2024 : Journal de Adja Cissokho
* Adja Cissokho-édito 2024 ; 1er-15 janvier 2024 ; 16-31 janvier 2024 ; 1er-15 février 2024 ; 16-29 février 2024 ; 1er-15 mars 2024 ; 16-31 mars 2024 ; 1er-15 avril 2024 ; 16-30 avril 2024 ; 1er-15 mai 2024 ; 16-31 mai 2024 ; 1er-15 juin 2024 ; 16-30 juin 2024 ; 1er-15 juillet 2024 ; 16-31 juillet 2024 ; 1er-15 août 2024 ; 16-31 août 2024 ; 1er-15 septembre 2024 ; 16-30 septembre 2024 ; 1er-15 octobre 2024
À Paris, à la Cinémathèque commence une Rétrospective Pietro Germi (10-27 octobre 2024).
Présentation par Jean-François Rauger : L’homme qui fumait des cigares toscans.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Au nom de la loi (In nome della legge) de Pietro Germi (1948).
À Paris, au Christine Cinéma Club, proposé par l’association Henri-Langlois, commence le Festival Henri-Langlois 2024, 4e édition (10-13 octobre 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : No Sex Last Night de Sophie Calle & Greg Shephard (2008).
En sa présence.
À Aix en Provence (10-13 octobre 2024), puis à Marseille (17-20 octobre 2024), commencent les Rencontres Images de ville 2024 (10-20 octobre 2024).
Au programme :
* Un cinéaste, un architecte. Dialogue entre Ghassan Salhab et Antoine Atallah.
* Au gai savoir urbain. Trois conversations avec Thierry Paquot.
Ce soir :
* À 20h00, au Mazarin : Beyrouth Fantôme de Ghassan Salhab (1998).
À Paris, à l’Institut finlandais se tient le programme d’automne, Entre ciel et terre, une exploration de notre relation avec la nature et une réflexion écologique à l’intersection de l’art et de la science à travers l’art, le cinéma, la musique, la gastronomie durable.
* Une exposition multimédia en entrée libre : Futurs Horizons (4 octobre-21 décembre 2024), avec les œuvres de Anna Niskanen et de Josefina Nelimarkka.
* Un cycle de projections (10-26 octobre 2024).
Ce soir :
* À 19h00 : Les Amis de la forêt (Havumetsän lapset) de Virpi Suutari (2024).
Présentation par Irmeli Debarle.
À Paris, à l’Entrepôt, c’est la séance mensuelle du cinéclub Regards d’Iran, une des sections de Écrans du monde.
* Une sombre loi tacite (The Dark Way) de Anahid Davari (2021).
* Symphonie d’Iran (Symphony of Iran) de Vahid Mousaian (2018).
À Paris, à la Grande Halle de la Villette, c’est le Salon de la photo 2024 (10-13 octobre 2024).
À Londres, commence le BFI London Festival 2024, 68e édition (9-20 octobre 2024).
Au programme :
* Galas.
* Events.
Ce soir, Opening Night Gala :
* À 18h45, Southbank Centre, Royal Festival Hall : Blitz de Steve Mc Queen (2024).
À Gand, commence le Film Fest Gent 2024, 51e édition (9-20 octobre 2024).
Au programme :
* Shorts.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Small Things Like These de Tim Mielants (2024).
À Sète, commence un nouveau festival, porté par l’association sétoise In the Mood for Films, consacré aux créations audiovisuelles : CreaTVty 2024, 1ère édition (9 au 12 octobre 2024).
Toutes les séances sont en entrée gratuite (sauf la cérémonie de clôture).
Au programme, 6 films de télévision, 12 courts métrages d’animation et 6 web séries.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Olympe, Une Femme dans la Révolution de Mathieu Busson & Julie Gayet (2024).
En leur présence.
À Paris, à l’Arlequin, commence, organisé en coopération avec German Films, le Festival de cinéma allemand 2024, 29e édition (9-13 octobre 2024)
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Berlin, été 42 (In Liebe, Eure Hilde) de Andreas Dresen (2024).
En présence de Judith Kaufmann.
On note tout de suite sa masterclass de la directrice de la photographie Judith Kaufmann, demain jeudi 10 octobre 2024, à 13h00, au Goethe Institut.
