Journal de Solomon Roth (février 2023) II
16-28 février 2023
publié le mardi 28 février 2023


Mardi 28 février 2023

 

À Vesoul, commence le Festival des cinémas d’Asie 2023, 29e édition (28 février-7 mars 2023).


 

Au programme, 85 films venus de 31 pays :

* Des Cyclo d’Or d’honneur à Lee Yong-Kwan et Semih Kaplanoglu.

* Tous les invités.

* Hommage à Semih Kaplanoglu

* Les Compétitions : Fiction et Documentaire
avec 7 jurys.

* Les sections : Cinémas des diasporas asiatiques ; Regard sur le cinéma de Singapour ; Regard suur le cinéma philippin ; Japanimation ; Avant-premières.


 

Aujourd’hui, les projections commencent dès 9h00.

Ce soir, ouverture au Théâtre Edwige-Feuillère :

* À 20h00 : Be with Me de Eric Khoo (2005).


 

Faites votre programme.


À Toulouse, à la Cinémathèque, commence le cycle Mass media (28 février-22 mars 2023)

Ce soir :

* À 19h00 : Des hommes d’influence (Wag the Dog) de Barry Levinson (1997).


 

* À 21h00 : Citizen Kane de Orson Welles (1940).


 

Faites votre programme.


Le dernier numéro de 1895, la revue d’histoire du cinéma, éditée par l’Association française de recherche sur l’histoire du cinéma (AFRHC), vient de paraître.


 

Il s’agit du n°98, automne 2022, centré sur les discours de la critique : la critique historique (Siegfried Kracauer, Umberto Barbaro, Guido Oldrini), et la critique d’actualité (André Bazin, Georges Sadoul, Joseph-Marie Lo Duca).


 

2023 est l’année du n°100. Il ne faudra pas le rater.

* On l’achète.

* On adhère à l’association ce qui comprend l’envoi des trois numéros annuels de 1895.

* On découvre toutes les autres publications.



Vendredi 24 février 2023

 

À Pézenas, commencent, organisées par la Fédération des ciné-clubs de la Méditerranée (FCCM), les Rencontres Cinéma 2023, 60e édition (24 février-2 mars 2023).


 

Au programme :

* Des invités avec une Carte blanche à Myriam Boyer et une Rencontre avec Alfred.

* Une thématique principale : Le cinéma italien.

* Les films d’ACID.

* Deux sections : Filmer en région et Il était une fois en 1962.


 

Aujourd’hui :

* À 17h30 à la Médiathèque Edmond-Charlot : 60 ans en images.
Vernissage de l’exposition.

Ce soir, ouverture :

* À 20h30 : Les Enfants volés (Il ladro di bambini) de Gianni Amelio (1991).


 

En entier sur Internet.

Précédé de La Couleur du ciel de Owen Archinet (2022).


 

Faites votre programme.


À Paris, à Beaubourg, la Cinémathèque du documentaire présente Un adieu à Heddy Honigmann (24-27 février 2023).


 

En 2011, à Beaubourg, on avait organisé une rétrospective : Heddy ! Les films documentaires d’Heddy Honigmann pour fêter ses 60 ans (5-17 novembre 2011). Citoyenne du monde et voyageuse, elle était célébrée dans tous les festivals du monde et avait été primée au Cinéma du Réel en 1994 et 1998.

Et puis Heddy Honigmann (1951-2022) est morte, un peu tôt, le 21 mai 2022. La BPI, fidèlement, nous rappelle ses thèmes favoris : l’exil, la mémoire et l’amour.

Ce soir :

* À 18h00 : Mon bon mari, mon cher fils (Goede man, lieve zoon) de Heddy Honigmann (2001).
En présence de John Appel.


 

Faites votre programme.


À Lyon, aux Confluences, la nouvelle exposition célèbre le centenaire de Marc Riboud (1923-2016) : Marc Riboud, 100 photographies pour 100 ans (24 février-31 décembre 2023).


