2022 : Journal de Shi-Wei
* Shi-Wei-édito 2022 ; 1er-15 janvier 2022 ; 17-31 janvier 2022 ; 1er-12 février 2022 ; 16-28 février 2022 ; 1er-15 mars 2022 ; 16-30 mars 2022 ; 1er-14 avril 2022 ; 19-30 avril 2022 ; 1er-13 mai 2022 ; 17-31 mai 2022 ; 1er-15 juin 2022 ; 16-30 juin 2022 ; 31 août-15 septembre 2022 ; 16-30 septembre 2022 ; 1er-15 octobre 2022 ; 17-31 octobre 2022 ; 1er-15 novembre 2022 ; 16-30 novembre 2022 ; 1er-15 décembre 2022 ; 18-31 décembre 2022
À Toulouse, dans plusieurs lieux de la ville, et dans toute la région Occitanie, la Cinémathèque inaugure un festival de ciné-concerts dédié au cinéma muet : Synchro (30 novembre-16 décembre 2022).
Ce festival se propos de (re)découvrir des œuvres du cinéma muet à travers le regard et le talent de musiciens aux approches très différentes (du piano à l’électro en passant par le jazz et le rock).
L’ouverture a eu lieu le 25 novembre 2022, avec La Ruée vers l’or ((The Gold Rush)) de Charlie Chaplin (1925).
Avec L’Orchestre national du Capitole de Toulouse, sous la direction de
Timothy Brock.
Ce soir, au Taquin :
* À 21h00 : Ne partez pas sans une autre dimension, concert graphique.
À Paris, à la Fondation Seydoux, commence le cycle Augusto Genina. Portraits de femmes (30 novembre-27 décembre 2022)
Aujourd’hui :
* À 14h30 : La Mascera e il volto de Augusto Genina (1919).
* À 16h30 : L’Onesta del peccato de Augsuto Genina (1918).
À Paris, on va au Ciné-club de l’ENS.
Ce soir :
* À 20h30 : Lost Highway de David Lynch (1997).
À Nanterre, la Contemporaine, anciennement BDIC, présente sa deuxième exposition dans son nouveau bâtiment : À l’affiche, Claude Baillargeon (16 novembre 2022-11 mars 2023).
L’exposition met à l’honneur l’affiche politique et culturelle, en rendant hommage à Claude Baillargeon (1949-2016), qui a fait don d’une importante collection d’affiches, de maquettes, de matériaux photographiques et d’archives à la bibliothèque.
Elle est accompagnée d’un cycle de rencontres autour de l’histoire et de l’actualité du graphisme politique, en entrée libre avec inscription recommandée
Ce soir :
* À 20h30, au cinéma les Lumières : Colères d’affiches de Pierre-François Lebrun (2020).
En sa présence avec Alain Le Quernec.
Les sorties sur les grands écrans
* Days de Tsai Ming-liang (2020).
* Cow de Andrea Arnold (2021).
* Annie Colère de Blandine Lenoir (2022).
* Le Lycéen de Christophe Honoré (2022).
* Fumer fait tousser de Quentin Dupieux (2022).
* Mes rendez-vous avec Leo (Good Luck to You, Leo Grande) de Sophie Hyde (2022).
* Révolution SIDA de Frédéric Chaudier (2022).
* Museum de Yonathan Levy (2022).
Les ressorties en versions restaurées
* Meurtre dans un jardin anglais (The Draughtsman’s Contract) de Peter Greenaway (1982).
* Le Bal (Ballando ballando) de Ettore Scola (1983).
* Vive l’amour (Àiqíng wànsuì) de Tsai Ming-liang (1994).
* Les Rebelles du dieu néon (Qīngshàonián Nézhā) de Tsai Ming-liang (1992).
* La Rivière (Hé liú) de Tsai Ming-liang (1997).
* Un petit cas de conscience de Marie-Claude Treilhou (2002).
À Aix en provence, commence le festival international de courts métrages, Tous Courts 2022, 40e édition (29 novembre-3 décembre 2022).
Au programme :
* La Compétition internationale.
* Les séances Hors compétition : Femmes et cinéma ; Carte Blanche européenne : Portugal ; Carte Blanche européenne : Belgique ; Focus animation ; Rétrospective Expérimental ; Objets singuliers ; Encapsulés.
Ce soir, cérémonie d’ouverture, entrée libre sur réservation :
* À 19h30 : Au cinéma ! de Johanna Vaude (2022) ; Le Cœur de Pierre de Olivier Binder (2019) ; Calcutta 8:40 am de Adriano Valerio (2022) ; Fairplay de Zoel Aeschbacher (2022) ; Tiger de François Biery (2021) ; Charlotte et son Jules de Jean-Luc Godard (1960).
À Royan, commencce le Festival du film de société 2022, 2e édition (29 novembre-4 décembre 2022).
Le festival, organisé par l’association Royan fait son cinéma a pour objectif d’apporter un regard croisé entre les sciences humaines et le cinéma.
