2023 : Journal de Solomon Roth
* Solomon Roth-édito 2023 ; 1er-14 janvier 2023 ; 16-31 janvier 2023 ; 1er-15 février 2023 ; 16-28 février 2023 ; 1er-15 mars 2023 ; 16-31 mars 2023 ; 1er-15 avril 2023 ; 17-29 avril 2023 ; 1er-11 mai 2023 ; 15-31 mai 2023 ; 1er-15 juin 2023 ; 17-30 juin 2023 ; 1er-15 juillet 2023 ; 17-29 juillet 2023 ; 1er-11 août 2023 ; 16-31 août 2023 ; 1er-15 septembre 2023 ; 16-30 septembre 2023 ; 2-15 octobre 2023 ; 16-31 octobre 2023 ; 1er-15 novembre 2023 ; 16-30 novembre 2023 ; 1er-15 décembre 2023 ; 16-27 décembre 2023
À Dubaï, s’ouvre la COP28 (30 novembre-12 décembre 2023).
Au programme : Financement de l’action climatique, bilan mondial, fin progressive des énergies fossiles, et toutes ces sortes de choses...
Récapitulation :
Dans les années 1980, la communauté scientifique comprend peu à peu que les activités humaines sont à l’origine du réchauffement climatique.
* En 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est créé par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).
Son premier rapport est remis en 1990 et confirme les chiffres qui circulaient déjà : un réchauffement possible à 3° à l’horizon 2050 par rapport à l’ère préindustrielle.
* En 1992, à Rio de Janeiro, se tient la conférence des Nations Unies, le Sommet de la Terre sur l’environnement et le développement (3-14 juin 1992).
* En 1995, à Berlin, s’ouvre la première Conference of Parties. La COP1 est prometteuse (28 mars-7 avril 1995). Elle n’aboutit pas à des mesures concrètes mais les 120 gouvernements présents prennent acte de la gravité de la situation et de la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre relevant des activités humaines.
Sur France Culture.
Vont suivre : la COP2 à Genève en 1996, la COP3 à Kyoto en 1997, la COP4 à Buenos Aires en 1998, la COP5 à Bonn en 1999.... et ainsi de suite, chaque année. Les dernières COP, c’était en 2021 à Glasgow et en 2022, à Charm el-Cheikh.
* En 2015, à Paris, il y avait eu un Accord, un espoir : Pour la première fois, tous les États membres des Nations unies se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, avec l’objectif ambitieux de maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2°C, d’ici 2100.
* En 2023, les promesses n’ont pas été tenues, les Cop, elles, ont persévéré chaque année comme fleurissent régulièrement (pour l’instant) les marronniers, mais depuis 8 ans, aucun autre accord mondial n’a été signé.
Les scientifiques ont revu à la hausse leurs prévisions : d’ici 2100, l’augmentation du réchauffement climatique serait de 3,8 °C par rapport au début du 20ᵉ siècle, et ce dans un scénario d’émissions modérées de gaz à effet de serre.
La COP28 contre le réchauffement climatique est organisée par l’un des plus grands pollueurs de la planète, à Dubaï, présidée par son Excellence le docteur Sultan Al Jaber, patron de la compagnie pétrolière nationale. La plupart des médias qualifient ce choix de "paradoxal". On préfère les termes "ironique" ou carrément "cynique".
La COP28 pourrait être la dernière.
La lutte s’organise ailleurs, dans d’autres institutions, dans d’autres événements, dans certaines relations bilatérales entre États, ou tout simplement sous la pression des opinions publiques. Avec des résultats forcément mineurs.
À Paris, au Pavillon de l’Arsenal, commence une nouvelle exposition Un possible futur (30 novembre 2023-21 janvier 2024).
Ce soir :
* À 19h00 : Inauguration sur inscription.
À Perpignan, à l’Institut Jean-Vigo, on vernit une nouvelle exposition, autour de son fond d’archives Max-Douy : Le Fonds Douy. Réflexion sur le scénario (1er-19 décembre 2023).
Max Douy (1914-2007), Entré à 16 ans au studio de cinéma de Joinville, a travaillé avec tous les grands noms du cinéma français : Jean Renoir, Luis Buñuel, Robert Bresson, Jean Vigo, Marcel L’Herbier, Max Ophuls, Henri-Georges Clouzot, Claude Autant-Lara...
Ce soir :
* À 18h30 : Vernissage et rencontre autour du scénario et de la pré-production.
Avec Chantal Marchon.
* À 19h30 : Les Sept Péchés capitaux de Sylvain Dhomme & Max Douy, Édouard Molinaro, Jean-Luc Godard, Jacques Demy, Roger Vadim, Philippe de Broca, Claude Chabrol (1962).
À Paris, à la Maison de l’Amérique latine (MAL), c’est la Tribune de l’actualité latino-américaine et caribéenne.
Ce soir :
* À 19h00 : Argentine. Et maintenant ?
Avec David Copello.
À Paris, à la Cinémathèque, commence la Rétrospective Barbet Schroeder (29 novembre-18 décembre 2023).
Présentation par Cédric Anger.
Ce soir, ouverture, salle Henri-Langlois :
* À 20h00 : La Vierge des tueurs (La virgen de los sicarios) de Barbet Schroeder (1999).
En sa présence.
À Paris, aux Trois Luxembourg le cinéclub Sorbonne Université et l’association Géonautes Sorbonne organisent une séance spéciale pour comprendre l’origine des problèmes environnementaux menaçants les nouvelles générations.