 

Appendice d’actualité :

La Guerre d’Ukraine "fête" sa première année aujourd’hui. Les médias sont surbookés par l’événement, eux qui adorent les "événements".

Elle réjouit les marchands d’armes et les marchés de reconstruction qui s’ouvriront après, s’il y a un "après".
"On croit mourir pour la patrie, mais on meurt pour des industriels", disait Anatole France, en 1922.

Elle ressemble beaucoup à la Première Guerre mondiale, pas moderne du tout (pour l’instant), mais on ne peut s’empêcher de penser à la photo mondialement connue de Marc Riboud, La jeune fille et la fleur (1967), contre la Guerre du Vietnam (1955-1975).


 

Ah Barbara, quelle connerie la guerre !


 
* La statue du philosophe ukrainien Hryhorii Skovoroda dans les ruines de son musée près de Kharkiv, le 7 mai 2022. ©Sergey Kozlov / Keystone.

Mais pas pour tout le monde.
On pense à Bernard Blier se frottant les mains dans Je ne sais rien mais je dirai tout de Pierre Richard (1973).


 



Jeudi 23 février 2023

 

À Dublin, commence le Festival international du film 2023 (DIFF), 21e édition (23 février-4 mars 2023).


 

Au programme :

* La sélection officielle.

* Les sections : Artavazd Peleshyan : Behind the Legend ; Tribute to James Flynn ; Early Programme Highlights ; Spain in the Spotlight ; IFI Season of World Premieres & unique cinematic experiences ; Family Gala : Neil Brand presents Buster Keaton.


 

Ce soir, gala d’ouverture :

* À 19h00 : God’s Creatures de Anna Rose Holmer & Saela Davis (2022)


 

Faites votre programme.


À Lerida (Lleida en catalan), commence le festival international du film d’animation de Catalogne, Animac 2023, 27e édition (23-26 février 2023).


 

Le festival est non-compétitif, et se prolonge en ligne (3-12 mars 2023). Au programme, cette année, l’animation latino-américaine avec une sélection officielle, des expositions, des conférences et des masterclasses.

Aujourd’hui, les projections commencent dès 11h00.

Ce soir, ouverture :

* À 20h30 : The Island de Anca Damian (2021).


 

Précédé du court métrage Pasajero de Juan Pablo Zaramella (2022).


 

Faites votre programme.


À Bologne, la Ville, l’Université et la Cineteca sont solidaires du peuple iranien, avec une grande rétrospective de 60 ans de cinéma iranien, et une série de rencontres et de dialogues autour de la liberté, des droits et de la culture en Iran : Bologna per l’Iran (20-26 février 2023).


 

C’est Marjane Satrapi (elle vit en France) qui avait inauguré l’année académique 2022-2023, la 935e de l’Université de Bologne (alias Alma mater studiorum) depuis sa création, qui rendait ainsi hommage à un de ses anciens étudiants, Mehdi Zare Ashkzari, torturé à mort pour avoir revendiqué des droits indiscutables.

Le cycle de cinéma a été ouvert ce lundi 20 février 2023 avec :

* Persepolis de Marjane Satrapi (2007).


 

Depuis hier, une délégation d’Amnesty International est présente sur la Piazzetta Pasolini à la Cineteca, et Mohsen Makhmalbaf est arrivé dans la ville.

Ce soir :

* À 20h00, salle Mastroianni : Kandahar (Safar-e Qandahār) de Mohsen Makhmalbaf (2001).


 

Faites votre programme.


À Paris, la Cinémathèque du documentaire de la Bpi accueille les Rencontres de Images documentaires.

Ce soir, cinéma 2 :

* À 20h00 : Le Voyage de Bashô de Richard Dindo (2018).
En sa présence.


 



Mercredi 22 février 2023

 

À Paris, à la Fondation Seydoux, commence le cycle Harry Langdon, le somnambule (22 février-21 mars 2023).


 

Aujourd’hui :

* À 14h30 : The Strong Man (L’Athlète incomplet) de Frank Capra (1926).