Autour des projections, il programme des conférences et des débats avec des sociologues. L’an dernier, la 1ère édition a eu beaucoup de succès, alors on continue,
Au programme, avec Brigitte Fossey comme invitée d’honneur, il y a la Compétition et son jury sous la présidence de Nicolas Cuche ; et le Hors compétition.
Hier, "Le jour d’avant" a offert 3 projections gratuites : Toulouse Lautrec de Fany Riedberger (2022) ; La Vie devant toi de Sandrine Veysset (2022) ; La Vie, l’amour tout de suite de Nicolas Cuche (2022).
Les cérémonies d’ouverture et de clôture, ainsi que les conférences sont gratuites.
Aujourd’hui, les projections commencent à 13h45.
Ce soir, ouverture :
* À 18h30 : Concert du Conservatoire de musique de Royan.
En présence de Jean-Marie Deleau et Brigitte Fossey.
* À 21h00, au Lido : Maestro(s) de Bruno Chiche (2022).
En sa présence.
À Paris, le Musée du Quai Branly
accueille l’exposition conçue par le Victoria and Albert Museum de Londres : Kimono (22 novembre 2022-28 mai 2023).
Tous les 25 novembre, l’ONU consacre une Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Heureusement que les 364 autres jours de l’année, ce sont les femmes elles-mêmes, avec les hommes de bonne volonté, qui se chargent du boulot, information, aide, protection et accueil, persévérance de la revendication de simple égalité, face aux agressions permanentes dans les mondes barbares, et aux insuffisances des pays dits civilisés.
Et entre les viols, privés ou quasiment institutionnels (en Iran, en ce moment par exemple), la question de l’IVG, les féminicides, et même juste les insultes ou les gifles, il y a du travail.
Samedi dernier, le 19 novembre 2022, à Paris, il y avait 80 000 personnes dans la rue.
À Turin, commence le Festival du film 2022 (TFF), 40e édition (25 novembre-3 décembre 2022).
Il est organisé par le Museo nazionale del cinema de Torino qu’on doit visiter à la somptueuse Mole Antonelliana.
Au programme :
* Marraine du festival 2022 : Pilar Fogliati.
* Rétrospective Carlos Vermut.
* Les compétitions et leurs jurys : Concorso lungometraggi ;Concorso doc italiani ; Fuori concorso ; Fuori concorso doc ;
* Une multitude de sections, avec la petite dernière Crazies ainsi que Favolacce ; Ritratti e paesaggi ; Back to life ; Mezzogiorno di fuoco ; Dei conflitti e delle idee ; Nuovi mondi ; Fedeli alla linea.
Aujourd’hui, les projections commencent dès 13h00, avec Tale of Filipino Violence (Isang salaysay ng karahasang Pilipino) de Lav Diaz (2022).
Ce soir, cérémonie d’ouverture au Teatro Regio :
* À 18h00 : Soirée mondaine sur le thème Beatles, Rolling Stones et Bob Dylan au cinéma.
Avec le musicien Francesco De Gregori, ainsi que Malcolm McDowell, Noemi, Vincenzo Mollica, Pilar Fogliati, John Vignola, Steve Della Casa, Claudio De Pasqualis, David Grieco.
On peut aussi choisir d’aller voir au Massimo :
* À 21h30 : Il cristo en gola de Antonio Rezza (2022).
À Toulouse, au cinéma ABC, et dans la région, commencent les Rencontres du cinéma italien 2022, 18e édition (25 novembre-4 décembre 2022).
Au programme : des avant-premières, des rencontres, un panorama et une compétition, une exposition de photos : Paysage du cinéma italien et un teaser.
Aujourd’hui, les projections commencent dès 16h00 au cinéma ABC :
Ce soir, ouverture :
* À 20h30 : Corro da te (Je cours vers toi) de Riccardo Milani (2022).
Pendant ce temps, on n’oublie pas la Rétrospective Francesco Rosi à la Cinémathèque (18 octobre-27 novembre 2022).
À Paris, à Beaubourg, dans le cadre du Festival d’Automne et avec le soutien du Centre culturel de Taïwan, commencent un Hommage à Tsai Ming-liang, avec une exposition et une rétrospective intégrale de ses films (25 novembre 2022-2 janvier 2023).
Ce soir :
* À partir de 18h00, en entrée libre : Une quête, exposition réalisée par Tsai Ming-Liang, et Only you, une performance inédite réalisée par Tsai Ming-Liang, Lee Kang-Sheng & Anong Hounheuangsy.
* À 20h00 : Days de Tsai Ming-Liang (2020).
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence la rétrospective Ernst Lubitsch. L’invention de la comédie moderne (24 novembre 2022-22 janvier 2023).
Avec deux ciné-concerts, un conférence et des remakes.
Ce soir, ouverture :
* À 18h30 : Haute pègre (Trouble in Paradise) de Ernst Lubitsch (1932).
Présentation par Jérémy Cottin.
À Sens, commence le Festival des possibles 2022, 4e édition (24-26 novembre 2022).
