2024 : Journal de Adja Cissokho
* Adja Cissokho-édito 2024 ; 1er-15 janvier 2024 ; 16-31 janvier 2024 ; 1er-15 février 2024 ; 16-29 février 2024 ; 1er-15 mars 2024 ; 16-31 mars 2024 ; 1er-15 avril 2024 ; 16-30 avril 2024 ; 1er-15 mai 2024 ; 16-31 mai 2024 ; 1er-15 juin 2024 ; 16-30 juin 2024 ; 1er-15 juillet 2024 ; 16-31 juillet 2024 ; 1er-15 août 2024 ; 16-31 août 2024 ; 1er-15 septembre 2024 ; 16-30 septembre 2024 ; 1er-15 octobre 2024
Kris Kristofferson (1936-2024) est mort le 28 septembre 2024 à Hawaï.
On l’a appris, ce matin, par une breaking news du New York Times. Comme pour la plupart des morts âgés, on parle de mort paisible. Pas question de mettre en doute les informations venues des familles, mais dans son cas, on sait qu’il était malade depuis des années, et qu’il y avait eu des erreurs de diagnostics. Malgré cela, il avait continué à se produire sur scène jusqu’en 2021.
Sur son site officiel, on peut voir les grandes étapes de sa carrière. Pour l’instant cette chronologie s’arrête en 2019, avec le Willie Nelson Lifetime Achievement Award, le plus haut degré de reconnaissance dans le domaine de la musique country, une musique qu’il avait, en douceur, transfomée en ce qu’on a appelé "Country Outlaw".
Comme chanteur, et comme acteur, il était une légende. À cause de son talent, bien sûr, mais peut-être aussi parce qu’il incarnait une époque, révolue et mythique, et un choix de vie. Fils de militaire, bonne famille, bonnes études, il a refusé l’establishment - on lui avait proposé un poste de professeur de littérature anglaise -, et a été renié par ses parents, parce que, installé à Nashville, il préférait faire des petits boulots - par exemple concierge des studios Columbia -, écrire et chanter, et fréquenter des gens plus intéressants, plus engagés contre les guerres. À l’époque, c’était celle du Vietnam qui défrayait la chronique.
Par exemple, Johnny Cash (1932-2003), avec qui il constituera un groupe, The Highwaymen (1985-2002), avec aussi Waylon Jennings (1937-2002) et Willie Nelson, né en 1933.
Ou bien Janis Joplin (1943-1970) qui reprendra une de ses compositions juste avant sa mort : "Me and Bobby McGee",
Et Bob Dylan (né en 1941), qui dira de lui : "Il y a Nashville avant Kris, et Nashville après Kris. Car il a tout changé". Le site Expecting Rain (Bod Dylan News) renvoie aujourd’hui à tous les articles parus à propos de sa mort.
Dans sa double carrière, commencée au début des années 1970, il est difficile de dire quelle est la partie la plus importante. Mais dans Variety, on souligne "He ultimately tallied more than 100 movie and TV acting appearances", et naturellement on cite ses multiples récompenses.
Au cinéma, dès ses débuts, il a eu de bonnes fréquentations. Son premier film, c’est en 1971, sous la direction de Denis Hopper, The Last Movie (1971).
À partir de là, il travaille beaucoup (à la télévision aussi entre 1979 et 2015), et fait au moins un film par an. Il trouve la gloire (pas tout de suite) avec Pat Garrett et Billy le Kid de Sam Peckinpah (1973), avec une bande son magnifique de Bob Dylan
Il retrouvera Bob Dylan, en filigrane dans I’m Not There de Todd Haynes (2007).
L’année suivante, en 1974, il enchaîne avec Apportez-moi la tête d’Alfredo Garcia (Bring me the Head of Alfredo Garcia) toujours de de Sam Peckinpah, qu’il retrouvera une troisième fois pour Le Convoi (Convoy) en 1978.
De grands réalisateurs font alors appel à lui, Martin Scorsese, Michael Cimino, Alan J. Pakula, James Ivory, Richard Linklater, Guillermo del Toro, Tim Burton, Ethan Hawke ou Miguel Littín pour des films parfois inédits en France, et il travaille aussi avec de nombreux cinéastes moins connus. Dans les années 1990, à la cinquantaine, il tourne deux films importants avec John Sayles : en 1996 dans Lone Star (1996) et Limbo (1999).
Dans ses nécrologies, on cite beaucoup Une étoile est née (A Star is Born) de Frank Pierson (1976) pour lequel, avec Barbra Streisand, il a reçu le Golden Globe 1977. Mais le film n’est jamais qu’un remake (le 2e), et, dans la catégorie remake, on préfère celui de George Cukor en 1954.
En réalité, nous avons un faible pour un film mal connu, qui, la même année, a été seulement nommé aux Golden Globe, le film du scénariste Lewis John Carlino, Le Marin qui abandonna la mer (The Sailor Who Fell from Grace with the Sea) de (1976).
Le beau jeune homme, hors-la-loi, et ses relations ambiguës avec le traître James Coburn, on l’a vu vieillir magnifiquement mais de loin, et avec étonnement.
C’est que, contrairement à Bob Dylan et son Never Ending Tour, il ne faisait pas de tournées internationales, et vint rarement en Europe. On ne le voyait pas en vrai, sur scène. Ils ne sont pas nombreux ceux qui ont eu la chance de le voir à San Sebastian en 2010, ou à Paris, à la Cigale, en 2017.
Maggie Smith (1934-2024) est morte hier, le 27 septembre 2024.
On a appris la nouvelle par la BBC.
En France, elle était peu connue, et, à son propos, on cite d’abord la série des Harry Potter, où son personnage de Minerva McGonagall apparaît dans 7 épisodes sur 8 (2001-2011).
On cite également la série des 52 épisodes de Downton Abbey (2010-2015).
Ainsi que les deux films, qui ont fait suite à la série : Downton Abbey de Michaël Engler (2019) et Downton Abbey 2 : Une nouvelle ère (Downton Abbey : A New Era) de Simon Curtis (2022).