 

* À 16h30 : A Chump at Oxford (Les As d’Oxford) de Alfred J. Gouldin (1939).


 

Faites votre programme.


À Marseille, Vidéodrome2 présente son cycle de longs-métrages d’animation en volume Intervalles 2023, 2e édition (22-23 février 2023).

Ce soir :

* À 20h00 : Mad God de Phil Tippett (2021).


 

Faites votre programme.


À New York, au MoMA, commence le MoMA’s Festival of International Nonfiction Film and Media, Doc Fortnight 2023 (22 février-7 mars 2023).

Ce soir :

* À 19h00 : Nam June Paik : Moon Is the Oldest TV de Amanda Kim (2023).


 

Faites votre programme.


À Paris, au Ciné-club de l’ENS, salle Dussane, on a ses habitudes.

Ce soir :

* À 20h30 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard (1961).


 


Les sorties sur les grands écrans

* Pulse (Heartbeast) de Aino Suni (2021).

* Last Dance de Coline Abert (2021).

* Chevalier Noir (A Tale of Shemroon) de Emad Aleebrahim Dehkordi (2022).

* Jet Lag de Zheng Lu Xinyuan (2022).

* Petites de Julie Lerat-Gersant (2022).

* L’Homme le plus heureux du monde (Najsrekjniot chovek na svetot) de Teona Strugar Mitevska (2022).

* N’effacez pas nos traces ! Dominique Grange, une chanteuse engagée de Pedro Fidalgo (2022).

La ressortie en version restaurée

* La Nuit des morts-vivants (Night of the Living Dead) de George A. Romero (1968).



Mardi 21 février 2023

 

Michel Deville (1931-2023) est mort jeudi 16 février 2023.


 

Sa mort n’a été annoncée qu’hier soir, après ses obsèques dans l’intimité dont rien n’avait filtré, parce que "Michel détestait les cérémonies". Cette sortie en douce de la vie publique ressemble un peu à son style comme à la réception de son œuvre, importante mais inégale et méconnue.

Si, avec ses 34 films entre 1958 et 2005, il a travaillé à peu près tous les genres, après sa formation comme assistant de Henri Decoin (1953-1958), il faut distinguer sa première période avec Nina Companeez (1937-2015). Le réalisateur débutant aborde le tournant de sa trentaine, la très jeune monteuse s’affirme scénariste, et pendant douze ans (1959-1971), ils vont chacun, en quelque sorte, "devenir eux-mêmes" ensemble.

Ce temps est une période de légèreté, leurs années 60 sont fécondes, avec des films aux succès inégaux, mais qui culminent avec un film libertin Benjamin ou les Mémoires d’un puceau (Prix Louis-Delluc 1967). Le film sort en janvier 1968.


 

Suivront Bye bye, Barbara (1969) et L’Ours et la Poupée (1970), avec Brigitte Bardot.


 

Pas trace, dans leur vision imperméable, de ce qui se passait alors partout autour d’eux dans le monde, et pas seulement à Paris dans les rues du Quartier latin, mais aussi dans les mentalités individuelles et collectives. Ils demeurent dans une conscience à la Marivaux (1688-1763)), "pré-révolutionnaire" pourrait-on dire, ou, en euphémisant, au moins, délibérément "non-violente".


 

Dans la catégorie, une fois le calme revenu, Michel Deville et Nina Companeez devaient avoir raison, puisque leur dernier film, Raphaël ou le débauché fut sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes 1971. Après cette acmé, Nina Companeez décide de devenir réalisatrice, et lui, il confirme : "Nous vieillissions ensemble, c’était bien, mais nous étions toujours dans le même sillon, notre numéro était trop bien rodé".


