2024 : Journal de Adja Cissokho
* Adja Cissokho-édito 2024 ; 1er-15 janvier 2024 ; 16-31 janvier 2024 ; 1er-15 février 2024 ; 16-29 février 2024 ; 1er-15 mars 2024 ; 16-31 mars 2024 ; 1er-15 avril 2024 ; 16-30 avril 2024 ; 1er-15 mai 2024 ; 16-31 mai 2024 ; 1er-15 juin 2024 ; 16-30 juin 2024 ; 1er-13 juillet 2024 ; 16-31 juillet 2024 ; 1er-15 août 2024 ; 16-31 août 2024 ; 1er-15 septembre 2024 ; 16-30 septembre 2024 ; 1er-15 octobre 2024 ; 16-31 octobre 2024 ; 1er-15 novembre 2024 ; 16-30 novembre 2024 ; 1er-15 décembre 2024
À Berlin, commence la Berlinale 2024, 74e édition (15-25 février 2024).
Au programme, les sections Perspektive Deutsches Kino et Berlinale Series ont été supprimées, et les films réparti dans d’autres sections.
* Un Ours d’or d’honneur à Martin Scorsese pour l’ensemble de sa carrière.
* La Compétition et les jurys.
* Hors compétition, les sections : Panorama ; Forum & Forum Expanded ; Encounters ; Generation ; Retrospective, Berlinale Classics & Homage ; Berlinale Shorts ; Berlinale Special ; Special Presentations ; Berlinale Talents.
Ce soir, gala d’ouverture, au Berlinale Palast :
* À 19h30 : Small Things Like These de Tim Mielants (2024).
À Lleida, commence le festival international du film d’animation de Catalogne Animac 2024, 28e édition (15-18 février 2024).
L’édition 2024 de Animac est dédié à la diversité, avec 38 films de vingt nationalités différentes.
Au programme :
* Les Prix d’honneur : Premi Animation Master à Barry J.C. Purves ; Premi honorífic d’Animac à Isabel Herguera.
* La sélection officielle : Secció Oficial Curts ; Futur Talent ; Petit Animac ; Animac de Nit ; Talent.cat ; Llargmetratges ; Monogràfics ; Retrospectives.
* Une exposition : Sultana’s Dream : Creative Process (7-28 février 2024).
Ce soir, cérémonie d’ouverture en entrée libre, La Llotja-Ricard Viñes :
* À 20h30 : Remise des prix ; Performance de Mabel Olea ; puis cinq courts métrages.
La Mujer Ilustrada de Isabel Herguera (2023) ; Felina de María Lorenzo (2023) ; 27 de Fløra Anna Buda (2023) ; Our Uniform de Yegane Moghaddam (2023) ; Aikāne de Daniel Sousa, Dean Hamer & Joe Wilson (2023).
À Paris, le Centre Walllonie-Bruxelles (CWB), à la faveur de la Présidence belge de l’Union européenne, présente une avant-première :
Ce soir :
* À 20h00 : Débâcle (Het smelt) de Veerle Baetens (2023).
En sa présence.
À Paris, aux 3 Luxembourgs c’est la séance du cinéclub Les Couleurs de la Toile qui présente des films sur l’art, les artistes et la création.
Ce soir :
À 20h00 : La Ville Louvre de Nicolas Philibert (2018).
Discussion avec Sarah Ohana.
À Paris, à l’Académie du climat on passe la soirée, avec des pause à la buvette.
* À 18h30 : Une aventure humaine inédite, au service de la science et contre la pollution plastique.
Avec Sandra Domenek, l’Expédition SEA Plastics et l’association Soroptimist International
* À 20h00 : En attendant que le monde s’effondre. de Nicolas Meyrieux (2023).
En sa présence avec Greenpeace.
Bon, c’est la Saint-Valentin, la fête des amoureux, origine ancienne, développement commercial aussi, aucune raison de se moquer.
On aime bien, quand même, repenser au Saint Valentine’s Day massacre, le 14 février 1929, entre les deux puissantes mafias Chicago, Ill., c’est moins niais et plus cinématographique.
Cela dit, pour marquer une évidente bonne volonté pacifique, on va quand même la fêter, à Perpignan, à l’Institut Jean Vigo parce qu’on ne peut pas résister à la proposition et qu’il y aura du champagne :
Ce soir :
* À 19h00 : Au loin s’en vont les nuages (Kauas pilvet karkaavat) de Aki Kaurismäki (1996).
À Paris, à la Cinémathèque commence une Rétrospective Boris Barnet (14 février-10 mars 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Au bord de la mer bleue (Ou samogo sinego moria) de Boris Barnet (1935).
Présentation par Bernard Eisenschitz.
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence le cycle L’enfance à l’écran (14 février-19 mars 2024).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : Oliver Twist de Frank Lloyd (1922).
Accompagnement au piano par Kolia Chabanier.
À Venise, la Biennale arte 2024, 60e édition, s’ouvrira le samedi 20 avril 2024, et se tiendra aux Giardini et à l’Arsenale jusqu’au 24 novembre 2024 (et, en off, dans toute la ville d’ailleurs).
