Journal de Adja Cissokho (juillet 2024) I
1er-15 juillet 2024
publié le samedi 13 juillet 2024


Samedi 13 juillet 2024

 

À Amsterdam, pour l’été, l’Eye propose une grande fête aux Frères Coen (11 juillet-11 septembre 2024).


 

Au programme, une rétrospective, leurs dix-huit longs métrages, leurs courts métrages, les films qu’ils ont réalisés en solo, les films qu’ils ont scénarisés.
Mais aussi cinq films avec leur actrice préférée, Frances McDormand, ainsi que des films qui les ont inspirés.


 

L’ouverture s’est faite le jeudi 11 juillet 2024 avec leur premier film, qui fête ses 40 ans, Blood Simple de Joel & Ethan Coen (1984)


 

Aujourd’hui :

* À 14h15 : Salesman de Albert & David Maysles (1969).


 

* À 19h15 : Fargo de Joel & Ethan Coen (1996).


 

Faites votre programme.


À Paris, la Maison européenne de la photographie (MEP) met à l’honneur les sportifs.

Ce soir, cinéma :

* À 18h00 : Muhammad Ali the Greatest de William Klein (1964).


 


À Metz, au Centre Pompidou-Metz, dans la Galerie2, commence la nouvelle exposition : Voir le temps en couleurs. Les défis de la photographie (13 juillet-18 novembre 2024).


 

L’exposition (commissariat : Sam Stourdzé) réunit près de 300 œuvres et 50 photographes, offrant une traversée inédite des grands défis techniques qui ont jalonné l’histoire de la photographie (dispositifs optiques et mécaniques, procédés chimiques, propriétés physiques innovantes, avènement de l’instantané...)


 


À Venise, dans le cadre de la Biennale 2024, au Palais Venier dei Leoni, l’exposition temporaire de la Collection Peggy Guggenheim, c’est un hommage à un artiste controversé : Jean Cocteau. La rivincita del giocoliere (13 avril-16 septembre 2024).


 

Il s’agit de la plus grande rétrospective jamais organisée consacrée en Italie à Jean Cocteau (1889-1963). Elle rassemble plus de cent cinquante œuvres dans une variété impressionnante de supports : dessins, graphiques, bijoux, tapisseries, documents historiques, livres, magazines, photographies, documentaires et films.


 



Vendredi 12 juillet 2024

 

À Paris, aux Arènes de Lutèce, au Paris Cinéma Club et à l’Institut culturel italien commence le festival Dolce Cinema sur Seine 2024, 3e édition (12-16 juillet 2024).


 

Au programme :

* Hommage à Marcello Mastroianni (1924-1996), dont c’est le centenaire, en collaboration avec Cinecittà.

* L’exposition photo Hello, César !

* Ristretto, concours de courts-métrages des deux grandes écoles de cinéma : la Fémis à Paris, et le Centro sperimentale di cinematografia à Rome.

* Dès 17h00 : Rendez-vous in piazza, aux Arènes de Lutèce, avec un vrai bar italien des années 1970, un cinéma en plein air aux 400 transats, des Maciste en photo, une bande son originale.

Ce soir, en avant première mondiale de la copie restaurée en 4K par Cinecittà :

* À 18h30, au Christine : Casanova 70 de Mario Monicelli (1964).
Présentation par Aurore Renaut.


 

* À 20h30, ouverture en accès libre, aux Arènes de Lutèce, en duplex avec Rome : Une journée particulière (Una giornata particolare) de Ettore Scola (1977).
Présentation par Aurore Renaut.


 

Faites votre programme.


À Rome, en symétrique, la Casa de cinema, accueille Nouvelle Vague sul Tevere 2024, 3e édition (12-16 juillet 2024).


 

Ce soir, ouverture :

* À 21h00, Villa Borghese : Vivement dimanche de François Truffaut (1983).
Présentation de Aureliano Tonet et Carolina Pavone.


 

Faites votre programme.