Il serait juste de rajouter le film de Robert Altman, Gosford Park (2001) lauréat de toutes les récompenses du monde anglo-saxon, sorti en France le 20 mars 2002, qui y a connu un vrai succès (dont une nomination aux Césars). Son coscénariste était Julian Fellowes, qui écrira tous les Downton Abbey.
On peut aussi rappeler aux Français Mort sur le Nil (Death on the Nile) de John Guillermin (1978), qui avait aussi été beaucoup vu à l’époque, même si elle n’y tenait qu’un rôle secondaire.
Mais en Angleterre, Maggie Smith était une très grande vedette, très respectée. Dès que sa mort a été annoncée par ses fils, les hommages ont afflué, de Harry Potter bien sûr (Daniel Radcliffe), et même du roi Charles, qui l’a décrite comme "un trésor national". Dans la soirée, la ville de Londres a même décidé d’illuminer la Tower Bridge en violet pour saluer la Lady Violet de Downton Abbey.
Il faut dire qu’elle a eu une carrière d’actrice impressionnante.
Elle l’a commencée à 17 ans au théâtre, à l’Oxford Playhouse, puis l’a poursuivie pendant près de 70 ans, entre 1951 et 2019, dans la troupe troupe de l’Old Vic, puis, enfin dans celle du Royal National Theatre, d’abord aux côtés de son mari, l’acteur Robert Stephens (1931-1995), puis seule, après leur divorce en 1975.
Sa filmographie , elle, commence en 1956 et s’achève en 2023, avec 85 films à son actif. Elle l’a commencée avec des réalisateurs anglais (Anthony Asquith, Jack Clayton, Jack Cardiff, John Guillermin, Richard Attenborough, John Madden notamment).
Mais après son second mariage avec le dramaturge Beverley Cross (1931-1998), elle est partie vivre au Canada, et a travaillé avec des réalisateurs américains Joseph L. Mankiewicz, George Cukor, Alan J. Pakula, Steven Spielberg, James Ivory, Robert Altman, Dustin Hoffman...
Pour l’Europe, il faut noter deux coproductions : Le Jardin secret (The Secret Garden) Agnieszka Holland (1993), où il y un beau château mais elle n’est que gouvernante et pas la lady. Et Franco Zeffirelli : Un thé avec Mussolini (Un tè con Mussolini) (1999).
Elle a remporté deux Oscars, l’un pour Les Belles Années de miss Brodie de Ronald Neame (1969), et l’autre pour son rôle secondaire dans California Hôtel (California Suite) de Herbert Ross (1978).
En France, pour la plupart des gens, elle restera Minerva McGonagall.
Bon anniversaire Marcello Mastroianni (1924-1996), cent ans aujourd’hui.
Depuis le début de l’année, il croule sous les hommages.
On lui donne la parole.
Sur Radio Canada en 1974.
Sur la Radio Télévision Suisse en 1976
Bon anniversaire Brigitte Bardot, 90 ans aujourd’hui.
On l’a beaucoup aimée.
Toutes le filles se coiffaient comme elle, beaucoup d’actrices, peut-être inconsciemment, parlèrent parfois un peu comme elle.
Elle fut même, un moment en 1961, une star "de gauche".
On trouve aujourd’hui, un texte de Évelyne Sullerot, qui rappelle une sale époque, "Brigitte Bardot et l’OAS", tiré de la revue de l’École pratique des hautes études, Communications 2, 1963, pp. 224-227.
Les temps changent.
À Saint-Denis, au cinéma l’Écran, (28-29 septembre 2024), puis à Paris, aux Sept Parnassiens (3-6 octobre 2024), commence, organisé par l’association Autres Brésils le festival de documentaires Brésil en Mouvements 2024, 20e édition (28 septembre-6 octobre 2024).
Au programme du 20e anniversaire de ce festival militant : Choisir son camp. Une sélection officielle faite de projets conçus et réalisés au long des dernières années, à travers les derniers mouvements politiques au Brésil, du gouvernement de Dilma Rousseff ou celui de Jaïr Bolsonaro jusqu’au retour de Luiz Inácio Lula da Silva à la présidence en 2022.
Ce soir, à L’Écran de Saint Denis :
* À 20h00 : Viajo porque preciso, volto porque te amo (Je voyage parce qu’il le faut, je reviens parce que je t’aime) de Marcelo Gomes & Karim Aïnouz (2009).
En présence de Marcelo Gomes.
Jeudi 3 octobre 2024, ce sera l’ouverture officielle, aux Sept Parnassiens, en partenariat avec le Musée des peuples autochtones du Brésil (Museu dos Povos Indígenas do Brasil) :
* À 20h00 : La Transformation de Canuto (A transformação de canuto) de Ernesto de Carvalho & Ariel Kuaray Ortega (2023).
Présentation par Ernesto de Carvalho, Camila Freitas et Capucine Boidin.
Bonne lecture :
* Eliane Brum, Banzeiro òkòtó : Uma viagem à Amazônia Centro do Mundo, São Paulo, Companhia das Letras, 2021. Banzeiro Òkòtó : Amazonie, le centre du monde, traduction de Marine Duval, Éditions du sous-sol, 2024.
On note tout de suite un rendez-vous, mercredi 2 octobre 2024, à l’Espace Frans Krajcberg :
* À 18h30 : Rencontre avec Eliane Brum, Glauber Serezino, Brigitte Thierion, Martin Léna.
À Paris, au Centre Wallonie-Bruxelles (CWB), commence la Quinzaine du cinéma francophone 2024, 31e édition (28 septembre-5 octobre 2024).
Au programme : vingt-deux films issus de 13 pays différents (France et territoires d’Outre-mer, Belgique, Sénégal, Luxembourg, Allemagne, Italie, Burkina-Faso, Rwanda, Congo, Arménie, Roumanie, Viêtnam et République démocratique du Congo).
Aujourd’hui :
* À 17h00 : L’Argent, la liberté, une histoire du franc CFA, de Katy Léna N’Diaye (2019).
En sa présence.
* À 20h30 : Le Voyage de Talia de Christophe Rolin (2022).
En sa présence.
À Paris, commence le Festival de Paris 14 Territoire de Cinéma 2024, 7e édition (28 septembre-samedi 12 octobre 2024).