Ce festival de films pour l’environnement, organisé par l’association Des possibles, se veut un festival de solutions.
Au programme :
Un prix par catégorie : Produire/Consommer ; Restaurer/Préserver ; Éduquer/Divertir ; Aider/partager.
Et trois prix spéciaux : Prix Local ; Grand Prix du Jury ; Prix des lycéens.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Fabriquer ici de Nicolas Bergès (2021).
* À 20h30 : La Fabrique des pandémies de Marie-Monique Robin (2021).
À Paris, à l’Institut de géographie de la Sorbonne, commence le festival de l’association Arrimage : Territoires en images 2022, 25e édition, (24-26 novembre 2022).
Au programme, en entrée libre et gratuite : sept projets photographiques et dix films documentaires à voir vendredi et samedi.
Aujourd’hui, ouverture dans le hall de l’Institut :
* À 18h00 : Territoire(s) de changement.
Vernissage de l’exposition photo des sept projet retenus : Bir Bou Regba de Paolo Carrozzino ; Où sont les arbres ? de Damien Cattinari ; No man’s land de Paloma Laudet ; Tourisme de l’abandon de Aude Le Gallou ; Ceux et celles qui restent de Cécile Massin ; Quadraria de Jonathan Pourchet ; Lire la toundra de Amélie Barbier.
Demain, vendredi 25 novembre 2022 :
* À 12h00 : Filmer le changement : de la recherche universitaire au médium audiovisuel.
Table ronde avec Natacha Cyrulnik, Jérémie Grojnowski, Marie Chenet.
* À 14h00, 5 films dans le grand amphithéâtre :
Churchill Polar Bear de Annabelle Amoros (2021)
Puis :
En remontant les murs de Marie-Noëlle Battaglia (2022) ; La Terre du milieu de Juliette Guignard (2020) ; Tutto apposto gioia mia de Chloé Lecci López (2022) ; Derradeiro de Maio de Eduardo Consonni & Rodrigo T. Marques (2021).
Demain, samedi 26 novembre 2022, les projections commencent à 10h00.
À New York, le MoMA passe sa collection au détecteur de modernité : Refik Anadol. Unsupervised (19 novembre 2022- 5 mars 2023).
Refik Anadol utilise l’intelligence artificielle pour interpréter et transformer plus de 200 ans d’art au MoMA. L’installation Unsupervised est une méditation sur la technologie et la créativité et l’art moderne.
À Paris, commence le festival des cultures Est-Ouest, Un week-end à l’Est 2022, 6e édition (23-28 novembre 2022).
La festival a été initié par Vera Michalski & Brigitte Bouchard en 2016 avec deux objectifs : raviver la vie culturelle dans le Quartier Latin et créer des passerelles entre les cultures.
Après Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade et Sofia, cette année on revient en Ukraine, à Odessa. Avec Ilya Kaminsky, parrain du festival et Boris Khersonsky, invité d’honneur.
Au programme, expositions, littérature, cinéma, art visuel, concerts, débats d’idées, des invités et de nombreuses adresses.
Aujourd’hui, ouverture aux Beaux Arts :
* À 17h30 : Instantané de la scène artistique en Ukraine.
Avec Igor Gusev, Kateryna Radchenko, Solomia Savchuk.
Présentation par Alain Berland.
* À 18h15 : Discours inauguraux de Ilya Kaminsky et de Andreï Kourkov.
En présence de Alexia Fabre et de Monsieur l’ambassadeur d’Ukraine, Vadym Omeltchenko.
* À 20h00, au MPAA Saint-Germain : Concert des Jadan i Sobaky.
Avec le poète Serhiy Jadan, et Vitalii Bronishevskyi (batterie), Artem Dmytrychenkov (trompette), Serhiy Kulayenko (clavier), Oleksandr Merenchuk (trombone), Andriy Pyvovarov (basse, voix), et Ievgen Turchynov (guitare).
On note tout de suite, samedi 26 novembre 2022, le cinéma, au Christine Cinéma Club :
* À 14h15 : Les Longs Adieux (Dolguie provody) de Kira Mouratova (1971).
* À 17h15 : Pryvoz de Eva Neymann (2021)
En sa présence.
À Paris, on va salle Dussane, au Ciné-club de l’ENS.
Ce soir :
* À 20h30 : Bonjour (Ohayō) de Yasujirō Ozu (1959).
À Paris, au Écoles Cinéma Club on va voir le film proposé par le Goethe Institut :
Ce soir :
* À 20h00 : La Légende de Paul et Paula (Die Legende von Paul und Paula) de Heiner Carow (1972).
À Paris, aux Amarres, les Amis du Monde diplomatique fêtent la sortie du dernier numéro de Manière de voir, n°185, octobre-novembre 2022, avec une rencontre : La bataille pour le Chili : d’hier à aujourd’hui
Ce soir :
* À 19h30 : Revolución, mi amor de Paul Cabanis (2021).
La projection sera suivie d’une rencontre avec Renaud Lambert.
À Paris, à la Maison de la culture du Japon (MCJP) il y a aussi du cinéma.
