louis Comolli, Jacques Kebadian & Ginette Lavigne (2018), à partir des images de Jacques Kebadian & Michel Andrieu (1968).
* Soleil cou coupé de André S. Labarthe (2007).
Bonne lecture :
* Jean-Louis Comolli, Cinéma, numérique, survie. L’Art du temps, ENS Éditions, 2019.
Disponible en version numérique.
ENS de Lyon, 15 parvis René Descartes, 69007 Lyon.
À Paris, à la Cinémathèque : Rétrospective Erich von Stroheim (27 février-10 mars 2019).
Ce soir, ciné-concert avec le groupe Sheep Got Waxed, en partenariat avec l’Institut culturel lituanien.
* À 20h00 : Folies de femmes (Foolish Wives) de Erich von Stroheim (1921).
Cinémathèque française, 51 rue de Bercy, 75012 Paris.
À Paris toujours, à la Librairie du Panthéon, on redécouvre Léon Moussinac (1890-1964).
Ce soir :
* À 18h30 : Rencontre avec Patrick Cazals & Jean-Louis Lods.
Bonne lecture et bonne vision :
* Léon Moussinac, Journal des 60 ans (19 janvier 1950-19 janvier 1951), notes de Patrick Cazals, archives de Jean-Louis Lods, + Léon Moussinac, l’héritage de Spartacus, film de Patrick Cazals, livre + film, Éditions de l’EnsAD, 2019.
Bonne documentation :
* La Belle Équipe.
"Le cinéma sera populaire ou ne sera pas" (L’Humanité, 1926).
Librairie du Panthéon, 15 rue Victor-Cousin, 75005 Paris.
À Marseille, Vidéodrome 2 fête les 10 ans de son Festival La 1ère Fois (27 février-2 mars 2019).
Bande annonce Festival La Première Fois 2019 from La 1ère Fois on Vimeo.
Ce soir, à 21h00, en présence des réalisateurs :
* La Bonne Education de Yu Gu (2017).
Suivi de :
* Jess, Vent de Face de Sophie Glandier (2018).
Videodrome 2, 49 cours Julien, 13006 Marseille.
Les sorties sur les grands écrans
* Wardi de Mats Grorud (2017).
* Casting de Nicolas Wackerbarth (2017).
* Nice Girls Don’t Stay for Breakfast de Bruce Weber (2017).
* Les Éternels (Ash Is Purest White / Jānghú érnu) de Jia Zhangke (2018).
* Santiago, Italia de Nanni Moretti (2018).
* Sang froid (Cold Pursuit) de Hans Petter Moland (2019).
Les ressorties en versions restaurées
* Les Amants du Capricorne (Under Capricorn) de Alfred Hitchcock (1949).
* Le Réveil du dimanche (Kyriakátiko xýpnima) de Michael Cacoyannis (1953).
* La Fille en noir (To Koritsi me ta mavra) de Michael Cacoyannis (1956).
* Fin de crédit (To telefteo psemma) de Michael Cacoyannis (1958).
* Mort à Venise (Morte a Venezia) de Luchino Visconti (1971).
* WarGames de John Badham (1983).
À Rouen, et aussi à Dieppe, à Fécamp et au Havre, commence le festival À l’Est 2019, 14e édition (26 février-5 mars 2019).
Au début, le festival était dédié aux cinémas d’Europe centrale et orientale.
Et puis, comme on est toujours à l’Est de quelqu’un, sont venus s’ajouter au vivier, la Colombie, le Pérou et l’Argentine.
Ce soir, ouverture à l’Omnia République, suivi d’un cocktail à La Halle aux Toiles :
* À 20h30 : The Cellar (Sklep) de Igor Voloshin (2018).
En présence de Jean Marc Barr.
Association À l’Est, 22 rue Robert-Lehmann, 76130 Mont-Saint-Aignan.
À Paris, la Fondation Cartier-Bresson, depuis 2003, avait élu domicile dans un atelier d’artiste d’un de ces coins secrets du 14e arrondissement de Paris, à bonne distance du Montparnasse mondain, où les traces historiques mentales sont innombrables - Giacometti, Brassens, Henri Calet, Simone de Beauvoir, Walter Benjamin, les Russes en exil, Gorki, Lénine ou Trotski -, mais qui s’effacent progressivement des pierres de la ville.
On aimait cette impasse Lebouis, discrète, pour initiés.