Avec pour thème Autant en rire ! et un film gratuit (ou presque) par jour.
Au programme : la comédie sociale en 16 films de 9 nationalités, dans 10 lieux culturels du 14ème, évoquant les différences sociales, la famille, le monde du travail, le pouvoir de l’argent ainsi que la nécessaire résistance face à l’adversité.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, au Théâtre 14 : La Part des anges (The Angels’ Share) de Ken Loach (2012).
À Paris, le Musée du Jeu de Paume fête ses 20 ans et offre un week-end gratuit.
Au programme, ouverture de deux expositions :
* Chantal Akerman. Travelling (28 septembre 2024-19 janvier 2025).
En partenariat avec le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, la Fondation Chantal-Akerman et la Cinémathèque royale de Belgique.
Aujourd’hui, en accès libre et gratuit :
* À 16h00 : D’Est de Chantal Akerman (1993).
En présence de Claire Atherton, Pierre Mertens, Raymond Fromont et Antoine Thirion.
Et aussi
* Tina Barney. Family Ties (28 septembre 2024-19 janvier 2025).
Dans les Hauts de France, notamment à Beauvais, Clermont, Amiens, Montreuil-sur-Brêche, Noyon, Berck-sur-Mer, se déroulent les Photaumnales 2024, 21e édition (21 septembre–31 décembre 2024).
Elles sont dédiées à la photographie lituanienne patrimoniale et contemporaine, à travers les travaux de 25 artistes, s’inscrivant dans le cadre la Saison de la Lituanie en France 2024 et en partenariat avec Kaunas Photo.
Le thème de 2024 : Festins, les photographes à table !
Au programme des Photaumnales 2024, figure également le programme Douce France, piloté par la BnF qui réunit 9 photographes du quotidien des territoires français pendant la crise sanitaire.
Aujourd’hui, commence, pour deux jours, le week-end inaugural (28-29 septembre 2024).
À Paris, à l’Académie du climat, Acrimed et Reporterre s’associent pour proposer une journée d’information.
* À partie de 10h00 : Médias & écologie, le combat est politique.
Pierre-William Glenn (1943-2024) est mort mardi dernier, dans la nuit du 23 au 24 septembre 2024, à la Maison nationale des artistes, à Nogent-sur-Marne.
C’était un artiste, spécialiste français de la Steadycam, directeur de la photo, un grand chef op’, avec une longue carrière de 76 films, à partir de 24 ans, entre 1967 et 2018, tournés avec les plus grands cinéastes du cinéma français.
Après l’Idhec, il commencé en 1967 par des courts métrages avec Claude Miller, Jacques Doillon, Jean-Louis Comolli. Et dès 1968, il n’a pratiquement plus cessé de tourner.
En 1969, on remarqua Paulina s’en va, le premier film de André Téchiné. Mais personne ne s’attarda sur le générique, et ce n’était que son deuxième long métrage à lui. Peut-être que sa notoriété dans le métier a commencé à s’amplifier à partir de Out One, Noli me tangere de Jacques Rivette, et que, du coup, après ses collaborations avec François Tuffaut, il a été souvent identifié comme "Nouvelle Vague".
Mais cette appellation est extrêmement réductrice pour une personnalité qui a fait ses premières armes en filmant les grèves et les manifestations en Mai 68 - qu’il considérait comme une utopie non réalisée -, et, qui, trotskiste revendiqué, en 1970, a travaillé avec Marin Karmitz pour Camarades.
Elle est aussi contradictoire, cette qualification, étant donnée sa fidèle collaboration avec Bertrand Tavernier (1941-2021) (à la cinéphilie opposée) sur 7 films entre 1973, pour L’Horloger de Saint-Paul, et 1982 avec Mississippi Blues de Bertrand Tavernier & Robert Parrish. D’une façon générale, il fut fidèle à des cinéastes non "encartés" Nouvelle Vague, surtout français, René Gilson, José Giovanni, Alain Corneau, Roger Vadim, Claude Lelouch, ou Yannick Bellon, dont il disait qu’elle était "morale, pas moraliste".
Mais Pierre-William Glenn avait un rapport particulier avec l’Amérique. Il fit quelques films, avec Joseph Losey, George Roy Hill, Corey Allen, Samuel Fuller, John Berry, et Robert Parrish.
Il fut surtout un soutien indéfectible, avec la Commission supérieure technique de l’image et du son (CST), de Peter S. Kirkpatrick et Françoise Ravaux-Kirkpatrick créateurs, en 1993, du Festival du film français de Richmond, en Virginie, reconnu comme le plus important festival du film français dans le pays.
En 2019, au cours de la 27e édition du festival, il avait fait une inoubliable masterclass, introduite en anglais, mais en français filmée par Gilles Porte.
C’était aussi un motard. Sa mort fait la Une de Moto Magazine. Il y avait déclaré, dans "Ciné et moto sans préjugés" : "J’ai toujours fait de la moto... et des films. Je ne me déplace que sur ma Triumph Mecatwin ou sur mon Suzuki Bandit 1200 modifié. Dans mes films, la moto est un animal, un objet vivant, un vaisseau pour l’inconnu. Si j’avais eu la chance de faire de la piste, j’aurais peut-être passé plus de temps derrière un guidon plutôt que l’œil derrière la caméra. Je me suis toujours dit que je n’avais pas le budget... Mais, avec le recul, mes films me coûtent tout autant, si ce n’est bien plus".
Car ce qu’on sait moins, c’est qu’il réalisa 11 films, entre 1970 et 2019.
Son premier long métrage est un documentaire consacré aux douze circuits de Grand Prix, qui constituent le championnat du monde de vitesse en moto : Le Cheval de fer (1974). Le film, pas forcément très connu du grand public, est un grand classique pour tous les motards, devenu mythique parce que rare. Mais on le trouve en DVD.
Il revint à cet univers avec deux autres films :
* 23h58 de Pierre-William Glenn (1992).
Une fiction, l’histoire d’un braquage au cours des 24 Heures du Mans par deux anciens champions de moto.
* Portrait de groupe avec enfants et motocyclettes de Pierre-William Glenn (2009).
