2023 : Journal de Solomon Roth
* Solomon Roth-édito 2023 ; 1er-14 janvier 2023 ; 16-31 janvier 2023 ; 1er-15 février 2023 ; 16-28 février 2023 ; 1er-15 mars 2023 ; 16-31 mars 2023 ; 1er-15 avril 2023 ; 17-29 avril 2023 ; 1er-11 mai 2023 ; 15-31 mai 2023 ; 1er-15 juin 2023 ; 17-30 juin 2023 ; 1er-15 juillet 2023 ; 17-29 juillet 2023 ; 1er-11 août 2023 ; 16-31 août 2023 ; 1er-15 septembre 2023 ; 16-30 septembre 2023 ; 2-15 octobre 2023 ; 16-31 octobre 2023 ; 1er-15 novembre 2023 ; 16-30 novembre 2023 ; 1er-15 décembre 2023 ; 16-27 décembre 2023
À Paris, à l’Arlequin, c’est la reprise intégrale de la section officielle Un Certain Regard du Festival de Cannes 2023 (31 mai-6 juin 2023).
Ce soir :
* À 18h15 : Los delincuentes de Rodrigo Moreno (2023).
* À 21h30 : La Mère de tous les mensonges (Kadib Abyad) de Asmae El Moudir (2023).
À New York, au Lincoln Center, commence le Human Rights Watch Film Festival 2023, 34e éditon (31 mai-11 juin 2023).
Ce soir, Opening night :
* À 19h00 : Seven Winters in Tehran de Steffi Niederzoll (2023).
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence la Rétrospective Hayao Miyazaki (31 mai-16 juillet 2023).
Ce soir amorce :
* À 20h30 : Porco Rosso (Kurenai no buta) de Hayao Miyazaki (1992).
La soirée d’ouverture Hayao Miyazaki aura lieu le vendredi 2 juin 2023 :
* À 18h30 : Le Voyage de Chihiro (Sen to Chihiro no kamikakushi) de Hayao Miyazaki (2001).
Présentation par Fabrice Calzettoni.
À Paris, la Cinémathèque française célèbre le centenaire de la Warner Bros. avec une décennie prodigieuse : Warner bros. et les années 70 (31 mai-18 juin 2023).
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Bonnie and Clyde de Arthur Penn (1967).
À Paris, à Beaubourg, la Cinémathèque du documentaire de la BPI présente Les Rencontres de la revue Images documentaires, dont le n°109, Filmer la littérature, mars 2023, vient de paraître.
Ce soir, au cinéma 2, deux films de Jérôme Prieur :
* À 20h00 : Proust vivant (2000) et René Char, nom de guerre Alexandre de Jérôme Prieur (2006).
En sa présence.
À Paris, chaque mercredi, la Cinémathèque du documentaire et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) s’associent en un séminaire commun, animé par Claire Simon et Stéphane Breton : Le cinéma en acte.
Les séances sont ouvertes au public en accès libre sans réservation, avec la projection d’un film, suivie d’une analyse et d’échanges.
Aujourd’hui, au Cinéma 1 :
* À 14h00 : Eux et moi de Stéphane Breton (2001).
À Paris, chaque mercredi, on va au ciné-club de l’ENS.
Ce soir :
* À 20h30 : There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (2007).
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA) commence Ce que la Palestine apporte au monde (31 mai-19 novembre 2023).
Au programme, trois exposition, des concerts, du théâtre, des rencontres littéraires, des débats, des visites guidées, des ateliers. Et du cinéma.
On note tout de suite le dimanche 11 juin 2023, deux films :
* À 16h00 : Jean Genet, un captif amoureux. Parcours d’un poète combattant de Michèle Collery (2016).
* À 18h00 : The Reports on Sarah and Saleem de Muayad Alayan (2018).
À Paris, au Centre coréen, commence une exposition dédiée au grand port du Sud : Frétillante Busan, le monde à portée de flots (31 mai- 16 septembre 2023).
Les sorties sur les grands écrans
* Invincible Été de Stéphanie Pillonca (2022).
* Lynch/Oz de Alexandre O. Philippe (2022).
* Sparta de Ulrich Seidl (2022).
* Aux Masques Citoyennes de Florent Lacaze (2022).
* L’Île rouge de Robin Campillo (2023).
* L’Improbable voyage d’Harold Fry (The Unlikely Pilgrimage of Harold Fry) de Hettie MacDonald (2023).
* De l’eau jaillit le feu de Fabien Mazzocco (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* Fleur pâle (Kawaita hana) de Masahiro Shinoda (1964).
* Inland Empire de David Lynch (2006).
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence une rétrospective : Delphine Seyrig, la discrète, l’insoumise (30 mai-30 juin 2023).
Aujourd’hui, amorce :
* À 14h00 : Baisers volés de François Truffaut (1968).