En attendant, elle programme, au Cinéma Rossini, en collaboration avec le Circuito Cinema de la ville de Venise et les professeurs d’études cinématographiques de l’Université Ca’ Foscari et de l’Università IUAV de Venise, un festival permanent de cinéma restauré : Classici fuori Mostra 2024, 5e édition (14 février-15 mai 2024).
Ce soir, ouverture avec le centenaire de Gianfranco De Bosio (1924-2022) :
* À 19h00 : Le Terroriste (Il terrorista) de Gianfranco De Bosio (1963).
Présentation par Stefano de Bosio, Maria Ida Biggi, Giuseppe Ghigi et Marco Borghi.
Les sorties sur les grands écrans
* Nuit Noire en Anatolie (Karanlik Gece) de Özcan Alper (2022).
* Chienne de rouge de Yamina Zoutat (2023).
* Vivants de Alix Delaporte (2023).
* Penser à demain de Olivier Goujon (2023).
* Le Molière imaginaire de Olivier Py (2024).
* Bob Marley : One Love de Reinaldo Marcus Green (2024).
* Lève-toi et va de Zohar Wexler (2024).
Socialter n°62 de février-mars 2024 vient de paraître : L’écologie, un truc de bourgeois ? Penser les luttes avec les classes populaires
* On l’achète en kiosque ou en ligne.
À Brest, la Cinémathèque de Bretagne structure sa programmation autour du thème : Filmer les pollutions.
Dans ses collections, elle possède plus de 200 films, professionnels (René Vautier, Nicole & Félix Le Garrec, Rolland Savidan...) et amateurs (Marcel Réaubourg, Bernard Thomazeau, Robert Kernez, Raymonde Albertini, Régine Le Hénaff, Jean-Pierre Gestin, Ronan Quéméré, Yvon Le Gars...) qui documentent les faits et les engagements marquants depuis les années 1960, quand l’usage des caméras s’est démocratisé.
Dans le cadre de ses mardis, elle propose une soirée, avec cinq courts métrages sous le regard des cinéastes amateurs.
Ce soir, à 20h00, Marées noires, un héritage toxique sur nos côtes # 2 :
La lutte des enfants, des femmes, des hommes contre la marée noire de Raymonde & Yves Albertini (1967) ; Putain de pétrole de Jean Marsac & Guy Andrivet (1976) ; Après le Bohlen de Robert Kernez (1976) ; Il y avait du pétrole à Ouessant de Robert Kernez (1976) ; Du pétrole mais pas d’idées de Jo Potier (1978) ; Collection série noire : Tome 4 de Robert Kernez (1980).
En présence de Robert Kernez.
À Nantes, le jeudi 15 février 2024, aux Archives départementales de Loire-Atlantique, même programme.
À Paris, au Grand Action c’est le dernier cinéclub Positif, après 17 ans de présence.
Ce soir :
* À 19h00 : Un verre d’adieu à la mémoire de Michel Ciment (1938-2023).
* À 20h00 : Ave, César ! (Hail, Caesar !) de Joel Coen & Ethan Coen (2015).
À Paris, aux Cinq Caumartin, commence un nouveau cinéclub dédié au documentaire, mensuel, animé par Clément Touron, qui présente des avant-premières : Raconter le réel.
Ce soir :
* À 20h00 : État limite de Nicolas Peduzzi (2023).
À Paris, aux 3 Luxembourgs, une séance spéciale, en partenariat avec le Service des relations internationales de la Sorbonne.
Ce soir :
* À 19h00 : Sans soleil de Chris Marker (1983).
Présentation par Beatriz Rodovalho.
À Paris, au Forum des images, dans le cadre du programme Fair Play, (2 février-2 mars 2024), un film qui prolonge le festival de Lyon, Sport, Littérature et Cinéma (24-27 janvier 2024) :
Ce soir :
* À 18h30 : Le Roi mélancolique, la légende de René Vietto de Julien Camy (2020).
À Paris, au musée du Jeu de paume, commencent deux nouvelles expositions :
* Tina Modotti. L’Œil de la révolution (13 février-12 mai 2024).
* Bertille Bak. Abus de souffle (13 février-12 mai 2024).
À Paris, à la Maison des sciences de l’homme (MSH), à l’espace rencontres le Comptoir, deux soirées thématiques : Genre & sexe, et vice-versa (13-14 février 2024).
Ce soir :
* À 18h00 : Sexe & genre, et vice-versa I.
Avec Sylvain Allemand.
Bonnes lectures :
* Frédéric Canovas & Martine Reid, Genre et identités sexuées chez Colette, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2023.
* Wilfried Rault & Mathieu Trachman, éds., Minorités de genre et de sexualité, Ined Éditions - Institut national d’études démographiques, 2023.
Demain soir :
* À 18h00 : Sexe & genre, et vice-versa II.
Avec Danielle Constantin, Michel Bozon, Benjamin Moron-Puech et Sylvain Allemand.
Bonnes lectures :
* Danielle Constantin & Catherine Viollet, Genre, sexes, sexualités. Que disent les manuscrits autobiographiques ?, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2017.