Ce soir :
* À 20h00 : Animal de Cyril Dion (2021).
Avec Delphine Gramond, spécialiste des questions de biodiversité et de zones humides.
À Paris, salle Dussane c’est le cinéclub hebdomadaire de l’ENS.
Ce soir :
* À 20h15 : Le Diable probablement de Robert Bresson (1977).
Les sorties sur les grands écrans
* Édouard Louis ou la transformation de François Caillat (2022).
* Cesária Évora, la diva aux pieds nus de Ana Sofia Fonseca (2022).
* Rêves de Pascal Catheland & Arthur Perole (2022).
* Les Petits mâles de Laurent Metterie & Camille Froidevaux-Metterie (2022).
* Perfect Days de Wim Wenders (2023).
* Conann de Bertrand Mandico (2023).
* Augure de Baloji (2023).
* Le Temps d’aimer de Katell Quillévéré (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* 3 films de Alfred Hitchcock :
Les 39 Marches (The 39 Steps, 1935) ; Jeune et innocent (Young and Innocent, 1937) ; Une femme disparaît (The Lady Vanishes, 1938).
* Anna de Pierre Koralnik (1967).
* Love Actually de Richard Curtis (2003).
À Aix-en-Provence, commence le festival international de courts métrages Tous courts 2023, 41e édition (28 novembre-2 décembre 2023).
Au programme
* Les Compétitions : Compétition internationale ;Compétition expérimentale
* Hors compétition : Les cauchemars de Midi-Minuit ; Quartiers lointains. Saison 7 : Métamorphose(s) ; Femmes & Cinéma ; Objets Singuliers. Au carrefour de l’art contemporain et du cinéma
* Les Cartes Blanches : La Suisse. La double crème du cinéma suisse ; Le Québec. Des productions emblématiques de la jeune génération québécoise.
* La Nuit du Court : Fureur de vivre !
* La Soirée Arte. Rester adolescentes ?
* Les Masterclass : Le court métrage français aux couleurs du fantastique (Masterclass de Guy Astic) ; Penser l’écriture du personnage en scénario (Masterclass de Caroline San Martin) ; Les circuits de production et de diffusion du court métrage (Table ronde professionnelle).
* Une exposition : Sweet Dreams. Ciné, papiers découpés & collages de Itchi (18 novembre-2 décembre 2023).
Ce soir, cérémonie d’ouverture, amphithéâtre de la Manufacture :
* À 19h30, six courts métrages, en entrée libre et gratuite : Pluie de grâce ou grâce à la pluie de Chryssa Florou (2023) ; Le Défilé de Michail Galanopoulos (2022) ; O Homem do Lixo de Laura Gonçalves (2022) ; Patres de Saverio Tavano (2023) ; D’une peinture…à l’autre de Georges Schwizgebel (2023) ; La Charge mentale de Mathias Rifkiss & Colas Rifkiss (2023).
À Paris, au Lincoln et au Mac-Mahon, sous le patronage de l’UNESCO, commence le festival international Cinéma Heritage 2023, 1ère édition (28 novembre-2 décembre 2023).
À l’origine, l’instauration d’une délégation permanente de la République kirghize, auprès de l’UNESCO, depuis le 15 septembre 2023, qui a donné l’idée d’un festival international annuel du film, ayant pour objectif de valoriser le patrimoine cinématographique mondial et de préserver sa diversité culturelle.
Au programme :
* Cinq pays : L’Azerbaïdjan, la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Turquie.
* Hommage à Zhang Yimou et Prix pour l’ensemble de sa carrière.
* Une Compétition et deux sections Héritage et National Film Day.
* Les invités d’honneur : Costa Gavras, Cristian Mungiu, Meryem Uzerli.
Ce soir, cérémonie d’ouverture, à 19h00, à l’Unesco.
Le cinéma, ça commence demain, au Lincoln :
* À 15h00 : Muyeres de Marta Lallana (2023).
En sa présence.
À Paris, au Majestic Bastille c’est le cinéclub des Scénaristes de cinéma associés (SCA), Intérieur/Nuit.
Ce soir, on évoque la longue relation de coécriture entre Anne-Louise Trividic et Patrice Chéreau (1944-2013).
* À 20h00 : Son frère de Patrice Chéreau (2003).
Présentation par Lucas Gloppe.
La projection est suivie par une masterclass de Anne-Louise Trividic avec Éric Caravaca.
En 1999, les Nations Unies ont créé la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, que l’on marque depuis, chaque année, le 25 novembre.
La date a été choisie pour rappeler la résistance et le martyre des sœurs Mirabal, "las Mariposas" le 25 novembre 1960 par le dictateur de la République dominicaine, Rafael Trujillo (1891-1961).
Cette violence est partout sur Terre. Partout dans le monde, chaque heure en moyenne, plus de cinq femmes ou filles sont tuées par un membre de leur famille. Au Mexique, 10 femmes sont assassinées chaque jour en moyenne, et 98 sur 100 de ces crimes restent impunis.
Dans l’Union européenne, 1 femme sur 5 a déjà subi des violences physiques ou sexuelles de la part d’un de ses compagnons. En France, 94 000 femmes sont victimes de viol ou tentative chaque année.
Cette violence est aussi inimaginable. La domination et la hiérarchie n’impliquent pas forcément la haine, la cruauté, ou le sadisme. Or la misogynie est d’une nature particulière, un "racisme" spécifique. Il est autodestructeur pour l’espèce humaine. En Inde et en Chine, on a constaté un inquiétant déclin du nombre de femmes.