La soirée d’ouverture aura lieu le mardi 6 juin 2023 :
* À 18h30 : Sois belle et tais-toi de Delphine Seyrig (1976).
Présentation par Maelle Arnaud.
Faites votre programme Delphine Seyrig.
Ce soir, tout autre chose :
* À 19h00 : À bout de course (Running on Empty) de Sidney Lumet (1988).
Présentation par Thierry Frémaux.
À Chartres, dans toute la ville, commence le festival international du film muet Sound of Silent 2023, 1ère édition (30 mai-4 juin 2023).
Au programme, sous la présidence d’honneur de Jean-Pierre Dionnet, et le parrainage de Kyle Eastwood,180 séances de cinéma, 200 films et 30 ciné-concerts, 40 master class, rencontres et tables rondes et 6 projections gratuites, place Châtelet :
* Des rétrospectives : Aspects du cinéma muet italien ; Cinéma expressionniste allemand ; Trésors du cinéma muet chinois ; les films muets de Jean Renoir ; les films muets de Michael Curtiz ; trois westerns muets de John Ford.
* Des anniversaires : Les 100 ans de la Walt Disney Company ; Les 100 ans du studio Warner Bros.
* Des coups de projecteur sur Anna May Wong, Antonin Artaud, Victorin-Hippolyte Jasset, Oscar Micheaux.
* Des hommages à Kevin Brownlow, Alice Guy, Musidora, Jean Vigo, Jean-Jacques Annaud, Marc Caro & Jean-Pierre Jeunet.
Avec deux légendes de la bande dessinée : Philippe Druillet et Robert Crumb.
Ce soir, ouverture en deux parties :
* À 18h00, au Théâtre de Chartres : Copies argentiques des films Lumière montrés à Chartres le 17 mai 1896.
Présentation par Jean-Pierre Dionnet.
* À 20h00, au cinéma Les Enfants du Paradis : Dans la nuit de Charles Vanel (1929).
Avec Jean-Michel Bossini au piano.
À Milan, à la Cineteca Milano MIC, commence, avec sept films, un hommage à Kenji Mizoguchi (1898-1956) que la cinémathèque qualifie de "premier réalisateur féministe de l’histoire du cinéma" (30 mai-16 juillet 2023).
Certes. Mais il semble bien que le maître n’ait pas trop aimé que les créatures femelle lui échappent, quand, en 1953, il refusa de signer à Kinuyo Tanaka (1909-1977), une lettre de recommandation pour qu’elle fasse ses débuts de cinéaste, alors qu’elle avait tourné avec lui, comme actrice, une quinzaine de films.
Décidément, nous persisterons toujours à distinguer, chez les cinéastes, la vie et l’œuvre.
Ce soir :
* À 17h30 : Les Contes de la lune vague après la pluie (Ugetsu monogatari) de Kenji Mizoguchi (1953).
En italien : I racconti della luna pallida d’agosto.
À Rome, la Casa del cinema rouvre ses portes après rénovation. Sa nouvelle formule prévoit de donner, chaque mois, une carte blanche à un grand auteur sur le choix des titres à présenter aux spectateurs.
Pour commencer, une évidence : Martin Scorsese, qui était à Cannes pour présenter son nouveau film Killers of the Flower Moon (2023).
La Casa del cinema, en collaboration avec la Cineteca di Bologna, qui l’accueillera ensuite, propose donc : Carta Bianca a Martin Scorsese (29 mai-4 juin 2023).
Hier, il avait choisi Shadows de John Cassavetes (1959), et son film Who’s that knocking at my door (1967).
Aujourd’hui, d’abord sa Master class à 11h00. Puis son choix : Prima della rivoluzione de Bernardo Bertolucci (1964) à 15h00 et 17h30.
Ce soir, au Théâtre Ettore-Scola :
* À 21h00 : Mean Streets de Martin Scorsese (1973).
En sa présence.
À Cannes, aujourd’hui, c’est le dernier jour du festival et il fait enfin beau.
On aurait aimé aller plus souvent au Cinéma de la plage, avec la belle programmation de Gérard Camy.
Ce soir, ça va être possible, avec une petite laine :
* À 21h30 : Alberto Express de Arthur Joffé (1990).
Le temps est venu des distributions des prix. Même la Quinzaine des cinéastes, non compétitive, en distribue. "It’s more fun to compete", comme annoncé autrefois sur les flippers des bistrots.
On a déjà découvert :
* Le palmarès de la Cinéfondation et des courts métrages, avec 3 prix : Norwegian Offspring (Den Danske Filmskole) de Marlene Emilie Lyngstad (2023) ; Hole de Hwang Hyein (2023) ; Ayyur (Lune) réalisé par Zineb Wakrim (2023).
* Le palmarès de la section Un certain regard, avec 6 prix, dont la plus haute récompense est le Prix Un Certain Regard, attribué, cette année, à How to Have Sex de Molly Manning Walker (2023).