En novembre 2018, après 15 ans, le succès ayant rendu l’accès trop rude et l’espace trop étroit, la Fondation HCB a déménagé dans un autre village de Paris plus central, le Marais, inaugurant ses nouveaux locaux, avec un Hommage à Martine Franck (1938-2012), qui vient juste de se terminer (6 novembre 2018-10 février 2019).
Les nouvelles expositions commencent aujourd’hui : Guy Tillim dans les grandes capitales africaines décolonisées et Cartier-Bresson dans la France des années 30.
* Guy Tillim. Museum of the Revolution (Prix HCB 2017).
* Henri Cartier-Bresson. En France (1926-1938) (26 février-2 juin 2019).
Fondation Henri Cartier-Bresson, 79 rue des Archives, 75003 Paris.
La frontière entre le droit politique et le droit commun, ou entre la justice de la loi et celle de la morale est incertaine et variable, le plus souvent manipulée par le pouvoir en place, quel et où qu’il soit.
Elle peut aussi être floue dans l’esprit même du "malfaiteur", certain d’être hors la loi parce que privé des outils intellectuels révolutionnaires qui libèrerait sa conscience.
À Jeune Cinéma, on a toujours eu un faible, comme tout le monde, pour Robin des bois. Mais aussi pour Arsène Lupin, Jean Valjean, Cartouche, Lacenaire, Olivier Twist, et quelques autres, d’une façon générale pour les pirates plus que pur les corsaires.
Tout autant que pour les polars, qui, depuis Dashiell Hammett, ont cessé de reprendre à leur compte la distinction dominante entre le bien et le mal.
Bonne lecture :
* Eric J. Hobsbawm, Les Bandits, 4e édition revue et augmentée par l’auteur, traduit par Jean- Pierre Rospars & Nicolas Guilhot de Bandits, Weidenfield & Nicolson Ltd, London. 2000 (1ère ed. 1969), Paris, Zones, 2008.
Deux vives recommandations :
* Criminocorpus, la plate forme scientifique du CNRS consacrée à l’histoire des crimes et des justices, propose un musée et une revue.
En accès libre
Dans sa bibliothèque, Criminocorpus vient de commencer une collection Cine-club.
* L’Observatoire international des prisons (OIP), section française.
Il édite une revue trimestrielle, Dedans Dehors.
Le dernier numéro - n°102 - est paru en décembre 2018.
On peut le feuilleter.
Le prochain numéro ne devrait pas tarder.
À Paris, c’est la séance hebdomadaire du ciné-club de l’ENS,
* À 20h30 : Céline et Julie vont en bateau de Jacques Rivette (1974).
Ciné-club de l’ENS, salle Dussane, 45 rue d’Ulm, 75005 Paris.
À Quimper, ça bouge pas mal au Musée des Beaux-Arts.
De l’École de Pont-Aven à Doisneau, des expos temporaires, des accrochages, des prêts, des dépôts, des nouvelles acquisitions, des événements, une intense circulation de beautés.
On zoome spécialement sur :
* Un Frisson surréaliste (9 février-20 mai 2019).
Avec une tendresse particulière pour le sublime Tanguy des débuts (don de Catherine Prévert en 2017).
Et on se réjouit de l’apparition, au détour d’un clic, de La porte de Demeter de Ernest Pignon-Ernest, dont on ne se lasse pas.
Bonne lecture adjacente :
* Gérard Mordillat, Pignon-Ernest. Prisons, Galerie Lelong, Paris, 2014.
Musée des beaux-arts, 40 place Saint-Corentin, 29000 Quimper.
À Paris, à Beaubourg, a ouvert le laboratoire annuel de la création et de l’innovation Mutations / Créations, 3e édition : La Fabrique du vivant (20 février-15 avril 2019).
Transgression du présent, détournement de l’intelligible, prospection aventureuse, une archéologie du vivant et de l’artificiel et toutes ces sortes de choses à découvrir.
Bonne lecture :
* Marie-Ange Brayer & d’Olivier Zeitoun, éds., La Fabrique du vivant, Orléans, Éditions HYX, en coédition avec le Centre Pompidou, 2019.
Centre Pompidou, Galerie 4, place Georges Pompidou, 75004 Paris.
Stanley Donen (1924-2019) est mort, jeudi 21 février 2019, à New York.
La dernière fois qu’on l’a vu, à Bologne, c’était le 28 juin 2010, il était en bonne forme et il avait tenu la Piazza Maggiore sous son charme, aux côtés de Gianluca Farinelli et de Peter von Bagh.