Un documentaire sur les pilotes en herbe de l’Academy FFM.
Deux films, des années 1980 passèrent inaperçus : Les Enragés (1985), et Terminus (1987), avec Johnny Hallyday. Mais son film documentaire, Les Silences de Johnny (2019), sur la carrière d’acteur ratée de son ami de 30 ans, lui aussi motard invétéré, a été sélectionné par le Festival de Cannes 2019 dans la sélection Cannes Classics.
Pierre-William Glenn collaborait régulièrement au Festival Lumière, créé à Lyon en 2009. C’était lui qui accompagnait le traditionnel remake du premier film de l’Histoire, La Sortie de l’usine Lumière à Lyon, de Louis Lumière (1895), dont le réalisateur était le récipiendaire du Prix Lumière.
La dernière fois qu’il a été là, c’était, au Festival Lumière 2018, comme chef op’ de Jane Fonda.
L’Institut a tweeté : "Il faisait partie de l’aventure Institut Lumière, et nous a accompagnés de sa précieuse présence au fil des années. Le directeur de la photographie Pierre-William Glenn, compagnon de route, entre autres, de Bertrand Tavernier, nous manquera".
Il fut co-directeur, pendant quinze ans, du Département Image de la Fémis. L’Association française des directrices et directeurs de la photographie cinématographique (AFC) dont il avait été fondateur puis Président, puis Président d’honneur.
L’AFC a mis en ligne une jolie séquence filmée l’année dernière, en février 2023, par Gilles Porte, où il lui avait demandé de dessiner un Caméflex sur une vitre, face caméra.
C’était un ami. On l’appelait Willy.
En 2016, il était venu à Lyon soutenir Bernard Chardère (1930-2023), au moment de la mort de sa femme, Alice Chardère.
Sur France Culture, en 5 épisodes.
À Namur, commence le Festival du film francophone 2024 (FIFF), 39e édition (27 septembre-4 octobre 2024).
Au programme :
* Compétitions :
Officielle ; Première œuvre ; Compétition du court ; Et Jurys.
* Exclusivités : FIFF Première ; FIFF en famille.
* Séances spéciales : Cap sur la Flandre.
Ce soir, ouverture :
* À 20h15 : En fanfare de Emmanuel Courcol (2024).
À New York, au Lincoln Center, commence le New York Film Festival 2024 (NYFF), 62e édition (27 septembre-14 octobre 2024).
Le NYFF, créé par Amos Vogel & Richard Roud en 1963, l’un des festivals de cinéma les plus réputés au monde, est non compétitif, les films sont sélectionnés par un comité de programmateurs travaillant à la Film Society of Lincoln Center.
Il a lieu dans trois salles : l’Alice Tully Hall, le Howard Gilman Theater et le Walter Reade Theater.
Au programme :
* Talks.
Ce soir, Opening Night :
* À 18h00, Alice Tully Hall : Nickel Boys de RaMell Ross (2024).
En sa présence, avec l’équipe du film.
À Paris, au Reflet Médicis, l’Institut finlandais propose La Finlande en 3 films 2024, 16e édition (27-29 septembre 2024), avec, cette année, 4 films.
Ce soir :
* À 20h00 : Les Amis de la forêt (Havumetsän lapset) de Virpi Suutari (2024).
À Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, commence le Festival international du film 2024 / Alþjóðleg kvikmyndahátíð í Reykjavik (RIFF), 21e édition (26 septembre-6 octobre 2024).
Au programme :
* Invité d’honneur : Bong Joon Ho.
* Land í fókus / Country in focus : La Suède ; Ísland við sjónarrönd / Icelandic Panorama
* Compétition : Vitranir / New Visions ; Önnur framtíð / A Different Tomorrow ; Jurys.
* Hors compétition : Heimildamyndir / Documentaires ; Alþjóðlegar stuttmyndir / International Shorts ; Minutumyndir / The One Minutes.
* Sections : Fyrir opnu hafi / Open Seas ; Tónlistarmyndir / Cinema Beats ; Sjö sniðugar / Smart7 ; Miðnæturtryllir / Midnight Thrills ; Sérviðburðir / Special Events.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h30, à Háskólbíó : Loveable (Elskling) de Lilja Ingólfsdóttir (2024).
À Rennes, commence le festival Court Métrange 2024, 20e édition (26 septembre-6 octobre 2024).
Au programme :
* Compétition officielle ; Jurys.
Ce soir :
* À 20h00, Soirée Queer Métrange : SOS Extase de Esteban Sanchez del Rio (2022) ; Heartbreak de August Aabo (2023) ; J’ai vu le visage du diable de Julia Kowalski (2022) ; Gigi de Cynthia Calvi (2023).
À Paris, avec l’équipe du Festival Allers-Retours, commence Coming of Age 2024, 4e édition (26 septembre-3 octobre 2024).
Demain à Lyon, le festival embraye pour quelques jours (27 septembre-5 octobre 2024).
Au programme : Courts-métrages de jeunes auteurs chinois.
Ce soir, ouverture, à Paris, à 19h45, aux Ursulines.
À Madrid, à la Cineteca, commence le cycle El cine de Pedro G. Romero (26-29 septembre 2024).
Depuis les années 1990, Pedro G. Romero s’intéresse aux pratiques archivistiques et à la mémoire des cultures populaires, en accordant une attention particulière au monde flamenco.
Ce soir :
* À 18h00, Sala Plató : La pel.lícula de Pedro G. Romero (2005).
En sa présence.
À Lyon, commence le festival Italissimo 2024 4e édition (26-29 septembre 2024).
Au programme, la littérature et la culture italiennes et aussi du cinéma.
Ce soir :
* À 20h30, au Lumière Terreaux : Un monde a parte de Riccardo Milani (2024).
En sa présence.
À Paris, à l’Archipel, une soirée particulière consacrée au cinéma onirique de Maya Deren (1917-1961).
Ce soir :
* À 20h00 : Batterie seule pour Maya Deren.
Ciné concert de Didier Ambact.
Quatre films :
* Meditation on Violence (1949) .
* A Study in Choreography for Camera (1945) .
* Ritual in Transfigured Time (1946) .