À New York, au Lincoln Center, commence le New York Asian Film Festival 2024 (NYAFF), 23e édition (12–22 juillet 2024).


 

Ce soir, Opening Night :

* À 20h00 : Victory de Park Beom-su (2024).
En sa présence, avec Lee Anna, Lee Hye-ri et Park Se-wan.


 

Faites votre programme.



Mercredi 10 juillet 2024

 

À Paris, à la Cinémathèque, en association avec Carlotta Films et le Festival de La Rochelle, commence une Intégrale Marcel Pagnol (10-21 juillet 2024).

Présentation par Jérôme Momcilovi : Refaire le monde.

Ce soir, ouverture :

* À 20h00, salle Henri-Langlois : Angèle de Marcel Pagnol (1934).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Centre culturel coréen, se tiennent trois expositions, gratuites, et accessibles sans réservation (quel plaisir !) :

* Dans les salle d’expositions : Noli : Jeux coréens (24 mai-5 octobre 2024).


 

Sur trois niveaux, l’exposition présente un tour d’horizon historique et ludique de la Corée des jeux (jeu : noli en coréen), allant des divertissements autrefois réservés à la noblesse à l’eSport sud-coréen en devenir, en passant par les jeux et les sports appréciés par les classes populaires d’hier et d’aujourd’hui.


 

* À l’Auditorium : Mouvement (21 juin-21 septembre 2024).


 

À l’occasion de la Saison Corée 2024, une installation immersive du vidéaste français Jean-Julien Pous et des coréens Kayip, le compositeur Lee Woo-jun et l’animateur 3D Lee Jihyun sur le thème du "ki", c’est-à-dire de l’énergie, qui figure, de manière abstraite, les corps dynamiques des athlètes des Olympiades.


 

* Dans la salle de lecture : L’origine de la K-Culture (5 juin-30 août 2024).


 

L’exposition met les livres coréens à l’honneur, dans le cadre des échanges littéraires France-Corée. Elle est aussi l’occasion de découvrir la littérature numérique, avec une vingtaine de romans web coréens.
Par ailleurs, elle programme des rencontres avec quatre auteurs (12-16 juin 2024).


Les sorties sur les grands écrans

* Saravah de Pierre Barouh (1969).

* Here de Bas Devos (2023).

* Only the River Flows de Shujun Wei (2023).

* Les Gens d’à côté de André Téchiné (2024).

* Sons de Gustav Möller (2024).

* La Récréation de juillet de Pablo Cotten & Joseph Rozé (2024).

Les ressorties en versions restaurées

* Napoléon vu par Abel Gance, partie 1 & 2 (1927).

* Partie de campagne de Jean Renoir (1946).

* Trois films avec Ninón Sevilla (1950-1954) : L’Aventurière de Alberto Gout (1950) ; Victimes du péché (Víctimas del pecado) de Emilio Fernandez (1951) ; Prends-moi dans tes bras (Llévame en tus brazos) de Julio Bracho (1954).

* Arizona Dream de Emir Kusturica (1992).

* Val Abraham de Manoel de Oliveira (1993).

* Trilogie Dead or Alive de Takashi Miike (1999-2002) : Dead or Alive (1999) ; Dead or Alive 2 : Birds (2000) ; Dead or Alive : Final (2002).



Samedi 6 juillet 2024

 

À Paris, au Pavillon de l’Arsenal, se tient une chouette exposition, À Vélo. Paris Métropole 1818-2030 (1er juin-29 septembre 2024).


 

Le vélo est aujourd’hui considéré comme un symbole de l’écologie politique, et Paris comme l’une de ses capitales mondiales.


 

Mais c’est l’aboutissement d’une longue histoire. L’exposition présente deux siècles d’histoire à travers cartes originales, affiches, films et photographies.


 


 

Les visites guidées sont gratuites le week-end. Il faut s’inscrire.