C’était avant la projection de... devinez quoi.
Cf. Stanley Donen, les débuts.
À Ouagadougou, c’est hier qu’a commencé le Festival panafricain du cinéma et de la télévision 2019 (FESPACO), 26e édition (23 février-2 mars 2019)
Cette année, le plus grand festival africain de cinéma, né en 1969 et biennal, en est à sa 26e éditon, mais fête son cinquantenaire, avec pour thème Mémoire et avenir des cinémas africains, avec, comme invité d’honneur, le Rwanda, et un hommage à Myriam Makeba.
La cérémonie d’ouverture a eu lieu hier, en grande pompe à partir de 14h00, en entrée libre, au stade Issoufou-Joseph-Conombo.
Pour Jeune Cinéma, depuis 2007, le festival était suivi par Pierre Beneyton (1956-2018), qui nous a quittés brutalement le 1er août 2018 et qui nous manque.
Les trois dernières éditions du Fespaco sont en ligne.
FESPACO, 01 BP 2505 Ouagadougou 01, Burkina Faso.
À New York, c’est le dimanche que le MoMA inaugure ses expositions.
Aujourd’hui, Joan Miró. Birth of the World (24 février-15 juin 2019).
Une soixantaine de peintures, travaux sur papier, gravures, livres illustrés et objets, réalisés entre 1920, l’année où il quitte sa Barcelone natale pour Paris jusqu’au début des années 1950.
À Paris, une toute petite ville, il aura rencontré, tout le monde Jean Dubuffet, André Masson, Max Jacob, Antonin Artaud, Michel Leiris, Armand Salacrou, Pierre Reverdy, Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault...
Et aussi, ceux de la rue du Château, Yves Tanguy, Marcel Duhamel, Jacques Prévert.
The Museum of Modern Art, 11 West 53 Street, New York, NY 10019.
À Baltimore, au BMA : Monsters & Myths : Surrealism and War in the 1930s and 1940s (24 février-26 mai 2019).
Les monstres de la réalité du dehors - la guerre, la violence, l’exil - à travers 90 chefs d’œuvre surréalistes des années 1930 et 1940 de Salvador Dalí, Pablo Picasso, Max Ernst, ou André Masson.
On en profite pour découvrir également les installations et les films de deux artistes suédois vivant à Berlin, nés tous deux en 1978, qui vont à la rencontre d’autres monstres, ceux du dedans qui peuplent les arrière-mondes des esprits : Nathalie Djurberg & Hans Berg. Delights of an Undirected Mind (22 février-26 mai 2019).
The Baltimore Museum of Art, 10 Art Museum Drive, Baltimore, MD 21218-3898.
À Venise, c’est aujourd’hui que commence le Carnaval 2019 (23 février-5 mars 2019).
Cette année, le sujet, "c’est la faute la Lune".
Cinquante ans après Neil Armstrong, elle a bon dos la Lune.
Le printemps est très anormalement précoce (hormis l’année 1976 dans le Nord européen). Venise est en première ligne des fragilités, ce carnaval pourrait bien être une des dernières grandes frivolités de notre civilisation.
Dodo l’espiègle nous le vend sentimental.
Programme du Carnaval de Venise 2019.
À Paris, les vacances scolaires commencent et la Fondation Seydoux invite les familles à enfants : Chaplin’s Comedies (23 février-12 mars 2019).
Mais il ne faut jamais oublier que le rire de Chaplin, ça marche à tous les âges, qu’il arrive, sans crier gare, comme une pulsion, même quand on a vu le film 20 fois et qu’il n’y a pas meilleur à la santé, à part Keaton sans doute.
Aujourd’hui, à 14h00 : Chaplin’s Comedies I :
* Mabel au volant (Mabel at the Wheel) de Mack Sennett (1914).
* Charlot garçon de théâtre (The Property Man) de Charles Chaplin (1914).
Puis à 16h00 : Chaplin’s Comedies II :
* Charlot émigrant (The Immigrant) de Charles Chaplin (1917).
* Charlot policeman (Easy Street) de Charles Chaplin (1917).
Fondation Jérôme-Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, 75013 Paris.
À Paris, à la Film Gallery, en collaboration avec la galerie The Window, on célèbre la vie de Jonas Mekas (1922-2019) : Keep Singing (23 février-23 mars 2019).
* À 19h00 : Vernissage.