* The Very Eye of Night (1955).
À Paris, le Grand Action accueille un nouveau cinéclub, La Relève.
Ce soir :
* À 19h30 : Le Sens de la fête de Éric Toledano & Olivier Nakache (2017).
À Paris, au MAHJ, commence la nouvelle exposition : Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu (26 septembre 2024-26 janvier 2025).
Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant. Le MAHJ explore toutes les approches artistiques de la créature surnaturelle, théâtre, cinéma, musique, littérature.
On note tout de suite, le mercredi 6 novembre 2024, un grand classique :
* À 19h00 : Le Dibbouk (Der Dibuk) de Michał Waszyński (1937).
Présentation par Serge Bromberg, avec Samuel Blumenfeld et Pascale Samue.
À Paris, à l’Académie du climat, on réfléchit au thème L’école de la nature, une école du sensible.
Ce soir :
* À 18h00, un film : Dans la trame du vivant de Frédéric Plénard (2024).
Suivi d’une table ronde avec le réalisateur et Anne Tézenas du Montcel, ainsi que l’association Les Journalistes-écrivains pour la Nature et l’écologie (JNE) et et l’association des Journalistes du jardin et de l’horticulture (AJJH).
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À Paris, Galerie Raphaël-Durazzo, commence l’exposition Le surréalisme au service de la distraction (26 septembre-23 novembre 2024).
Elle est consacrée aux femmes artistes surréalistes majeures, notamment Leonor Fini, Leonora Carrington et Dorothea Tanning, ainsi qu’à leurs héritières contemporaines Sara Anstis, Piper Bangs et Ginny Casey.
À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Bob Rafelson (25 septembre-2 octobre 2024).
Présentation de Frédéric Foubert : Uneasy Rider.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : The King of Marvin Gardens de Bob Rafelson (1971).
Présentation par Jean-Baptiste Thoret.
À Paris, à la Gaité lyrique le média Views lance un nouveau cinéclub, trimestriel, Cinéclub Views.
Cette saison 1 rend hommage aux films "coming of age", le passage de l’enfance/adolescence à l’âge adulte (25 septembre-4 juin 2025).
Ce soir :
* À 19h00 : 90’s (Mid90s) de Jonah Hill (2018).
À Paris, c’est le cinéclub du Goethe Institut, Kopfkino.
Ce soir :
* À 20h00, au Christine cinéma club : Tobby de Hans Jürgen Pohland (1961).
Projection suivie d’un entretien avec le compositeur de jazz Misja Fitzgerald Michel.
À New York, au Whitney s’ouvre la nouvelle exposition Edges of Ailey (25 septembre 2024-9 février 2025).
C’est la première exposition muséale à grande échelle consacrée à Alvin Ailey (1931-1989) célébrant sa vie, ses danses, ainsi que ses influences et son héritage : arts visuels, performances live, musique, documents d’archives et une installation vidéo multi-écrans tirée des enregistrements de l’Alvin Ailey American Dance Theater (AAADT).
Les sorties sur les grands écrans
* Bona de Lino Brocka (1980).
* Les Belles Créatures de Gudmundur Arnar Gudmundsson (2022).
* After de Anthony Lapia (2023).
* Megalopolis de Francis Ford Coppola (2024).
* Viêt and Nam de Minh Quý Trương (2024).
* Mother Land de Alexandre Aja (2024).
* Vivre, mourir, renaître de Gaël Morel (2024).
Les ressorties en versions restaurées
* Huit films de Chantal Akerman : Je, tu, il, elle (1974) ; News from Home (1977) ; Les Rendez-vous d’Anna (1978) ; Toute une nuit (1982) ; Letters Home (1986) ; Golden Eighties (1986) ; Histoires d’Amérique (1989) ; D’Est (1993).
À Pontarlier, c’est la séance hebdomadaire du cinéclub Jacques-Becker.
Ce soir :
* À 18h30, Théâtre Bernard-Blier : About Kim Sohee (Daeum Sohee) de July Jung (2022).
À Paris, à l’Académie du climat, on fait le point des enquêtes sur les pesticides interdits en Europe et pourtant toujours fabriqués sur le sol français et exportés à l’étranger, ainsi que sur leurs ravages environnementaux et sanitaires (cancérigènes, neurotoxiques ou perturbateurs endocriniens).
Ces enquêtes ont été menées par Martin Boudot et Mathilde Cusin dans leur série Vert de rage diffusée sur France 5, ainsi que par les enquêteurs de Public Eye et de Unearthed – Greenpeace.
Aujourd’hui :
* À 9h45 : Enquête sur des pesticides interdits, produits en France.
Avec Martin Boudot et Mathilde Cusin, Laurent Gaberell, Crispin Dowler, Souleiman El Balkhi, Rina Guadagnini.
À Paris, à la Gaîté lyrique dans son programme La Fabrique de l’époque, créé l’année dernière, commence un nouveau cycle de rencontres, Sans Filtre, en partenariat avec Makesense et ARTE.
Ce premier rendez-vous aborde le sujet de l’urgence climatique, et le cycle se poursuivra jusqu’en décembre 2024 avec deux autres soirées, autour du féminisme puis des migrations.
Ce soir :
* À 19h00 : Dérèglement climatique : sonner l’alarme en images.
Avec Emmanuelle Walter et Valérie Masson-Delmotte.
À Paris, au Musée d’Orsay commencent deux nouvelles expositions :
* Harriett Backer (1845-1932) (24 septembre 2024-12 janvier 2025).
* Céline Laguarde (1873-1961) (24 septembre 2024-12 janvier 2025).
Et toujours :
* Barbara Chase-Riboud. Quand un nœud est dénoué, un dieu est libéré (17 septembre-15 décembre 2024).
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À Paris, à Beaubourg, commence la Rétrospective Collection Phares (23-30 septembre 2024).
Parallèlement à l’exposition Surréalisme (4 septembre 2024-13 janvier 2025), les vingt-sept titres de la Collection Phares sont projetés au Cinéma2.
Aujourd’hui :
* À 12h00 : Jacques Vaché. Sur le passage de Jacques Vaché à travers une très courte unité de temps de Rémy Ricordeau (2022).