Aparté :
Tout le monde ne peut pas faire du vélo. Quand il fait mauvais temps, c’est désagréable, quand on est chargé, ou avec des enfants, ce n’est pas commode.


 

On se demande, depuis plusieurs années, pourquoi ne sont pas mutipliés dans la ville, pour les petits courses notamment, les rickshaws, tuk tuks, cyclo-pousses, cyclotaxis et autres samlos (à part quelques publicités que l’on voit de temps en temps dans les rues). Depuis le 19e siècle, ils pullulaient partout en Asie, que le vélo soit devant ou derrière les passagers. Hélas, d’ailleurs, ils sont aussi remplacés par les motos hyper polluantes, mais peut-être est-ce un passage obligé, avant la prise de conscience mondiale du danger qui menace de plus en plus la planète.


 


 

Maintenant qu’il y a des vélos électriques, il ne s’agit même plus d’une exploitation physique proche de celle du vieux pouse pousse colonial.


 


Centenaire du Surréalisme (1924-2024).


 

À Saint-Cirq-Lapopie, au Centre international du Surréalisme et de la citoyenneté mondiale (CISM), commence la 19e Exposition internationale du Surréalisme, Merveilleuse utopie (6 juillet-7 septembre 2024).


 

L’exposition est conçue comme un parcours à travers cinq îles dessinant un archipel utopique : l’île des songes, l’île de la révolte, l’île des métamorphoses, l’île d’amour, l’île d’abondance. Les thèmes transversaux seront l’attraction passionnée selon Charles Fourier (1772-1837) et le monde à l’envers du pays de Cocagne.

On note tout de suite, le 22 août 2024, un film :

* L’Invention du monde de Michel Zimbacca & et Jean-Louis Bédouin, commentaire de Benjamin Péret (1952).
Présentation par Michael Löwy.


 

Faites votre programme.



Vendredi 5 juillet 2024

 

À Foix, commence le festival Résistances 2024, 28e édition (5-13 juillet 2024).


 

Il est organisé par l’association Regard nomade, dans une logique d’éducation populaire.

Au programme :

* Les invités.

* Les sections thématiques : À court de justice ; L’addiction s’il vous plaît ; La mécanique de l’oubli ; Les liens qui libèrent.

* Zoom Portugal.

* Séances spéciales.

* Les débats.

* Plein air.

* Hors les murs.

Ce soir, ouverture :

* À 21h00, Grande Salle de l’Estive : No Other Land de Basel Adra, Hamdan Ballal & Rachel Szor (2024).


 

Faites votre programme.


À Neuchâtel, commence le Festival du film fantastique 2024 (NIFFF), 23e édition (5-13 juillet 2024).


 

Au programme :

* Invitée d’honneur et carte blanche : Asia Argento.

* Les invités.

* Compétitions (compétition internationale ; Silver Melies ; compétition asiatique ; Best swiss fantastic short ; Best short film ; Think Outside the Box Award).

* Hors compétition (Third Kind ; Ultra Movies ; Amazing Switzerland ; carte blanche à une personnalité suisse : Moon 28 ; Classics reloaded ; NIFFF Kids).

* Rétrospective Eat the Rich.

* Forever Young.

* NIFFF Invasion

* NIFFF Extended.


 

Ce soir, cérémonie d’ouverture :

* À 19h00  : Animale de Emma Benestan (2024).
En sa présence.


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Cinémathèque, c’est la reprise du FID Marseille 2024, 35e édition (5-8 juillet 2024).

Ce soir, salle Georges-Franju :

* À 20h00 : 7 Promenades de Mark Brown de Pierre Creton & Vincent Barré (2017).
En leur présence.


 

Faites votre programme.


À Toulouse, à la Cinémathèque, c’est, dans la cour, Cinéma en plein air 2024, 20e édition (5 juillet-24 août 2024).

Ce soir :

* À 22h00 : Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari) de Sergio Leone (1964).


 

Faites votre programme.


À Strasbourg, Cinéma en plein air aussi, tous les vendredis de l’été (5 juillet-30 août 2024).