Avec des projections de ses films, de quoi boire et du pain lituanien, et les œuvres de ses amis, Rosa Barba, Pip Chodorov, Wei Gao, Jean-Jacques Lebel, Marie Losier, George Maciunas, Fox Magal, Yoko Ono, Julius Ziz, Ben Vautier.
Au programme de la semaine prochaine :
* Lundi 25 février 2019, à 15h00 : Lost Lost Lost (1976).
* Mardi 26 février 2019, à 15h00 : Guns of the Trees (1962).
* Mercredi 27 février 2019, à 15h00 : The Brig (1964).
* Jeudi 28 février 2019, à 15h00 : Reminiscences (1972).
Tiens, on se revoit The Brig.
The Film Gallery, 43 rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Paris.
La semaine télé de Jeune Cinéma du 23 février au 1er mars 2019.
Claude Goretta (1929-2019) est mort avant-hier, mercredi 20 février 2019, à Genève.
Avec Alain Tanner (né en 1929), Jean-Jacques Lagrange (né en 1929), Michel Soutter (1932-1991) et Jean-Louis Roy (né en 1938), rejoints par Yves Yersin (1942-2018), tous plus ou moins venus de la télévision, il avait fondé, à Genève, le Groupe 5. entrainant, à la fin des années 60, cette vague suisse de cinéma indépendant et moderne, qui nourrit généreusement la cohorte des cinéphiles français, au moins autant que bien d’autres vagues.
En 2011, Lionel Baier lui avait consacré un film : Bon Vent.
La bonne idée, c’est d’en parler avec Freddy Buache et Frédéric Maire, qui, à Lausanne, en savent long : Notre histoire, 1ère partie et 2e partie.
Cf. aussi la conférence de presse de Cannes 1973, à propos de L’Invitation, Prix du jury 1973.
À Pézenas, commencent les Rencontres du cinéma 2019, 57e édition, organisées par la Fédération des ciné-clubs de Méditerranée (22-28 février 2019).
La vedette, cette année, c’est le cinéma chinois, bon devrait dire, d’ailleurs, LES cinémas chinois, quand on envisage Taïwan Hong Kong, la Chine continentale, et, pourquoi pas la Mongolie intérieure...
Nécessité de faire des choix - impossible d’avoir Chen Kaige ou Dai Sijie.
À l’honneur : Wang Bing et Jia Zhang- Ke. Au total, un programme flamboyant.
Les films chinois sont accompagnés par des conférences, des rencontres, des présentations, des documentaires, avec de nombreux invités, notamment, Tiyan Wong, Julien Selleron, Luisa Prudentino, François Amy de la Bretèque, Julie Savelli, Yoann Hervey.
Et soutenus par des guest stars européennes et leurs œuvres : Jean-François Stévenin, Stefano Savona, et Paul Dopff.
Ce soir, en ouverture :
* À 20h30 : Le Roi des masques (Bian lian) de Wu Tian-Ming (1996).
Présentation par Luisa Prudentino.
Cinéma Le Molière, 1 place Ledru-Rollin, 34120 Pézenas.
Théâtre de Pézenas, 7 bis rue Henri-Reboul, 34120 Pézenas.
À Porto, commence un festival international de films fantastiques et de SF, qui commence à avoir de la bouteille Fantasporto 2019, 39e édition (22 février-2 mars 2019).
La pré-ouverture, c’était mardi dernier, le 19 février 2019, on y a fêté l’anniversaire de Easy Rider de Dennis Hopper (1969), cinquante ans pour une éternelle jeunesse.
Ce soir, la vraie Sessão de abertura, au grande auditório :
* À 21h00 : Prospect de Zeek Earl & Chris Caldwell (2018).
Fantasporto, rua Aníbal-Cunha, 121 / 4050, 048 Porto.
À Bruxelles, chaque dernier vendredi du mois, la Cinematek sort des raretés de derrière ses fagots, séries B poilantes, thrillers glaçants, gialli sucrés, slasher psychopathes, etc. Après le testostérone en janvier 2019, voilà le cannibalisme femelle.
* À 19h00 : Dans ma peau de Marina de Van (2002).
* À 21h00 : Vorace (Ravenous) de Antonia Bird (1999).
Cinematek, 9 rue Baron-Horta, 1000 Bruxelles.