* À 18h00 : André Breton. LŒil à l’état sauvage et Malgré Tout de Fabrice Maze (2005).
* À 20h00 : Jacqueline Lamba. L’Amour fou d’André Breton et Jacqueline Lamba. La peinture au bout du ciel de Fabrice Maze (2005).
À Paris, à l’Académie du climat, c’est la séance mensuelle de Conversation climatique, un cycle de conférences-débats organisé par la Direction de la transition écologique et du climat de la Ville de Paris, animé par Yann Françoise et Elsa Meskel.
Ce soir : Genre et climat, quelques questions sur les inégalités climatiques de genre en France et à Paris avec Souba Brunel, fondatrice de l’association Les Impactrices
À Tirana, commence le Festival international du film 2024 (TIFF), 22e édition (22-28 septembre 2024).
Au programme :
* Compétitions : Longs métrages (fictions, documentaires, premiers films, films albanais) ; Courts métrages (animation, documentaires, vidéos, films des Balkans) ; Panorama (thématiques sociales) ; Concours de scénarios.
* Hors compétition : Focus : le Kosovo ; Rétrospective : Marcello Mastroianni ; Séances spéciales.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, au Millenium : Parthenope de Paolo Sorrentino (2024).
À Paris, à la Cinémathèque du documentaire, c’est le rendez-vous mensuel de la Cinémathèque idéale des banlieues du monde.
Aujourd’hui :
* À 16h00, Cinéma 1 : In Jackson Heights de Frederick Wiseman (2015).
En présence de Julien Meunier, Julien Pornet et l’équipe du film Urbanistes.
À Lyon, a commencé la Biennale d’art contemporain 2024, 17e édition, avec le thème La voix des fleuves (21 septembre 2024-5 janvier 2025).
Comme celle de Venise (en alternance avec la Biennale d’architecture), elle avait lieu (en alternance avec la Biennale de danse) toutes les années impaires, jusqu’à la crise sanitaire du covid, où tout a été décalé d’un an. Désormais, elle a lieu les années paires.
Les lieux
Les artistes
Les visites et le ateliers
À Detroit, au DIA, commence la nouvelle exposition The Art of Dining : Food Culture in the Islamic World (22 septembre 2024-5 janvier 2025).
Elle rassemble 230 œuvres du Moyen-Orient, d’Égypte, d’Asie centrale, du Sud et de l’Est et d’Europe, mettant en valeur le riche lien entre l’art et la cuisine de l’Antiquité à nos jours : arts de la table, peintures, livres de cuisine, instruments de musique
Ce week-end, ce sont les Journées européennes du Patrimoine 2024, 41e édition (21-22 septembre 2024).
À Biarritz, commence le Festival Amérique latine 2024, 33e édition (21-27 septembre 2024).
Au programme :
* Abrazo d’honneur 2024 à Alonso Cuarón.
* Les compétitions et leurs Jurys : Fictions ; Documentaires ; Courts métrages.
* Hors compétition : Focus Argentine ; Buñuel, cinéaste mexicain ; Séances spéciales ; Avant-premières.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30, Gare du midi : I’m Still Here de Walter Salles (2024).
En sa présence.
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA), outre la programmation spéciale Patrimoine 2024, ce sont les deux dernières séances de cinéma, dans le cadre de l’exposition Arabofuturs. Science-fiction et nouveaux imaginaires (23 avril 2024-27 octobre 2024).
* Aujourd’hui, samedi 21 septembre 2024, à 18h00 : Séance de courts métrages #1
* Demain, dimanche 22 septembre 2024, à 16h00 : deux films de Sofia Alaoui : Qu’importe si les bêtes meurent (2019) et Animalia (2023).
À Grenoble, à la Cinémathèque, c’est l’ouverture de la saison, avec le cycle C’est la vie (21 septembre 2024-9 janvier 2025)
Ce soir :
* À 20h30, Place d’Agier, entrée libre : Forrest Gump de Robert Zemeckis (1994).
À San Sebastian, commence le festival international du film, Donostiako Zinemaldia 2024 (SSIFF), 72e édition (20-28 septembre 2024).
Au programme :
* Prix Donostia pour l’ensemble de leurs carrières à Cate Blanchett et à Pedro Almodovar
* Prix Donostia 2023 à Javier Bardem qui n’avait pas pu se le voir remettre l’année dernière en raison de la grève des acteurs.
* Compétitions : Official Selection ; Donostia Award Screening ; Jurys.
* Sections : New Directors ; Horizontes Latinos ; Zabaltegi-Tabakalera ; Perlak ; Nest ; Culinary Zinema ; Loterías Short films ; Eusko Label ; Zinemira ; Klasikoak.
* Pays : Made in Spain ; Retrospective Italie violente ; On the Other Island.
Ce soir, gala de inauguración :
* À 19h30, Auditorio Kursaal : Emmanuelle de Audrey Diwan (2024).
À Strasbourg, commence le Festival européen du film fantastique 2024 (FEFSS), 17e édition (20-29 septembre 2024).
Au programme :
* Invité d’honneur : John McTiernan.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h30, au Vox : The Surfer de Lorcan Finnegan (2024).
À Montélimar, dans toutes le salles de la ville, commence le festival De l’écrit à l’image 2024, 13e édition (20-26 septembre 2024).
Au programme :
* Les invités d’honneur : Vincent Lindon, Michel Hazanavicius, Marie Modiano, Alexandra Lamy, Sandrine Kiberlain.
* Les grands témoins : Ken Loach, Alexandre Lacroix.
Ce soir, ouverture :
* À 20h30, Palais des Congrès : Monsieur Aznavour de Mehdi Idir & Grand Corps Malade (2024).
En présence de Mehdi Idir, Bastien Bouillon et Marie-Julie Baupp.
À Pantin, au Ciné 104, commence le petit frère de Montelimar, le festival Des mots à l’écran (20-22 septembre 2024).
Le festival, à travers rencontres, films et animations, explore les liens entre littérature et cinéma, dans une ambiance conviviale. Au programme, Franz Kafka, Marguerite Duras, Christine Angot, Laurent Mauvignier, cinéma et poésie...