Ce soir :
* À 19h00 : Avant que nous disparaissions (Sanpo suru shinryakusha) de Kiyoshi Kurosawa (2017)
En présence de Tomohiro Maekawa.
Les sorties sur les grands écrans
* Le Roi du monde (El rey de todo el mundo) de Carlos Saura (2021).
* Mauvaises Filles de Émérance Dubas (2022).
* Aucun ours->(No Bears) de Jafar Panahi (2022).
* She Said de Maria Schrader (2022).
* Les Miens de Roschdy Zem (2022).
* Saint Omer de Alice Diop (2022).
* Rimini de Ulrich Seidl (2022).
Les ressorties en versions restaurées
* Théorème (Teorema) de Pier Paolo Pasolini (1968).
* Driver de Walter Hill (1978).
À Albi, et dans la région hors les murs, commence le festival du film francophone de l’association Ciné Forum, Les Œillades 2022, 26e édition (22-27 novembre 2022).
Au programme :
* Coup de projecteur sur le cinéma au féminin, avec une programmation sous la matronage de Alice Guy et Agnès Varda.
* Invité d’honneur : Jérémie Renier.
* Compétition Courts métrages.
* Prix du Public. Parmi les 26 avant-premières présentées, 11 de ces films (fictions et documentaires) concourront pour ce prix.
* Trois expositions photographiques : Futures, les portraits de Mathilde Marc (22 novembre-1er décembre 2022) ; Les femmes s’emparent du cinema (14 novembre-9 décembre 2022) ; Les œillades au féminin (15 novembre au 16 décembre 2022).
Aujourd’hui, les projections commencent à partir de 9h15.
Ce soir, on a le choix :
* À 19h00, Salle Arcé : De grandes espérances de Sylvain Desclous (2022).
* À 19h00, CGR Les Cordeliers : Tempête de Christian Duguay (2022).
* À 21h30, aux CGR Cordeliers : Divertimento de Marie-Castille Mention-Schaar (2022).
* À 21h30, salle Arcé : Albatros de Xavier Beauvois (2021).
En présence de Jérémie Renier.
À Marseille, Vidéodrome 2, présente Guy Gilles. Fragments du temps qui passe (22-27 novembre 2022).
Ce soir, deux films, à 20h00 :
* Au biseau des baisers de Guy Gilles & Marc Sator (1959).
* L’Amour à la mer de Guy Gilles (1965).
Présentation par Raphaël Lefèvre avec Gaël Lépingle et Yann Gonzalez.
Bonne lecture :
* Mélanie Forret & Guy Gilles, Guy Gilles. À contretemps, préface de Prosper Hillairet, Montreuil, Éditions de L’Œil, 2022.
On note tout de suite, à Paris, le 2 décembre 2022, à 18h30, à la librairie Potemkine. la rencontre-signature autour de l’ouvrage "Guy Gilles, avec Mélanie Forret, Prosper Hillairet, Gaël Lepingle, Garance Rigoni.
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence un hommage : Francesco Rosi le révolté du cinéma italien en partenariat avec la Cinémathèque de Toulouse (22 novembre 2022-24 janvier 2023).
Ce soir, ouverture :
* À 18h15 : Main basse sur la ville (Le Mani sulla città) de Francesco Rosi (1963).
Présentation de Fabrice Calzettoni.
À Paris, à l’Auditorium de l’Inalco, le Comité du film ethnographique-Festival Jean Rouch présente Regards comparés 2022, 10e édition (21-24 novembre 2022).
Cette année, Alep, Beyrouth, Alexandrie, Kirkouk. Portraits historiques et intimes. Chaque jour se concentre sur une des quatre villes, chaque séance est suivie de débats.
Aujourd’hui, Alep.
* À 14h00, Vestiges, hier et aujourd’hui : Le Général Gouraud en Syrie (1921) ; Alep ville de Syrie (1920) ; Alep ville de Syrie (1930) ; Revoir le Bimaristan Arghoun de Houda Kassatly (2021).
* À 15h45, Albums d’un dernier voyage : Retour à Alep de Marie Seurat (1998) ; Alep Terminal de Zalfa Seurat (2017).
* À 18h00, deux voix d’Alep : Halab… Magamat al-Masra (Aleppo, Magams for Pleasure) de Mohamad Malas (1998) ; I Have Seen Nothing, I Have Seen All (Je n’ai rien vu, j’ai tout vu) de Yaser Kassab (2019).
À Bruxelles, la Cinematek restaure des films, classiques, rares, introuvables, considérés comme perdus parfois. Elle nous les présente : Restored (20-30 novembre 2022).
Ce soir, salle Ledoux :
* À 19h00 :The Norrtull Gang (Norrtullsligan) de Per Lindberg (1923).
* À 21h00 : La Vie est belle de Ngangura Dieudonné Mweze & Benoit Lamy (1987).
À Paris, à la BPI c’est la dernière rencontre du cycle Espace, frontière de l’infini
Ce soir, petite salle, entrée libre :
* À 19h00 : Rêves d’espace. Vers un futur spatial au service de l’humanité ?