À Montreuil, à la Librairie Libertalia, on retrouve la IIIe République et ses armes : La fusillade de Fourmies en 1891, les crosses en l’air du 17e en 1907, le "citoyen Browning" de La Guerre sociale, les centuries du "capitaine" Treint, les affrontements antifascistes des années 1930 ou encore les prises d’armes inouïes des grèves de 1947‐1948.
* À 19h00 : Rencontre avec Éric Fournier.
Bonne lecture :
* Éric Fournier, La Critique des armes. Une histoire d’objets révolutionnaires sous la IIIe République, Montreuil, Éditions Libertalia, 2019.
Librairie Libertalia, 12 rue Marcelin-Berthelot, 93100 Montreuil.
À Paris, à la Librairie Quilombo, on examine de plus près la descendance de Proudhon, Thoreau, Bakounine ou Ferrer.
* À 20h00 : Rencontre avec Francis Dupuis-Déry.
Bonne lecture :
* Francis Dupuis-Déry, Les Nouveaux Anarchistes, Paris, Textuel, 2019.
Librairie Quilombo, 23 rue Voltaire, 75011 Paris.
À New York, au Lincoln Center, la Film Society Lincoln Center, met à jour le meilleur du cinéma latino, venu du Mexique, du Brésil, du Chili, du Pérou : Neighboring Scenes : New Latin American Cinema (22–26 février 2019).
Ce soir, Opening night :
* À 19h00 : Belmonte de Federico Veiroj (2018).
En sa présence.
Lincoln Center, 10 Lincoln Center Plaza, New York, NY 10023.
Bon anniversaire à Nina Simone, alias Eunice Kathleen Waymon (1933-2003), 86 ans aujourd’hui.
On la joue pédago avec Arte.
À Lerida (Lleida en catalan), commence Animac, la Mostra internacional de cinema d’animació de Catalunya, 23e édition (21-24 février 2019).
Au programme, 9 longs métrages et 321 courts métrages. et un focus sur le Stop motion, autrement dit l’animation en volume, le nom est moins chic, mais il a ses lettres de noblesse.
Animac 2019 Main Titles from Animac on Vimeo.
À l’honneur : Peter Lord (premi Honorífic d’enguany), avec une rétrospective complète et Katariina Lillqvist (Animation Master), Rodolfo Pastor & Petra Steinmeyer (premi Trajectòria).
Aujourd’hui, ça commence dès midi. Ce soir, à 20h00, inauguration dans le hall 1 de la Llotja, avec un florilège des films et la présentation des invités.
Avec, par exemple, Muedra de Cesar Díaz Meléndez (2018).
Animac, Teatre la Llotja, Avinguda de Tortosa, 6, 25005 Lleida.
À Bourges, Bandits-Mages, inaugure un cycle mensuel, Voix & Images du Sud, dans un programme conçu par Olivier Hadouchi.
Ce soir, deux films en libre participation :
* À 19h00 : Kateb Yacine. Poète en trois langues de Stéphane Gatti (2001).
En sa présence.
* À 21h00 : Jean Genet, un captif amoureux. Portrait d’un poète combattant de Michèle Collery (2016).
En sa présence avec Marguerite Vappereau.
Haïdouc - Bandits-Mages Antre Peaux, 24-26 route de la chapelle, 18000 Bourges.
À Paris, à l’École normale supérieure (ENS), ce sont les Journées du DHTA (Département histoire et théorie des arts) avec des rencontres, du théâtre, des projections, des tables rondes, de la chaleur : Mémoires de la guerre d’Algérie. Points de vue d’histoire, points de vue d’artistes (21-23 février 2019).
Au programme, une exposition permanente : Éric Manigaud. Les photos des manifestations algériennes d’octobre 1961 à Paris, violemment réprimées par la police française.
(En salle des Actes, aux heures du colloque).
Ça commence ce soir avec du théâtre, en entrée libre sur réservation.
* À 20h00 : J’ai la douceur du peuple effrayante au fond du crâne, par la Compagnie Nova, mise en scène de Margaux Eskenazi.
Demain, vendredi 22 février 2019, après le colloque (vendredi et samedi à partir de 9h30), en entrée libre :
* À 18h15 : L’Autre Côté de la mer de Dominique Cabrera (1996).
En sa présence, avec Françoise Zamour.
ENS, 45 rue d’Ulm, théâtre, salle des Actes et salle Dussane, 75005 Paris.
À Pantin, le Festival Côté court présente son rendez-vous mensuel Écran libre #5.
Ce soir :
* À 19h30 : Odyssée seconde de Sol Suffern-Quirno & Rudolf di Stefano (2018).