On est loin d’en avoir compris les origines, l’essence, les innombrables techniques de cette haine. Elle est si ancienne, que, comme pour tout fait habituel, il a fallu du temps pour la reconnaître, la qualifier, la combattre. C’est ainsi que le terme de "féminicide" (en France, 121 féminicides de janvier à mi-novembre 2023, soit un tous les deux jours) ne s’est imposé que récemment et il ne figure toujours pas dans le Code pénal.
Aujourd’hui, manifestation, aux côtés des collectifs d’associations emmenées par #NousToutes.
À Paris, parcours :
* À partir de 14h00 : Départ de la place de la Nation vers la place de la République.
Bonne lecture :
* Caroline de Haas, Manuel d’action pour en finir avec les violences sexistes et sexuelles, Paris, Robert Laffont, 2021.
À Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP) commence le festival de cinéma japonais contemporain Kinotayo 2023, 17e édition (25 novembre-16 décembre 2023)
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h00 : Perfect Days de Wim Wenders (2023).
En sa présence.
À Lyon, à l’Institut Lumière commence une Rétrospective Yasujirō Ozu. Les saisons radieuses (24 novembre 2023-28 janvier 2024).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : Crépuscule à Tokyo (Tôkyô boshoku) de Yasujirō Ozu (1957).
* À 20h00 : Printemps précoce (Sôshun) de Yasujirō Ozu (1956).
Mais la soirée d’ouverture, c’est mardi 28 novembre 2023 :
* À 19h00 : Voyage à Tokyo (Tôkyô monogatari) de Yasujirō Ozu (1953).
Présentation par Maelle Arnaud.
À Nantes, et dans les salles partenaires de Loire-Atlantique, commence le Festival des 3 Continents 2023, 45e édition (24 novembre-3 décembre 2023)
Au programme :
* Safi Faye. Lettres africaines.
* Anthologie du cinéma vietnamien.
* Amitabh Bachchan. Big B Forever.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h30 : A Man (Aru otoko) de Kei Ishikawa (2022).
À Amsterdam, au Pathé Tuschinski, au LAB111, et à l’Eye Filmmuseum commence le week end espagnol Spanish Film Festival 2023 (ASFF), 9e édition (24-26 novembre 2023).
Au programme :
* Hommage à Carlos Saura (1932-2023) avec Anna Saura et Eulalia Ramón.
* Spanish Cinema Without Fear.
Ce soir, ouverture au Pathé Tuschinski :
* À 20h00 : Modelo 77 (Prison 77) de Alberto Rodríguez (2022).
Ou alors, à l’Eye Museum :
* À 21h30 : La singla de Paloma Zapata (1963).
À Lyon, à l’Institut Lumière commence le cycle Steven Spielberg Partie 1 (24 novembre 2023-28 janvier 2024)
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan) de Steven Spielberg (1998).
Présentation par Jérémy Cottin.
À Montpellier, commencent les rencontres du cinéma d’animation 2023, Tous en court 2023, 3e édition (24-26 novembre 2023).
Organisé par l’association Brand à Part, sous le parrainage de Jean-François Laguionie, il est non compétitif.
Au programme :
* La sélection : Panorama, Films d’école, Mangamime, Hors cadre, Jeune Public.
* Les rencontres professionnelles.
Ce soir, ouverture au cinéma Diagonal :
* À 20h00 : Mars Express de Jérémie Périn (2023).
En sa présence.
À Paris, à l’Académie du climat, on suit de près la COP 28 de Dubaï (30 novembre-12 décembre 2023).
Les JAC, le RESES,
le collectif CliMates et Stop Total. invitent à observer et à débattre librement (sur inscription) de l’utilité des COP, avec aussi Attac
CARE France, Réseau Action Climat, 350.org, Greenfaith, (24 novembre-15 décembre 2023).
* À 19h00 : COP28 et énergies fossiles, les liaisons dangereuses.
Tables rondes.
À Séville, commence le Festival du film européen 2023 (SEFF), 20e édition (23-29 novembre 2023.
Au programme :
* La compétition : Sección Oficial avec le Giraldillo d’Or.
* Les sections Hors compétition : Panorámica de la creación andaluza ; Panorama andaluz cortometrajes ; Las Nuevas Olas ; Joyas ocultas ; Los títulos más esperados ; Actividades Paralelas ; Clásicos restaurados ; Sección EFA.
Ce soir, ouverture à La Real Fábrica de Artillería :
* Felipe de Federico Schmukler (2023).
À Paris, à l’Institut de Géographie, commence le festival Territoires en images 2023, 26e édition (23- 25 novembre 2023).
Le festival a pour objectif de faire prendre conscience de l’importance de l’image dans les champs scientifiques et universitaires. Il organise en début d’année, deux concours de films et de photos, puis récompense et diffuse les travaux originaux lauréats. Au programme également des rencontres et des débats.
Au programme, cette année, le thème : Géographie du corps.
Ce soir :
* À 18h00 : Vernissage de l’exposition photos.
Les lauréats : Sajede Sharifi et Jeanne Grouet, Valentin Caball, Jeanne Fourneaux-Verdonck, Ophélie Loubat, Marion Bonneau et Pierre-Yves Liberatore, Neri Savorani Andrea, Hugo Henry, Claire Corrion.
Demain, dès 10h30, le cinéma. : Viendra la mer de Marie Chenet & Joël Boulier (2023) ; Là où tout se joue de Julie Chauvin (2022) ; Tornades de Annabelle Amoros (2023) ; Ultras de Maxence Voiseux (2023) ; Le Cercle vide de Stéphanie Roland (2022).