* Catherine Bonvalet, Pascale Dietrich-Ragon & Anne Lambert, éds., Le Monde privé des femmes. Genre et habitat dans la société française, préface de Olivier Schwartz, Ined Éditions - Institut national d’études démographiques, 2018.
* Elaine Coburn, éd., Combien de sexe ?, Revue Socio n° spécial, septembre 2017.
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
Calendrier des expositions dans le monde.
Avec Mélusine, dans le cadre de l’Association pour la recherche et l’étude du surréalisme (APRES) une nouvelle Rencontre en surréalisme organisée par Françoise Py, à la Halle Saint-Pierre. : Focus sur Isidore Ducasse, comte de Lautréamont (1846-1870), un très jeune homme qui demeure méconnu.
Aujourd’hui, en entrée libre, dans l’auditorium :
* À 15h00 : Lumières sur Maldoror. : Présentation du livre Lumières sur Maldoror, conférence de Michel Carassou ; Présence de Lautréamont dans le surréalisme de Belgrade, par Jelena Novakovic ; Lectures par Charles Gonzales ; Table ronde avec Henri Béhar, Michel Carassou, Jelena Novakovic et Françoise Py.
Bonnes lectures :
* Henri Béhar, Lumières sur Maldoror, Paris, Garnier, 2023.
Et aussi, bien sûr :
* Gaston Bachelard, Lautréamont, Paris, éditions José Corti, 1939. Rééd. augmentée 1983.
* François Caradec, Isidore Ducasse, comte de Lautréamont, Paris, Gallimard, 1975.
* Jean-Jacques Lefrère, Isidore Ducasse : auteur des Chants de Maldoror, par le comte de Lautréamont, Paris, Fayard, 1998.
À Paris, au Panthéon, c’est le jour du cinéclub L’Italie à travers son cinéma.
Aujourd’hui :
* À 11h00 : Primadonna de Marta Savina (2023).
Avec Paolo Modugno.
À New York, au Brooklyn Museum, commence une nouvelle exposition : Giants (10 février-7 juillet 2024).
Le rappeur Swizz Beatz (alias Kasseem Dean) et la chanteuse Alicia Keys considèrent que "les artistes doivent soutenir les artistes", et ils sont de grands collectionneurs.
L’exposition présente les icônes de leur collection, Parcs Gordon, Jean-Michel Basquiat, Lorna Simpson, Kehinde Wiley, Nina Chanel Abney, Derrick Adams, Arthur Jafa, Meleko Mokgosi...
Ce soir, à 22h59, heure sidérale de la Nouvelle Lune (i.e. 23h59 heure de Paris, 17h59 à Pékin, 18h59 à Hanoï), commence l’Année du Dragon de bois. Le Nouvel An chinois a lieu à la seconde lunaison qui suit le solstice d’hiver.
Les années du Dragon reviennent tous les 12 ans.
Pour les vivants : 1928, 1940, 1952, 1964, 1976, 1988, 2000, 2012 et 2024.
Mais il faut préciser son "élément".
En Occident, il y en quatre : l’eau, la terre, l’air et le feu.
En Chine, il y en cinq : le bois, le feu, la terre, le métal et l’eau.
La dernière année du Dragon de bois était, pour les vivants en 1964, la précédente étant 1904.
Pour les individus, on peut aussi considérer l’ascendant chinois, et la correspondance avec l’astrologie occidentale, mais c’est une autre démarche.
Apartés : 2024 est donc une année spéciale, bissextile, et une année de treize (nouvelles) lunes, ainsi qu’une rare année du Dragon.
À Paris, on choisit de célébrer cette nouvelle année, ce week-end, au Musée Guimet qui, pour l’occasion, se fait beau et spécialement accueillant.
À New York, on choisit d’aller au MET, pour admirer la splendeur des objets (porcelaine, jade, laque, bronze, textile) symbole de l’autorité impériale, qui dissipe les influences maléfiques et divinité bienveillante qui apporte une pluie nécessaire à toute vie sur terre : Celebrating the Year of the Dragon (3 février 2024-janvier 2025).
À Poitiers, commence le festival Filmer le travail 2024, 15e édition (9-18 février 2024).
Au programme, le thème Contrôle et surveillance.
* Hommage à Sembène Ousmane (1923-2007).
Ce soir, ouverture au TAP Castille :
* À 20h00 : Coconut Head Generation de Alain Kassanda (2023).
En sa présence.
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence le cycle Désirs d’Orient. Carte blanche à Agnès Jaoui (9-11 février 2024).
Ce soir :
* À 21h00 : À mon âge je me cache encore pour fumer de Rayhana (2017).
En présence de Hiam Abbass et Agnès Jaoui.
À Paris, au Forum des images, comme chaque vendredi, on suit les cours de cinéma, en entrée gratuite.
Ce soir, dans le cadre du programme Fair Play, et comme une prolongation du festival de Lyon, Sport, Littérature et Cinéma (24-27 janvier 2024) :
* À 18h30 : Sport au cinéma, un geste politique ?
Cours de cinéma par Julien Camy.