Ce soir, la distribution des prix de la compétition officielle a lieu au cours de la cérémonie de clôture, au Grand Théâtre Lumière, et elle est diffusée sur France 2 :
* À 20h30 : Elemental (Élementaire) de Peter Sohn (2023).
En attendant, aujourd’hui, on va voir :
* À 16h45 : Hypnotic de Robert Rodriguez (2023).
* À 19h00 : Une nuit de Alex Lutz (2023).
À Paris, à la Cinémathèque du documentaire, avec l’association Le Chien qui aboie, on fait un retour sur le Panorama du cinéma colombien 2022, avec deux films choisis.
Aujourd’hui, Cinéma 2 :
* À 17h00 : Mambo Cool de Chris Gude (2013).
* À 20h00 : Nuit blessée (Noche Herida) de Nicolás Rincon Gille (2015).
En sa présence.
À Paris, à l’Académie du climat, organisé par l’Obs, commence les conférences du Week-end des possibles 2023, 3e édition (27-28 mai 2023).
Inscription recommandée et gratuite.
Cette année, on célèbre 1972 année écologique.
En 1972, a été publié le Rapport Meadows sur "Les limites de la croissance".
Au mois de juin 1972, s’est tenue à Stockholm, sous l’égide de l’ONU, la Première conférence internationale sur l’environnement. et André Gorz organisait à la Mutualité un colloque intitulé Écologie et révolution, avec notamment Edgar Morin et Herbert Marcuse.
On n’oublie pas la mobilisation contre l’extension du camp militaire du Larzac, née le 6 novembre 1971 à Millau,qui prenait de l’extension, avec le premier grand rassemblement à l’été 1972, qui annonçait les ZAD d’aujourd’hui.
On n’oublie pas non plus la création du journal La Gueule ouverte, n novembre 1972, suivi au printemps suivant par Le Sauvage (1973-1991), qui a ressuscité avec son site.
Cf. notre Bibliographie Anthropocène.
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 11h00 : Perfect Days de Wim Wenders (2023).
* À 15h30 : La chimera de Alice Rohrwacher (2023).
* À 18h30 : The Old Oak de Ken Loach (2023).
* À 21h30 : L’Abbé Pierre. Une vie de combats de Frédéric Tellier (2023).
À Paris, Rennes, Nantes, Lyon et Toulouse, les films de Cannes s’invitent dans les cinémas Pathé (26-28 mai 2023).
Aujourd’hui, à Paris, au Pathé Opéra Premier :
* À 14h30 : Banel et Adama de Ramata Toulaye Sy (2023).
* À 16h30 : Bonnard, Pierre et Marthe de Martin Provost (2023).
* À 19h00 : Club Zero de Jessica Hausner (2023).
* À 21h15 : Les Filles d’Olfa de Kaouther Ben Hania (2023).
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence le festival Peuples et Musiques au Cinéma 2023, 24e édition (26-28 mai 2023).
Au programme, un hommage à Bernard Lortat-Jacob.
Pour mieux connaître l’ethnomusicologie, on consulte son blog.
Aujourd’hui, tout commence à 14h00 :
Ce soir :
* À 19h00 : Inauguration dans la cour de la Cinémathèque.
* À 20h45 : Tootie’s Last Suit de Lisa Katzman (2006).
* À 21h30 : Vievola. Chœurs et chants du Col de Tende de Jean-Dominique Lajoux (1974).
En présence de Pascal Caumont.
Kenneth Anger (1927-2023) est mort le 11 mai 2023 à Yucca Valley, en Californie.
C’est la galerie d’art Sprüth Magers qui a annoncé sa mort en déclarant : "À travers ses films kaléidoscopiques, qui combinent des visuels somptueux, des bandes sonores de musique populaire, et en mettant l’accent sur les thèmes et les récits queer, Kenneth Anger a jeté les bases des scènes artistiques d’avant-garde de la fin du 20e siècle, et de la culture contemporaine queer".
Après ses premiers courts métrages, d’abord faits à la maison à partir de 1937, il a commencé à faire parler de lui avec son Fireworks, en 1947. On l’a vu en France dès 1949, soutenu par Jean Cocteau, à Biarritz. Le film dix ans après, en 1957, à Los Angeles, faisait toujours scandale, et a été condamné pour obscénité. La Cour suprême de Californie, dans un jugement historique, annula la décision, affirmant que c’était une question de droits civils et que la référence à l’homosexualité dans un film n’était pas de l’obscénité.
C’est ainsi que Kenneth Anger s’est constitué comme un cinéaste pionnier de la contre-culture des années 60, et, au cours de sa longue vie, est devenu un grand classique.
Tout le monde connaît son Scorpio Rising (1963), sans dialogue mais avec Ricky Nelson ou Elvis Presley, notamment.