À Paris, commence, organisé par la Ville de Paris et les cinémas UGC, le Festival Paris Ciné contre les discri’ 2024, 2e édition (9-5 octobre 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, au UGC Ciné Cité Bercy : Le Panache de Jennifer Devoldere (2024).
En présence de l’équipe du film.
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence le nouveau cycle, Cinéma muet danois / Carte blanche au Danske Filminstitut (9 octobre-5 novembre 2024).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : Le Président (Præsidenten) de Carl Th. Dreyer (1919).
* À 16h30 : La Nuit de la vengeance (Hævnens Nat) de Benjamin Christensen (1916).
À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Darejan Omirbaev (9-16 octobre 2024).
Présentation par Eugénie Zvonkine : Darejan Omirbaev, poète de la retenue.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Kaïrat (Kairat) de Darejan Omirbaev (1991).
À Blois, commencent les Rendez-vous de l’Histoire 2024, 27e édition (9-13 octobre 2024).
Au programme :
* La thématique 2024 : La Ville.
* Carte blanche à Criminocorpus : Villes criminelles, villes justicières. Un patrimoine sombre, de l’Antiquité à nos jours.
* Les sections : L’Histoire en débats=41] ; Salon du livre=43] ; Atelier pédagogique=46] ; L’économie aux RV de l’Histoire=61] : L’Histoire sous d’autre formes.=45]
* Le Cycle cinéma.=44]
Ce soir, un film très remarquable :
* À 20h30, Lobis, salle2 : Les Colons (Los Colonos) de Felipe Galves (2023).
Les sorties sur les grands écrans
* L’Air de la montagne - pour tous et pour personne (Die Höhenluft - für Alle und Keinen) de Mika’Ela Fisher (2023).
* Un amor de Isabel Coixet (2023).
* The Apprentice de Ali Abbasi (2024).
* L’Histoire de Souleymane de Boris Lojkine (2024).
* À l’ombre de l’abbaye de Clairvaux de Éric Lebel (2024).
* Niki de Céline Sallette (2024).
* Lee Miller de Ellen Kuras (2024).
Les ressorties sen versions restaurées
* La Noire de... de Ousmane Sembène (1966).
Et six films de Alejandro Jodorowsky : Fando et Lis (1968) ; El Topo (1970) ; La Montagne sacrée (1973) ; Tusk (1980) ; Santa Sangre (1989) ; Le Voleur d’arc en ciel. (1990)
À Madrid, à la Cineteca, commencent 2 cycles :
* México : formas de habitar un territorio (8-13 octobre 2024).
Ce soir :
* À 20h00, sala Azcona : Kenya de Gisela Delgadillo (2023).
Faites votre programme México.
Et
* Colombia : el gótico tropical (8-10 octobre 2024)
Ce soir :
* À 19h30, sala Plató : Pura sangre de Luis Ospina (1982)
Faites votre programme Colombia.
À Marseille, au Vidéodrome2 commence un cycle proposé par Sabrina Chebbi & Galadio Parfait Kaboré, avec le soutien de la Cinémathèque du documentaire. : Cinéma de résistance au colonialisme (8-13 octobre 2024).
Ce soir, à 20h30 :
* Scènes des archives de Labudović / Ciné-guérillas de Mila Turajlić (2022).
* Algérie en flammes de René Vautier (1958).
À Pontarlier, c’est la séance du mardi du cinéclub Jacques-Becker.
Ce soir, au Théâtre Bernard-Blier :
* À 18h30 et 21h45 : Le Défi du champion (Il campione) de Leonardo d’Agostini (2019).
À Paris, au Louxor, se tient une exposition de photos de Rodrigo Pais : La nostalgie de l’avenir (28 septembre-20 décembre 2024).
Ce soir :
* À 19h00, Mairie du 10e, salle des mariages : Marcello Mastroinanni cent ans.
Table ronde avec Jean-Max Méjean, Audrey Norcia et Valentin Misino.
À Toulouse, au Muséum d’histoire naturelle commence un nouvelle exposition : Géants (8 octobre 2024-29 juin 2025).
Un voyage dans le temps à la rencontre de huit espèces méconnues du Cénozoïque à travers 3 squelettes à taille réelle et 5 sculptures 3D titanesques.
Le Muséum propose aussi des courts métrages à visionner en ligne pendant une semaine (dès le 1er lundi de chaque mois).
* La nuit des sacs plastiques de Gabriel Harel (2018).