 

À partir de 1973, Michel Deville aborde une période plus autonome. Après deux films en coproduction France-Italie, notamment La Femme en bleu avec Michel Piccoli et Lea Massari, un film non récompensé mais très charmant, il revient à la production française, et réalise régulièrement des films qu’il scénarise puis co-scénarise avec Rosalinde Damamme, la plupart du temps à partir d’œuvres littéraires. S’il continue à apprécier les histoires intimistes, l’érotisme soft, s’il demeure un amateur de sophistications perverses, ses goûts se sont "socialisés". On va alors voir sortir des œuvres marquantes, qui ne sont pas forcément des succès commerciaux, mais qui sont sélectionnés dans des festivals, et figurent souvent parmi les sélections des César.

* Le Dossier 51 (1978) primé au Festival international du film de Saint-Sébastien 1978.


 

* Eaux profondes (1981), qu’il ne faut pas confondre avec le film de Adrian Lyne, Deep Water (2022). Les deux films sont adaptés du roman de Patricia Highsmith (1957), sans que ce dernier soit le remake du premier.


 

* Péril en la demeure (1984), sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 1985.


 

Peut-être tout particulièrement quand il s’est autorisé à réaliser Le Paltoquet (1986).


 

On a eu alors, le sentiment que Michel Deville avait trouvé sa place dans le cinéma français, qu’il était même devenu un auteur.

Et confirmation avec :

* La Maladie de Sachs (1999), primé au Festival international du film de Saint-Sébastien 1999.


 

L’étonnement devant l’hapax La Petite Bande (1983), puis la déception devant une récidive, La Divine Poursuite (1997) n’ont pas réussi à le desservir.


 

La Cinémathèque française a proposé récemment une Rétrospective Michel Deville (9-26 mai 2019). En revanche, le nouveau (jeune) grand public devrait avoir du mal à faire connaissance avec son œuvre. Et ce n’est pas son dernier film, Un fil à la patte (2005), il y a 18 ans mais au 21e siècle quand même, qui pourra le remettre dans une chaude actualité. Il est loin le temps (fin du 20e siècle) où on pouvait encore considérer, au théâtre comme au cinéma, Georges Feydeau (1862-1921) comme un "contemporain", et le vaudeville comme ne serait-ce qu’une distraction.


 

La télévision n’a pas pris la peine d’annoncer sa mort, à part une ou deux breaking news, et la plupart du temps, on l’a défini comme "un cinéaste qui avait fait tourner Brigitte Bardot, Catherine Deneuve et Michel Piccoli", rien de moins, mais rien de plus.

Michel Devillle restera un réalisateur respecté par les cinéphiles, pour son indépendance, sa relation aux acteurs et son incontestable élégance. Un homme qui aimait les femmes. comme il l’expliquait à l’INA. Les amateurs de son œuvre, à la fois disparate et souterrainement cohérente, n’ont pas disparu. Jeune Cinéma va mettre en ligne les chroniques de ses films parues lors de leurs sorties.

* Cf. Michel Volkovitch, "Michel Deville étrangement méconnu", Jeune Cinéma n°326-327, été 2009.

* On trouvera l’analyse des 4 coffrets DVD sur le Blog de Michel Volkowitch.



Vendredi 17 février 2023

 

À Berlin, hier, a commencé la Berlinale 2023, 73e édition (16-26 février 2023).


 

Au programme, notamment :

* Un Ours d’or d’honneur à Steven Spielberg.

* Un Jury de la compétition internationale remarquable, présidente Kristen Stewart, avec Golshifteh Farahani, Valeska Grisebach, Radu Jude, Francine Maisler, Carla Simón, Johnnie To. Et de nombreux autres prix.

* La sélection officielle Compétition (Wettbewerb).

* La sélection officielle Hors compétition et ses sections : Panorama ; Forum ; Generation ; Berlinale Special & Berlinale Series ; Encounters ; Perspektive Deutsches Kino ; Retrospektive

* La Section parallèle Woche der Kritik (Semaine de la critique) ses invités, et son programme (15-23 février 2023).


 

Hier soir, l’ouverture officielle s’est faite avec She Came to Me de Rebecca Miller (2022).


 

Aujourd’hui, et comme chaque jour du festival, il y a plusieurs critères de choix, la section, le lieu, la notoriété, la découverte...