Kenneth Anger est devenu célèbre aussi grâce à son livre Hollywood Babylon (1959) qui "dénonce" (de façon invérifiable) toutes les turpitudes des stars, les mêmes que celles des "hommes quelconques", mais toujours bien plus intéressantes. En 1975, quand le livre fut interdit, le critique du New York Times avait décrit le livre comme "l’œuvre d’un maniaque sexuel [qui aurait pris] le contrôle du club de lecture Reader’s Digest".
En 2012, Kenneth Anger était en France.
Il y était l’invité de l’Étrange Festival, au Forum des images (6-16 septembre 2012), où il avait eu une carte blanche. Son programme était classique : La Garce (Beyond the Forest) de King Vidor (1949) ; Le Banni (The Outlaw) de Howard Hughes (1943) ; Freaks (La Monstrueuse Parade) de Tod Browning (1932) ; Le Voyeur (Peeping Tom) de Michael Powell (1960).
Il avait fait ausi l’objet d’une exposition à la Galerie du Jour de Agnès B., où Nicolas Villodre l’a rencontré.
©Nicolas Villodre, Paris, 2012
Cf. "Kenneth Anger, une vie, une œuvre", Jeune Cinéma en ligne directe.
Bonne lecture :
* Pierre Hecker, Les films "magicks" de Kenneth Anger, préface de Nicole Brenez, Paris Expérimental 1999.
À Cannes, le palmarès de la 62e Semaine de la Critique a été publié.
Le Jury, présidé par Audrey Diwan, a attribué le Grand Prix à Tiger Stripes de Amanda Nell Eu (2023).
Tous les prix de la Semaine de la Critique 2023, 62e édition.
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 11h00 : Rien à perdre de Delphine Deloget (2023).
* À 14h50 : Banel & Adama de Ramata-Toulaye Sy (2023).
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 11h00 : Hopeless de Chang-Hoon Kim (2023).
* À 13h30 : Kubi de Takeshi Kitano (2023).
* À 18h30 : La Passion de Dodin Bouffant de Tran Anh Hung (2023).
* À 22h00 : Vers un avenir radieux (Il sol dell’avvenire) de Nanni Moretti (2023).
À Paris, à la Fondation Seydoux commence le cycle Le cinéma muet mexicain (24 mai-13 juin 2023).
Aujourd’hui :
* À 14h30 : México, actualités 1922-1931.
suivi de :
La Destrucción de Oaxaca de Sergueï Eisenstein (1931).
* À 16h30 : Santa de Luis Peredo (1918).
À Paris, comme chaque semaine, c’est le ciné-club de l’ENS :
Ce soir :
* À 20h00 : Voyage au Bout de l’Enfer (The Deer Hunter) de Michael Cimino (1978).
À Paris, au Goethe-Institut Paris, on découve le plus ancien long métrage d’animation conservé, inspiré des Mille et une nuits.
Aujourd’hui :
* À 16h00 : Les Aventures du Prince Ahmed (Die Abenteuer des Prinzen Achmed) de Lotte Reiniger & Carl Koch (1926).
À Paris, chaque mercredi, la Cinémathèque du documentaire et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) s’associent en un séminaire commun, animé par Claire Simon et Stéphane Breton : Le cinéma en acte.
Huit séances ouvertes au public en accès libre sans réservation, avec la projection d’un film, suivie d’une analyse et d’échanges.
Aujourd’hui, au Cinéma 1, à 14h00 : Regarder, c’est être là.
* Les Maîtres fous de Jean Rouch (1955).
* Les Tambours d’avant : Tourou et Bitti de Jean Rouch (1971).
Les sorties sur les grands écrans
* Faces cachées (Rose Plays Julie) de Joe Lawlor & Christine Molloy (2019).
* L’Odeur du vent (Derb) de Hadi Mohaghegh (2022).
* L’Amour et les Forêts de Valérie Donzelli (2023).
* Omar la fraise de Elias Belkeddar (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* Le Mépris de Jean-Luc Godard (1963).
* Trois films de Seijun Suzuki : La Barrière de chair (Nikutai no mon, 1964) ; Histoire d’une prostituée (Shunpu den, 1965) ; Le Vagabond de Tokyo (Tōkyō nagaremono, 1966).
* La Grande bouffe de Marco Ferreri (1973).
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 8h30 : Los colonos (Les Colons) de Felipe Galvez (2023).
* À 15h30 : Cerrar los ojos (Fermer les yeux) de Victor Erice (2023).
* À 19h00 : Asteroid City de Wes Anderson (2023).
* À 22h00 : L’Enlèvement (Rapito) de Marco Bellocchio (2023).
À Marseille, Vidéodrome 2 donne carte blanche à Phil G., qui propose un cycle Libertaire Égalitaire Fraternitaire, composé de burlesques et de comédies loufoques (23-25 mai 2023).
Ce soir, à 20h30, un programme de courts métrages :
* Le Petit Fruit de l’amour (Yagodka lioubvi) de Alexandre Dovjenko (1926).