En leur présence.
BANDE-ANNONCE D'ODYSSÉE SECONDE from di Stefano/ Suffern-Quirno on Vimeo.
Ciné 104, 104 avenue Jean Lolive, 93500 Pantin.
À Paris, aux Beaux-Arts, le regard de Mitra Farahani sur le peintre iranien Bahman Mohasses, exilé à Rome depuis 1954. Entrée libre.
* À 18h30 : Fifi hurle de joie (Fifi az khoshhali zooze mikeshad) de Mitra Farahani (2013).
En sa présence.
Beaux Arts, Amphithéâtre des loges, 14 rue Bonaparte, 75006 Paris.
À Paris, au Forum des images, ce sont Les drôles de rencontres, avec comme sujet, cette saison, l’humour (15 novembre 2018-13 juin 2019).
Ce soir :
* À 19h00 : Drôle de rencontre avec Patrice Leconte.
Animation par Renan Cros.
On a eu beau chercher sur le site du Forum des images, et même sur son Facebook - c’est dire - on a rien trouvé de plus précis sur le programme de la soirée.
Mais on aime Patrice Leconte, pour sa filmographie mi-auteur mi-grand amateur, et une troisième moitié vagabond, populaire ET élitiste, un coup oui, un coup non.
Alors on y va en confiance.
Chez Leconte, il y a pas que l’humour.
On fête l’anniversaire, cette année, de La Fille sur le pont (1999), vingt ans déjà.
Forum des images, 2 rue du Cinéma, Forum des Halles, 75001 Paris.
À Saint-Denis, le Séminaire du LAS, Anthropologie du visuel. Pratiques filmiques et anthropologiques, se déroulait à Paris au Collège de France.
Il rejoint désormais l’ENS Louis-Lumière, pour de meilleures conditions techniques de projection.Inscription nécessaire.
Ce soir :
* À 17h00 : Djamilia de Aminatou Échard (2018).
En sa présence.
ENS Louis-Lumière, Cité du Cinéma, 20 rue Ampère, 93200 Saint-Denis.
À New York, comme chaque année, le MoMA présente son Festival of International Nonfiction Film and Media : Doc Fortnight 2019, histoire de faire le point sur l’évolution du documentaire, les courts ou longs du monde, en discutant avec les filmmakers (21–28 février 2019).
Ce soir :
* À 19h00 : Serendipity de Prune Nourry (2018).
En sa présence.
Museum of Modern Art Floor T2, Theater 2, 11 West 53 Street, New York, NY 10019.
À Paris, à l’Espace Maltais rouge, on a rendez-vous avec la Fondation Copernic, la Fondation Gabriel Péri, l’Institut Tribune Socialiste, la Fondation de l’Écologie politique, la Fondation Pour un Autre Monde et Espaces Marx. Entrée libre, inscription nécessaire.
* À 18h30 : Urgence climat !
Débat avec Maxime Combes et Valérie Masson-Delmotte, animation par Benoit Monange.
Espace Le Maltais rouge, 40 rue de Malte 75011 Paris.
À Dublin, commence le Dublin International Film Festival (DIFF), 17e édition (20 février-3 mars 2019).
Le festival est sponsorisé par le whisky Jameson, ce qui est un argument de poids.
Ce soir, gala d’ouverture :
* À 18h30 : Papi Chulo de John Butler (2018).
Office 2.3, The Digital Hub, Thomas St, Ushers, Dublin 8, D08 T91Y.
À Paris, à l’Institut finlandais : IF Screenings II, avec ce soir, à 20h00, deux films :
* Carcasse de Gústav Geir Bollason (2017).
CARCASSE, Gústav Geir Bollason & Clementine Roy_excerpt_1 from clementine roy on Vimeo.
* Percival’s Perceived Pebble de Monade Li & Paul Hill (2018).
Percival’s Perceived Pebble (TRAILER), a film by Monade Li & Paul Hill from M L on Vimeo.
À Paris, à la Fondation Seydoux commence la nouvelle exposition : Comiques transatlantiques de Linder à Chaplin (1910-1925) (20 février-9 juillet 2019).
Fondation Jérôme-Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, 75013 Paris.
À Paris, à la BPI, c’est le séminaire hebdomadaire de l’EHESS (16 janvier-27 février 2019).
Aujourd’hui :
* À 14h00 : Puisque nous sommes nés de Jean-Pierre Duret (2009).