Ce soir, ouverture :
* À 20h15 : Emmanuelle de Audrey Diwan (2024).
Séance d’ouverture d’une lecture en salle par Françoise Lebrun et suivie d’un pot offert.
Aujourd’hui, commencent les Reprises de ACID Cannes 2024 en France et à l’international.
À Paris, au Louxor (20-22 septembre 2024).
Ce soir :
* À 20h00 : Château rouge de Hélène Milano (2024).
En sa présence.
Suivront, en octobre 2024 :à Marseille, les Variétés, la Baleine, le Gyptis ; à Lyon, le Comœdia ; à Nantes, le Cinématographe....
À Helsinki, commence le Festival Amour et Anarchie Rakkautta & Anarkiaa 2024, 37e édition (19-29 septembre 2024).
Le festival est non-compétitif, mais il attribue le Prix du Public et le Prix du meilleur long métrage.
Au programme :
* Fictions, documentaires, animation, courts métrages.
* Les invités : Baltasar Kormákur, Roja Pakari, Arnar Steinn, Friðbjarnarson, Helena Stefánsdóttir & Arnar Steinn Friðbjarnarson, Miguel Llansó, Mikko Mäkelä, Søren Green &Noa Risbro Hjerrild, Marko Raat, Kasper Rune Larsen, Jacob Skyggebjerg, Kōki Mitani.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 17h30 : Anora de Sean Baker (2024).
À Bucarest, commence le Festival international du film 2024 (BIFF), 20e édition (19-29 septembre 2024).
Au programme :
* Les sections : Competiție, Panorama, Autori Români, Istorie și Cinema.
* La Retrospectivă : Philippe Lesage.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h30, au Cinema Muzeul Țăranului : The New Year that never came (Anul nou care n-a fost) de Bogdan Mureşanu (2024).
À Lille, commence le Festival international du court métrage 2024, 24e édition (19-29 septembre 2024).
Au programme :
* Invité d’honneur : Claude Barras.
* Avant-première – Première page.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30, à l’Auditorium, cinq courts métrages tournés et produits dans les Hauts-de-France : Mont Noir de Erika Haglund & Jean-Baptiste Peltier (2024) ; Les filles c’est fait pour faire l’amour de Jeanne Drouet, Jeanne Paturle & Cécile Rousset (2024) ; Charbon de terre de Bastien Dupriez (2024) ; Les Mystérieuses Aventures de Claude Conseil de Marie-Lola Terver & Paul Jousselin (2023) ; Après l’aurore de Yohann Kouam (2023).
À Paris, à la Maison européenne de la photographie (MEP), c’est la dernière projection du cycle Le sport en images (20 juin-19 septembre 2024).
Ce soir :
* À 19h00 : Zidane, un portrait du21e siècle de Douglas Gordon & Philippe Parreno (2006).
À Paris, on va à la soirée cinéphile du cinéclub de l’Aéroclub de France.
Ce soir :
* À 19h00 : Forever Young de Steve Miner (1992).
Centenaire du Surréalisme (1924-2024).
À Paris, à la Galerie Pauline-Pavec et la Galerie Boquet se tient l’exposition Jacqueline Lamba / Dora Maar, celles qui avancent (12 septembre-16 novembre 2024)
Illustrée de nombreuses archives et photographies, l’exposition présente des œuvres allant des années 1930 aux années 1970.
Sur France Culture :
* André Breton raconte la naissance du surréalisme.
* Le Manifeste du surréalisme, œuvre qui a changé le monde.
* "Surréalisme", le centenaire de l’incontournable mouvement s’invite à Pompidou.
* Derrière l’écran du désir, le visage du "Grand masturbateur" de Salvador Dali.
* L’économie selon les surréalistes.
* Lise Deharme, artiste oubliée du surréalisme.
* Qu’est-ce qu’un rêve surréaliste ?
* Ceci n’est pas une muse : l’ambivalent statut des femmes surréalistes.
Bonne lecture :
* Joana Masó, Nusch Eluard. Sous le surréalisme, les femmes, Paris, Seghers, 2024.
À Argelès-sur-mer, commencent les Rencontres Cinémaginaire 2024, 39e édition (18-22 septembre 2024).
Au programme : En avant la musique !
Ce soir, ouverture :
* À 18h30 : En avant la musique de Segundo de Chomón (1907).
Les imbrications du cinéma et la musique.
Séance inaugurale ouverte à tous.
* À 21h00 : En Fanfare de Emmanuel Courcol (2024).
À Paris, à l’Arlequin, l’Institut polonais présente le festival du cinéma polonais, Kinopolska 2024, 17e édition (18-22 septembre 2024).
Au programme
* La commémoration du 80e anniversaire de l’insurrection de Varsovie : Powidoki, concert multimédia de Ygor Przebindowski.
* Une sélection de 13 longs métrages.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Doppelgänger. The Double (Doppelgänger. Sobowtór) de Jan Holoubek (2023).
En sa présence.
À Paris, au Christine Cinéma Club, commence le Festival du film merveilleux 2024, 14e édition (18-20 septembre 2024).
C’est un festival international de courts métrages merveilleux et fantastiques.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Monstrueux de Thomas Wiegand-Raymond, Ellie-Joy Richard, Mae Beaumale, Tom Berry, Virginie Platteborze, Elise Lepercque et Emma Carmona (2024) ; Coléoptère de Martin Gouzou (2023) ; 100 Rancunes de Lévy Claude (2023) ; Ma footballeuse à moi de Cheyenne Canaud-Wallays (2024) ; Spaceman de Dan Abramovici (2022) ; Astronome Gastronome de Geneviève Anhoury (2022) ; Les Yeux d’Olga de Sarah Carlot Jaber (2023) ; Le Garçon et le slip de Nicolas Sanchis (2024) ; Broomsticks on Broadway de Gordon Howie (2024) ; Deadline de Shihan Shoukat (2022).
À Paris, au Grand Action, commence un Cycle Patricia Mazuy (18-24 septembre 2024).
Aujourd’hui :
* À 12h15 : Bowling Saturne de Patricia Mazuy (2022).
* À 15h30 : La Prisonnière de Bordeaux de Patricia Mazuy (2024).