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence un nouveau cycle Roma ! (22 novembre-19 décembre 2023).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : Quo vadis ? de Enrico Guazzoni (1913).
* À 16h30, Programme "Tosca" : Beatrix Cenci de Albert Capellani (1908) ; Tosca de Alfredo De Antoni (1918) ; La Tosca de Charles le Bargy (1909) ; La Presa di Roma (La Prise de Rome) de Filoteo Alberini (1905).
À Paris, à la Cinémathèque commence le cycle Huit chefs-d’œuvre de David W. Griffith (22-26 novembre 2023)
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Intolérance (Intolerance : Love’s Struggle Throughout the Ages) de D. W. Griffith (1916).
Accompagnement musical par Emmanuelle Parrenin, Quentin Rollet, Fabrice Laureau et Jérôme Lorichon.
À Paris, c’est le cinéclub hebdomadaire de l’ENS
Ce soir :
* À 20h15 : Chienne de rouge de Yamina Zoutat (2023).
Les sorties sur les grands écrans
* La Rivière de Dominique Marchais (2022).
* Le Plongeur de Francis Leclerc (2022).
* L’Arche de Noé de Bryan Marciano (2023).
* Un hiver à Yanji (Ran dong) de Anthony Chen (2023).
* Rien à perdre de Delphine Deloget (2023).
* Napoléon de Ridley Scott (2023).
* Je ne suis pas un héros de Rudy Milstein (2023).
* Mars Express de Jérémie Périn (2023).
* La Vénus d’argent de Héléna Klotz (2023).
* Testament de Denys Arcand (2023).
* Capelito fait son cinéma de Rodolfo Pastor (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* Guerre et Paix (Voïna i mir) de Sergueï Bondartchouk (1965).
* Huit films de Paul Vecchiali : L’Étrangleur (1972) ; Femmes, femmes (1974) ; Change pas de main (1975) ; Corps à cœur (1978) ; Encore (Once More) (1988) ; En haut des marches (1983) ; Rosa la rose, fille publique (1986) ; Le Café des jules (1988).
Le Prix Jean-Vigo 2023 a été décerné le 17 octobre 2023 à Dominique Marchais, pour son quatrième long métrage, La Rivière (2022).
Son jury est composé de Stéphane Batut, Catherine Bizern, Agathe Bonitzer, Julie Duclos, Leïla Férault, Charlotte Garson, Alain Keit, Jacques Kermabon, Quentin Mével, Marcos Uzal et Gérard Vaugeois.
La cérémonie de remise du prix aurait dû avoir lieu à Beaubourg le 18 octobre 2023. Mais Beaubourg est en grève, pour des raisons légitimes, depuis le 16 octobre 2023.
Après un report, la cérémonie se tient finalement ce soir, juste en face, au Centre Wallonie-Bruxelles
Au programme aussi : Vigo d’honneur à Claire Simon et Hommage à Sophie Fillières (1964-2023).
Ce soir, à 19h30 (fermeture des portes à 19h15) :
* Des filles et des chiens de Sophie Fillières (1991).
* La Rivière de Dominique Marchais (2022).
En présence de Agathe et Adam Bonitzer, Judith Godrèche, Sandrine Kiberlain, Emmanuelle Devos.
À Albi, commencent le festival du fim francophone Les Œillades 2023, 27e édition (21-26 novembre 2023).
Au programme :
* Une thématique : Du cinéma bon pour la planète.
* Un programme francophone avec le cinéma québécois, le cinéma suisse (en partenariat avec Swiss Films) et le cinéma belge (en partenariat avec le Centre Wallonie Bruxelles).
* Deux invitées d’honneur : Lucie Debay ; Delphine Lehericey.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 21h00, salle Arcé : Niagara de Guillaume Lambert (2023).
À Toulouse, à l’initiative de la Cinémathèque, on célèbre le cinéma muet avec le festival de ciné-concerts Synchro 2023, 2e édition (21-27 novembre 2023).
Le festival rayonne dans toute la ville, hors les murs, à l’Église du Gesu, Salle du Sénéchal, aux Abattoirs, à la librairie Ombres Blanches, Halle aux grains, au Théâtre de la Cité... Et il joue les prolongation dans toute la région Occitanie (29 novembre-10 décembre 2023).
Avec, notamment deux expositions en entrée libre :
* À la Cinémathèque Les Sarrus, exploitants itinérants de père en fils (21 novembre 2023-14 février 2024).
* Dans la Chapelle des Carmélites : Comme si vous y étiez… Le cinéma il y a 100 ans (21-26 novembre 2023).
Ce soir ouverture du cycle :
* À 19h00, dans le hall, participation libre : Pour épater les poules... (Egged on) de Charley Bowers (2026).
* À 20h30 : Ne croyez surtout pas que je hurle de Frank Beauvais (2019).
En sa présence.
Accompagnement à la guitare par Michel Cloup.
À Paris, commence le festival des cultures de l’Est, Un week-end à l’Est 2023, 7e édition (21-27 novembre 2023).
Au programme : Débats d’idée, expositions, littérature, musique. Et cinéma.
* Tbilissi, capitale de la Géorgie.
* Marraine : Nana Ekvtimishvili.
* Invitée d’honneur : Nino Haratischwili.
Ce soir, au Nouvel Odéon :
* À 19h30 : Blackbird Blackbird Blackberry de Elene Naveriani (2023).
En sa présence avec Nana Ekvtimishvili et Antoine Guillot.