Avec Jacques Arnould, Roland Lehoucq, Émilie Querbalec, Xavier Pasco et Sophie Becherel.
À Strasbourg, Alice est à l’honneur avec deux expositions : Surréalice. Lewis Carroll et les surréalistes (19 novembre 2022-26 février 2023).
* Au MAMCS : Lewis Carroll et les surréalistes.
* Au Musée Tomi-Ungerer : Illustr’Alice.
Avec des dimanches multicolores jusqu’à la fin de l’exposition.
À La Plaine-Saint-Denis, à la MSH Paris-Nord, on a raté la Rencontre annuelle des lanceurs d’alerte 2022, 7e édition (11-13 novembre 2022).
Les "lanceurs d’alerte", dans l’opinion publique, ils ont une réputation ambiguë, entre l’alarme et la délation. Mais ce qui est sûr, c’est que, sans eux, il n’y a d’information qu’officielle. Ils sont donc en danger, et, depuis 2016, en France, il y a une loi pour les protéger.
Ils sont le plus souvent inconnus du grand public, sauf quelques figures plus médiatiques.
On peut citer Erin Brockovich, sur qui Steven Soderbergh a fait un film en 2000.
Ou Irène Frachon, avec la mise en lumière des méfaits du médiator, connue avec le film de Emmanuelle Bercot : La Fille de Brest (2016).
Ou enfin le récidiviste hyper actif Denis Robert, avec la révélation de l’affaire Clearstream (2004), ou son dernier film avec Yannick Kergoat, La (très) Grande Évasion (2022).
On connaît aussi la sculpture itinérante de Anything to Say ? de Davide Dormino qui leur est dédiée. Elle a été inaugurée à Berlin, sur l’Alexanderplatz, le 1er mai 2015, pour ensuite être exposée à Paris, place Beaubourg : trois personnages - Edward Snowden, Julian Assange, Chelsea Manning, "trois personnes qui ont perdu leur liberté pour défendre la nôtre", précise l’artiste - plus un chaise vide, d’où n’importe quel passant peut prendre la parole.
L’œuvre en action à Paris sur France Culture.
En 2015, à Argenteuil, des libraires indépendants, Catherine & Gilles Bruey, et le militant Daniel Ibanez ont créé le premier salon du livre des lanceurs d’alertes : "Des Livres et l’Alerte" et "Délivrez l’Alerte !". Ils ont été rejoints par des nombreuses associations comme Crim’Halt, Anticor, Citoyens Résistants d’hier et aujourd’hui (CRHA) ou Vivre et Agir en Maurienne (VAM).
On regarde le programme 2022, on repère les intervenants de cette édition. On peut se rattraper avec les vidéos des interventions.
On se dit que l’an prochain, on fera attention aux dates.
Les Mutins de Pangée, eux, y étaient, toujours en alerte, et à la pointe du militantisme notamment pour le cas le plus célèbre, celui de Julian Assange et son ONG WikiLeaks, fondée en 2006.
Ils nous donnent rendez-vous aujourd’hui, sur l’île aux Cygnes, sous le pont de Grenelle, à côté de la réplique de la Statue de la Liberté, avec la Ligue des droits de l’homme (LDH) ou le Syndicat national des journalistes (SNJ) :
* À 14h30 : Rassemblement en soutien à Julian Assange.
À Belfort, commence le festival international de cinéma, créé par Janine Bazin en 1986, Entrevues 2022, 37e édition (20-27 novembre 2022).
Il est dédié à la jeune création contemporaine et aux rétrospectives d’auteurs.
Au programme :
* Les invités d’honneur et leurs rétrospectives : Lizzie Borden ; Emmanuelle Cuau ; Rabah Ameur-Zaïmeche.
* La compétitions internationale : Longs métrages (3 premier films) et son jury.
* Les sections Hors compétition : Courts & moyens métrages ; Avant-premières & ressorties patrimoine ; La Transversale : Désobéissances ; Cinéma et Histoire : Amérique 80 ; Premières épreuves : Les Vitelloni ; Séances spéciales ; Les Petites entrevues : 100% Trouille.
Aujourd’hui, cérémonie d’ouverture :
* À 15h00 : Le Parfum vert de Nicolas Pariser (2021).
En sa présence.
Ces derniers temps, films, débats, faits divers d’actualités se multiplient qui illustrent l’air du temps de rébellion, mondial.
On rappelle qu’en France, 80 % des plaintes pour violences au sein du couple sont classées sans suite, que 65 % des victimes de féminicides avaient saisi les forces de l’ordre ou la justice avant le drame, que 2 victimes sur 3 font état d’une mauvaise prise en charge lorsqu’elles veulent porter plainte.
À propos, bonne lecture :
* Erick Maurel, Les Violences faites aux femmes. Aspects juridiques et judiciaires, Paris, Enrick B. Éditions, 2021.