 

Quelques suggestions :

* À 12h45, AdK : El eco de Tatiana Huezo (2023).


 

* À 15h45, Berlinale Palast : The Survival of Kindness de Rolf de Heer (2022).


 

* À 18h30, Zoo Palast 1 : La Bête dans la jungle de
Patric Chiha (2023).


 

* À 19h00, Delphi : Notre corps de Claire Simon (2022).


 

* À 20h00, Arsenal 1 : Uriwa sanggwaneopsi de
Yoo Heong-jun (2023)


 

* À 21h00, Verti Music Hall : Superpower de Sean Penn (2023).


 

* À 22h15, Berlinale Palast : Blackberry de Matt Johnson (2023).


 

Faites votre programme.

Sur Arte, on accompagne cette 73e édition en découvrant ou en revoyant les films sélectionnés ou primés lors des années précédentes.


À Poitiers, commence le festival Filmer le travail 2023, 14e édition (17-26 février 2023).


 

L’Association Filmer le travail a été créée en 2009 par l’Université de Poitiers, l’Espace Mendès-France (EMF) /
et l’Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail (ARACT).

Le festival n’a jamais été aussi nécessaire qu’en ce moment.
Cette année, il interroge les formes que prend le travail quand il échappe au cadre légal ou qu’il se situe en dehors du salariat : Travail au noir, invisible, gratuit, bénévole, travail domestique, travail vivant… à travers la programmation cinéma, mais aussi avec des rencontres, conférences et tables rondes.


 

Au programme cinéma : Compétition internationale ; Événements ; Rétrospective ; Regards croisés ; Avant-premières ; Séances spéciales.


 

Ce soir, ouverture dans les salons de l’hôtel de ville à partir de 19h00, puis le film au TAP Castille :

* À 20h00 : Harka de Lotfy Nathan (2022).


 


À Toulouse, à la Cinémathèque, commence l’Extrême Cinéma 2023, 24 édition (17-25 février 2023).


 

Ce soir, ouverture, avec un ciné-concert :

* À 21h00 : Les Aventures extraordinaires de Saturnin Farandoul de Marcel Fabre (1914).
Accompagnement par le duo disco-surf-garage The Guilty Pleasures.


 

Faites votre programme.


À Paris, à la Fab., en partenariat avec l’Association internationale Gaston-Bachelard, la Maison de La Poésie,
Philosophie Magazine et France Culture, on célèbre Gaston Bachelard (1884-1962), avec une exposition collective Bachelard Contemporain (17 février-30 avril 2023).


 

Avec Christian Boltanski, Marie-Pierre Bonniol, Isabelle Bonté-Hessed2, Céleste Boursier-Mougenot, Emma Charrin, Caroline Corbasson, Adrien Degioanni, Felicie d’Estienne d’Orves, Sandrine Estrade-Boulet, Yves Klein, Thierry Kuntzel, Ryan McGinley, Olivier Muller, Abraham Poincheval, Gwendoline Robin, Roman Signer, Max Sister, Jean-Mickaël Thomas, Hermione Volt.


 



Jeudi 16 février 2023

 


 

C’est la 5e journée de grève (après les 19 et 31 janvier, les 7 et 11 février 2023) contre le projet de réforme des retraites tel qu’il est proposé.


 

On manifeste. Les leaders syndicaux seront à Albi.
À Paris, c’est à partir de 14h00 place de la Bastille vers la place d’Italie.


 

On en profite pour découvrir les richesses du magazine Reporterre, en accès libre.

* On s’abonne gratuitement aux lettres d’infos.

* On soutient la revue.

On complète sa connaissance de la pensée de André Gorz,
qui a eu 100 ans le 9 février 2023, et qui voulait libérer le temps.

Bonne lecture :

* Françoise Gollain, André Gorz & l’écosocialisme, Lorient, Le Passager clandestin, 2021.


 



Au fil du temps, tous les éditos
 

Voyage dans le temps.
 



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