En entier sur Internet.
* Le Pèlerin (The Pilgrim) de Charles Chaplin (1923).
En entier sur Internet.
* Cops (Frigo déménageur) de Buster Keaton & Edward F. Cline (1922).
En entier sur Internet.
* Me and my Pal (Les Deux Flemmards) de Charley Rogers (Laurel et Hardy, 1933).
En entier sur Internet.
À Pise, au Palazzo blu a commencé une exposition particulière : Igort. Attraversare le forme (18 mai-10 septembre 2023).
L’exposition présente une sélection de dessins originaux tirés de quelques-uns de ses plus grands succès.
Igort, alias Igor Tuveri, est né à Cagliari en 1958. Il est surtout un dessinateur de BD, mais il est aussi un chroniqueur (La Repubblica, Il Manifesto), un "animateur", voire un activiste, comme on a pu le voir à Bologne autrefois, et un cinéaste.
On a vu par exemple, son film 5 est le numéro parfait (5 è il numero perfetto) avec Toni Servillo et Valeria Golino, sélectionné à la Mostra de Venise 2019.
Lundi 22 mai 2023
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 12h00 : Anatomie d’une chute de Justine Triet (2023).
* À 16h45 : Les Feuilles mortes (Kuolleet lehdet) de Aki Kaurismäki (2023).
* À 19h30 : Club Zero de Jessica Hausner (2023).
* À 21h45 : Bonnard Pierre et Marthe de Martin Provost (2023).
À Paris, aux Sept Parnassiens, la Ligue des droits de l’homme Paris14 et ATTAC Paris 14 proposent une avant-première de grande actualité : la guerre de l’eau, l’eau comme "bien commun", dans cette transition accélérée vers un nouveau climat menaçant pour l’espèce humaine.
Ce soir :
* À 20h00 : De l’eau jaillit le feu
de Fabien Mazzocco (2023).
En présence de Daniel Hofnung et Sylvain Jouanne.
À New York, au MET, on se concentre sur les arbres, plus spécialement sur les cyprès, et encore plus précisément sur ceux de Vincent van Gogh avec 40 œuvres connues ou moins connues : Van Gogh’s Cypresses (22 mai-27 août 2023).
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 9h00 : Les Meutes de Kamal Lazraq (2023).
* À 15h15 : Les Herbes sèches (Kuru otlar ustune) de Nuri Bilge Ceylan (2023).
* À 19h30 : Le Jeu de la reine (Firebrand) de Karim Aïnouz (2023).
À Paris, on va au DOC ! pour soutenir le cinéma La Clef Revival, qui semble en train de gagner sa longue lutte.
Le collectif relance sa campagne de crowdfunding et continue activement à rechercher des mécènes. Tout don est défiscalisable à hauteur de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises.
Parmi ses soutiens de plus en plus nombreux, un nouveau venu de poids, Martin Scorsese, via Libé.
Ce soir, deux films, à 18h30 :
* Contre-courant de Jean-Daniel Pollet (1991).
* Pour mémoire : la forge de Jean-Daniel Pollet & Maurice Born (1978).
À Paris, dans le Parc de La Villette, on va s’immerger dans le Labyrinthe de Tim Burton (19 mai-20 août 2023).
Sur 5000 m² et avec 300 itinéraires possibles, on navigue dans l’imaginaire et le temps de Tim Burton à son gré, de Alice aux pays des Merveilles (2010) à Mars Attack (1996) en passant par Charlie et La Chocolaterie (2005), Beetlejuice (1988), Noces Funèbres (2005) ou Edward aux mains d’argent (1990). L’expérience est inoubliable.
À Bâle, à la Fondation Beyeler, s’ouvre aujourd’hui l’exposition d’été : Doris Salcedo (21mai-17 septembre 2023).
Doris Salcedo est née en 1958 à Bogota. Après avoir été voir de près les Sandinistes au Nicaragua, à 20 ans, et après avoir découvert plus tard l’œuvre de Joseph Beuys (1921-1986), elle décline la notion de "sculpture sociale", une façon de concilier l’art et l’engagement.
Tout son travail a alors été d’explorer et de dénoncer le "cycle sans cesse répété de violence, d’indignation, de deuil, de commémoration et d’oubli", avec des installations et des interventions in situ, et avec des sculptures à partir de toutes sortes de matériaux (pierre et ciment, meubles en bois, aiguilles, vêtements, soie, herbe, eau, pétales ou cheveux). Les quelque 100 œuvres exposées sont tirées de huit séries en provenance de musées et de collections privées.
On se souvient de cette installation pour la 8ème Biennale d’art d’Istanbul en 2003 : un hommage à la mémoire des familles disparues d’un quartier de la ville, envoyées en camp de concentration en 1942,
À Paris, la Galerie Javault - Eva Pritsky à Ménilmontant, s’attache à toutes les pratiques artistiques contemporaines, y compris les expérimentations et les performances.