Bonne lecture :
* Julien Camy & Gérard Camy, Sport et cinéma, préface de Thierry Frémaux, Paris, Amphora, 2021.
À Lyon, après des escales à Amiens, Paris, Toulouse et Niterói au Brésil, commence le Festival international du film sur le handicap 2024 (FIFH), 5e édition (9-13 février 2024).
Cette année, l’Institut Lumière accueille sa soirée de clôture, avec présentation de leurs courts métrages.
Faites votre programme de Lyon.
À Paris, au Reflet Médicis, c’est le jour du séminaire À la recherche du mélo français.
Ce soir :
* À 18h00 : Dialogue entre Arthur Côme et Noël Herpe.
* À 20h30 : La Tour de Nesle de Noël Herpe (2021).
À New York, le MoMA programme une rétrospective commémorative d’un maverick : Ilkka Järvi-Laturi (9-16 février 2024).
Ilkka Järvi-Laturi (1961-2023) laisse derrière lui une œuvre restreinte mais fascinante, entre la menace d’anéantissement nucléaire de la fin des années 1980 et la sorte d’humanisme punk qui a fleuri après la chute du Rideau de fer.
Ce soir :
* À 18h30 : City Unplugged (Tallinn pimeduses) aka Darkness in Tallinn de Ilkka Järvi-Laturi (1993).
À New York, au Lincoln Center commence Dance on Camera Festival (9-12 février 2024).
Ce soir, Opening Night :
* À 19h00 : Swan Song de Chelsea McMullan (2023).
En sa présence avec Karen Kain et Sean O’Neill.
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
Calendrier des expositions dans le monde.
À Paris, à la Maison des sciences de l’homme (MSH), Ent’revues, le journal des revues culturelles, célèbre Benjamin Péret (1899-1959), le seul qui ne s’est jamais fâché avec André Breton (1896-1966), et les 60 ans de de l’Association des amis de Benjamin Péret fondée en mai 1963 par René Alleau, Jean-Louis Bédouin, Georges Bernier, André Breton, Lise Deharme, Edouard Jaguer, Robert Lebel, Pierre de Massot, Pierre Naville, José Pierre.
L’association a publié les Œuvres complètes
du poète (7 tomes parus), aux éditions Losfeld et José Corti.
Ce soir :
* À 18h30 : Benjamin Péret, et le langage devient poésie.
Soirée spéciale de lectures et d’échanges avec Florence Cousin, Jérôme Duwa et Karla Segura Pantoja.
Bonnes lectures :
* Cahiers Benjamin Péret n°12, septembre 2023.
* Benjamin Péret, Le Grand Jeu, (1938). Réédition, préface de Robert Benayoun, Paris, Gallimard, 1969.
* Benjamin Péret, Les Rouilles encagées, avec des dessins de Yves Tanguy, Paris, Losfeld, 1970.
* Benjamin Péret, Je ne mange pas de ce pain-là. (1936). Réédition, préface de Gérard Roche, Paris, Syllepse, 2010.
* Je ne mange pas de ce pain-là : Benjamin Péret, poète c’est-à-dire révolutionnaire de Rémy Ricordeau (2015)
À Paris, à la Cinémathèque commence le cycle Le Cinéma d’horreur en 25 films indispensables (8 février-6 mars 2024)
Présentation du cycle par Jean-François Rauger.
Ce soir :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Histoire de fantômes japonais (Tōkaidō Yotsuya kaidan) de Nobuo Nakagawa (1959).
À Paris, les 3 Luxembourgs accueille une initiative du cinéma Jean-Eustache et du Festival du film d’histoire de Pessac : l’UNIPOP de ville en ville.
Ce soir :
* À 18h30 : Delphine Seyrig, cette actrice moderne absolue.
Conférence de Jean-Marc Lalanne.
* À 20h00 : Sois belle et tais-toi de Delphine Seyrig (1977).
À Paris, à Beaubourg, la Cinémathèque du documentaire une soirée spéciale.
Ce soir, Cinéma2 :
* À 20h00 : L’Âcre parfum des immortelles de Jean-Pierre Thorn (2019).
précédé de
* Gaël Faye, "Irruption" de Raphaël Lévy (2017).
En présence de Jean-Piere Thorn, Nicole Brenez et Rémi Lainé.
Attention : La séance avait été annulée, en raison du mouvement de grève qui se déroule au Centre depuis le 16 octobre 2023.
Le préavis de grève de l’Intersyndicale est prolongé jusqu’au 15 février 2024.
À Perpignan, l’Institut Jean-Vigo reçoit la jeune garde du cinéma français avec l’acteur Dimitri Doré et le réalisateur Yann Chemin.
Ce soir, à 19h00, 2 courts métrages :
* Pleure pas Gabriel de Mathilde Chavanne (2023).
* Après la nuit de Yann Chemin (2024).
À Paris, aux Amarres, les Amis du Monde diplomatique Paris (AMD) invitent à une rencontre-débat, au sujet crucial.
Ce soir :
* À 19h00 : Artificialisation des sols et mode de luttes écologistes.
Avec Les Soulèvements de la Terre Île-de-France et Claire Lecœuvre.