* Hybrids de Mathieu Pujol, Florian Brauch, Kim Thailhades, Yohan Thireau & Romain Thirion (2017).
HYBRIDS de Mathieu Pujol, Florian Brauch, Kim Thailhades, Yohan Thireau, Romain Thirion (France – 2017 – 6 min - Animation) from museumdetoulouse on Vimeo.
À Châlons-en-Champagne, commence le festival international de cinéma War on Screen 2024, 12ème édition (7-13 octobre 2024).
Au programme :
* Invité d’honneur : Costa-Gavras.
* Compétitions : longs métrages ; courts métrages.
Et Jurys.
Ce soir, ouverture :
* À 20h30 : Le Déluge de Gianluca Jodice (2024).
À Paris, au MK2 Odéon, avec l’Agence du court métrage, reprennent les séances mensuelles, chaque premier lundi du mois, de Déjà demain.
Ce soir, à 20h00 : Robespierre de Pierre Menahem (2024) ; Où est passée Cécile ? de Esther Jouzeau (2024) ; The Wandering Ghost de Félix de Givry (2023) ; Scale de Joseph Pierce (2022).
En présence de Pierre Menahem, Esther Jouzeau et Hélène Mitjavile.
À Grenoble, la Cinémathèque dans le cyle C’est la vie, une soirée particulière.
Ce soir :
* À 19h00, au cinéma Juliet-Berto : La vie est immense et pleine de dangers de Denis Gheerbrant (1994)
En sa présence.
À Paris, au Théâtre de la Ville Sarah-Bernhardt, c’est le point d’orgue de la célébration du centenaire de Armand Gatti (1924-2017).
Ce soir :
* À 20h00 : La Scène imaginaire d’Armand Gatti.
Enregistrement public par France Culture.
Michel Blanc (1952-2024) est mort dans la nuit de jeudi 3 octobre 2024.
Cette mort a surpris tout le monde, pas seulement parce qu’elle était brutale et prématurée, mais peut-être aussi parce que les acteurs catalogués comme drôles, comme les acteurs à grand succès, ne peuvent pas mourir.
Les premiers désolés ont été ses copains de lycée, pas n’importe qui, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Christian Clavier, Gérard Jugnot Marie-Anne Chazel, avec qui il avait constitué, à 22 ans, la bande du Splendid, en 1974 - seule manquait Anémone (1950-2019) -, de fidèles amis qu’il n’aura jamais vraiment quittés, tout au long de sa riche carrière.
En fait, les hommages sont innombrables, et viennent de toutes parts, notamment des politiques qui s’en sont mêlés. C’est que Michel Blanc était un acteur populaire et, qu’en ces temps troubles, tout est bon pour rester connecté au peuple.
Populaire, il l’était, d’abord parce qu’il était drôle, mais aussi parce que, dans les années 1970, il était là, dans le paysage, d’abord avec des petits rôles mais avec de grands réalisateurs (Bertrand Tavernier, Claude Miller, Roman Polanski, Luc Béraud, Gérard Pirès...), et dans des films à succès, jamais moins de deux films par an.
C’est en 1978, qu’il est devenu quasiment une star, sous la direction de Patrice Leconte avec deux films, Les Bronzés (1978) et Les Bronzés font du ski (1979).
Avec son corps de gringalet, sa calvitie précoce, et sa grande intelligence, il s’était constitué un personnage dont on se repassait les répliques devenues "culte", comme on dit. Que ce soit avec Patrice Leconte - à peine plus âgé que lui - que sa carrière ait décollé n’est pas étonnant. On détecte dans les deux itinéraires, cette cohabitation entre deux registres parallèles, comique et dramatique. Avec lui, il aura tourné huit films.
Le grand succès d’un personnages est toujours périlleux, il devient une étiquette, dont il est souvent très difficile de se débarrasser. Les années suivantes, Michel Blanc va continuer à tourner, sans arrêt, dans des films comiques à succès.
Et puis, dans les années années 1980, il réagit à cet enfermement.
D’abord en 1984, il passa à la réalisation. Il y perpétua son personnage hypocondriaque et râleur. Il connaissait le travail de scénariste, avec la bande du Splendid, et depuis sa collaboration avec Patrice Leconte, mais là, en passant derrière la caméra, il avait obtenu un autre statut, une autre image, et le film fut un succès : Marche à l’ombre (1984).