 

Les séances sont organisées par les associations Les Films du Spectre et Speaker. On apporte les chaises, les transats, les plaids, les nappes de pique-nique et les anti-moustiques.

Ce soir, Parc du Heyritz :

* À partir de 18h00, animations, DJ, ateliers, et buvette.

* À la nuit tombée : OSS 117, Le Caire nid d’espions de Michel Hazanavicius (2006).


 

Faites votre programme.


À Rome, à la Casa del cinema, en partenariat avec l’Ambassade de Roumanie en Italie commencent les Giornate del cinema romeno 2024 (5-7 juillet 2024).

Ce soir, cérémonie d’ouverture :

* À 21h00, Teatro all’Aperto : Libertà (Libertate) de Tudor Giurgiu (2023).
En présence de Iulian Postelnicu et Cecilia Ștefănescu.


 

Faites votre programme. https://roma.mae.ro/it/local-news/3688


À Paris, à l’Académie du climat, se tient la Journée nationale des roboticiens à l’heure des défis écologiques 2024, 2e édition, organisée par le réseau du CNRS Métier des roboticiens et mécatroniciens (2RM).


 

La journée, organisée par Arnaud Blanchard et Jonathan Dumon, est ouverte à tous, inscription gratuite mais obligatoire (qui inclut le repas).

* À partir de 9h30 : Les roboticiens à l’heure des défis écologiques.

Les interventions : Réduction de l’empreinte écologique de la robotique ; Applications robotiques pour l’écologie ; Évaluation systémique et effets rebonds ; Leviers d’actions ; discussion.


 



Jeudi 4 juillet 2024

 

À Paris, après Cannes, commencent les projections du Napoléon de Abel Gance (1927), entièrement reconstruit et restauré par la Cinémathèque française, sous la direction de Georges Mourier, après 16 ans de travail, dans une version inédite, intégrale et définitive de 7 heures.


 

D’abord, aujourd’hui et demain, à la Seine musicale, un ciné-concert.

Ce soir (ouverture des portes à 16h30) :

* À 18h00 : Napoléon mis en musique par Simon Cloquet-Lafollye, interprété par l’Orchestre national de France, l’Orchestre philharmonique et le Chœur de Radio France, sous la direction de Frank Strobel.


 

Puis à la Cinémathèque (6-21 juillet 2024).

Présentation par Joël Daire : Le Napoléon d’Abel Gance, un célèbre inconnu ?

* Samedi 6 juillet 2024, à 15h00, salle Henri-Langlois.
Projection intégrale en deux parties avec entracte d’une heure.
Présentation par Georges Mourier.

Faites votre programme.

Bonne lecture :

* Collectif : Napoléon vu par Abel Gance, Paris, La Table ronde, 2024.


 


À Madrid, avec la Cineteca,sur la Plaza Matadero, c’est Cineplaza de Verano 2024 (4-28 juillet 2024).

Au programme, trois ciné-concerts de groupes importants de la scène espagnole, deux films commentés en direct, et une sélection de onze titres, parmi lesquels de grands documentaires musicaux, des histoires mettant en vedette des musiciens et des groupes et des œuvres de grands musiciens-cinéastes.


 

Ce soir :

* À 22h15 : Los Punsetes.
Un concert spécial composé exclusivement de chansons inspirées de certains des films de David Cronenberg, Stanley Kubrick, Terrence Malick, Robert Bresson, Jean-Luc Godard et Wim Wenders.


 

Faites votre programme.


À Paris, aux Amarres les Amis du Monde diplomatique invitent à une soirée en entrée libre et gratuite, avec quelques références, par exemple celles des Gilets jaunes ou des Indignés espagnols, qui résonnent avec l’histoire de la Commune de Paris, et quelques questions : qu’est-ce qu’une lutte "réussie" et quels sont les effets émancipateurs des luttes sociales ?