Les Amarres, tiers-lieu solidaire et festif sur les quais d’Austerlitz à Paris, ont succédé aux Grands Voisins, installés quelques années dans l’ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul, avec les associations Yes We Camp et Aurore.
Elles accueillent actuellement l’exposition itinérante Saison 5, six mois de lutte et de répression du photographe Regard brut.
À Paris, à la Maison européenne de la phographie (MEP), des soirées cinéma accompagnent les expositions.
En ce moment, Cycle Tilda Swinton, quatre films en écho à l’exposition de Viviane Sassen-PHOSPHOR : Art & Fashion. (18 octobre 2023-11 février 2024).
Ce soir, à l’auditorium :
* À 19h00 : The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson (2014).
À Paris, au Musée du Quai Branly, une nouvelle exposition vient de commencer : Myriam Mihindou. Ilimb, l’essence des pleurs (6 février-10 novembre 2024).
L’artiste franco-gabonaise Myriam Mihindou propose une installation inédite qui célèbre la culture punu par le biais des collections d’instruments de musique et des archives sonores conservées au musée, en partenariat avec la Galerie Marc-Ladreit-de-Lacharrière.
À Paris, à la Cinémathèque française commence une Rétrospective Claude Autant-Lara (7 février-4 mars 2024)
Présentation par Jean-Pierre Bleys.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Tu ne tueras point de Claude Autant-Lara (1960).
À Lyon, commencent les Rencontres du cinéma italien 2024, 8e édition (7-9 février 2024).
Les trois jours sont organisés en partenariat par le Consulat général d’Italie, l’Université Lyon 3 le Comœdia, le Consulat général de Suisse et l’Institut culturel italien.
Ce soir, ouverture :
* À 20h30 : Il reste encore demain (C’è ancora domani) de Paola Cortellesi (2023).
En présence de Giulia Calenda et Furio Andreotti.
À Marseille, au Vidéodrome2, l’Association Jocelyne-Saab, qui a restauré 15 de ses documentaires, présente, après Paris, une Rétrospective intégrale Jocelyne Saab (7-28 février 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, le début de la guerre civile : Le Liban dans la tourmente de Jocelyne Saab (1975).
Présentation par Michael Issa El Helou.
précédé de :
* Les Nouveaux Croisés d’Orient de Jocelyne Saab (1975).
À Paris, le cinéclub de l’ENS s’installe hors les murs à la Filmothèque du Quartier latin
Ce soir :
* À 19h30 : Soy Cuba de Mikhail Kalatozov (1964)
À Paris, à la Société Louise-Michel une nouvelle rencontre.
Ce soir :
* À 19h00 : Retour à Michel Husson et à son dernier livre.
Avec Jean-Marie Harribey
Bonne lecture :
* Michel Husson, Portrait du pauvre en habit de vaurien, Paris Syllepse, 2023.
Les sorties sur les grands écrans
* Elaha de Milena Aboyan (2022).
* La Bête de Bertrand Bonello (2023).
* Green Border de Agnieszka Holland (2023).
* Daaaaaali ! de Quentin Dupieux (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* L’Enfer des armes (Dì yī lèi xíng wéi xiǎn) de Tsui Hark (1980).
* Dune de Denis Villeneuve (2021).
À Vesoul, commence le Festival des cinémas d’Asie 2024 (FICA), 30e édition (6-13 février 2024)
Au programme :
* Les compétitions et leurs jurys : Fictions ; Documentaires.
* Hors compétition : Engagement ; Regards sur le cinéma taïwanais ; Regard sur le cinema indien du Kerala ; Japanimation.
* 30 ans de FICA, 30 ans de prix Netpac.
Ce soir, à 20h30, cérémonie d’ouverture, au Théâtre Edwige-Feuilère, avec cocktail, sur invitation uniquement. On est entre soi : Nos 30 ans de Jean-Claude Boisseaux, Marc Haaz & Jules Gouillon (2023). Pour avoir une idée du film, il faut s’inscrire sur X.
Sinon, à partir de demain, une belle programmation pour tout le monde.
À Paris, à la faveur de la Présidence belge de l’Union européenne, en partenariat avec la Délégation générale de la Flandre en France, le Centre Walonie-Bruxelles présente, en avant-première, un film sélectionné à Venise, à Chicago, à Gand, à Arras, aux Arcs.
Ce soir :
* À 20h00 : Holly de Fien Troch (2023).
En sa présence.
À Lyon, à l’Institut Lumière, c’est le rendez-vous mensuel avec un film surprise : Le plaisir du 35 mm.
Ce soir :
* À 18h30 : Un film de vengeance au cœur de la mafia italo-américaine, une splendeur en scope, et en couleurs, tourné dans les années 1950.
Présentation par Maelle Arnaud.
À Marseille, au Vidéodrome 2, c’est le cinéclub de Nicolas Nagerri & Henri Sigaud,
Un autre monde est possible #4.
Ce soir :
* À 20h00 : Ruth Denison.The Silent Dance of Life de Aleksandra Kumorek (2017).