En présence de Catherine Rascon.
Centre Pompidou, niveau -1, entrée principale, rue Saint-Martin (Piazza), 75004 Paris.
À Bruxelles, la Cinematek, avec le Goethe Institut et Courtisane Festival, a invité Valeska Grisebach, jeune représentante de la Nouvelle Vague allemande, et lui a donné carte blanche (15-27 février 2019).
Ce soir, son deuxième film :
* À 19h00 : Western de Valeska Grisebach (2017).
Conversation entre Valeska Grisebach et Stoffel Debuysere.
Cinematek, 9 rue Baron-Horta, 1000 Bruxelles.
À Paris, au Musée Cernuschi, deux nouvelles expositions, la Chine et la Corée :
* La Chine en révolution. Esquisse de l’époque maoiste (20 février-31 mars 2019).
Vingt esquisses d’œuvres majeures de Cai Liang, Lin Gang, Pang Tao, Quan Shanshi, Song Ren, Su Gaoli, Tang Xiaohe, Wang Shenglie, Xiao Feng, Yin Rongsheng.
On en profite pour visiter aussi :
* Bang Hai Ja. Et la matière devint lumière (18 janvier-31 mars 2019).
Musée Cernuschi, 7 avenue Vélasquez, 75008 Paris.
Les sorties sur les grands écrans
* Food Evolution de Scott Hamilton Kennedy (2016).
* Amal de Mohamed Siam (2017).
* Baghdad Station de Mohamed Al Daradji (2017).
* Les Moissonneurs (Die Stropers) de Étienne Kallos (2018)
* La Liberté de Guillaume Massart (2018).
* La Chute de l’Empire américain de Denys Arcand (2018).
* Rencontrer mon père de Alassane Diago (2018).
* Grâce à Dieu de François Ozon (2019).
Les ressorties en versions restaurées
* L’Arc et la flûte (En djungelsaga) de Arne Sucksdorff (1957).
* Les Affameurs (Bend of the River) de Anthony Mann (1952).
* Les Funérailles des roses (Bara no Sōretsu) de Toshio Matsumoto (1969).
À Marseille, au Vidéodrome 2 : Ronde de nuit. Le cinéma policier français nocturne (19-23 février 2019).
Ce soir :
* À 20h30 : Le Doulos de Jean-Pierre Melville (1963).
Videodrome 2, 49 cours Julien, 13006 Marseille.
À Toulouse, à la Cinémathèque, parce qu’on ne s’en lasse pas : Western spaghetti (19 février 2019-20 mars 2019).
Ce soir :
* À 21h00 : Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari) de Sergio Leone (1964).
Et en même temps : Sacha Guitry (19 février-20 mars 2019).
Ce soir, son premier film après la Libération :
* À 19h00 : Le Comédien de Sacha Guitry (1947).
Cinémathèque, 69 rue du Taur, 31000 Toulouse.
À Paris, au ciné-club de l’ENS un ciné-concert :
* À 20h30 : La Jeune Fille au carton et au chapeau (Devushka s korobkoy) de Boris Barnet (1927).
Avec Karol Beffa au piano.
Ciné-club de l’ENS, salle Dussane, 45 rue d’Ulm, 75005 Paris.
À Paris, à la Cinémathèque, l’Agence du court métrage et la revue Bref, présentent la soirée trimestrielle : Premiers Pas, les premiers courts métrages des réalisateurs qui sont à l’affiche.
Ce soir, à 19h00, en présence de Elsa Amiel et Romain Laguna.
* Faccia d’angelo de Elsa Amiel (2007).
Autour de Pearl (sortie le 30 janvier 2019).
* Laissé inachevé à Tokyo de Olivier Assayas (1982).
Autour de Doubles Vies (sortie le 16 janvier 2019).
* J’mange froid de Romain Laguna (2017).
Autour de Les Météorites (sortie le 8 mai 2019).
* Les Inévitables de Christophe Le Masne (2000).
Autour de Moi, Maman, ma mère et moi (sortie le 13 février 2019).
Cinémathèque, salle Jean-Epstein, 51 rue de Bercy, 75012 Paris.
À Paris, au Centre Wallonie-Bruxelles (CWB), on regarde du côté de la Syrie.
Ce soir :
* À 20h00 : Damascus de Myrna Nahban (2018).
En sa présence.
DAMASCUS (2018) - Trailer - Arabic - FR/ENG subs from Les Films de la Récré on Vimeo.