C’est alors, au sommet de sa gloire, que s’amorça un vrai tournant en deux temps.
D’abord, il tourna dans un film remarquable et risqué, Tenue de soirée de Bertrand Blier (1986). Les films du cinéaste sont toujours hors catégorie. Ce film-là, où Michel Blanc se travestit en femme, totalement à contremploi étant donné son physique, non seulement fut couvert d’honneurs à l’époque (Meilleur Acteur au Festival de Cannes, et multiples Césars pour le film), mais peut être considéré aujourd’hui, par son sujet, comme un film précurseur de notre temps. Michel Blanc retrouvera Bertrand Blier dans Merci la vie (1990).
En 1989, ce fut avec Patrice Leconte, sinon son alter ego, du moins son plus proche, qu’il confirma son nouveau terrain de jeu, avec un film où tous deux exploraient ensemble, dans un même mouvement, la face sombre de leurs talents. C’est Monsieur Hire d’après Georges Simenon, et ça marche (Festival de Cannes 1989 et Césars). C’est ce film qui aura probablement joué un rôle majeur dans sa mutation, puisqu’à partir des années 2000, il va privilégier le registre dramatique. À part quelques exceptions, dont Les Bronzés 3 en 2006, une erreur, qui ferai un bide. Autres temps, autres humours.
Un film surtout le consacra comme un acteur hors pair, débarrassé de tous ses oripeaux de clown triste, un film politique, L’Exercice de l’État de Pierre Schoeller (2011), une film qui, lui aussi, fut honoré à Cannes et aux Césars. Ce fut son acmé.
À partir des années 2010 et 2020, au tournant de sa soixantaine, il était retourné à des seconds rôles, ou à des films mineurs, pourtant suivi régulièrement par son public.
Tout le monde connaît Michel Blanc, mais en y regardant de plus près, à l’heure des bilans, si on fait le point de sa carrière, on est épaté de son ampleur, de sa finesse, et de ses honneurs.
Il y a le cinéma : comme acteur, entre 1974 et 2024, en 50 ans, 98 films ; comme réalisateur, entre 1984 et 2018, 5 films ; et comme scénariste, entre 1975 et 2018, 18 films. Il y a le théâtre, aussi, entre 1976 et 1995, avec cinq Molières. Et dix films à la télévision entre 1977 et 2004. Il n’a travaillé qu’en France, une interrogation s’impose : s’il avait pris le temps, aurait-il pu faire des films à l’étranger et y avoir autant de succès ?
Nous attendons deux films avec lui qui sont en post productions : La Cache de Lionel Baier (2024) et Le Routard de Philippe Mechelen & Julien Hervé (2024). Quelle que soit la qualité des ces deux film, nul doute que son public sera là, affectueux, fidèle.
À Pordenone, commencent les Giornate del cinema muto 2024, 43e édition (5-12-octobre 2024).
C’est le plus grand festival du film muet au monde.
Au programme, notamment : Focus sur l’Amérique latine et sur l’Ouzbékistan, Centenaire de Giacomo Puccini (1858-1924), célébration du décorateur Ben Carré (1883-1978), et de l’actrice Anna May Wong (1905-1961).
* Omaggio a David Bordwell (1947-2024).
Ce soir, Teatro Verdi, evento inaugurale, à 21h00 :
* 3 Sublimes Canailles (3 Bad Men), aka I tre furfanti de John Ford (1926).
Accompagnement musical par Timothy Brock, avec l’Orchestra da Camera di Pordenone.
* Redécouvertes : Peg o’ the Mounted de Alfred J. Goulding (1924).
Pianoforte : Daan van den Hurk.
* À 23h00, Uzbekistan : Klych de Yuldash Agzamov (1935).
Les Giornate del cinema muto 2024, seront reprises à Paris, à la Fondation Seydoux, en novembre 2024.
En France, commence la Fête de la science 2024, 33e édition (4-14 octobre 2024).
Thématique 2024 : Océans de savoirs.
À Toulouse, et en toute l’Occitanie, commence le festival de cinéma espagnol et portugais Cinespaña 2024, 29e édition (4-13 octobre 2024).
Au programme :
* Les compétitions : Fictions ; Nouveaux cinéastes ; Documentaires.
Et leurs Jurys.
* Les concerts : ¡Que viva la fiesta !