Elle propose également des retours sur le passé, et met en lumière les anonymes, comme l’automne 2022.
Aujourd’hui :
* À 16h00, vernissage : Photographies anonymes et photographies d’archive (21-28 mai 2023).
Les tirages photographiques exposés datent des années 1850 aux années 1990.
À Cannes, plus précisément à Mandelieu La Napoule, commence Visions sociales 2023, 21e édition (20-27 mai 2023).
Il ne s’agit pas d’une section parallèle, mais d’une section à la fois autonome et transversale, partenaire du Festival de Cannes en général, et en particulier de Un certain regard, la Semaine de la critique, la Quinzaine des cinéastes, et ACID.
Elle est organisée par la CCAS Activités Sociales de l’énergie. On n’y va pas seulement pour voir des films, mais aussi pour y faire des rencontres, décrypter le monde et en discuter.
Au programme de cette année, sous le parrainage de Zahia Ziouani, cheffe d’orchestre, 19 longs métrages (17 fictions, 2 documentaires) et 14 courts métrages.
Visions Sociales 2023 : le teaser from CCAS on Vimeo.
Aujourd’hui, dès 14h00, au Château des Mineurs :
* À 14h00 : Lullaby (Cinco lobitos) de Alauda Ruíz de Azúa (2020).
* À 17h00 : La Nuit du verre d’eau de Carlos Chahine (2022).
* À 20h30 : Divertimento de Marie-Castille Mention-Schaar (2022).
* À 22h30 : Concert d’inauguration autour de la Méditerranée, par l’Orchestre symphonique Divertimento.
Suivi d’une rencontre avec Zahia Ziouani, ses musiciens & Marie-Castille Mention-Schaar.
À Cannes même, aujourd’hui, on va voir :
* À 14h00 : Goodbye Julia de Mohamed Kordofani (2023).
* À 18h00 : Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese (2023).
* À 22h30 : May December de Todd Haynes (2023).
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence un cycle Thriller coréen (20 mai-2 juillet 2023).
Ce soir :
* À 19h00 : Lady Vengeance (Chinjeolhan geumjassi) de Park Chan-wook (2005).
À Paris, au Panthéon, Cinélittérature propose le Rendez-vous du libraire, avec comme thème La femme iranienne à l’écran.
* À 11h00, au cinéma Panthéon : Leila de Dariush Mehrjui (1996).
* À 13h30, à la librairie : Rencontre avec Javad Zeiny.
Bonne lecture :
* Javad Zeiny, Le Cinéma iranien. Un cinéma national sous influences de 1900 à 1979, préface de Jean-Luc Godard, Paris, éd. l’Harmattan, 2015.
À Bruxelles, on passe le week-end au Nova, : Troubles : le cinéma-mosaïque de Jean-Denis Bonan en sa présence (20-21 mai 2023).
Ce soir :
* À 18h00, des courts métrages : Un crime d’amour (1965) ; Tristesse des anthropophages (1966) ; L’École des fous (1967) ; Mathieu fou (1967).
* À 21h00 : La Femme bourreau de Jean-Denis Bonan (1968).
Chaque séance est suivie d’une rencontre avec Jean-Denis Bonan animée par Patrick Leboutte et accompagnée d’une lecture de quelques-uns des poèmes du cinéaste par Domi Bergougnoux.
Demain, c’est à partir de 15h00 : Faites votre programme.
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 11h30 : Black Flies de Jean-Stéphane Sauvaire (2023).
* À 16h00 : The New Boy de Warwick Thornton (2023).
* À 19h00 : The Zone of Interest de Jonathan Glazer (2023).
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective Gus van Sant, en sa présence (19 mai-28 juin 2023).
Ce soir :
* À 21h00 : My Own Private Idaho de Gus Van Sant (1991).
On note tout de suite deux rendez-vous avec Gus Van Sant :
* La journée d’études, le 23 mai 2023, de 9h30 à 18h00, à l’université Toulouse-II-Jean-Jaurès, en entrée libre, suivie, à 20h00, d’une rencontre au Théâtre de la Cité.
* La rencontre à la Cinémathèque, le 25 mai 2023 à 19h00.
À Toulouse, à la Cinémathèque, commence aussi une Rétrospective Nicholas Ray (19 mai-2 juillet 2023).
Ce soir :
* À 19h00 : Le Violent (In a Lonely Place) de Nicholas Ray (1950).
À Cannes, aujourd’hui, on va voir :
* À 17h30, Théâtre de la Croisette : Déserts de Faouzi Bensaïdi(2023).
* À 20h00, salle Debussy : Rosalie de Stéphanie Di Giusto 2023)
Et peut-être, si les horaires sont compatibles :
* À 21h30, Plage Macé : Badlands de Terrence Malik (1973).