Ce soir :

* À 19h00 : Des goûts de lutte de Emmanuelle Reungoat & Pierre-Olivier Gaumin (2024).
En leur présence.

Teaser_DES GOÛTS DE LUTTE_Emmanuelle Reungoat & Pierre-Olivier Gaumin from Les Films d'Ici Méditerranée on Vimeo.


 



Mercredi 3 juillet 2024

 

À Paris, à la Cinémathèque, commence un hommage aux studios hongkongais, avec une sélection resserrée de 25 kung-fu pian (films de kung-fu) des années 1970-1980, La Shaw Brothers et le kung-fu (3-21 juillet 2024).

Présentation par François Rauger  : Et le kung-fu entra dans la modernité...

Ce soir, ouverture :

* À 20h00 : Retour à la 36e chambre (Shao Lin da peng da shi) de Liu Chia-liang (1980).


 

En entier sur Internet.

Faites votre programme.

Cf. aussi : "Les beaux jours de la Shaw Brothers avec Chang Cheh", Jeune Cinéma n°296-297, été 2005.


À Rome, à la Casa del cinema, commence, en entrée libre, un cycle au titre étonnant : Attenti a quei due (3-30 juillet 2024).

Autrement dit "Attention à ces deux-là", en l’occurrence un hommage à Paul Newman (1925-2008) et à Robert Redford (né en 1936).

Ce soir, ouverture avec le film de leur première rencontre :

* À 21h30 : Butch Cassidy and The Sundance Kid de George Roy Hill (1969).


 

Faites votre programme.


Les sorties sur les grands écrans

* Napoléon vu par Abel Gance, partie 1 & 2 de Abel Gance (1927).

* Matria de Álvaro Gago (2023).

* The Human Surge 3 de Eduardo Williams (2023).

* El Profesor (Puan) de Maria Alché & Benjamín Naishtat (2023).

* Les Fantômes de Jonathan Millet (2024).

* Elyas de Florent-Emilio Siri (2024).

* Pourquoi tu souris ? de Christine Paillard & Chad Chenouga (2024).

* Horizon : une saga américaine, Chapitre 1 (Horizon : An American Saga - Chapter 1) de Kevin Costner (2024).

Les ressorties en versions restaurées

* Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai) de Akira Kurosawa (1954)

* Paris, Texas de Wim Wenders (1984).

* Typhoon Club (Taifû kurabu) de Shinji Sōmai (1985).

* eXistenZ de David Cronenberg (1998).

* Plus qu’hier, moins que demain de Laurent Achard (1998).



Mardi 2 juillet 2024

 

À Tulsa, Oklahoma, il y a deux institutions phares : le Woody Guthrie Center et le Bob Dylan Center.


 


 

Aujourd’hui, dans ces temps troubles en France, on va visiter Woody Guthrie (1912-1967), sa vie, son œuvre.


 


 

Dans le film de Todd Haynes, I’m not there (2007), c’est Markus Carl Franklin, qui figurait Woody Guthrie, dès l’ouverture du film, avec sa célèbre guitare-arme.


 


 

Bob Dylan n’a connu Woody Guthrie qu’en décembre 1960, à 19 ans, grâce à son ami gauchiste David Whittaker, après Hank Williams et le blues (Muddy Waters, John Lee Hooker) ou après le folk (Pete Seeger)...
Mais, après avoir lu son livre, Bound for Glory (1943), il est allé le voir dès son arrivée à New York, au Greystone Hospital, où on le soignait pour maladie de Huntington. Il lui consacrera une chanson dans son premier disque, Song for Woody, en 1962.


 

Bonne lecture :

* Woody Guthrie, Cette machine tue les fascistes, traduction de Jacques Vassal, préface de Robert Shelton, couverture de Pascal Comelade,
dessins de Woody Guthrie, plus un CD de 12 titres, Saint-Sulpice-la-Pointe, Les Fondeurs de briques, 2018.