* L’exposition : Brujas. Photographies de Judith Prat (11 septembre-31 octobre 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 21h00, à l’ABC : Un amor de Isabel Coixet (2023).
À Nice, dans toute la ville, organisé par l’association Héliotrope, et en collaboration avec la Cinémathèque de Nice, commence le festival européen du court métrage, Un Festival C’est Trop Court 2024, 24e édition (4-11 octobre 2024).
Au programme :
* À l’honneur : La Grèce.
Avec, à la Cinémathèque, une Rétrospective Costa Gavras.
Aujourd’hui :
* À 16h30 : L’Aveu de Costa Gavras (1970).
* À 19h00 : Porté disparu (Missing) de Costa Gavras (1982).
Et pour les courts métrages, un partenariat avec le Centre du cinéma grec, l’Institut français d’Athènes, et le Festival international de court métrage de Drama.
* Les compétitions : Européenne ; Expérience ; Animation ; Courts d’ici.
Ce soir, accueil, gratuit sur réservation :
* À 19h00, Villa Arson : un voyage onirique.
Avec notamment La Voix des Sirènes de Gianluigi Toccafondo (2023).
Dimanche 6 octobre 2024, soirée d’ouverture, au 109, en entrée libre.
À Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP), commence une : Kaijû. Une histoire monstrueuse du cinéma japonais, 1954-2024 (4 octobre-9 novembre 2024)
Ce soir, le film fondateur du kaijû eiga (film de monstres) :
* À 19h30 : Godzilla (Gojira) de Ishirô Honda (1954).
Autour de la rétrospective :
* Kaijû, les titans du cinéma japonais, conférence.
* "Godzilla Day" à la Cinémathèque française.
À Fameck / Val de Fensch, commence le Festival du film arabe 2024 (FAFF), 35e édition (3-13 octobre 2024).
Au programme :
* Parrain d’honneur : Magyd Cherfi.
* Pays : La Jordanie.
Ce soir, inauguration décentralisée à Sarreguemines :
* À 20h00, au Forum : Barbès, little Algérie de Hassan Guerrar (2024).
À Paris, à la Cinémathèque, commence le cycle 50 ans de MK2 (3-12 octobre 2024).
Présentation de Tristan Brossat : La curiosité en partage.
Ce soir, ouverture :
* À 20h30, salle Henri-Langlois : Sauve qui peut (la vie) de Jean-Luc Godard (1979).
Présentation par Marin Karmitz.
À Venise, le Palazzo Grassi invite The International Festival of Films on Art (FIFA) de Montréal, 4e édition (3-6 octobre 2024).
Au programme 2024, une sélection de courts et longs métrages sur les arts visuels, l’architecture, l’art environnemental et la nature, et des portraits d’artistes.
Ce soir, à 18h00, au Teatrino, en entrée libre :
* Ancestral Threads de Sean Stiller (2023).
* Fashion Reimagined de Beckly Hutner (2022)
À Toulouse, la Cinémathèque est fermée pour travaux. À partir du 15 octobre 2024, jusqu’au premier trimestre 2026, elle proposera une programmation hors les murs au Pathé Wilson (du mardi au jeudi) et aux Abattoirs (du vendredi au dimanche).
Ce "hors les murs" commence à la Cité internationale de l’Université de Toulouse, avec le magazine mensuel et gratuit Clutch : c’est Clutchorama.
Ce soir, un programme de films animés des années 1930 :
* À 19h00, en entrée libre : Ça cartoon !.
Ciné-concert avec Spatiosselet.
À Paris, aux Ursulines, c’est le cinéclub mensuel de Florence, tous les premiers jeudis du mois : Grand Écran.
Ce soir :
* À 20h00 : Barry Lyndon de Stanley Kubrick (1975).
À Paris, à la Maison de la poésie on découvre la vie d’aventurier de Werner Herzog à travers ses Mémoires.
Ce soir :
* À 19h00 : Werner Herzog-Mémoires. Chacun pour soi et Dieu contre tous.
Rencontre animée par François Angelier, avec Josie Mély.
Bonne lecture :
* Werner Herzog, Jeder für sich und Gott gegen alle, Munich, Hanser, 2022. Mémoires. Chacun pour soi et Dieu contre tous, traduction de Josie Mély, Paris, Séguier, 2024.
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À Paris, la galerie Les Yeux Fertiles programme Aux sources de la beauté convulsive, en 3 expositions successives :
* Aux sources de la beauté convulsive, part 1 (6 septembre-19 octobre 2024).