À Marseille, au Gyptis, on va revoir un film prémonitoire, qui fête son demi siècle, c’est l’occasion de saluer Solomon Roth, le regard du Journal 2023 de Jeune Cinéma.
Ce soir :
* À 19h30 : Soleil vert (Soylent Green) de Richard Fleischer (1973).
À Milan, la Triennale, 24e édition (12 mai-10 septembre 2023), fête ses cent ans.
Elle est née à Monza, en 1923, et d’abord été la "Biennale des arts décoratifs". Elle est devenue triennale en 1930, puis transférée à Milan en 1933, avec de nobles intentions : ses racines se trouvent dans les revendications de la société de bienfaisance laïque, l’Umanitaria, dont la mission était de favoriser l’accès de la classe ouvrière au patrimoine culturel, qui fut démantelé durant les années fascistes (1924-1942), mais qui existe toujours, par exemple à Naples ou à Rome.
Au milieu d’une vaste programmation, elle accueille cette année : Reversing the Eye. Fotografia, film e video negli anni dell’arte povera (17 mai-3 septembre 2023).
L’exposition explore le rapports de certaines avant-gardes italiennes avec l’image mécanique, la photographie, le cinéma et la vidéo, entre les années 1960 et le début des années 1970. Elle a été présentée l’automne dernier au musée du Jeu de Paume (11 octobre 2022-29 janvier 2023).
À Londres, au British Museum commence l’exposition de l’été : China’s Hidden Century (18 mai-8 octobre 2023).
On y découvre la vie de la Chine impériale tardive, la mode, les journaux et les meubles, ce dernier siècle de règne dynastique de la Chine, une période de troubles (soulèvements civils, guerres étrangères et révolution) et un temps de grande créativité métissant les anciennes traditions.
À Cannes, le Festival, ce n’est pas seulement le festival officiel (inauguré hier soir), c’est aussi les sections parallèles, qui commencent aujourd’hui.
* La Semaine de la critique 2023, 62e édition (17-25 mai 2023)
Aujourd’hui, au Miramar, deux films qui passent 3 fois, dès 8h30.
Ce soir :
* À 19h45 : Ama Gloria de Marie Amachoukeli (2023).
* À 22h30 : Tiger Stripes de Amanda Nell Eu (2023).
Faites votre programme Semaine.
* La Quinzaine des réalisateurs, devenue cette année la Quinzaine des cinéastes 2023, 55e édition (17-26 mai 2023).
Les séances commencent dès 8h30.
Ce soir, au Théâtre Croisette :
Le réalisateur malien Souleymane Cissé recevra le Carrosse d’or, plus haute récompense de cette section parallèle.
* À 19h30 : Le Procès Goldman de Cédric Kahn (2023).
Faites votre programme Quinzaine.
* ACID 2023, 31e édition (17-26 mai 2023).
Ce soir, aux Arcades :
* À 20h00 : Laissez-moi de Maxile Rappaz (2023).
Pour en revenir à Cannes officiel : le programme du jour.
Et notre programme :
* À 10h00, salle Debussy : Occupied City de Steve McQueen (2022).
* À 16h00, Grand Théâtre Lumière : Anselm de Wim Wenders (2023).
* À 19h00, Grand Théâtre Lumière : Monster (Kabutsu) de Hirokazu Kore-eda (2023).
* À 22h15, Grand Théâtre Lumière : Le Retour de Catherine Corsini (2023).
À Paris, chaque mercredi, la Cinémathèque du documentaire et l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) s’associent en un séminaire commun, animé par Claire Simon et Stéphane Breton : Le cinéma en acte.
Huit séances ouvertes au public en accès libre sans réservation, avec la projection d’un film, suivie d’une analyse et d’échanges.
Aujourd’hui, au Cinéma 1
* À 14h00 : Toute une nuit sans savoir de Payal Kapadia (2021).
À Paris, chaque mercredi, on va au ciné-club de l’ENS
Ce soir :
* À 20h30 : Chat noir, chat blanc (Crna mačka, beli mačor) de Emir Kusturica (1998).
Les sorties sur les grands écrans
* Monsieur Constant de Alan Simon (2021).
* Sublime de Mariano Biasin (2022).
* L’Homme debout de Florence Vignon (2022).
* Umami de Slony Sow (2023).
Les ressorties en versions restaurées
* La Strada de Federico Fellini (1954).
* Il Bidone de Federico Fellini (1955).
* Fortunella de Eduardo De Filippo (1958).
* Mission (The Mission) de Roland Joffé (1986).
Et quatre films de Shin’ya Tsukamoto :
Tetsuo (1989) ; Tetsuo II (1992) ; Tokyo Fist (1995) ; Bullet Ballet (1998).
À Cannes, commence le plus grand festival de cinéma du monde, le Festival de Cannes 2023, 76e édition (16-27 mai 2023).