Et demain, ouverture aux Beaux-Arts :
* À 18h00 : Carte blanche à Emmanuel Carrère.
À Milan, à la Cinémathèque (MIC), commence une Rétrospective Robert Mitchum (21 novembre 2023-7 jnvier 2024).
Aujourd’hui :
* À 15h30 : La Nuit du chasseur (The Night of the Hunter) aka La morte corre sul fiume de Charles Laughton (1955).
* À 17h30 : Rivière sans retour (River of No Return) aka La magnifica preda de Otto Preminger (1954).
À Paris, au Forum des images ont lieu les Avant-premières Positif (4 septembre 2023-7 juillet 2024).
Cette soirée est dédiée à Michel Ciment (1938-2023) :
* À 20h00 : The Survival of Kindness de Rolf De Heer (2023).
Un souvenir parmi d’autres :
À Paris, au Grand Action, c’est le cinéclub Louis-Lumière.
Ce soir :
* À 19h30 : Olga de Elie Grappe (2021).
À Amsterdam, à l’Eye Museum on célèbre le 100e anniversaire du format de film révolutionnaire 16 mm avec le programme Sweet 16 (21 novembre-6 décembre 2023).
Ce soir :
* À 19h15 : Christopher Harris. Still/Here.
Il présente une sélection de ses films tous tournés en 16 mm.
À propos de Christopher Harris.
À Pessac, au cinéma Jean-Eustache commence le Festival international du film d’histoire 2023, 33e édition (20-27 novembre 2023).
Au programme (40 avant-premières, 110 films, 40 rencontres) :
* Une thématique : Notre Terre.
* Les compétitions : Compétition Fiction et son jury ; Compétition documentaire et son jury ; Panorama du documentaire et son jury ; Documentaires histoire du cinéma et son jury.
Aujourd’hui, ça commence dès 10h40, avec Les Camps, secret du pouvoir chinois de Tania Rakhmanova (2022).
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 18h00 : Les humains sur la Terre : un très bref scénario dramatique ?
Conférence inaugurale de Christian Grateloup.
* À 20h30 : Les Colons (Los colonos) de Felipe Galvez Haberle (2023).
En sa présence.
À Paris, à l’Inalco, commencent les Regards comparés 2023, du Festival Jean-Rouch, 11e édition (20-23 novembre 2023).
Fondé en 1982 par Jean Rouch (1917-2004), et organisé par le Comité du film ethnographique, le festival se déroule au printemps, et, depuis 2021, principalement, au Musée du quai Branly, avec des séances gratuites. Le Festival 2023 a eu lieu du 4 au 11 mai 2023.
Le reste de l’année, il investit aussi d’autres lieux parisiens, et, au mois de novembre, un de ses partenaires principaux, l’Inalco. Entrée gratuite sur inscription.
Aujourd’hui :
* À 14h00, Des environnements menacés I : Explosion atomique française à Mururoa Pacifique (1966) ; Opération juillet – Tureia de la Section cinématographique de l’Armée (1968) ; Ils vont arrêter la bombe de François Reinhardt (2016).
* À 16h15, Des environnements menacés II : Nous Tikopia de Corto Fajal (2018).
* À 19h00, Des environnements menacés III : Thule Tuvalu de Matthias Von Gunten (2014).
À Cannes, dans huit salles de cinéma de la ville commencent les Rencontres cinématographiques 2023, 36e édition (20-26 novembre 2023).
Au programme, près de 100 séances, 8 films en compétition, 24 films en avant-première, des hommages, des cartes blanches, des masterclasses.
* Hommage à Jacqueline Bisset.
Ce soir, au Théâtre Croisette :
* À 19h00 : La Nouvelle Femme de Léa Todorov (2023).
À Paris, commence l’Université populaire de ACID, l’Acid pop 2023, 5e saison (novembre 2023-juillet 2024).
Chaque séance est construite autour d’un film choisi par les cinéastes de l’ACID et se déroule en trois temps : discussion autour d’une question de cinéma en lien avec le film de la soirée, projection du film et échange avec le public.
Ce soir, lancement de la saison au MK2 Quai de Seine, à 20h00 :
* Filmer est un jeu.
Discussion entre les cinéastes Léo Couture, Mattéo Eustachon, Anton Balekdjian et Clément Schneider.
* Mourir à ibiza de Léo Couture, Mattéo Eustachon & Anton Balekdjian (2022).
* Échange avec le public.
À Paris, à l’Académie du climat,Climate Chance avec Novethic et Euractiv invitent au Bilan mondial de l’action climat 2023.
À partir de 14h00, deux tables rondes : L’heure des comptes - Lancement du Bilan mondial de l’action climat 2023.
* Accueil.
Avec Ronan Dantec, Pascal Charriau, Antoine Gillod, Tania Martha Thomas.
Et comme Grand témoin : Jean Jouzel, ancien vice-président du GIEC.
* Table-ronde #1 : Des entreprises redevables de leurs actions climat : opportunité ou nécessité ?
Avec Gilles Vermot Desroches, Clément Morlat, Romain Poivet, Claire Tutenuit.
Cf. aussi "90 entreprises sont responsables de deux tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre"
* Table-ronde #2 : La transition énergétique a-t-elle vraiment démarré dans les territoires ?
Avec Tessa Ferry, Nicolas Soudon, Tadashi Matsumoto, Claudine Bichet, Bettina Laville.
Cf. aussi "Transition énergétique : qu’en pensent les politiques ?"