À Paris, au Reflet Médicis, l’Institut Polonais propose un rendez-vous mensuel : les Mardis polonais. En 2024, c’est un cycle "Ils ont écrit pour le cinéma", avec des films inspirés par les plus grands noms de la littérature polonaise (9 janvier-juillet 2024).
Ce soir :
* À 20h00 : Le Huitième Jour de la semaine (Ósmy dzień tygodnia) de Aleksander Ford (1958).
Présentation par Anna Bernhardt.
À Paris, au Pavillon de l’Arsenal, se tient l’exposition Énergies légères. Usages, architectures, paysages (9 novembre 2023-17 mars 2024).
Dans ce cadre, il présente, au Majestic Bastille, une soirée, gratuite sur réservation.
Ce soir :
* À 20h00 : Promised Land de Gus Van Sant (2012).
* À 21h45 : Vers Paris 2050. (Re)dessiner un monde sans énergies fossiles.
Rencontre avec Raphaël Ménard, Paloma Moritz, Nadine Schütz et Nabil Wakim.
À Lille, l’association L’Esprit d’Archimède publie une revue semestrielle, Lea.
En ligne, elle est gratuite, et, sur papier, elle est gratuite pour les adhérents.
L’association présente aussi un cycle de conférences gratuites sur réservation : Transitions
Ce soir :
* À 18h30, à l’Espace Culture de l’Université de Lille : Intelligence artificielle, intelligence humaine : la double énigme.
Conférence de Daniel Andler, avec Jean-Paul Delahaye.
Bonne lecture :
* Daniel Andler, Intelligence artificielle, intelligence humaine : la double énigme, Paris, Gallimard, 2023.
À Perpignan, à l’Institut Jean-Vigo, dans le cadre du programme Pratique du cinéma histoire. Territoires/ Paroles/ Mémoires, on parle des migrations et de leurs représentations au cinéma.
Aujourd’hui :
* À 16h00, en entrée libre : Rencontre avec Claire Angelini.
À travers sa filmographie, elle interroge les lieux, les témoins directs, les témoins indirects et ceux qui font le lien entre la société et ces lieux fermés, la Cimade.
Avec Julie Savelli et Jean-Philippe Trias.
* À 18h30, au Mémorial de Rivesaltes : La guerre est proche de Claire Angelini (2011).
À Paris, au Trois Luxembourg, c’est le cinéclub CinéCrime, en partenariat avec la revue Savoirs et Clinique.
Ce soir, "Crime et folie, comment le cinéma y répond-il ?" :
* À 20h30 : L’Obsédé (The Collector) de William Wyler (1965).
Présentation par Geneviève Morel.
En France, ACID, ce n’est pas seulement une section parallèle du Festival de Cannes, mais aussi, depuis 2018, une université populaire, tout au long de l’année ACID POP dans les salles partenaires (novembre 2023-juillet 2024).
À Paris, ce soir, au MK2 Quai de Seine on réfléchit sur la banlieue :
* À 19h50 : Grand Paris de Martin Jauvat (2022).
En sa présence avec Idir Serghine.
À Bruxelles, l’association Émergences se situe au croisement de la connaissance de soi et de l’engagement citoyen et écologique (se changer, changer le monde). Elle travaille à une société plus juste, apaisée, solidaire et bienveillante en développant la dimension du care (prendre soin de soi, des autres, et du vivant).
Ce soir :
* À 20h00 : Vers la Symbiocène ? Prendre au sérieux la reconnexion avec les non-humains.
Conférence de Pablo Servigne.
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À Paris, à l’ENS du boulevard Jourdan, salle Lucy-Prenant, l’Institut des textes et manuscrits modernes (ITEM-CNRS-ENS), en partenariat avec l’Université de Poitiers, se tient un séminaire : Aragon, Une Vague de rêves, 1924-2024
De 9h45 à 16h30, au programme de la journée :
* Daniel Bougnoux : La vague, la mer, la mère vague.
* Jean-François Rabain : Une Vague de rêves. Naissance du Surréalisme : Aragon et Breton.
* Maryse Vassevière : Une Vague de rêves : matière mentale et océan d’images.
* Luc Vigier : Du récit de rêve dans La Révolution surréaliste.
Bonne lecture :
* Louis Aragon, "Une Vague de rêves", revue Commerce n°2, octobre 1924. Une Vague de rêves, Paris Seghers, 1990. Réédition, postface de Marie-Thérèse Eychart, Paris, Seghers, 2024.
Calendrier des expositions dans le monde.
À Lyon, on passe la nuit avec avec Jérémy Cottin, à l’Institut Lumière, : La Comédie américaine
Au programme, quatre films, avec café-croissant au petit matin.
* Mary à tout prix (There’s Something About Mary) de Bobby & Peter Farrelly (1998).
* The Mask de Chuck Russel (1994).
* Frangins malgré eux (Step Brothers) de Adam McKay (2008).
* SuperGrave (Superbad) de Greg Mottola (2007).
À New York, le Whitney, ouvre sa collection : Harold Cohen : AARON (3 février-3 mai 2024).