Ce n’est pas que les violences faites aux femmes soient plus nombreuses ou pires qu’avant, en France et dans le monde. C’est que les mouvements féministes ont changé depuis leurs débuts, qu’ils se sont approfondis, précisés, amplifiés, en s’accélérant depuis le mouvement #Me Too qui a réveillé les consciences.
Au point d’étonner parfois, et d’épater, les vieilles féministes historiques les plus radicales, en débusquant des mauvaises tenues et des mentalités mâles sous-estimées, ou une misogynie planquée voire inconsciente chez les meilleurs d’entre les hommes, qui leur apparaissaient encore comme "normales", ou juste privées, par exemple parce que, apparemment, "non-violentes".
Elles sont aussi impressionnées par la persévérance des jeunes luttes féministes qui n’en finissent pas de défendre aussi des droits qu’elles croyaient acquis, au moins dans l’Occident démocratique, comme la question de l’avortement.
C’est qu’on assiste, en réalité, à une mutation de fond du patriarcat, très lente, mais sûre de sa direction, et c’est la meilleure nouvelle qu’on puisse concevoir. Car ce ne sont pas seulement les femmes qui sont maltraitées dans cette organisation civilisationnelle, c’est tout ce qui appartient au féminin qui est relégué et dominé. Cette mutation, insidieuse et avec des à-coups, qui pénètre les esprits et les visions du monde, c’est peut-être même la seule et la plus importante nouvelle de l’époque, notamment face aux défis qui se présentent, comme celui du changement climatique. Les femmes sont du côté du vivant, essentiellement et culturellement, et cela même quand elles jouent dans la même cour que les hommes et qu’elle les imitent. Par la force des choses, il y a des guerrières. Mais il y a peu de conquérantes avides. On rêve que, dans un matriarcat pour l’instant parfaitement utopique, ce soit le sport (et ses compétitions fair play) qui remplace la guerre (et ses ignobles crimes, "légaux" ou pas).
Le vendredi 25 novembre 2022, ce sera la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
Dès aujourd’hui, on commence une semaine spéciale avec une démonstration spéciale : Tout le monde va aller à la manif, à Paris et partout en France, organisée par le Collectif #NousToutes et l’ensemble des associations féministes et organisations syndicales signataires du texte de revendications.
À Paris, à 14h00, départ de la place de la République vers la Nation. Plusieurs cortèges sont prévus pour rendre la manif la plus accessible : la tête sera uniquement composée d’organisations et de militants précaires, LGBTQ+, ou handicapés.
Transition, sur Médiapart : Comment les luttes trans bousculent les mouvements féministes.
À Paris, dans les cinémas MK2, commence le festival international du film LGBTQ+, Chéries-Chéris 2022, 28e édition (19-29 novembre 2022).
Au programme :
* Les Compétitions : Fiction et son jury ; Courts métrages et son jury ; Documentaires et son jury ; Libertés chéries et son jury.
* Les sections Hors compétition : Panorama documentaires ; Séances spéciales ; Séances événements.
Aujourd’hui, ça commence dès 9h00, au MK2 Beaubourg, et ça continue toute la journée, dernière séance à 22h10 :
Ce soir :
* À 19h30 : We are coming. Chronique d’une révolution féministe de Nina Faure (2022).
* À 20h00 : Sublime de Mariano Biasin (2022).
La cérémonie d’ouverture aura lieu ce mardi 22 novembre 2022, au MK2 Bibliothèque :
* À 20h00 : Le Lycéen de Christophe Honoré (2022).
Aujourd’hui, ce 18 novembre 2022, il y a cent ans exactement que Marcel Proust (1871-1922) est mort.
On se souvient de la photo que Man Ray avait faite de lui, deux jours après sa mort, qui se trouve au MET à New York.
On célèbre ce centenaire un peu partout, y compris sur les réseaux sociaux, où "ça fait bien", ça élargit l’image de son champ culturel de ne pas de contenter de la "madeleine de Proust", concept figé tombé dans le ruisseau.
Pourtant, parmi nos amis les plus cultivés, on en connaît très peu qui connaissent toute son œuvre, ou même qui ont juste lu À la recherche du temps perdu en entier, encore moins chez les jeunes, évidemment, c’est beaucoup trop long quand on a si peu de temps.
En 2019, on a parlé des cent ans de son Goncourt pour le 2e volume, À l’ombre des jeunes filles en fleur. Mais on ne se souvient pas qu’il y ait eu de tels mouvements pour le centenaire de sa naissance, en 1971. Il est vrai que l’information ne circulait pas de la même façon qu’aujourd’hui.
Les étudiants des années 60 abordaient parfois l’œuvre de Marcel Proust en lisant le livre de poche n°79, Un amour de Swann, constataient que ça se lisait comme un polar, alors ils reprenaient tout avec enthousiasme, volume par volume, depuis le début avec le fameux incipit, "Longtemps, je me suis couché de bonne heure", jusqu’à la fin. Ils furent tout heureux que le grand plaisir du suspense de cette vaste enquête soit confirmé par un intellectuel sérieux, avec la parution, en 1964, de l’ouvrage de Gilles Deleuze, Proust et les signes. Plus tard, ils achetèrent l’édition de la Pléiade, juste pour l’avoir à la maison, dans la bibliothèque, et parfois en relire des passages.