* À 17h30 : Peaux de vaches de Patricia Mazuy (1988).
À Paris, à la Cinémathèque, se tient une Rétrospective Sophie Fillières (18-23 septembre 2024).
Présentation par Adrien Dénouette : Pionnière du malentendu.
L’ouverture a eu lieu lundi 16 septembre 2024, salle Henri-Langlois, avec Ma vie ma gueule (2024).
Ce soir :
* À 19h15, salle Franju : Grande Petite de Sophie Fillières (1994).
Présentation par Judith Godrèche.
Les sorties sur les grands écrans
* Be natural, l’histoire cachée d’Alice Guy-Blaché de Pamela B. Green (2019).
* Toxicily de François-Xavier Destors (2022).
* Veni Vidi Vici de Daniel Hoesl & Julia Niemann (2023).
* Les Barbares de Julie Delpy (2024).
* Les Graines du figuier sauvage (The Seed of the Sacred Fig) de Mohammad Rasoulof (2024).
* Ma vie Ma gueule de Sophie Fillières (2024).
* Rue du Conservatoire de Valérie Donzelli (2024).
* Ni chaînes, ni maîtres de Simon Moutaïrou (2024).
Les ressorties en versions restaurées
* L’Emprise (Of Human Bondage) de John Cromwell (1934).
* La Rue rouge (Scarlett Street) de Fritz Lang (1945).
* L’Évadée (The Chase) de Arthur Ripley (1946).
* La Sanglante Aventure (Pitfall) aka Le Piège de André De Toth (1948).
À Madrid, à la Cineteca, commence le Festival de cine FCM-PNR 2024, 33e édition (17-21 septembre 2024).
Il accueille le meilleur cinéma d’auteur au niveau national et préfigure la cérémonie des Goyas, les équivalents des Césars, décernés par l’Academia de las artes y las ciencias cinematográficas de España, une cérémonie qui a lieu en février, chaque année dans une ville différente d’Espagne. En 2024, c’était à Valladolid, en 2025, ce sera à Grenade.
Au programme : Sección oficial largometraje ; Sección oficial cortometraje ; Sección largometraje pnr ; Sección cortometraje pnr ; ; Sección cine molón ; Sección oficial cine sordo en lengua de signos.
Ce soir, ouverture :
* À 18h00, sala Azcona : Tierra de nuestras madres de Liz Lobato (2023).
À Paris, aux 5 Caumartin, commence le festival du cinéma ATTAC Paris Nord-Ouest, Images mouvementées 2024, 22e édition (17 septembre-3 octobre 2024).
Au programme, des films dont l’objectif est d’informer et de susciter la réflexion collective sur des questions cruciales de ce début de 21e siècle. Jusqu’en 2021, un thème était choisi chaque année. Depuis la 20e édition, il n’y a plus de thématique unique mais un thème par soirée.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : L’Effet Bahamas de Hélène Crouzillat (2024).
En sa présence.
Débat "Main basse sur la caisse (de l’Assurance chômage)" avec Sabina Issehnane, Alain Véronèse et Tatiana Guile.
À Paris, au Forum des images, commence la nouvelle thématique, Refaire l’amour. La comédie romantique dans tous ses états (17 septembre-1er décembre 2024)
Ce soir, ouverture :
* À 20h30 : Les Reines du drame de Alexis Langlois (2024).
En présence de l’équipe du film.
À Marseille, à Vidéodrome2, commence le Cycle Tokyo Heat 2024, 1ère édition (17-18 septembre 2024).
Sur une proposition de Tristan Torre, il est dédié aux anomalies underground et expérimentales du cinéma japonais, et se donne pour mission de retrouver et faire découvrir des cinéastes égarés, poètes trashs et parfois grotesques, mais définitivement à contre-courant, dont l’excentricité des œuvres demande au spectateur de reconsidérer son sens du "bon goût".
Ce soir, ouverture :
* À 20h30 : Tetsuo (Tetsuo, The Iron Man) de Shinya Tsukamoto (1989).
À Paris, au Grand Action, c’est le cinéclub bimestriel Climax une séance suivie d’un décryptage scientifique.
Ce soir :
* À 19h30 : L’Usage du monde de Agnès Fouilleux (2024).
En présence de Cédric Villani, Catherine Larrère et Philippe Pajot.
À Pontarlier, c’est le Cinéclub Jacques-Becker du mardi.
Ce soir :
* À 18h30 et 21h00, au Théâtre Bernard Blier : Stella, une vie allemande (Stella. Ein Leben) de Kilian Riedhof (2024).
À Paris, aux Ursulines, une séance pour les grandes personnes.
Ce soir :
* À 20h45 : Serre-moi fort de Mathieu Amalric (2021).
En sa présence.
À Toulouse, commence le Festival international du film grolandais 2024 (Fifigrot) 13e édition (16-22 septembre 2024).
Au programme :
* Gros Guest : Abel & Gordon ; Laurent Melki ; Ovidie ; Leatitia Dosch.
* Côté cinéma : Gros before et temps forts ; Compète longs ; Compète courts ; Subversion carnavalesque ; Intelligence artificielle vs connerie naturelle ; 100% Grolandais ; Made in ici ; Acab bien se tenir ; For your eyes only ; Focus ; Gro Zical ; Gro l’art ; Joyaux grolandais ; Gro’courts. Complusifs troubles ; Cinés bistrots ; Midnight movie & dernière zéance.
* Expos.
* Conférences & rencontres littéraires.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h00, American Cosmograph : Veni Vidi Vici de Daniel Hoesl & Julia Niemann (2024).
À Bruxelles, Bozar commence sa nouvelle saison avec une Opening Week, décapante.
À partir d’aujourd’hui, commence un cycle Apichatpong Weerasethakul (16 septembre-26 octobre 2024).
Ce soir :
* À 20h00, salle Henry-Le-Bœuf : Close-up : Apichatpong Weerasethakul.
Une soirée en sa compagnie pour plonger au cœur de sa pratique artistique (cinéma, photographie, installations, projets audio, et réalité virtuelle).
Modération par Jean-Pierre Rehm.
Au fil du temps, tous les éditos