À Paris, au MK2 Quai de Seine et au MK2 Beaubourg, commence le festival Chéries-Chéris 2023, 29e édition (18-28 novembre 2023).
Au programme, 73 longs-métrages en compétition, 12 documentaires, une soixantaine de courts-métrages et 40 nationalités représentées.
Le festival a créé un prix spécial, le Prix Libertés Chéries, pour les pays où les droits LGBTQ+ sont menacés ou bafoués.
* Les Compétitions : Fictions et son jury. ; Courts métrages et son jury ; Documentaires et son jury.
* Les sections Hors compétition : Panorama fictions ; Panorama documentaires ; Séances événements ; Séances spéciales.
* Chéries Chéris Hors les murs.
Aujourd’hui :
* À 10h20, au MK2 Beaubourg : Neon Spring de Matīss Kaža (2022).
On note que la cérémonie d’ouverture aura lieu au MK2 Bibliothèque, le 21 novembre 2023 :
* À 20h00 : Sans jamais nous connaître (All of Us Strangers) de Andrew Haigh (2023).
À Marseille, dans le cinémas de la ville, et dans la région, commencent les rencontres Films Femmes Méditerranée 2023, 18e édition (18-24 novembre 2023).
Au programme :
* Leçon de cinéma de Elene Naveriani.
Ce soir, ouverture aux Variétés :
* À 20h00 : Sambizanga de Sarah Maldoror (1972).
En présence de Annouchka de Andrade.
À Paris, au Max Linder Panorama, à l’initiale de Capricci et de la revue SoFilm, se tient une journée spéciale d’hommage à Francis Ford Coppola avec la trilogie du Parrain.
On peut voir chacun des films séparément, mais on recommande l’immersion dans l’intégrale.
* À 13h30 : Le Parrain (The Godfather) de Francis Ford Coppola (1972).
* À 17h00 : Le Parrain II (Mario Puzo’s The Godfather : Part II) de Francis Ford Coppola (1974).
* À 21h00 : Le Parrain III (Mario Puzo’s The Godfather : Part III) de Francis Ford Coppola (1990).
Bonne lecture :
* Mark Seal, Leave the Gun, Take the Cannoli : The Epic Story of the Making of The Godfather New York, Gallery Books, 2021. Laisse le flingue, prends les cannolis, traduction par François Raison, Paris, éditions Capricci, 2023.
À Paris, au Nouvel Odéon, chaque mois l’association Cinéma(s) d’Iran propose les Samedis du cinéma iranien.
Ce soir :
* À 11h00 : Juste une nuit (Ta farda) de Ali Asgari (2022).
Aujourd’hui, c’est le 5e anniversaire du soulèvement des Gilets jaunes.
C’était en gestation depuis longtemps, et visible depuis octobre 2018, avec, au départ, une protestation contre le prix du carburant qui masquait une grande quantité d’autres soucis matériels et donc existentiels. L’étincelle s’est produite le 17 novembre 2018, avec une première grande mobilisation générale identifiée : blocage des accès aux villes, des rocades et des grands axes routiers, des aéroports, des dépôts et raffineries de carburants, opérations escargot. Bilan tactique : 2000 rassemblements et blocages dans toute la France, 600 ville touchées. À Paris, l’objectif était l’Élysée, une quinzaine de lignes de bus déviées. Bilan humain : 1 morte en Savoie percutée par une automobiliste, 409 blessés, 282 interpellations, 157 gardes à vue.
On s’en souvient comme d’un mouvement inédit, non structuré, et d’événements sans pareils. On se souvient aussi du mépris d’une certaine bourgeoisie, et pourtant d’une adhésion statistiquement majoritaire dans le pays, tout autant que des réticences et des récupérations des partis. On se souvient de certaines tribunes, par exemple, celle de Luc Gwiazdzinski, le 21 septembre 2019.
Cf. "Gilets jaunes (automne 2018)", Journal de Louise Wimmer (1er, 2 et 6 décembre 2018), Jeune Cinéma en ligne directe.
Mais, aujourd’hui, une célébration n’est pas inutile, cette révolte compréhensible et justifiée, asphyxiée par l’irruption de la pandémie de covid19, mérite une place historique, au même titre que tant d’autres en France. On pense aux contemporains, Occupy Wall Street à New York ou les Indignados espagnols, à la ZAD de Nantes, on pense surtout aux grandes références, même si elles n’ont jamais été égalées, comme les révoltes des canuts, dans le cadre des révolutions de 1830 et 1848, ou la Commune de Paris en 1871.
Pour cette célébration, les médias sortent tous leurs archives, mises en forme par leur point de vue socio-politique.
Cerveaux non disponibles nous offre un cadeau : leur film à eux.
Aparté pour les nouveaux venus : le nom du groupe vient d’une affirmation cynique, en 2004, du PDG de TF1, Patrick Le Lay : "Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible".
Le film est arrivé partout : dans la messagerie de Jeune Cinéma, chez LundiMatin, chez Les Mutins de Pangée, chez Mediapart, à la Fondation Danièle-Mitterrand...
Le film a le grand intérêt (et la particularité) de cibler une idée de base : Tout a été fait pour masquer la nature politique du mouvement, et réduire cette contestation essentielle à des humeurs conjoncturelles de casseurs, qui ne méritaient ni dialogue, ni négociation, juste l’envoi des "forces de l’ordre". Et aussi de rappeler ce constat malheureux, que seule la violence est audible par le pouvoir : une manif paisible (ses explications et ses revendications) est à peine mentionnée au Journal télévisé du 20h, et immédiatement oubliée. Dans la démocratie telle qu’elle fonctionne aujourd’hui, un vote quinquennal (sans décompte des abstentions et des votes nuls) suffit largement à sa légitimité. Les entretiens, conduits en 2022, sont entrecoupés d’images d’archives, racontent l’état des lieux de la pauvreté de l’époque, les raisons d’adhésion au mouvement, et les représailles policières et judiciaires.