Harold Cohen (1928-2016) est un artiste d’origine britannique, installé à l’Université de Californie à San Diego, qui a conçu, à la fin des années 1960, à l’intersection de l’intelligence artificielle informatique et de la peinture, un programme informatique destiné à créer des œuvres artistiques originales.
Baptisé AARON au début des années 1970, le programme n’a cessé d’évoluer : dessins abstraits au début, de plus en complexes au cours des années 1970. Dans les années 80, sont arrivés les roches, les plantes, les gens. Dans les années 1990, sont arrivés les décors et la couleur. Dans les années 2000, AARON est revenu à une imagerie plus abstraite. Au début de 2016, avant sa mort en avril, Harold Cohen a lancé un nouveau projet avec AARON appelé Fingerpainting for the 21st Century.
L’exposition présente les œuvres d’AARON, mais met également en lumière le logiciel en tant que force créatrice centrale derrière elles à travers des versions sur écran du programme et des dessins réalisés par des traceurs opérant en direct dans la galerie.
Les outils d’intelligence artificielle pour la création d’images sont devenus courants. L’exposition du Whitney fournit une perspective importante dans l’histoire de l’art.
À Paris, on se tient au courant des aventures et des bad trips de nos amis, qui tiennent des conférences de presse.
* À 11h00, à Paris, au cinéma L’Épée de bois : Le cinéma La Clef.
* À 14h00, à La Plaine Saint-Denis, à La Belle Étoile : La Compagnie Jolie Môme.
À Clermont-Ferrand, commence le Festival du court-métrage 2024 (ISFF), 46e édition, sur place ou à emporter (2-10 février 2024).
C’est le plus grand festival de courts métrages du monde.
Au programme :
* Les compétitions : Nationale (45 films français, dont 12 coproductions internationales) et son jury ; Internationale (66 films de 52 nationalités) et son jury ; Labo (24 films venus de 23 pays) et son jury.
* Hors compétition : Rétrospective thématique : Insoumises ; Focus géographique : l’Europe au féminin (+ le Royaume-Uni et la Suisse).
Trailer Panorama 2024 from ClermontFd Short Film Festival on Vimeo.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, au Cocteau : : Irène Dresel-rose fluo de Zelie Durand-Khalifat (2024) ; H24-12h-Le Cri défendu de Charlotte Abramow (2021) ; All Inclusive (Formule tout compris) de Corina Schwingruber Ilić (2018) ; Je m’appelle de Stéphane Elmadjian (2001) ; Bitch (Salope) de Lilah Vandenburgh (2006) ; Jean-Louis Murat-travaux sur la n89 de Alexis Magand & Yannick Demaison (2017) ; Sestre (Sœurs) de Kukla (2020).
Sur RFI, Entretien avec Éric Roux.
À Annonay, commence le Festival international du Premier film 2024, 41e édition (2-12 févier 2024).
Au programme 54 longs métrages dont 40 premiers longs-métrages de 31 nationalités :
* Premiers films en compétition.
* Premiers films hors compétition.
* Ils et elles sont passé-es par ici.
Ce soir, au Cordeliers, ouverture :
* À 21h00 : La Nouvelle Femme de Léa Todorov (2023).
En sa présence.
À Paris, commence le festival Allers-Retours 2024, 6e édition (2-11 février 2024).
Il est dédié au cinéma chinois par l’association Allers-Retours est une association fondée pour faire découvrir le Festival du cinéma d’auteur chinois, actuellement en plein essor.
Il se déroule au Musée national des arts asiatiques - Guimet, au Studio des Ursulines et au Pathé Les Fauvettes.
Au programme, des longs métrages et des courts métrages.
On note tout de suite :
* Dimanche 4 février 2024, à 14h00, au Musée Guimet : Dialogue avec Wang Bing.
À Lyon, il aura lieu Cinéma Lumière Fourmi (14-17 février 2024).
Ce soir, au Musée Guimet, ouverture :
* À 20h30 : Green Night (Lu ye) de Han Shuai (2023).
À Paris, au Forum des images commence le cycle Fair-play (2 février-22 mars 2024).
Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, les sportifs et les sportives ont carte blanche au Forum des images. Mais la notion de "fair-play" ouvre quantité de fenêtres sur le monde contemporain, bien au delà du domaine sportif…
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Bédéramdam (Compétition de dessin en direct).
Avec Claire Bouilhac, Pixel Vengeur, Maëlle Reat, Erwann Terrier et Eva Rollin.
À Detroit, au Détroit Institut of Arts (DIA) va commencer une exposition Regeneration. Black Cinema (1898-1971), organisée par l’Academy Museum of Motion Pictures qui rend hommage à l’héritage des cinéastes et acteurs noirs depuis l’aube du cinéma jusqu’au lendemain du mouvement des droits civiques (4 février-23 juin 2024).
Elle est précédée d’un cycle de cinéma de premiers films, présentés par les conservateurs de la DIA et des conférenciers invités, projetés dans des versions intégrales et des titres muets avec des partitions en direct interprétées par des artistes de renom, en entrée libre.
Ce soir :
* À 19h30 : The Flying Ace de Leo C. Popkin (1926).