On va visiter l’exposition de la BNF : Marcel Proust. La fabrique de l’œuvre (11 octobre 2022- 22 janvier 2023). Aujourd’hui, elle est gratuite.
Une belle occasion de se rendre compte de ce qu’était le travail d’écrivain, avant les ordinateurs.
À Nantes, et dans les salles partenaires de Loire-Atlantique, commence le Festival des 3 continents 2022, 44e édition (18-27 novembre 2022).
Au programme, 90 longs métrages de fiction et documentaire d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie :
* Les grands invités : Hirokazu Kore-eda, un pays au cœur ; Mike De Leon, une vie de cinéma ; Raúl Perrone, le franc-tireur d’Ituzaingó
* La Compétition internationale
* Les sections : Les Séances spéciales ; Un automne indien ; Un air de famille
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h30, au Théâtre Graslin : Dirty Difficult Dangerous de Wissam Charaf (2022).
À Noisy le sec, commence le Festival du film franco-arabe 2022 (FFFA), 11e édition (18 novembre-1er décembre 2022).
Le festival a Costa Gavras pour parrain d’honneur depuis 2017. Cette année, la marraine est Erige Sehiri.
Il entretient des liens permanents et privilégiés avec le Festival international d’Amman (AIFF).
Au programme, les séances et les rencontres au Trianon, et hors-le-murs.
Ce soir, ouverture :
* À 19h30 : Farha de Darin J. Sallam (2021).
En première partie : From the Mountain de Faisal Attrache (2022).
En sa présence.
À Bologne, la Cineteca rend hommage à un des plus grands maîtres de la lumière du cinéma contemporain : Omaggio a Roger Deakins (13-27 novembre 2022).
Pour inaugurer l’événement, le 13 novembre 2022, d’abord a eu lieu la projection d’un très grand chef-d’œuvre :
* 1917 de Sam Mendes (2019).
Puis on a verni l’exposition au sottopasso di Piazza Re Enzo : Byways. Le fotografie di Roger Deakins (17 novembre 2022-15 janvier 2023).
La rétrospective de ses films se poursuit à la Cineteca (13-27 novembre 2022).
Aujourd’hui :
* À 17h30 : Le ali della libertà (The Shawshank Redemption) aka Les Évadés de Frank Darabont (1994).
* À 20h00 : Una storia d’amore (Another Time, Another Place) de Michael Radford (1983).
* À 22h30 : Barton Fink de Joel & Ethan Cohen (1991).
À Paris, au Centre culturel coréen, le Ciné-club gratuit fait son retour
Cette année, 3 thèmes : les films des années 2000 ; les réinterprétations d’œuvres littéraires françaises ; le films mettant en lumière la ville de Busan.
Ce soir :
* À 19h00 : Marathon de Chung Yoon-chul (2005).
MARATHON 말아톤 English Trailer from Adora Tan on Vimeo.
À Mannheim et à Heidelberg, commence Festival international du film 2022 (IFFMH), 71e édition (17-27 novembre 2022).
Le festival est né après la guerre, en 1952. La première revue française qui a été y voir de plus près, c’est Image et Son. La Revue du Cinéma n°145, novembre 1961.
Jeune Cinéma, né en 1964, a longtemps fidèlement suivi ce festival à partir de 1967 (Jeune Cinéma n°29, mars 1968). On y découvrait des films inédits de jeunes réalisateurs, ignorés des autres festivals (Cannes, Venise), surtout venus du Nord de l’Europe, mais aussi d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine, dans une ambiance particulière et bon enfant : tous les cinéphiles de la ville, et tous les étudiants de la prestigieuse université de Heidelberg.
Et puis, il est devenu un des festivals les plus importants d’Allemagne, il a associé Heidelberg à son nom, et il a changé d’ambition et d’envergure. Depuis 2020, le festival propose une rétrospective spéciale, dont le rôle est de poser un nouveau regard sur l’histoire du cinéma. Cette année, elle a pour thème la mode : Cinema of Splendor - Fashion in Film.
Au programme, notamment
* Les invités d’honneur : Alice Winocour (Grand IFFMH Award) et Benoît Debie (Hommage).
* La Competition internationale : On The Rise.
* Les sections : Facing New Challenges ; Pushing The Boundaries ; Specials.
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Chronique d’une liaison passagère de Emmanuel Mouret (2022).
À Zürich, commence le Arab Film Festival 2022 (AFFZ), 6e édition (17-27 novembre 2022).
À l’honneur, cette année, la Jordanie et le Liban.
Au programme :
Depuis l’année dernière, le festival est devenu compétitif. Un jury sélectionnera deux lauréats parmi les 13 nouveaux longs métrages de fiction : Meilleur Réalisateur et Meilleur Film.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 18h00 : Daughters of Abdul-Rahman de Zaid Abu Hamdan (2021).