La projection est suivie d’une rencontre avec François Janne D’Othée.
Bonne lecture :
* François Janne D’Othée, Jours tranquilles à Damas, Paris, Éditions Riveneuve, 2018.
Centre Wallonie-Bruxelles, 127-129 rue Saint-Martin, 75004 Paris.
À Paris, à La Colonie, la revue Africultures fondée en 1997, fête son dernier Hors-série.
Entrée libre sur réservation.
* À 18h30 : Décentrer, Déconstruire, Décoloniser.
Au sommaire, notamment : Françoise Vergès, Nadia Yala Kisukidi, Aminata Aïdara, Celia Sadai, Virginie Brinker, Sinatou Saka, Samba Doucouré, Anne Bocandé…
La soirée sera conclue par un showcase du rappeur Rocé qui présentera son projet Par les damné.e.s de la terre.
La Colonie, 128 rue de La Fayette, 75010 Paris.
À Paris, à la BPI, à la Cinémathèque du documentaire, le cycle Trésors du doc se poursuit un dimanche par mois.
Aujourd’hui :
* À 17h00 : L’Arc et la flûte (En djungelsaga) de Arne Sucksdorff (1957).
Centre Pompidou, BPI, Cinéma 2, Niveau -1, rue St-Martin (Piazza), 75004 Paris.
À Mons, comme à Brooklyn (Brooklyn Academy of Music, avec le BAM Rose pour le cinéma ), il y un BAM (Beaux-Arts Mons).
On y a inauguré hier : Giorgio de Chirico. Aux origines du surréalisme belge : Magritte, Delvaux, Graverol (16 février-2 juin 2019).
C’est de son vivant que Giorgio De Chirico (1888-1978) inspira Paul Delvaux (1897-1994), René Magritte (1898-1967), Jane Graverol (1907-1984) ses contemporains.
C’est gratuit chaque premier dimanche du mois.
BAM, Rue Neuve 8, 7000 Mons.
À Detroit, le DIA retourne aux belles années 60 : From Camelot to Kent State : Pop Art, 1960-1975 (17 février-25 août 2019).
Toute une génération d’artistes s’est amusée de la culture pub qui s’épanouissait après la guerre, puis s’est tournée vers les affaires collatérales, et les choses sérieuses qui allaient avec : la guerre du Vietnam ou des tragédies telles que la fusillade à la Kent State University en 1970.
C’était Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Marisol, Corita Kent, Claes Oldenburg, Robert Rauschenberg, James Rosenquist et Andy Warhol.
Detroit Institute of Arts, 5200 Woodward Ave, Detroit, MI 48202.
Bruno Ganz (1941-2019) est mort à Zurich ce matin, samedi 16 février 2019.
Le début de sa carrière, ce fut au théâtre, avec Peter Stein (avec qui il avait co-fondé la Schaubühne) et avec Claus Peymann, plus tard avec Klaus Michael Gruber.
Mais il est entré dans les cœurs des cinéphiles, et ne les a plus quittés, avec la vague Wenders et Handke des années 70.
Il y restera comme l’inoubliable ami allemand, atteint de leucémie, sous les yeux tristes de Lisa Kreuzer, dans un port aux couleurs de fin du monde, où on continuait à attendre le retour des Beattles.
Il est allé rejoindre Denis Hoppper, Gérard Blain, Nicholas Ray et Samuel Fuller, qui, tous, l’ont précédé. Et l’attendaient.
À Lyon, l’Institut Lumière a décerné le Prix Jacques-Deray du film policier 2019, 15e édition.
C’est aujourd’hui qu’il est remis à Pierre Salvadori :
* À 16h00 : Jacques Deray : J’ai connu une belle époque de Agnès Vincent-Deray (2018).
* À 18h30 : En Liberté ! de Pierre Salvadori (2018).
Institut Lumière, 25 rue du Premier-Film, 69008 Lyon.
À Paris, au cinéma L’Arlequin, dans le cycle des Samedis du cinéma allemand, le Goethe Institut enquête sur la dérive vers l’extrême droite de jeunes de l’ex-RDA .
Ce matin :
* À 11h00 : Stau - Jetzt geht’s los de Thomas Heise (1992).
Présentation par Matthias Steinle.
Cinéma L’Arlequin, 76 rue de Rennes, 75006 Paris.
La semaine télé (plus exigeante) de Jeune Cinéma du 16 au 22 février 2019.