Hans Bellmer, Jean Benoît, Jorge Camacho, Salvador Dali Adrien Dax, Jean-Pierre Duprey, Jacques Hérold, André Masson, Pierre Molinier, Mimi Parent, Jean-Claude Silbermann, Max Walter Svanberg.
* Aux sources de la beauté convulsive, part 2 (24 octobre-20 novembre 2024).
Jacques Carelman, Henri Goetz, Jacques Le Maréchal, Jean Peyrissac, Endre Rozsda, Philip West et Suzanne van Damme.
* Aux sources de la beauté convulsive, part 3 (5 décembre 2024-11 janvier 2025)
Fabian Sanchez les Machines anthropomorphiques.
À Paris, à la Cité de l’Économie commence une nouvelle exposition, Janine Niépce. Regard sur les femmes et le travail (3 octobre 2024-5 janvier 2025).
À Busan, commence le Festival international du film 2024, 29e édition (2-11 octobre 2024).
Au programme :
* Les deux compétitions : Jiseok ; New Currents. Et Jury.
* Les sections : Icons ; A Window on Asian ; Korean Cinema Today ; World Cinema ; Flash Forward ; Wide Angle ; Open Cinema ; Midnight Passion ; On Screen ; Special Program in Focus ; Galas.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 18h00 : Soulèvement (Jeon, ran), aka Uprising de Kim Sang-man (2024).
À Dinard, commence le Festival du film britannique et irlandais 2024, 35e édition (2-6 ctobre 2024).
Au programme :
* Les compétitions : Compétition principale ; Compétition Talent de demain.
Le Jury et les Prix
* Les sections : No Woman, No Cry ; Outsiders ; With a Little Help from my Friends ; Sélection Shortcuts ; Séances spéciales ; Other People’s Lives.
Ce soir :
* À 21h00 : The Outrun de Nora Fingscheidt (2024).
Demain soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h00 : Timestalker de Alice Lowe (2024).
À Auch, au Ciné 32, commence le festival Indépendance(s) et création 2024, 27e édition (2-6 octobre 2024)
Au programme : 54 films en avant-première et 20 rencontres avec les cinéastes et les équipes invitées.
Ce soir, ouverture :
* À 18h00 : Discours d’ouverture, suivi du cocktail d’inauguration
* À 19h30 : La Vallée des fous de Xavier Beauvois (2024).
À Meudon, commence le Festival du court métrage d’humour 2024, 35e édition (2-6 octobre 2024).
Au programme et le Jury.
Ce soir, ouverture :
* À 20h30, Compétition1 : Bornéo de Bastien Daret (2024) ; Les Piscinistes de Elliott Suu, Anthony Dubos & Thomas de Fouchécour (2023) ; Wesh Rimbaud de Dimitri Lucas (2024) ; Fffff de Julia Boutteville (2024) ; Les Mystérieuses Aventures de Claude Conseil de Marie-Lola Terver & Paul Jousselin (2023) ; Treizor de Fabien Brochard (2023) ; Contagion de Quentin Ogier (2024) ; À l’occasion de Émilie Pottier (2024).
À Paris, dans le cadre du Festival d’automne 2024 le Centre Pompidou rassemble pour la première fois toutes les facettes de l’œuvre du maître thaïlandais (rétrospective, exposition, performance, réalité virtuelle, rencontres, publication) : Apichatpong Weerasethakul. Des lumières et des ombres (2 octobre 2024-6 janvier 2025).
* Rétrospective intégrale des films. (2 octobre-9 novembre 2024).
* Exposition Particules de nuit (2 octobre 2024-6 janvier 2025).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, Cinéma1 : Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures (Lung Boonmee raluek chat) de Apichatpong Weerasethakul (2010).
En sa présence.
Bonne lecture :
* Antoine Thirion éd., Homes. Apichatpong Weerasethakul, Montreuil, Éditions de l’Œil, 2024.
À Paris, au Luminor Hôtel de ville, commence le festival Viva Mexico 2024 (2-8 octobre 2024).