Et prolongation de la soirée avec :
* À 21h00 : Lift Like a Girl de Mayye Zayed (2020).
À Grenoble, au Musée Hébert se tient, depuis cet été, une exposition des œuvres de Ji-Young Demol Park : Contemplations. Un regard coréen sur les Alpes (7 août-26 novembre 2022).
Dans le cadre de son cycle Résonances, la Cinémathèque, propose un grand beau film pour lui faire écho :
Ce soir, au cinéma Juliet-Berto :
* À 20h00 : Printemps, été, automne, hiver... et printemps (Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom) de Kim Ki-duk (2003).
À Paris, le Ciné-club de l’ENS propose, en partenariat avec Écocampus ENS une séance hors les murs, qui inaugure un cycle Imaginaires du futur sur le thème de la nourriture.
Ce soir, au Studio des Ursulines :
* À 19h00 : Les Délices de Tokyo (An) de Naomi Kawase (2015).
À Paris, la librairie Quilombo fête ses 20 ans (16-19 novembre 2022) avec des rencontres exceptionnelles.
Ce soir :
* À 20h00 : Penser l’humain et la Terre avec Élisée Reclus.
Rencontre avec Isabelle Louviot.
Bonne lecture :
* Georges Peignard & Isabelle Louviot, Élisée Reclus, Paris, Le Tripode, 2022.
On y va aussi demain, vendredi 18 novembre 2022 :
* À 19h00 : La Librairie de Guy Debord.
Rencontre avec Laurence Le Bras, Daniel Vassaux et Christian Le Guérroué.
* À 21h00 : Une histoire des Anarchistes.
Rencontre avec Sylvain Boulouque.
Bonnes lectures :
* Laurence Le Bras, éd., Guy Debord. Histoire, postface de Daniel Vassaux, Paris, L’Echapée, 2022.
* Sylvain Boulouque, Le Peuple du drapeau noir, Neuilly, Atlande, 2022.
À Paris, au Palais de la porte dorée, le Musée de l’histoire de l’immigration, comme on l’annonçait au début du mois d’octobre 2022, présente son exposition de rentrée : Paris et nulle part ailleurs (27 septembre 2022-22 janvier 2023).
On découvre 24 artistes étrangers qui nous ont fait l’honneur de choisir Paris comme terre de migration ou d’exil entre 1945 à 1972.
On parcourt en ligne.
On se procure le catalogue.
Ce soir, dans ce cadre, un grand classique, Léopard d’or à Locarno en 1970 :
* À 18h30 : Soleil Ô de Med Hondo (1967).
Présentation par François Catonné.
À Paris, à la Société Louise-Michel, on reparle de la Françafrique.
C’est qu’il y a une actualité.
Nous n’avons jamais vu ses émissions et nous ne connaissons Cyril Hanouna (48 ans) que par ouï-dire. Faire confiance à la rumeur est toujours risqué. Mais ce que nous avons entendu de l’animateur agité, quelles qu’en soient les sources les plus variées, a toujours réflété une si terrifiante vulgarité que nous n’avons jamais envisagé d’aller jeter un coup d’œil.
En revanche, nous connaissons Louis Boyard, 22 ans, parce qu’il est un de nos députés, sans doute un des plus jeunes de toute l’Histoire de France.
Le 10 novembre 2022, il y a eu une altercation entre eux à la télévision, d’une violence inédite, selon France télévision.
C’est l’occasion pour la Société Louise-Michel, toujours soucieuse de pédagogie, de revenir sur des points relégués de notre Histoire.
Ce soir :
* À 19h00 : Françafrique, quand tu nous tiens…
Rencontre avec Thomas Deltombe.
Bonnes lectures :
* Thomas Borrel, Amzat Boukari, Yabara, Benoît Collombat, Thomas Deltombe, éds., L’Empire qui ne veut pas mourir. Une histoire de la Françafrique, Paris, Le Seuil, 2021.
* Thomas Deltombe, Manuel Domergue & Jacob Tatsitsa, La Guerre du Cameroun. L’invention de la Françafrique (1948-1971), Paris, La Découverte, 2016.
Les sorties sur les grands écrans
* Qui a peur de Pauline Kael ? (What She Said : The Art of Pauline Kael) de Rob Garver (2018).
* Ariaferma de Leonardo Di Costanzo (2021).
* La Maison de Anissa Bonnefont (2022).
* Les Engagés de Émilie Frèche (2022).
* Plus que jamais de Emily Atef (2022).
* Les Amandiers de Valeria Bruni Tedeschi (2022).
* Les Femmes du square de Julien Rambaldi (2022).
* Juste une nuit de Ali Asgari (2022).
* Premières Urgences de Éric Guéret (2022).
Les ressorties en versions restaurées
* Main basse sur la ville (Le mani sulla città) de Francesco Rosi (1963).
* Autour de minuit de Bertrand Tavernier (1986).
* Cadavres exquis (Cadaveri eccellenti) de Francesco Rosi (1976).
Au fil du temps, tous les éditos