Le film met également en lumière quelques temps forts : "La France qui monte à Paris", "les Parloirs sauvages", l’Appel de l’Assemblée des Assemblées à Commercy, les 26 et 27 janvier 2019, "la fin du grand débat début du grand débarras" du 14 mars 2019.
Enfin, le film a le grand mérite d’évoquer une solidarité, une fraternité même, qui se sont construites et épanouies, dans le cadre des rencontres, et des réunions qui se multipliaient. Une application naturelle et non revendiquée de l’ouvrage de Gauthier Chapelle & Pablo Servigne, L’Entraide. L’autre loi de la jungle (Les Liens qui libèrent, 2017).
Cf. "Les Magnifiques Sauvages," Jeune Cinéma en ligne directe.
En 2021, Amnesty International avait réalisé un documentaire de 52 minutes, Présumé coupable, autour de la question de l’arrestation abusive et du placement en garde à vue des manifestants. L’organisation estimait que 40 000 personnes avaient été condamnées abusivement. Le film s’est vu interdire aux moins de 18 ans par Youtube, mais il est visible gratuitement sur le site officiel.
Le documentaire de Cerveaux non disponibles, lui, cinq ans plus tard, réveille les mémoires, à un moment où, pour une majorité, la vie est aussi difficile sinon plus. Pour paraphraser Aldo Francia (1923-1996) dont c’est le centenaire, avec son film, Ya no basta con rezar (1972), il n’a jamais suffi de prier pour obtenir liberté, fraternité et dignité. Ne parlons pas d’égalité, dans un monde où les inégalités ne cessent de se creuser.
Bonnes lectures :
* Luc Gwiazdzinski & Bernard Floris et tous les autres, Sur la vague jaune, l’utopie d’un rond point, préface de Angelo Turco, Elya éditions, 2019.
* Kévin Puisieux & Céleste Lacombe, éds., L’Écologie depuis les ronds-points, La Fondation de l’écologie politique, 2023.
À Noisy-le-Sec et à Romainville, au Trianon, commence le Festival du film franco arabe 2023, 12e édition (17-28 novembre 2023).
* Parrain d’honneur : Costa-Gavras
* Marraine 2023 : Chloé Mazlo
Au programme : 15 longs métrages - 8 fictions et 7 documentaires, dont 8 inédits, 6 avant-premières, 1 sortie nationale – et une compétition de courts métrages.
* Rétrospective intégrale Jocelyne Saab.
Ce soir, cérémonie d’ouverture gratuite :
* À 19h00 : Inchallah un fils de Amjad al-Rasheed (2023).
En présence sa présence avec Chloé Mazlo et Costa-Gavras.
À Genève, commence le festival Filmar en América Latina 2023, 25e édition (17-26 novembre 2023).
Fondé en 1999 et basé à Genève, le Festival soutient le cinéma indépendant et les cinéastes d’Amérique latine, avec des films militants et engagés, des témoignages, des rétrospectives de personnalités du cinéma, les premières œuvres de talents émergents, des hommage aux grands classiques.
Au programme, les films actuellement à l’affiche des grandes salles de cinéma en Amérique latine.
* Les thématiques : l’éco-activisme et les droits des peuples indigènes ; les parcours migratoires ; les multiples facettes du féminisme ; les 50 ans des coups d’État au Chili et en Uruguay ; un focus cinéma queer.
* Les sections : Opera prima, Au front, Historias Queer, Muestras, Filmarito, Mas Filmar.
Ce soir, cérémonie d’ouverture à l’Alhambra, à 19h00 :
* Tótem de Lila Avilés (2023).
Précédé par Flores del otro patio de Jorge Cadena (2022).
À Bédarieux, commencent les Automnales 2023, 7e édition (17-19 novembre 2023).
Elles sont organisées par le cinéclub de Bédarieux, qui fête ses 10 ans.
Au programme, la gastronomie à travers 8 films : À table !
Ce soir, séance gratuite, au cinéma Jean-Claude-Carrière :
* À 20h30 : La Brigade de Louis-Julien Petit (2021).
À Paris, à la Cinémathèque Fenêtre sur un certain cinéma indépendant américain : American Fringe, saison 7 (17-19 novembre 2023).
Ce soir, ouverture :
* À 19h00, Salle Georges-Franju : Black Barbie : A Documentary de Lagueria Davis (2023).
En sa présence.
* À 21h45, Salle Georges-Franju : Country Gold de Mickey Reece (2022).
En sa présence.
À Paris, aux Sept Parnassiens commence le festival de ciné-débat Projection Transition 2023 4e édition (17-19 novembre 2023).
Face à la multiplication des crises, la tentation est grande de perdre espoir et de se sentir impuissant. À travers films et débats, les festivaliers sont invités à se créer leur propre récit plein d’espoir et de nouveaux repères et imaginaires.
Organisé par l’association Les Shifters, le festival s’engage à semer les graines de l’action collective, de la réflexion commune et de la vie en communauté. Les solutions existent, et l’avenir dépend de notre capacité à coopérer vers ce monde en commun.
Ce soir :
* À 20h15 : 2001 : l’Odyssée de l’espace (2001 : A Space Odyssey) de Stanley Kubrick (1968).