C’est à la fois un des paradis des cinéphiles et des mondains, un honneur et une épreuve pour le cinéastes sélectionnés (et pour les autres), un gros marché pour une drôle d’industrie, une affaire politique et une rencontre internationale majeure, un espace de fatigue et de défoulement pour les journalistes (de plus en plus nombreux), un haut lieu de polémiques, une série de fêtes, un gros cirque commercial, un label. C’est un privilège d’y être invité, accrédité, et même juste de passer par là.
Ce n’est jamais une routine, chaque édition est le reflet de son temps et les temps changent chaque année, il y a de bons crus, et d’autres moins bons. Mais tous, films et cinéastes sélectionnés, passent dans la "case Histoire", quitte à être oubliés ou retrouvés, loi du genre.
Au programme 2023 :
* Michael Douglas, Palme d’or d’honneur.
* Les compétitions : La compétition officielle longs métrages et son jury présidé par Ruben Östlund ; Un certain regard et son jury. ; La Cinéfondation et La compétition court métrage et leur jury.
* Le Prix spécial Caméra dor qui récompense le meilleur premier film de toutes les sections du Festival.
* Les sections Hors compétition : Cannes Classics ; Cannes Première ; Séances spéciales ; Cinéma de la plage.
Ce soir, à partir de 19h00 :
* Ouverture, avec Chiara Mastroianni comme maîtresse de cérémonie, retransmise en direct sur France 2.
* Jeanne du Barry de Maïwenn (2023).
(Le film sort en même temps dans toutes les salles de cinéma de France).
Toutes les retransmissions (montées des marches, conférences de presse, photocalls et autres événements officiels) sont visibles sur le site officiel du Festival de Cannes, sur TV Festival de Cannes, sur Culture Box, sur Brut.
À Zürich, commence le Festival du film iranien 2023, 9e édition (16 mai-30 juin 2023).
Cette année, le festival, indépendant et autofinancé, en coopération avec le Filmpodium met l’accent sur sa solidarité avec le mouvement "Woman Life Freedom", qui a émergé en réponse à la mort violente de Mahsa Amini après son arrestation par la brigade des mœurs : Frauen filmen Freiheit #1 et Frauen filmen Freiheit #2.
Ce soir :
* À 18h15 : Profession : Documentarist (Herfeh, Mostanadsaz) de Shirin Barghnavard, Firouzeh Khosrovani, Farahnaz Sharifi, Mina Keshavarz, Sepideh Abtahi, Sahar Salahshoor, Nahid Rezaei (2014).
Et demain, mercredi 17 mai 2023 :
* À 18h15 : Be My Voice (Hör min röst : Slöjans revolution) de Nahid Persson (2021).
À Paris, au MK2 Odéon, avec l’Agence du court métrage, c’est Déjà demain.
Ce soir, à 20h00, en présence de Baptiste Petit-Gats et Pablo Dury :
* The Record de Jonathan Laskar (2022).
* Tout rime avec Chaos de Baptiste Petit-Gats (2023).
* Le Soleil dort de Pablo Dury (2022).
À Paris, à la Cinémathèque, comme chaque lundi, c’est le cycle Aujourd’hui le cinéma.
Ce soir, on rencontre Vincent Le Port.
* À 18h00 : Bruno Reidal de Vincent Le Port (2021).
À Paris, à l’Institut du monde arabe (IMA), à l’initiative de l’Association d’amitié franco-saoudienne Génération 2030, c’est la Nuit du cinéma saoudien 2023, 3e édition.
Ce soir, 3 courts métrages :
* À 19h00 : Me & Aydarous de Sarah Balghonaim (2023), en présence de Ida Alkusay ; VHS Tape Replaced de Maha Al-Saati (2022), en sa présence ; Othman de Khaled Zidan (2022), en présence de Ahmed Yaqoub.
À Bologne, la belle, la rouge, le travail sur sa mémoire par la photographie se poursuit : Bologna Fotografata : la mostra (12 mai 2023-28 janvier 2024).
On se souvient de l’exposition épatante de 2017, dans le passage souterrain rénové de la Piazza Re Enzo.
Cette année, une nouvelle histoire est réalisée à partir de portraits, de photos d’actualité, d’images publicitaires, de dossiers de police, d’albums de famille, grâce aux nouvelles collections photographiques récemment acquises par la Cineteca, et à de nombreuses archives publiques et privées découvertes depuis la création du portail Bolognafotografata.
L’exposition est accompagnée d’un beau catalogue de Angelo Varni, Michele Smargiassi et Giuseppe Savini, édité par les Edizioni Cineteca di Bologna.
À Luxembourg, au Musée d’art contemporain (MUDAM), on vient d’inaugurer l’exposition de l’été : Dayanita Singh. Dancing with my Camera (12 mai-10 septembre 2023).
L’exposition est organisée par le Gropius Bau à Berlin, en collaboration le Museum Villa Stuck à Munich et le Serralves Museum à Porto.
Au fil du temps, tous les éditos