Au programme :
* Comité d’honneur https://www.viva-mexico-cinema.org/edition2021/lecomitedhonneur
* Invités https://www.viva-mexico-cinema.org/edition-2024/invites2024
* Masterclass
https://www.viva-mexico-cinema.org/masterclass2024
* Cine Joven https://www.viva-mexico-cinema.org/edition-2024/cinejoven2024
* Cine Niño https://www.viva-mexico-cinema.org/cinenino2024
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Si proche des nuages (Tan cerca de las nubes) de Manuel Cañibe (2024).
À Paris, au Grand Action commence le festival de cinéma indien, Gange sur Seine 2024, 2e édition (2-8 octobre 2024).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Kaleidoscope Now de Anjan Dutt (2023).
Les sorties sur les grands écrans
* Super Seniors (Silver Servers) de Dan Lobb (2023).
* All We Imagine as Light de Payal Kapadia (2024).
* La Sirène à barbe de Nicolas Bellenchombre & Arthur Delamotte (2024).
* Quand vient l’automne de François Ozon (2024).
* Maya, donne-moi un titre de Michel Gondry (2024).
* Joker : Folie à Deux de Todd Phillips (2024).
* Drone de Simon Bouisson (2024).
La ressortie en version restaurée
* Papa est en voyage d’affaires (Otac na službenom putu) de Emir Kusturica (1985).
À Bruxelles, commence le festival international du film de femmes Elles Tournent /Dames Draaien 2024, 16e édition (1er-6 octobre 2024).
Il se déroule dans 4 salles : le Palace ; l’Aventure ; les Galeries ; la Cinematek. Il semble que, cette année, son nom change et devienne désormais le "Brussels International Women’s Film Festival", ce qui est, effectivement, tellement plus moderne.
Au programme 48 films dont 13 longs métrages et 35 courts métrages :
Ce soir, ouverture :
* À 18h45, au Palace : Gloria de Margherita Vicario (2024).
En présence de Sara Mafodda et Galatéa Bellugi.
À cette occasion, la Cinematek propose une rétrospective intégrale de Fien Troch (30 septembre-5 octobre 2024), qui s’est ouverte hier avec une soirée de ses courts métrages (1998-2001).
Ce soir :
* À 21h15, à Ledoux : Le Bonheur de l’autre (Een ander zijn geluk) de Fien Troch (2005).
Faites votre programme Cinematek.
À Palma de Majorque, commence le festival MajorDocs 2024, 6e édition (1er- 5 octobre 2024).
Au programme :
* Invité d’honneur : Nicolas Philibert.
* Master class : Cine ciego par Marta Azparren.
* Courts métrages des îles Baléares.
Ce soir, ouverture :
* À 17h30 : Sur l’Adamant de Nicolas Philibert (2022).
* À 20h30 : Tótem de Macià Florit (2024)
À Bologne, la Cineteca rend hommage à Vittorio de Sica (1901-1974), avec une exposition, à la Galleria Modernissimo, ainsi qu’une rétrospective Tutti De Sica. Regista & interprete. (1er octobre 2024-12 janvier 2025).
Sont exposés des images uniques sur et hors plateau, des objets cultes, des documents personnels, les malles de souvenirs de ses fils Emi, Manuel & Christian De Sica.
Ce soir, inauguration :
* À 20h15 : Sciuscià de Vittorio De Sica (1946).
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À Zürich, au Film Podium commence un hommage à l’irrésistible : Marlene Dietrich : Das unwiderstehliche Vielleicht (1er octobre-14 novembre 2024).
Ce soir :
* À 20h45 : Shanghai Express de Josef von Sternberg (1932).
À Francfort, au DFF Hommage Marcello Mastroianni (1er-30 octobre 2024).
Ce soir :
* À 20h30 : Dimanche d’août (Domenica d’agosto) de Luciano Emmer (1950).
À Paris, aux Ursulines, c’est le cinéclub mensuel de Loïc Barché & Mathieu Farelly Les films ont des secrets
Ce soir :
* À 19h30 : Sous le soleil (Aftersun) de Charlotte Wells (2022).
À Pontarlier, c’est la séance du mardi du Cinéclub Jacques-Becker.
Ce soir, au Théâtre Bernard-Blier :
* À 18h30 et à 19h45 : La Combattante de Camille Ponsin (2020).
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA), cinéma avec une avant-première d’Arabie saoudite.
Ce soir :
* À 20h00, à l’Auditorium : Norah de Tawfik Alzaidi (2024).
Le Monde diplomatique d’octobre 2024 est paru.
Au fil du temps, tous les éditos