À Paris, au Reflet Médicis, c’est le ciné Mélo club, mensuel, de Mélanie Forret & Noël Herpe.
Le thème : À la recherche du mélodrame français.
Ce soir, en entrée libre :
* À 18h00 : Mélo ou Surmélo ?
Conférence de Thierry Jousse.
* À 20h30 : Mélo de Alain Resnais (1984).
Présenté par Brice Bonnet.
À Mannheim et Heidelberg, commence le Festival international du film 2023 (IFFMH), 72e édition (16-26 novembre 2023).
Né en 1952, il est le festival de cinéma le plus ancien d’Allemagne après la Berlinale. On se retrouve au Stadthaus Mannheim et au Karlstorbahnhof Heidelberg.
Au programme
* Invités d’honneur : Nicolas Winding Refn et Agnès Godard.
* La compétition internationale (premiers et deuxièmes films) On the Rise.
* Les sections : Pushing the Boundaries ; Filmscapes ; Facing New Challenges
* Rétrospectives. (depuis 2020). Cette année : Le jeu des acteurs et "la méthode" (1947-1980).
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Day of the Fight de Jack Huston (2023).
À Zürich, au Filmpodium, on célèbre Elaine May (née en 1932), actrice, scénariste et réalisatrice, l’une des seules cinéastes à pouvoir se prévaloir d’une carrière à Hollywood (1970-1990) : Elaine May : Seriously Funny.
Au programme, ses quatre films, très rarement vus, ainsi qu’une sélection de ses scénarios (10 films).
Ce soir :
* À 20h45 : Un nouveau départ (A New Leaf) de Elaine May (1971).
Cf. aussi : "The Marvelous Ms. Elaine May", New York Times, 21 janvier 2019.
À Paris, à l’Aéro-Club de France, reprennent les Soirées cinéphiles, organisées par Jean-Louis Merle.
Ce soir, salle du Conseil d’administration, une occasion exceptionnelle :
* À 19h00 : Meurtres à Calcutta (Calcutta) de John Farrow (1945).
Le film est en version originale sous-titrée, il n’est sorti en salle en France qu’en octobre 1948, et seulement en version française.
Comme d’habitude, le film est accompagné d’un bonus : les actualités d’octobre 1948.
Il est suivi d’un pot de l’amitié, auquel on peut apporter sa contribution.
La soirée est privée, c’est un privilège d’y assister, il faut s’inscrire sans faute pour respect du quota auprès de Béatrice Bernard.
À Paris, au Grand Action, tous les deux mois, c’est le cinéclub Climax, une séance suivie d’un décryptage scientifique, en présence de Cédric Villani.
Ce soir :
* À 19h30 : Pourquoi on se bat de Camille Étienne & Solal Moisan (2022).
Débat en visio-conférence avec Camille Étienne et Cédric Villani.
À Marseille, au Gyptis, deux fois par mois, Du cinéma pour la planète
Ce soir, dans le cadre du festival Alimenterre :
* À 19h00 : Partir à l’aventure de Gabrielle Bichat, Christine Forestier, Lucie Hautbout, & Colombine Proust (2022).
À Paris, le Musée d’art moderne (MAM) accueille, à l’initiative de Jean-Baptiste Farkas, un cycle de rencontres publiques autour des stratégies d’artistes, de théoriciens et d’acteurs culturels face à l’urgence écologique : Décroître est un moment de création.
Ce soir, salle Matisse :
* À 19h00 : Réduire pour augmenter
Avec Ghislain Mollet-Viéville et Matthieu Saladin.
On prévoit les deux prochaines séances :
* Jeudi 14 décembre 2023, à 19h00 : Le donné mis à l’épreuve de la soustraction, avec Mathilde Pellé et Laurence Rassel.
* Jeudi 18 janvier 2024, à 19h00, Écopratiques, avec Gilles Clément et Aude Cartier.
À Paris, au Goethe Institut, les étudiants de l’Université Sorbonne Nouvelle s’invitent pour présenter leur vision du cinéma allemand.
Aujourd’hui :
* À 17h00 : Anima. Die Kleider meines Vaters de Uli Decker (2022).
À Paris, The Film Gallery inaugure sa nouvelle exposition : Keja Ho. Noodem (16 novembre-16 décembre 2023).
Ce soir :
* À 18h00 : Vernissage.
C’est la deuxième exposition personnelle de la photographe et réalisatrice Keja Ho à la galerie, après Lumen Opaticum en 2019.
L’exposition s’accompagne de quatre concerts.
À Paris, au Centre coréen, commencent deux expositions.
* Lignes infinies, au fil de l’art de Kim Jung Gi (16 novembre 2023-16 mars 2024).
L’exposition rend hommage à Kim Jung Gi (1975-2022), considéré comme un dessinateur très prometteur. Elle précède l’ouverture d’un musée qui lui sera dédié en Corée.
* Mr. Misang. The Crowds (16 novembre-16 décembre 2023).
Une exposition d’art numérique.
À Nanterre, à La Contemporaine
a commencé la nouvelle exposition, en entrée libre. : Ripostes ! Archives de luttes et d’actions, 1970-1974 (15 novembre 2023-16 mars 2024).
L’exposition donne à voir la variété des luttes politiques et sociales qui ont agité la France du début des années 1970.
Teaser exposition "Ripostes ! Archives de luttes et d'actions, 1970-1974" from La Contemporaine on Vimeo.
On note toutes les rencontres qui accompagnent l’exposition.
Au fil du temps, tous les éditos