 

Ce livre est une compilation de textes de Woody Guthrie, publiés dans l’ouvrage de Robert Shelton, journaliste au New York Times et biographe de Bob Dylan, Born To Win Macmillan Company, 1965. Il fait suite, en édition très enrichie, à une première édition parue chez Albin Michel en 1978. Il est aussi en vente sur le site du Woody Guthrie Center.


 


À Bruxelles, la Cinematek, en collaboration notamment avec La destruction des espaces vides, présente un cycle thématique original : Strange Natures, an ecoqueer film program (22 juin-18 août 2024).

Les personnes LGBT+, longtemps considérées comme "contre nature", ont une vision écologique spécifique, et perçoivent une continuité entre les systèmes qui oppriment et exploitent les humains, et ceux qui oppriment et exploitent les non humains (flores, faunes, minéraux, eaux, etc.). Les écologies queers ont l’ambition d’appréhender l’environnement depuis une perspective queer, et vice-versa, d’approcher le queer depuis une perspective environnementale.

Ce soir, à Ledoux, à 19h00, deux films :

* Flores de Jorge Jácome (2017).


 

* Haru : The Island of the Solitary (Haru : Yksinäisten saari) de Kanerva Cederström & Riikka Tanner (1998).

Haru, The Island of the Solitary - Trailer from Handle Productions on Vimeo.


 

Faites votre programme.


À Paris, au Luminor Hôtel de ville, le Centre audiovisuel Simone-de-Beauvoir organise des séances avec le soutien de la Cinémathèque du documentaire et de la Mission Cinéma de la Ville de Paris.

Ce soir :

* À 20h00 : Les Mères veilleuses de Vanessa Gauthier (2021).
En sa présence.


 


À Perpignan, l’Institut Jean-Vigo propose quatre soirées d’été en plein air, à l’Arsenal.

Ce soir :

* À 19h00 : La guinguette.
Foodtrucks & bar ; diffusion surprise salle Marcel Oms ; musique, écoute commentée par JB Bassach

* À 21h30, l’Église des Grands Carmes : Thelma & Louise de Ridley Scott (1991).


 

Faites votre programme.


On ne connaît pas toujours le site Criminocorpus, créé par le CNRS et le ministère de la Justice, en partenariat avec les Archives nationales de France. C’est une plateforme numérique de référence pour les chercheurs, alors on a le sentiment que c’est bien trop spécialisé pour le commun des mortels. Mais, opérateur de science ouverte, dédié à l’histoire de la Justice, des crimes et des peines, il mérite d’être connu et fréquenté par tous.


 

Il propose :

* Un musée en ligne avec des expositions.

* Une revue hypermédia.

* Une bibliothèque.

* Des chronologies thématiques.

* Une base de données.

* Un accueil.

En actualité, il propose un entretien avec François Guillemot aka FranXoa et Tomas Heuer aka mastO, mené par Sophie Victorien et tourné le 27 novembre 2023 au département de la musique à la Bibliothèque nationale de France, avec groupe emblématique du mouvement punk en France : Bérurier noir : Portrait d’une jeunesse révoltée et engagée dans les années 1980.


 

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Lundi 1er juillet 2024

 

À Rome, à la Casa del cinema, commence un cycle I bambini ci guardano (1er-31 juilet 2024).

Ce soir :

* À 21h30 : Cinema Paradiso (Nuovo cinema paradiso) de Giuseppe Tornatore (1988).


 

Faites votre programme.


À New York, la Galerie Templon présente une exposition collective : Cosmography (27 juin-1er août 2024).


 

Onze artistes repoussent les limites de la science et des croyances à travers des examens interdisciplinaires de la mythologie, de l’histoire et des mathématiques : Abdelkader Benchamma, Will Cotton, Iván Navarro, Jitish Kallat, Chiharu Shiota, Laurent Grasso, David Huffman, Chris Martin, Mariko Mori, Toshiko Takaezu et De Wain Valentine.


 


 


 


Le Monde diplomatique de juillet 2024 est paru.


 

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