À Paris, à l’Entrepôt, Écrans des Mondes propose Regards d’Iran 2024.
Ce soir :
* À 19h30 : La Maison silencieuse de Farnaz & Mohammadreza Jurabchian (2022).
En présence de Michel Noll.
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À New York, au MoMA commence le cycle Buñuel in Mexico (1er-20 février 2024).
Luis Buñuel 1900-1983 est né en Espagne, et est venu en France très tôt, dès 1926, où il tourne avec Salvador Dalí, ses deux premiers films, Un chien andalou (1928) et L’Âge d’or (1930) dont on connaît les malheurs. À partir de là, il connaît une vie chahutée entre Madrid, Paris et Los Angeles (il a été remarqué par Metro Goldwyn Mayer où il fait un stage). Son film suivant, Terre sans pain (1932) est interdit par le gouvernement espagnol républicain.
Il travaille pour la Paramount pour des travaux alimentaires non signés, et quand la Guerre civile éclate, il se met au service de la République. Puis repart pour les États-Unis, en 1938, où il va retrouver ses anciens amis surréalistes, André Breton, Marcel Duchamp, Max Ernst et Yves Tanguy qui sont contraint l’exil, en 1940. Il est embauché par la cinémathèque du MOMA. Mais, empêtré par la polémique avec Salvador Dali, (cf. "Babaouo. C’est un film surréaliste !", Jeune Cinéma n°276, juillet 2002), et suspect aux yeux du FBI, il va être obligé de démissionner de son poste.
Avec sa famille, il s’exile au Mexique en 1946, et il s’y fera naturaliser.
C’est au Mexique que Luis Buñuel est vraiment devenu cinéaste, au cours de l’époque la plus prospère et la plus prestigieuse du cinéma mexicain. Les films de cette période sont pourtant souvent moins bien reconnus, et considérés comme une parenthèse de son œuvre.
Ce programme présente 21 des 22 films qu’il y a réalisés entre, la plupart en copies 35 mm provenant des archives mexicaines, dont certains ne sont jamais sortis en salles aux États-Unis.
Ce soir :
* À 19h00 : Los olvidados (The Forgotten) de Luis Buñuel (1950).
En France, dans plus de 60 villes (France métropolitaine et Outre-mer)
commence le festival de science-fiction qui propose cinéma, livres, bd et jeux vidéo, Les Mycéliades 2024 2e édition (1er-15 février 2024).
Ce soir, séance inaugurale au Forum des images à Paris :
* À partir de 18h00 on se met en train, entrée gratuite) :
*Ciné-quiz Calmos : Les vidéastes les plus rigolos de France s’amusent à tester votre savoir en science-fiction.
*Table ronde : Rencontres extraterrestres.
Avec Audrey Pleynet, Caroline Freissinet, Jacques Arnould, Perrine Quennesson ainsi que les vidéastes Théo Drieu et Romain Filstroff.
* Présentation des Nuits des étoiles d’hiver par l’Association française d’astronomie (AFA) dans le Grand Foyer.
* À 21h00 : Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Michel Gondry (2004).
Présentation par le Capitaine du Nexus VI.
À Bruxelles, la Cinematek, en collaboration avec le National Cinema Center of Armenia rend hommage au cinéaste Hamo Bek-Nazarian (1891-1965), pionnier du cinéma caucasien (1er -29 février 2024).
Au programme, quatre films en ciné-concerts restaurés par les Archives cinématographiques de la Géorgie et de l’Arménie.
Ce soir :
* À 18h00 : Au pilori (Mamis Mkvleli) de Amo Bek-Nazaryan (1923).
À Rome, la Casa del cinema offre une Carte blanche à Marco Bellocchio (1er-29 février 2024).
Le cinéaste sélectionne six grands classiques qui ont influencé son imaginaire, Friedrich Wilhelm Murnau, Charlie Chaplin, Orson Welles, Carl Theodor Dreyer, Federico Fellini et Robert Bresson.
Au programme, deux rencontres de Marco Bellocchio avec Michele Placido et Fabrizio Gifuni.
Ce soir :
* À 19h30 : Citizen Kane de Orson Welles (1941).
Présentation par Marco Bellocchio.
À Frankfurt am Main, au Deutsches Filminstitut Filmmusem (DFF), commence Africa Alive 2024, 30e édition (1er-27 février 2024).
Ce soir :
* À 18h00 : Caméra d’Afrique de Férid Boughedir (1983).
* À 20h15 : Banel & Adama de Ramata-Toulaye Sy (2023).
À Bâle, à la Fondation Beyeler vient de commencer une nouvelle exposition : Jeff Wall (28 janvier-21 avril 2024).
Le photographe canadien Jeff Wall, né en 1946, est surtout connu pour ses grands transparents photographiques. Il s’inspire de la peinture et du cinéma, et met en scène ses œuvres. L’exposition est une rétrospective qui réunit 55 œuvres en provenance de collections privées et de musées internationaux, et aussi plusieurs nouvelles œuvres provenant du fonds propre de l’artiste, exposées pour la toute première fois
Le Monde diplomatique de février 2024 est paru.
Au fil du temps, tous les éditos